Callac : l’Etat importe une dizaine de migrants musulmans du Soudan, incendie dans un bâtiment occupés par des migrants roumains !

[PNB] L’effondrement démographique de Callac se poursuit sous l’œil amusé de l’ahuri de service préposé au désastre, le vieil élément marxiste Jean-Yves Rolland. Rolland est désormais connu en Bretagne, mais également dans l’Hexagone, pour avoir voulu imposer, sans succès, des centaines de colons d’Afrique à sa commune de 2,000 habitants, en connivence avec les millionnaires parisiens Cohen.

Si l’infiltration afro-islamique ne peut pas atteindre le volume escompté, suite à l’abandon de ce projet délirant, le perfide Rolland s’assure qu’elle se poursuive à basse intensité. L’hebdomadaire d’extrême-gauche “Poher Hebdo”, virulemment engagé pour le repeuplement de la Bretagne par les masses du tiers-monde, s’en fait l’écho avec satisfaction dans ses colonnes. 

Le Poher :

Le conseil se termine (…) Et la question des réfugiés revient. Viltaïs vient d’installer une famille de Soudanais à Callac. Un conseiller remarque : « Ils sont arrivés à dix depuis 15 jours. Viltaïs est juste venu leur donner un peu d’argent pour acheter à manger. Les voisins les ont aidés. Ils n’ont pas de meubles ni de jouets pour les enfants. Ils ont juste des matelas pour dormir… » Choqué, Jean-Yves Rolland répond : « Viltaïs, c’est du ressort de l’État. C’est à eux de faire le suivi, mais on va voir ce qu’on peut faire. » L’un des conseillers ajoute « avec le Secours populaire, on va venir s’en occuper. » « On a l’impression que les réfugiés ne sont qu’un marché », se désole le maire. Il tient à préciser : « On parle de réfugiés. Ce sont des personnes qui ont un statut et des papiers. »

Le Soudan à Callac, ce n’est que le début.

On apprend, par la même occasion, que des Tziganes, là aussi hébergés aux frais des contribuables bretons, livrent aux flammes leur habitation gracieusement offerte par la clique marxiste de Callac. Qu’à cela ne tienne, Rolland est encore prêt à dépenser l’argent de ses administrés sans compter.

Le téléphone sonne. Ce sont les pompiers. Jean-Yves Rolland décroche, puis explique : « On a un incendie à la Villeneuve, dans la zone industrielle. Un bâtiment peut être sous-loué à une dizaine de Roumains. Il n’y a pas de blessés heureusement, mais il y a trois enfants. Comment on va les reloger ? » Les conseillers se concertent pour trouver une solution d’urgence. Il est 21 h 30. Les militants de Reconquête ! sont partis. Un adjoint me rattrape : « On a parlé des frelons asiatiques, ce sont les seuls migrants qui nous ennuient ! » Avant de se raviser : « Vous n’allez pas mettre ça dans le journal quand même ! » Puis, « Ah oui, j’oubliais, la presse est libre ! »

Le fanatisme rouge le dispute à la sénilité, le naufrage humain est complet.

Le vieillissement fulgurant du Centre-Bretagne ne peut plus être inversé, ni le dépeuplement radical qui l’accompagne par effet mécanique. Face à cela, tout ce qu’il reste de factieux socialo-marxistes dans la zone, vieillerie mijotant dans une geste antifa hallucinée, se coalise pour importer autant de sujets afro-musulmans de l’Etat français que possible, apparemment en signe de défi contre leurs propres petits-enfants qui devront apprendre à survivre comme d’autres doivent survivre en milieu ethniquement sinistré. 

Les mêmes causes biologiques produisant les mêmes effets culturels, les communes encore aux mains des bandes marxistes qui se livrent à ces expérimentations ethno-raciales connaîtront le sort de la Courneuve, d’Aubervilliers ou de Sarcelles.

Importez le tiers-monde, devenez le tiers-monde.

Pour des communes de mille ou deux milles habitants comme Callac, quelques dizaines d’allogènes auxquels le tapis rouge est déroulé en grande pompe par des traîtres pathologiques et à qui les idiots utiles de Paris font comprendre qu’ils sont en terrain conquis, auront tôt fait de présenter la longue liste de leurs exigences, griefs et imprécations, sur fond d’agressions, de trafic de dope et d’islamisation abrasive. 

Quand les derniers rouges auront débarrassé le plancher sous l’effet de l’état de leurs artères, l’ampleur du champ de ruines démographique les fera maudire par les nouvelles générations de Bretons qui leur auront survécu et qui se trouveront assiégés par les petits protégés exotiques de leurs aïeux.

Le fanatisme égalitaire hérité de 1789, ennemi fondamental de la nation bretonne, se sera définitivement condamné face aux Bretons.

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Callac, zemmourisme et le piège du bougisme réactionnaire français : ce que le nationalisme breton veut et ce qu’il ne veut pas

[PNB] Une manifestation est organisée par le mouvement réactionnaire français d’Eric Zemmour le 5 novembre, à Callac. Elle vise, en théorie du moins, à manifester une opposition à l’implantation de migrants d’Afrique dans cette commune, à l’initiative de la famille parisienne Cohen, avec l’appui des autorités d’occupation française et de la gauche hexagonale. 

Dès le printemps dernier, le Parti National Breton a fait connaître son opposition à ce projet et dépêcher des militants sur le terrain afin d’alerter la population de Callac sur la nature et la portée de ce projet. 

