Renforcement de l’occupation de Brest par la marine française : le PNB exige l’arrêt du viol de la souveraineté bretonne par la France

Renforcement de l’occupation de Brest par la marine française : le PNB exige l’arrêt du viol de la souveraineté bretonne par la France

[PNB] Le Parti National Breton dénonce avec vigueur le déploiement illégal et illégitime par l’Etat français de trois navires de guerre supplémentaires à Brest, ainsi que celui de 600 de ses marins.

Ce déploiement unilatéral par l’état colonial, prévu pour 2026, expose davantage encore le peuple breton aux conséquences militaires de la politique belliciste poursuivie par l’impérialisme français.

Le Parti National Breton rappelle la position de droit de la nation bretonne. Conformément au droit international, la Bretagne demeure un état occupé illégalement par la France. La durée de l’occupation ne confère aucun droit à l’occupant et certainement pas celui de renforcer cette occupation. Aucun déploiement de troupes étrangères, dans le cas d’espèce, par la France, ne peut se faire sur le territoire national de la Bretagne sans l’accord de son gouvernement. 

Le Parti National Breton exige le respect de la souveraineté nationale de la Bretagne par la France, qu’elle cesse ses activités militaires illégales sur le territoire national breton et qu’elle mette un terme à l’occupation civile et militaire de la Bretagne. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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17 novembre 1793 : les troupes terroristes de la république française font massacrer les patients des hôpitaux de Fougères

17 novembre 1793 : les troupes terroristes de la république française font massacrer les patients des hôpitaux de Fougères

[DALC’HOMP SONJ] Le 17 novembre 1793, les hordes de soudards français aux ordres du gouvernement terroriste de Robespierre pénètrent à Fougères.

Commandées par le général Canuel, auteur du crime de masse de Savenay, en Bretagne, où il fait fusiller par centaines femmes et enfants, et par le général Amey, connu pour sa sauvagerie, ayant fait incinérer vivants femmes et enfants dans des fours en Vendée, les troupes républicaines déclenchent une vague de terreur. Les hôpitaux de la ville sont investis et leurs malades, accusés d’être des chouans, sont sauvagement égorgés par les terroristes. Les cimetières de la ville ne suffisent pas à enterrer les victimes.

Quelques jours plus tard, le 23 novembre, Fougères est libérée par les troupes vendéennes de la Rochejaquelein. Les bandes terroristes aux ordres de Paris doivent fuir en catastrophe. Repliés à Antrain, les égorgeurs français activent un tribunal politique chargé de mener les assassinats de masse pour le compte du régime républicain, mais la pression chouanne les force à se replier sur Rennes  où elles continuent leur effroyable carnage.

Breton, souviens-toi !

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Colonisation de remplacement : la critique de la dérive marxiste de l’indépendantisme corse de Nicolas Battini

Colonisation de remplacement : la critique de la dérive marxiste de l’indépendantisme corse de Nicolas Battini

Nicolas Battini, ancien dirigeant du pôle idées du parti “Femu a Corsica” au pouvoir sur l’île raconte son parcours de militant nationaliste. Engagé dès son adolescence avec la Ghjuventù indipendentista (Jeunesse indépendantiste), il participe à des actions clandestines qui l’amèneront à être condamné à 6 ans de prison après l’attaque de la préfecture de Corte.

Engagé aujourd’hui dans le milieu associatif il dénonce une ligne ambigüe de élus corse nationalistes. Après les propositions du président de la collectivité de Corse Gilles Simeoni d’accueillir l’Aquarius il y a quelques années puis l’Océan Viking ces derniers jours, l’exécutif qui revendique pourtant la reconnaissance du peuple et de la langue corse joue-t-il la respectabilité pour avancer sur le terrain de l’autonomie ?

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Maîtres ou victimes ? Réponse du PNB à ceux qui doutent de la victoire de la nation bretonne

Maîtres ou victimes ? Réponse du PNB à ceux qui doutent de la victoire de la nation bretonne

[PNB] Ceci est une réponse à un Breton sur la question de la responsabilité bretonne face à la dénationalisation des Bretons par l’Etat français. Elle permet d’éclairer l’approche morale de la question nationale bretonne par le Parti National Breton.

Premièrement, vous dites que “rien n’est à reprocher aux Français” et développez le point de vue selon lequel la force fait le droit. La force fait le fait, elle ne fait pas la justice. Si un cambrioleur pénètre dans votre domicile, vous frappe et vous entrave, puis, sous le chantage, vous convainc de lui donner les clefs de votre coffre avant de s’en aller avec votre argent, auriez-vous pour réflexe de dire qu’il est dans son droit car il sait bien voler et que tout est en ordre, ou que vous êtes la victime d’un brigand et que vous entendez obtenir justice ?

Ce qui vaut pour les personnes vaut pour les peuples. La situation des Bretons actuelle n’est pas un phénomène spontané, mais le résultat d’une politique hostile par un état criminel adepte de la rapine. Tel est le code génétique de l’état français. Culpabiliser le peuple breton d’avoir été annexé, pacifié sauvagement, exploité, mis en accusation pour ce qu’il est, c’est-à-dire un peuple celte, privé d’être ce qu’il est, reviendrait à citer à comparaître la victime d’un viol tout en exonérant le violeur. 

