L’Equipe de France ou la marche des Sans-Culottes vers l’Afrique (Editorial du PNB)

L’Equipe de France ou la marche des Sans-Culottes vers l’Afrique (Editorial du PNB)

[PNB] Citant l’essayiste Eric Naulleau, le journal parisien Le Figaro titrait, hier, que la Coupe du Monde de football était le “dernier évènement qui fédère à ce point la nation (française)”. La formule est inexacte – la France n’est pas une nation, mais un empire -, mais c’est en effet tout ce qu’il reste de l’empire français : une équipe de football composée au trois quarts de sportifs africains.

C’est, à bien des égards, la forme paroxystique et caricaturale d’un processus impérialiste entamé il y a huit siècles sous la direction de Philippe Le Bel, depuis Paris, puissamment accéléré avec l’éviction des Anglais du continent et la destruction des états breton et bourguignon à la fin du 15ème siècle. Libéré sur le continent, la bureaucratie centrale parisienne, grâce à son armée, a pu étendre à grande échelle son système impérialiste sur les autres continents à partir de 16ème siècle, ce jusqu’à son effondrement complet en 1962.

Immédiatement après la fin de la Guerre d’Algérie, le processus impérialiste, loin de se clôturer, a tenté de maintenir le projet impérial en métropole, faute de le réussir au niveau planétaire. L’immigration à rebours originaire des colonies, légitimée par l’idéologie missionnaire et impérialiste de 1789, est devenue, sur le modèle du recours aux sujets coloniaux en 1914, la réponse d’une bureaucratie d’état parisienne à son échec historique hors d’Europe. Paris s’identifie totalement à l’Afrique dont elle veut être le tremplin politique planétaire.

En cohérence avec cette logique, la démographie africaine est désormais la solution choisie par Paris pour répondre à l’effondrement de la natalité autochtone en France. Sur le même principe, elle “externalise” ses équipes sportives en “internalisant” l’Afrique par l’immigration. Officiellement sous bannière française, c’est bien toute l’Afrique francophone que la France utilise désormais dans les compétitions sportives mondiales.

De par sa construction impérialiste, l’Etat français se retrouve à organiser et exalter le propre effacement du noyau ethno-biologique qui servait de base humaine à sa création. Le spectacle grotesque du chauvinisme tricolore, excité par une équipe de mercenaires africains, résume parfaitement la fin tragi-comique d’un empire débordé dans ses frontières par ses anciens sujets extra-européens. La sans-culotterie braillarde rejoint finalement la sauvagerie africaine.

Pour les Bretons, la question que pose ce spectacle absurde et sinistre, c’est celle du réveil de leur nationalité face à la fin de l’empire français sous le poids de la submersion afro-islamique que devait par nécessité déclencher la colonisation. Si les Bretons ne prennent pas conscience de leur nationalité, ne prennent pas les dispositions décisives à la préservation de leur personnalité ethnique face à l’Etat français, et restent, par acculturation, prisonniers du fatras multiracial hexagonal tandis que la démographie fait son office, ils disparaîtront durant ce siècle, amalgamés à l’Etat afro-musulman sur le territoire français.

C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui plus encore qu’hier, toute manifestation de chauvinisme français en Bretagne, en plus d’être en soi odieuse, est surtout la manifestation de la marche au néant africain que supervise l’Etat français dans sa fuite en avant vers la sauvagerie afro-sans-culottarde.

Beaucoup de Bretons se plaignent, mais combien agissent de manière ordonnée et révolutionnaire ? Il n’y aura pas de salut sans solution radicale. C’est cette solution que le Parti National Breton veut apporter. Les Bretons lucides doivent réagir et rejoindre le Parti National Breton pour organiser l’alternative à la menace existentielle qui pèse sur notre peuple. Attendre, ou couper les cheveux en quatre, n’est plus un luxe que les Bretons peuvent se permettre, ni la complaisance, la fainéantise, le refus de la discipline au nom d’un anarcho-individualisme compulsif, sauf à accepter d’être remplacés par “les conquérants de nos conquérants” qui, à ce stade, n’ont guère qu’à poser leurs valises – quand ils en ont – en Bretagne. 

Les Bretons doivent retrouver le sens de leur race, le sens de leur nationalité celtique, ce que seul le Parti National Breton entend faire, loin du régionalisme marxisant ou des amicales culturelles inopérantes. Cette décennie sera cruciale et les Bretons doivent désormais choisir leur destin.

Pour rejoindre le PNB : partinationalbreton

 

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