S’il a fait directement connaître aux habitants sa position, de par l’expérience de ses militants, le Parti National Breton sait que ce type de manifestations orchestrées par des boutiques politiques françaises relève, au plan théorique, de ce que l’on appelle le bougisme d’extrême-droite hexagonal, expression des contradictions internes de la société française en Bretagne. Ces réactions désordonnées, qui attirent invariablement des éléments bretons petits-bourgeois dénués de conscience nationale structurée, n’ont rien de nouveau : jadis, le monarchisme français récupérait l’opposition chouanne au régime républicain pour ne servir, en définitive, que le même maître, la marâtre française.  Plusieurs tentatives petites-bourgeoises hexagonales similaires ont vu le jour ces vingt dernières années, avec un résultat identique car ses fondements coloniaux sont identiques : le Mouvement Régionaliste Breton du MNR français, Jeune Bretagne des Identitaires français, enfin l’agitation zemmouriste sporadique du mouvement hétéroclite français “Reconquête”.

La fièvre réactionnaire locale produit régulièrement ses impuissantes gesticulations dont le seul effet est d’encager le sentiment ethnique breton pour le subordonner aux intérêts français tels que perçus par la faction droitiste hexagonale. Encore et toujours, les mêmes scènes confusionnistes où se mêlent la bannière nationale bretonne et le tricolore du pouvoir colonial français, le même qui organise par ailleurs de remplacement démographique, dans un mélange des genres typique des éléments bretons atteints de schizophrénie identitaire. Une fois cette poussée de fièvre passée, il n’en reste rien.

Qui se souvient encore de la manifestation contre la venue de migrants à Trégastel organisée en 2016 par la réaction française ? 

Celle de Trégunc, en 2016 ?

Celle d’Arzano, en 2019 ?

Comme de juste, celle de Callac, le 5 novembre, perpétue ce principe de récupération du sentiment ethnique breton pour les mettre à la remorque du brouet droitiste hexagonal.

Ayant appris de ce processus réactionnaire en Bretagne, l’Emsav a émergé après la Première Guerre Mondiale pour poser la question bretonne dans son cadre national, et non plus dans le cadre aliénant français qui nie, par définition, la nationalité bretonne, et prive donc la nation bretonne des moyens de se libérer de la société française aliénante. En un mot, le nationalisme breton n’est pas une école de supplétifs de l’extrême-droite française, a fortiori sous la direction d’un immigré d’Afrique du Nord comme Eric Zemmour qui brode sur le thème patriotard hexagonal. C’est un projet révolutionnaire de rupture avec l’Etat français, son régime républicain et sa société cosmopolite, un projet de redressement ethno-national.

Au risque de formuler une évidence : brailler pendant deux heures contre des Noirs, à l’appel du parti d’un journaliste parisien d’origine judéo-berbère, ne forge pas une communauté ethno-nationale bretonne. 

Le Parti National Breton entreprend une tâche sans rapport avec l’agitation et le spontanéisme populiste. Là aussi, l’expérience historique conforte sa position. L’épisode des Bonnets rouges a démontré de manière spectaculaire la différence entre une jacquerie et une révolution. Faute d’une direction politique révolutionnaire nationaliste, ce mouvement, pourtant pré-national, a été récupéré par le réactionnaire régionaliste Christian Troadec et n’a pas pu dépasser le stade de l’impuissante protestation clientéliste mise au service d’une boutique assujettie à l’Etat français.

La mission du Parti National Breton n’est pas d’encourager les mêmes causes tout en espérant des effets différents.

En plus de cette dimension théorique fondamentale entre réaction française et révolution bretonne, s’ajoute la méthodologie pratique de l’impérialisme français.  Ces manifestations stériles, en plus de proroger l’aliénation du sentiment ethnique breton en le subordonnant au nationalisme hexagonal, sont d’ordinaire utilisées par la police politique française pour procéder à un fichage extensif des personnes présentes. Pour s’assurer que le terrain breton reste sous contrôle, elle mobilise, par ses réseaux de complices, l’aile gauche du spectre politique hexagonal, en l’espèce les agitateurs dits “antifas”. Des incidents sont suscités et documentés, puis utilisés ultérieurement, s’il est nécessaire, pour les besoins du ministère de l’Intérieur français qui a régulièrement le soucis de justifier sa répression.

Parce qu’il récuse le bougisme petit-bourgeois droitiste comme un sous-produit parisien, qu’il juge le spontanéisme comme une erreur organisationnelle élémentaire, le Parti National Breton s’inscrit dans une démarche radicalement différente, considérablement plus difficile, mais incomparablement plus juste, qui est celle de la construction dans la longue durée d’un parti authentiquement national, qui traite les causes de la dégénérescence de la nation bretonne au lieu de disserter sur les conséquences de celle-ci. Cela implique une discipline révolutionnaire exigeante et d’identifier correctement l’ennemi ainsi que les priorités stratégiques et opérationnelles.

Le Parti National Breton trace une voie nouvelle qui est une voie spécifiquement bretonne, par et pour les Bretons. Il aborde toutes les questions sous cet angle et prépare l’avènement de l’Etat breton à partir de cette approche révolutionnaire. Confiant dans l’imminente faillite de l’Etat français, il ne dévie pas de cet objectif. Quand le désastre sera consommé pour Paris, les Bretons chercheront une alternative intégrale qui ne sera pas la somme des contradictions de la société française en Bretagne. Ils chercheront une voie révolutionnaire. Le Parti National Breton entend préparer cette voie avec une volonté et une rigueur inébranlables.

Les nationalistes bretons laissent les morts enterrer leurs morts. 

Breizh Atav !

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Callac : l’Etat colonial français impose 16 nouveaux migrants clandestins d’Afrique !

[PNB] Le média Breizh-Info indique, dans un message paru sur son compte Twitter ce mercredi, que le conseil municipal de Callac, dominé par la majorité néo-communiste de Jean-Yves Rolland, a annoncé l’implantation immédiate de 16 colons afro-musulmans sur le territoire la commune sur ordre du régime colonial français.

Déjà visée par le projet “Horizon” des millionnaires parisiens Cohen qui prévoit l’implantation d’un demi-millier de migrants extra-européens sur place, Callac est désormais ciblée par l’état colonial français et ses relais politiques compradores pour servir de laboratoire au nettoyage ethnique prévu pour les populations bretonnes. 

Pour le Parti National Breton, il s’agit là du plan génocidaire que prépare l’Etat colonial français pour le peuple breton depuis toujours. Sans lutte de libération nationale victorieuse, les Bretons se verront imposer l’implantation de 2 millions de colons afro-maghrébins durant les prochaines décennies.

Pour la nation bretonne, le choix est simple : c’est la résistance ou la disparistion.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Callac : Venu intimider la population avec la Gendarmerie, le maire de Callac avoue pas vouloir consulter les habitants car “80% des Callacois seraient contre” !

[PNB] Cité par Breizh Info, le communiqué de l’association “Les Amis de Callac” fait état d’une déclaration aussi accablante que définitive sur le rôle d’idiot utile joué par le maire de cette commune ciblée par les millionnaires Cohen et l’Etat français pour y installer un demi millier de colons afro-musulmans :

L’association “Les amis de Callac” et ses environs, présente tôt ce matin sur le marché de Callac afin de proposer à la signature des Callacois la pétition demandant un référendum sur le projet Horizon, a noté une accélération très forte des demandes de signatures de la part des habitants. Tant mieux, celà prouve que les Callacois commencent à prendre conscience de la gravité de la situation. Dans la matinée, le maire Jean -Yves Rolland est arrivé, entouré de deux adjoints et suivi de la gendarmerie. Il a immédiatement été assailli de questions par une bonne trentaine d’habitants dont beaucoup lui ont dit vertement leur façon de penser. Les Callacois arrivés en nombre se sont relayés pour faire passer le même message » nous voulons être consultés ».

Les débats, extrêmement houleux, ont duré près de deux heures, durant lesquelles le maire nous a montré son vrai visage en nous avisant sans ménagement qu’il venait, comme par hasard, d’édicter un arrêté municipal interdisant toute pétition sur le marché. In fine le maire a mis définitivement bas le masque en nous disant « je n’organise pas de referendum car je sais bien que 80% des Callacois seront contre le projet. » Ces propos signent de façon évidente que le maire se moque bien de l’avis des Callacois. M. Rolland continue à faire régner à Callac la » chappe de plomb » qui a étouffé la ville durant les décennies de ses prédécesseurs communistes et veut imposer par la force et la ruse le projet Horizon aux Callacois.

Par cet aveu, le maire rouge Rolland témoigne lui-même de sa pleine conscience d’agir contre ses administrés, leur volonté et leurs intérêts. Le recours aux forces de sécurité coloniales pour intimider la population bretonne de Callac, en l’espèce la Gendarmerie française, l’illustre jusqu’à l’outrance.

Pour le Parti National Breton, cette déclaration démontre, bien que ce soit superflu, que le régime colonial français et ses pseudo “élus politiques” en Bretagne n’ont jamais représenté, ne représentent pas et ne représenteront jamais le Peuple breton. La couche “d’élus” qui opère en Bretagne n’est qu’un relais colonial servile des diktats de la bourgeoisie parisienne, via le réseau de ses préfets. En tant que telle, elle est prête à toutes les ignominies, toutes les trahisons pour faire les volontés de ses maîtres et défendre les intérêts français.

Le Parti National Breton appelle la population bretonne de Callac à poursuivre l’opposition totale et frontale au projet colonial dit “Horizons” imposé par l’Etat français. Avec plus de 500 allogènes afro-musulmans prévus par Paris pour une installation définitive dans cette commune de 2,000 habitants, c’est le nettoyage ethnique de la population bretonne qui est recherché par les autorités d’occupation françaises.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Implantation de 100 migrants afro-musulmans à Callac par l’Etat français : le PNB dit non !

[PNB] Le Parti National Breton a mené une action spéciale sur la commune de Callac, actuellement menacée par un projet de repeuplement colonial piloté par les millionnaires parisiens COHEN sous la supervision de l’Etat français. Le projet, véritable provocation française contre la nation bretonne, prévoit l’implantation forcée d’une centaine de migrants afro-musulmans au cœur de Callac, transformant effectivement ce village en future zone de peuplement islamique.

Le Parti National Breton avertit le Peuple Breton : il s’agit d’un ballon d’essai menée par la clique parisienne, clique qui considère la Bretagne comme une simple dépendance coloniale. Si ce projet de nettoyage ethnique par remplacement démographique réussit à Callac, d’autres communes bretonnes seront ciblées par le régime français. Les conséquences sont connues : explosion du crime, agressions sur fond de racisme antiblanc, développement rapide de l’islam radical, règlements de comptes ultra-violents entre gangs allogènes pour le contrôle du trafic de drogue, viols collectifs de femmes européennes, etc..

Par cette politique, le but stratégique de l’Etat français est d’imposer 2 millions de colons afro-musulmans en Bretagne d’ici la seconde moitié du 21e siècle. Ils sont déjà entre 300,000 et 400,000 actuellement. Une coalition d’ennemis du Peuple Breton – élus corrompus, agitateurs d’associations marxistes stipendiées par Paris, patrons véreux, spéculateurs parisiens qui entendent réaliser des profits colossaux grâce à cette politique de repeuplement – veut ainsi prospérer de ce nettoyage ethnique à grande échelle.

Le Parti National Breton ne reste pas l’arme au pied, ses militants sont en alerte ! Il organise dès à présent la résistance populaire bretonne à la submersion migratoire que veut imposer l’Etat français en Bretagne. Il appelle tous les Bretons conscients de la gravité de l’heure à rejoindre ses rangs immédiatement pour mener la contre-offensive.

Le Parti National Breton affirme que cette menace existentielle ne cessera pas tant que l’Etat français n’aura pas été chassé de Bretagne et que l’Etat breton n’aura pas été restauré pour assurer la défense de la nation bretonne face au péril de l’afro-islamisation française. 

 

 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Callac (2000 habitants) : les millionnaires COHEN de Paris et le maire félon Rolland veulent repeupler la commune avec des CENTAINES de migrants musulmans

[PNB] Les militants du Parti National Breton se sont déplacés en urgence jeudi 15 avril 2022 dans la commune de Callac (Côtes d’Armor) pour assister à une surréaliste réunion organisée à la dernière minute par la richissime famille COHEN (de Paris) et le maire Jean-Yves Rolland. Le but de cette réunion était d’imposer à la population un projet de colonie de peuplement afro-musulmane d’une centaine de têtes dans la commune.

Sous couvert d’une épaisse couche de propagande lénifiante sur le thème du multiculturalisme et du sans-frontiérisme, les millionnaires COHEN, conformément à une tradition culturelle bien établie, ont compris tout l’intérêt qu’il y avait à défiscaliser leurs profits via des mécanismes sociaux pro-migrants tout en accélérant le nettoyage ethnique contre les populations de souche européenne par l’arme du remplacement démographique. Les millionnaires COHEN ont jeté leur dévolu sur Callac afin de réaliser l’opération spéculative.

En cela, les richissimes spéculateurs COHEN sont aidés par la presse d’état française, Ouest-France en tête, qui écrase la population de Callac sous les slogans et les menaces en cas d’opposition.

Les millionnaires COHEN et le maire félon Rolland, signant le projet de colonisation islamique de Callac

Les millionnaires COHEN reçoivent également le concours du maire de gauche Jean-Yves Rolland, félon qui est à l’évidence au cœur d’un montage financier conclu secrètement avec les spéculateurs parisiens précités.

Nos militants présents sur place ont donc assisté à la réunion où les héritiers COHEN ont pu, avec l’aide du traître Rolland, dérouler leur terrifiant programme de remplacement ethnique dont ils attendent de larges retombées financières de la part du Fisc français. Des commissaires politiques, notamment issus de l’organisation stipendiée par la préfecture AMISEP, étaient présents pour intimider les habitants qui assistaient à la réunion. Toutes les critiques et questions de ceux-ci ont systématiquement été balayées par les millionnaires COHEN, rompus au marchandage de tapis. D’évidence, la cabale est déjà nouée et la réunion publique n’était qu’un simulacre pour donner le change médiatique.

Pour une commune de 2,000 habitants, rien moins que 60 familles venues du tiers-monde afro-musulman seraient implantées de force à Callac où elles bénéficieraient de la priorité pour la totalité des services et “emplois”. Interrogés sur le fait que jamais aucun jeune Breton de Callac n’a jamais bénéficié de cette pluie d’opportunités, le maire et les organisateurs COHEN ont systématiquement botté en touche. Face aux questions d’ordre financier, les millionnaires COHEN ont été encore plus fuyants, visiblement inquiets que le peuple n’y regarde de trop près.

Marie-France COHEN, millionnaire, veut repeupler Callac d’une première centaine de colons afro-musulmans, pour commencer

L’un des millionnaires COHEN a même souligné, hilare face à l’assemblée bretonne prise en otage, que la richissime famille parisienne avait choisi Callac “pour sa Caisse des Allocations Familiales” : autrement dit, la débordante natalité afro-islamique pourra être financée par les caisses du département des Côtes d’Armor, remplies par les contribuables bretons, tandis que la richissime famille COHEN défiscalisera au maximum. Plus les COHEN implanteront de colons afro-musulmans à Callac, plus ils s’enrichiront.

Nous avons affaire à la convergence de carnassiers : le patronat local se voit promettre de la main d’œuvre occasionnelle à bon marché, tandis que les associations d’extrême-gauche financées par la préfecture des Côtes d’Armor se frottent déjà les mains à l’idée de recevoir de larges émoluments prélevés sur les contribuables. Les politiciens locaux, achetés, participent du montage. Les millionnaires COHEN quant à eux pourront défiscaliser à outrance. Le tout est présenté aux habitants par la presse d’état corrompue comme une “obligation morale” de droit divin : le peuple n’a pas à avoir le choix, il suffisait d’y penser.

Le Parti National Breton peut affirmer que la cabale est organisée au plus haut niveau : venus de Paris, les millionnaires COHEN se déplacent dans la commune de Callac sous la protection étroite de la Gendarmerie française, signe que le gouvernement français, partie prenante de cette entreprise spéculative de remplacement ethnique, redoute la colère de la population bretonne. Cela prend une telle proportion que le Peloton de Surveillance et d’Intervention de la Gendarmerie (PSIG) de Guingamp était sur place, traquant le moindre signe d’opposition populaire. Qu’on ne s’y trompe pas, les Bretons de Callac sont traités par l’Etat Français comme des populations colonisées dont les spéculateurs de Paris peuvent disposer comme la France coloniale disposait des Africains en 1913.

Si ce projet est imposé à la population de Callac, la suite est évidente : rongée par la tiers-mondisation islamique, la population vivra dans la terreur quotidienne. Explosion de la criminalité, du trafic de drogue, agressions en tous genres, notamment sexuelles, salafisme : ce que vivent déjà Nantes, Rennes, Saint-Brieuc, Brest, Lorient sous l’effet de l’immigration afro-orientale deviendra la norme dans ce village, défiguré par les millionnaires COHEN et le félon Rolland. Les habitants devront raser les murs, de peur d’être lynchés ou surinés pour un “mauvais regard”. Le regroupement familial jouant à plein, ce seront à terme des CENTAINES de colons afro-musulmans qui seront établis à Callac, devenu un foyer de pestilence et de fanatisme religieux.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets. 

Le Parti National Breton était à Callac pour poser les bases de la résistance totale à la submersion des millionnaires COHEN et du félon Rolland

Le Parti National Breton entend organiser la résistance à ce projet des spéculateurs COHEN dans la durée. Il appelle les habitants de Callac et de ses environs à l’informer de toutes les actions de la municipalité et de ses membres, de la moindre activité suspecte.

Le Parti National Breton peut d’ores et déjà avertir le maire Jean-Yves Rolland et sa clique que leurs pas seront attentivement observés et qu’à la moindre faute, y compris personnelle, la riposte légale et médiatique sera immédiate et impitoyable. Le Parti National Breton va organiser l’agitation permanente, exploiter la moindre faille et transformer le quotidien des bandits de la municipalité en une série interminable de conflits politiques et légaux. Le Parti National Breton s’assurera de faire de la commune un véritable théâtre d’affrontement politique permanent. Il n’y aura aucun répit.

Les militants du Parti National Breton ont le temps, les ressources, l’appui de l’opinion populaire et surtout la volonté d’exploiter à outrance la situation pour en faire un formidable levier contre les autorités françaises et leurs complices locaux.

Pour le traître Rolland et ses complices, c’est le début d’une longue descente aux enfers. Pour l’Etat Français, le début d’un désastre politique en Bretagne intérieure.

Pour faire savoir ce que vous pensez à la mairie de Callac :

Tél : 02 96 45 81 30

FAX : 02 96 45 91 70

E-mail : [email protected]

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Démenti du PNB suite à l’article du média français “Blast”

[PNB] Le média français “Blast” a publié un article le 12 juillet 2023 signé par M. Thierry Vincent intitulé “Bretagne : après Callac, l’ultra-droite s’enracine”. Cet article nécessite un démenti formel des allégations qu’il porte contre le Parti National Breton.

Contrairement à ce qui est affirmé, les militants du Parti National Breton n’ont pas participé aux manifestations de Callac relatives à l’implantation de migrants clandestins dans cette commune. Si le Parti National Breton s’est engagé dès l’origine contre ce projet par voie de tractage et d’affichage, il a veillé à ne pas prendre part à des manifestations initiées par des organisations politiques hexagonales. Outre leur opportunisme, ces organisations impérialistes françaises sont foncièrement incompatibles avec la lutte de la nation bretonne pour une Bretagne libre et cette ligne de conduite est pour le Parti National Breton un point non négociable de son action.

Aucun militant du Parti National Breton n’a davantage participé à la rixe qui a eu lieu à Saint-Brieuc le 1er juillet 2023 entre plusieurs factions françaises. Le Parti National Breton récuse formellement l’usage de la violence, un point central de sa pratique politique à laquelle tous ses militants sont soumis depuis sa fondation. Il n’est pas davantage le pourvoyeur de supplétifs pour des organisations françaises.

Le Parti National Breton s’oppose à l’Etat français qui occupe notre nation, il ne perd pas de temps avec les contradictions qui opposent ses seconds couteaux en Bretagne.

La plus élémentaire rigueur professionnelle aurait dû conduire M. Vincent à vérifier auprès du Parti National Breton la teneur des rumeurs qu’il dit avoir collectées auprès d’un militant “antifasciste” français. L’engagement politique d’un journaliste ou d’un média ne le dispense pas d’exactitude, ne serait-ce que par respect pour son propre lectorat.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Saint-Brévin, Carhaix, Pont l’Abbé : malgré une formidable couverture médiatique, la gauche française ne mobilise que quelques centaines de septuagénaires !

[PNB] Cette semaine, la gauche française tentait de montrer qu’elle pouvait mobiliser les masses bretonnes sous sa direction.

Premièrement à Saint-Brévin, dans le Pays Nantais, en faveur de l’intensification de l’immigration afro-islamique en Bretagne. A peine 300 personnes se sont déplacées, pour une moyenne d’âge de 70 ans.

Deuxièmement à Carhaix, où le journal de gauche “Le Poher” prétendait avoir été l’objet de menaces suite à son militantisme radical en faveur de l’implantation de colons d’Afrique à Callac, en concertation avec les millionnaires parisiens Cohen. Environ 200 personnes se sont réunies, pour une moyenne d’âge de 70 ans, chiffre miraculeusement triplé par Ouest-France, corporatisme oblige en faveur du “Poher”.

Troisièmement à Pont l’Abbé en essayant de récupérer la colère des pêcheurs sacrifiés par le régime de Paris.

Le résultat est indiscutable : la gauche française est exsangue en Bretagne. Elle n’a ni énergie, ni jeunesse, et ne peut pas mobiliser en masse. En dépit de l’énorme écho donné en amont à ces actions par l’ensemble du bloc médiatique contrôlé par la gauche française, seuls les agents des partis, associations et syndicats qui en sont membres ont fait le déplacement. Le peuple breton brille par son absence. Ce constat est empirique et corroboré par les photos prises sur place par les médias précités qui, pourtant, s’assurent des meilleurs cadrages possibles pour donner le change.

Après deux siècles d’engagement, la gauche française est démographiquement vaincue en Bretagne, désormais beaucoup trop vieille et marginale pour constituer une force sociale capable de structurer le futur politique de notre pays. Le Peuple Breton a rompu avec l’ensemble des partis et organisations de la gauche française, en dépit de leur appel à l’action commune. 

Que l’on ne s’y trompe pas, l’hyper agitation médiatique à laquelle nous assistons de la part d’une poignée de propagandistes rouges occupant radios et journaux ne permet, au mieux, que de créer un village Potemkine. Cette désertion est le fait politique majeur de notre époque.

Une nouvelle ère commence en Bretagne, sans les héritiers des égorgeurs de la révolution française.

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23 novembre 1812 : après 20 ans de guérilla, le colonel chouan Jean Le Paige de Bar meurt au combat contre les hordes républicaines françaises

[ISTOR BREIZH] Jean François Edme Le Paige de Bar fit ses études au petit séminaire de Plouguernével, puis au collège de Quimper et fit son droit à Rennes, devenant ensuite avocat au Parlement de Bretagne, mais ses débuts ne furent guère brillants et il accumula les déboires, y compris dans le commerce des sardines qu’il tenta lui aussi. En 1790 il est endetté, sans ressources ni moyens d’existence.

Le 28 septembre 1792, il émigre en embarquant à Névez avec plusieurs autres personnes et on le retrouve en Espagne en février 1793, s’enrôle dans la légion de Saint-Simon et est blessé devant Saint-Jean-Pied-de-Port. Il revient à Concarneau dans le courant de l’année 1794 et se rend dans les Côtes-du-Nord où il commence à recruter une troupe de chouans, dénommée la 9e légion, dite du Finistère, mais qui va exercer son activité principalement aux confins des trois départements des Côtes-du-Nord, du Finistère et du Morbihan et dont il reçoit le commandement, collaborant avec d’autres chefs chouans du Finistère comme Michel Armand de Cornouaille, Jonathas Jean Coroller de Kervescontou, Marie Hyacinthe de Geslin, Élie Lubin Marie Frollo, etc.

La troupe de chouans de « De Bar »

Cette troupe de chouans commence en 1795 à commettre des et surtout de nombreux assassinats d’agents du régime républicain, comme ceux de Jean-Michel Gourlaouen ; greffier de justice de paix à Querrien, le 5 octobre 1795 (13 vendémiaire an IV); de Cavelat, curé constitutionnel et Guillaume Bernard, juge de paix à Kernével dans la nuit du 17 au 18 octobre 1795 (25 au 26 vendémiaire an IV), etc. Fin 1795 et début 1796, cette bande de chouans exerce principalement son activité dans le Finistère, racolant de force si besoin mécontents et déserteurs, vagabonds et prisonniers de droit commun évadés (y compris du bagne de Brest) et commettant de nombreux éliminations d’ennemis (par exemple, celui de François Canaff, vicaire de Saint-Yvi, le 2 mai 1796, celui de Jean-Julien-Marie Robert, notaire à Trégunc le 6 mai 1796, de Jacques Lavalot, vicaire de Saint-Evarzec le 9 mai 1796, etc. De Bar est momentanément arrêté le 26 messidor an IV (1er juillet 1796) par le commissaire de Concarneau, mais relâché dès le lendemain par le commandant de la place de cette ville.

Après un moment de calme relatif fin 1795-début 1796, la 9ème légion reprend du service en juin 1797, assassinant par exemple le 21 novembre 1797 un certain Le Clech à Langonnet car cet ancien chouan refuse de reprendre les armes. Dans la nuit du 26 au 27 avril 1798 (7 au 8 floréal an VI), une équipe de 20 à 25 chouans attaque et brûle la maison du percepteur de Motreff et le 3 mai 1797 un groupe de 15 à 18 hommes attaquent pour le voler Gilles, un agitateur jacobin de Scaër, etc. Le 23 avril 1797, De Bar reçoit des Anglais 1 800 fusils au Petit-Moros dans la baie de La Forêt près de Concarneau. Fin mai, il attaque à Langoëlan Du Chélas, surnommé La Couronne, ancien chef chouan, car ce dernier refuse de reprendre les armes, échouant toutefois à le tuer, et sévit à Lignol en juin 1797 ; fin juillet, De Bar est à Spézet, puis à Gourin. Le 20 août 1797, à la tête de douze hommes, il attaque et pend dos-à-dos Poulizac, commissaire républicain du canton de Saint-Hernin et Quéméner, curé constitutionnel de Motreff. Il rançonne également les spéculateurs de biens nationaux.

Manoir du Moros

Les bandes républicaines  échouent à arrêter cette troupe de chouans, souvent cachée dans des forêts comme celles de Conveau, de Duault ou de Beffou pendant longtemps en dépit des détachements envoyés de Carhaix, de Rostrenen, de Gourin et du Faouët.

En novembre 1798, De Bar reçoit de Cadoudal le grade de colonel, signé par le comte d’Artois le 9 mai 1798. À cette date, De Bar commande la 7e division chouanne qui recouvre 4 cantons des Côtes-du-Nord et 4 du Finistère et du Morbihan. Au printemps 1799, il semble s’être rendu clandestinement à Brest, envisageant une action contre le port de guerre. Les éliminations continuent, par exemple dans la nuit du 11 au 12 janvier 1799 (22 au 23 nivôse an VII), sept ou huit chouans liquident l’agent de la république française Antoine Le Gallo à Querrien. Plusieurs des lieutenants de De Bar, dont Jean-Louis Tanguy, dit Ulysse et Roland Madiou, dit Sans-Quartier, tous deux originaires de Plouégat-Moysan et Poëns-Kerily, dit Philippe, sont arrêtés à Bolazec en janvier 1799, dénoncés par François Marie Buhot de Kersers, ancien prêtre défroqué de Guerlesquin, dont la tête est mise à prix par De Bar. En mars 1799, sept habitants de Guilligomarc’h sont arrêtés « prévenus de chouannage » et le même mois, six mercenaires bleus de la garnison de Landeleau sont attaqués en revenant de Spézet et l’un d’eux est tué.

Le 10 janvier 1799 (21 nivôse an VII), une troupe de chouans pénètre dans l’abbaye Saint-Maurice de Carnoët et maltraitent un ancien religieux cistercien caché dans les bois, Julien Launay, ainsi qu’un domestique de l’abbaye. En avril 1799, ils attaquent la diligence de Quimper à Lorient près de la chapelle de la Véronique en Bannalec et recommencent le 3 juillet 1799, tuant cinq des sept mercenaires bleus de l’escorte. En août 1799, De Bar est nommé commandant de la huitième légion du Morbihan, dite de Gourin mais continue aussi ses activités dans les Côtes-du-Nord et le Finistère, châtiant par exemple trois gendarmes à la recherche d’un Breton refusant la mobilisation imposée par Paris le 5 octobre 1799 à Saint-Goazec et un groupe d’une soixantaine de chouans sévit à Guengat le 30 octobre 1799. Des membres du même groupe probablement tuent le juge de paix de Scrignac le 18 novembre 1799 et celui de Briec, Pierre Briand, le 29 novembre 1799, commettant également plusieurs éliminations ciblées à Loguivy-Plougras, pillent le bourg de Scaër aux mains des ennemis de la Bretagne (où ils coupent l’arbre de la Liberté) le 10 décembre 1799 ainsi que Gourin.

Le 30 août 1799, Louis Fercoq, agent français de Lohuec poursuit avec ses soixante mercenaires en armes, 200 chouans commandés par Jean François Edme Le Paige de Bar. Vers midi, à Plourac’h, ceux-ci mangent dans une auberge. Ils ont enfermé le curé constitutionnel Conan dans la sacristie après lui avoir promis de l’exécuter quand ils auraient fini leur déjeuner. Fercoq sonne le tocsin. Les chouans se réfugient dans les rochers du Roc’h Hellou tout proches. Ils tirent longtemps sur les mercenaires bleus qui finissent pas les déloger à la baïonnette. Les chouans emportent leurs blessés mais laissent sur le terrain 9 ou 17 morts selon les auteurs. Un grand nombre de chouans sont blessés, dont Guillaume Jean Joseph de Keranflech, dit Jupiter, qui sera opéré par le chirurgien Paradis de Rostrenen. En représailles, le terroriste Louis Fercoq sera capturé et fusillé le 18 novembre par Poëns de Kerilly.

À cette époque, De Bar a son quartier général au château de Kerlouet en Plévin et réquisitionne lits et ustensiles de cuisine dans les bourgs voisins, par exemple à Motreff et Paule. Il recrute des paysans à Trébrivan, Mezle-Carhaix, Kergrist-Moëlou, Locarn, Duault, etc. et applique l’ordre de Cadoudal du 13 novembre 1799 interdisant aux hommes de moins de quarante ans de contracter mariage en interdisant aux prêtres de célébrer les dits mariages.

On signale De Bar en mai 1800 du côté de l’abbaye de Bon-Repos, puis à Guémené et, en compagnie de Frollo, l’un de ses lieutenants, il cherche à recruter de nouvelles troupes dans les environs de Quimper et vole des armes. La liquidation de l’évêque de Quimper, Yves-Marie Audrein, dans la nuit du 19 novembre 1800 (28 brumaire an IX) lui est probablement imputable.

Le 9 mars 1801, le nouveau préfet du Finistère, Francisque Joseph Rudler, est attaqué près de Bolazec par un groupe de chouans. En avril 1801, la plupart des chefs chouans émigrent en Angleterre, y rejoignant le comte d’Artois, mais pas De Bar.

Le 9 mai 1802, après avoir fait relâche au village de Kéréon en Guimiliau, sept chouans prennent en otage le traître Alain Pouliquen, propriétaire et fabriquant de toiles au village de Mescoat en Ploudiry, le conduisent au village de Lestrézec en Berrien où il est menacé de mort, puis à Scrignac où De Bar bénéficie de complicités, et le font chanter jusqu’à ce qu’il écrive dans les jours qui suivent plusieurs lettres à ses enfants exigeant une rançon de 30 000 francs, à déposer tantôt à l’auberge du Squiriou, tantôt dans une auberge de Carnoët où elle est finalement remise à De Bar, l’otage étant enfin libéré le 30 mai 1802.

Sa vie d’exil 

Avec la rançon obtenue de Pouliquen, De Bar finit à son tour par émigrer, débarquant à Guernesey le 11 juin 1802, puis rejoint d’autres chouans émigrés dans le camp de Rumsey en Angleterre. Mis au courant par Cadoudal de ses projets d’assassinat à l’encontre de Bonaparte, De Bar revient clandestinement en Bretagne, débarquant à Bréhec (plage de la commune de Plouha) dans la nuit du 20 au 21 octobre 1802 afin de préparer un soulèvement contre le Premier Consul, mais il est recherché par la police françaises et ses agents secrets. On retrouve sa trace à Carnoët, à Gourin, à Roudouallec, à Plévin, à Paule, à Duault, à Scrignac, etc. en décembre 1803 ou janvier 1804, puis il repart en Angleterre, revenant en Bretagne en avril. Une battue générale est organisée le 15 avril 1804 dans la région du Faouët-Gourin-Rostren-Callac afin de le retrouver, en vain. Des gendarmes français déguisés en déserteurs ou en paysans échouent également. Il aurait séjourné clandestinement chez le maire de Scrignac, Thépault, le 9 mai 1804. Insaisissable, on le signale, déguisé en paysan, successivement à Tréogan, Paule, Mellionnec, Ploërdut dans le courant de ce même mois, souvent en compagnie de Penanster ; en août 1804, il est signalé à nouveau à Lestrézec en Berrien, puis à Livouien en Scrignac.

L’échec du complot, puis la mort, de Cadoudal convainquent De Bar de tenter de retourner en Angleterre. Avec d’autres chouans, il embarque dans la nuit du 19 au 20 novembre 1804 dans la rivière d’Auray dans une chaloupe qui les mène à l’île d’Houat et tentent ensuite de gagner l’Angleterre par leurs propres moyens. Le mauvais temps les fait débarquer dans la baie de la Forêt près de Concarneau. Un de ses complices, Guillemot, est arrêté (il sera plus tard exécuté) mais de Bar et ses autres compagnons réussissent à s’échapper. On signale à nouveau De Bar à Scrignac. En mars 1804, il propose sa soumission au sous-préfet de Napoléonville (Pontivy), mais ses conditions ne sont pas acceptées. Il réussit alors, difficilement, à se réfugier à nouveau en Angleterre en septembre 1805 ; en octobre 1806 il s’établit à Guernesey et parfois à Jersey. Des notes de police signalent sa venue périodiquement en Bretagne entre 1806 et 1809, mais cela reste incertain. En 1810-1811 il est à Londres où il vit dans la misère et en 1812 à nouveau à Guernesey, continuant à tenter de fomenter des actions contre l'”usurpateur” et suggérant des actions aux anglais contre Napoléon Ier.

La mort du héros De Bar sur l’île d’Houat

Houat

Les circonstances de son décès, le 23 novembre 1812, sont connues par un acte du tribunal de Quimper destiné à le déclarer décédé afin de régler sa succession : « (…) le sieur Jean-François-Edme Dorcène Lepaige de Barre, émigré résidant en Angleterre, fut envoyé en mission en France par nos princes ; il débarqua à l’île d’Houat près Quiberon. On fut bientôt instruit de son débarquement et on dépêcha de Lorient le lougre l’Alerte, sous le commandement du sieur Allanioux, pour s’emparer de sa personne. Le sieur Le Paige refusa de se rendre, fit usage de ses armes et succomba percé de plusieurs balles. ».

 

Face à la crise du logement en Bretagne, le président de région Chesnais-Girard (PS) se félicite de l’arrivée massive de retraités et de migrants : le PNB réagit

[PNB] Sous la pression de l’opinion bretonne face la crise du logement générée par la spéculation immobilière, notamment sur le littoral, le socialiste français Loïg Chesnais-Girard, président fantoche du Conseil régional de Bretagne, s’est rabattu sur l’exercice habituel des démagogues à la solde du pouvoir colonial français lorsque le peuple gronde : la diversion médiatique pour ne rien faire.

Girard, mandaté par la bourgeoisie parisienne pour préserver le statu quo colonial en Bretagne, s’est donné en spectacle avec l’aide du journal d’état Le Télégramme à Saint-Malo, ville connue pour être une véritable résidence secondaire parisienne.

L’évincement des Bretons de leurs propres terres au profit de vieux possédants français, pour le logement individuel, ou d’allogènes importés d’Afrique et du Proche-Orient, pour le logement collectif public ? Une “une victoire magnifique” pour le peuple breton, d’après Chesnais-Girard qui promet que le torrent de la submersion démographique ne fait que commencer.

Non, la Bretagne “ne va pas bien”. Sa langue disparaît, son territoire est partitionné, elle connaît une émigration de sa jeunesse massive, tandis que le pouvoir français, avec l’aide de la caste politique coloniale représentée par Girard, la remplace par le tiers-monde et de vieux possédants venus de France. Ces étrangers surprotégés par l’état colonial chassent de leurs communes les jeunes Bretons qui luttent pour rester au pays.

Cette déclaration de Girard est un crachat à la face des jeunes Bretons pris à la gorge par un système politique, économique et social conçu pour les rabaisser et les faire disparaître.

Le comble du cynisme a été atteint lorsque le maire de Lannion Fanny Chappé, membre du Parti socialiste français, a repris l’imposture de Girard en écriture inclusive, supplément d’âme à peu de frais oblige, prétendant se soucier du sort des Bretons alors qu’il s’agit pour la gauche coloniale française d’aménager le diktat foncier imposé par les spéculateurs français.

Rappelons que Chappé se soucie tellement de l’accès au logement des Bretons qu’elle exige de repeupler le village de Callac avec la démographie afro-islamique.

Girard est un domestique de Paris, aussi verbeux que soumis. Il fait partie de cette nomenklatura fransquillonne qui évalue toute politique en termes de statistiques et de recettes fiscales, avec l’appui intéressé des spéculateurs et du gouvernement colonial français. S’il est d’une transparente viscosité, Girard s’estime suffisamment protégé par les intérêts français pour se livrer à un appel en règle à faire de la Bretagne une réserve résidentielle pour retraités français ainsi que le déversoir du trop plein démographique de l’Afrique. 

L’absence d’opposition nationale bretonne est sa seule force. Pris en lui-même, Girard, tout comme le socialisme français en Bretagne, n’est rien.

Le Parti National Breton le dit avec force : le peuple breton a des droits historiques et nationaux inaliénables sur sa terre et aucune clique aux ordres de Paris ne peut disposer de sa terre comme d’un promoteur immobilier. 

Les Bretons, s’ils veulent survivre au 21e siècle, ne peuvent continuer sur la voie de la soumission au cartel des partis français, courroie de transmission des intérêts de la bourgeoisie française en Bretagne.

Le Parti National Breton rappelle son programme révolutionnaire pour le logement fondé sur son principe guide : la Bretagne aux Bretons grâce à l’exclusivité bretonne pour le logement avec :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Ces mesures d’action immédiate préfigurent le programme d’état voulu par le Parti National Breton. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Breizh Atav !

Pour le Kuzul Meur du Parti National Breton

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