Lorsque vous dites qu’il ne faut pas se plaindre des agissements de l’ennemi, mais le combattre, nous vous répondons : pourquoi le qualifiez d’ennemi en premier lieu si ses agissements ne peuvent jamais être dénoncés par ses victimes ? Dénoncer l’injustice subie est le préalable à toute résistance. Contrairement à ce que vous affirmez, c’est parce que les Bretons consentent à souffrir en silence devant le fait accompli, prêtant au plus fort de l’heure le droit à l’injustice, qu’ils ne se défendent pas. En d’autres termes, les Bretons appliquent avec beaucoup trop d’application ce que vous suggérez.

Une fois que vous posez ce cadre biaisé comme préalable à la réflexion sur la situation du peuple breton, les erreurs d’analyse ne peuvent que se succéder. Vous dites ainsi que la faute “n’est jamais le fait de l’extérieur”, mais “toujours de faiblesse interne”, c’est-à-dire que les Bretons seraient les seuls responsables de leur situation présente. Ce postulat est erroné, mais comme vous portez le blâme aux pieds des Bretons, cette conclusion incorrecte est inévitable. Le peuple breton n’évolue pas dans un univers d’abstractions théoriques mais dans un espace concret où il affronte un état, avec ses contraintes géographiques, économiques, subissant les dynamiques inter étatiques, puisque lui-même dépourvu d’état, influencé par les grands mouvements idéologiques et sociaux qui façonnent les peuples et les sociétés. La combattivité du peuple breton n’est pas en cause, après un millénaire de lutte incessante contre la France d’état à état du 5ème au 16ème siècle, puis de résistance parlementaire jusqu’en 1789 et armée jusqu’en 1815. Une résistance héroïque seulement comparable à la résistance germanique à la France sur la même durée, mais à un contre dix le dos à la mer ! En vérité, peu de peuples ont tenu tête avec autant de détermination dans des condition si défavorables.

Il suffit de citer les cas de peuples qui, face au même état, n’ont pas mieux réussi que les Bretons à monter une organisation durable. Ainsi, les Alsaciens, part du peuple allemand qu’on ne peut décemment pas réduire à une masse sans volonté, ont été brutalement pacifiés, colonisés et soumis par l’empire français, avec une violence et une radicalité plus exacerbées encore que celles subies par les Bretons. En dépit d’une communauté germanique forte de 100 millions d’hommes, la rive gauche du Rhin demeure fermement entre les mains de Paris et la langue germanique alsacienne s’y éteint rapidement. Les Catalans, au sud des Pyrénées, sont à quelques années de l’indépendance nationale. Au nord, sous domination française, ils n’ont aucune vie politique organisée. Il en va de même des Basques. La Savoie, annexée au 19e siècle, en dépit d’une longue histoire étatique et d’une Suisse proche particulièrement dynamique, reste une dépendance française docile. Les Flamands, malgré la vigoureuse résistance de leurs compatriotes en Belgique, ne montent aucune opposition. Ce n’est pas dans les peuples asservis qu’il faut chercher la cause de leurs malheurs, mais dans les conditions extraordinairement défavorables dans lesquelles ils évoluent et à la nature de l’ennemi qu’ils affrontent.

Vous évoquez la “bêtise bretonne bien connue”. Les Bretons peuvent commettre des erreurs, certains d’entre eux peuvent être bêtes, plus souvent naïfs, car fondamentalement bons, généreux et bien disposés à l’égard des autres. Se plaindre que les Bretons n’aient pas le vice cynique des Latins truqueurs et calculateurs ne nous semble pas être de nature à changer quoi que soit, car demain les Bretons ne seront pas plus portés à mimer les Français qu’aujourd’hui dans ce registre. En outre, cette “bêtise” ne tient pas davantage : les Bretons du Pays de Galles sont organisés en corps de nation, bénéficient désormais d’une large autonomie intérieure, ont réussi à sauver leur langue. Ces trois millions de Gallois ont démontré ce que valent les Bretons, mais aussi ce que vaut l’état français, indirectement. Nous voyons, avec l’exemple des Bretons gallois, que c’est bien la nature de l’état ennemi qui est le facteur décisif et non pas les faiblesses ou manquements des Bretons qui, pris en eux-mêmes, n’expliquent rien.

Quelle est la nature de cet état ? Cet état reprend le contrat social de l’état romain qui articule assimilation linguistique et sociale et subordination politique. L’empire ne vient pas les mains vides. Au bâton culturel s’ajoute la carotte de l’ascension sociale offerte par l’empire aux sujets conquis.  En 1789, les révolutionnaires français ont consciemment voulu recréer l’empire romain sur les ruines de l’état monarchique français. Les penseurs de la révolution française n’en ont jamais fait mystère. Avant 1789, les Bretons, certes conquis, étaient encore reconnus comme peuple par la couronne française qui se limitait à l’antique subordination féodale des représentants du peuple breton à la personne du roi de France. Peu importe, pour le roi de France, la langue ou la nationalité de ses sujets tant que ces sujets étaient subordonnés politiquement. En abattant le lien personnel comme base de sa légitimité politique, l’état français révolutionnaire fait face à un défaut permanent de légitimité. Ce n’est plus à un monarque que va la loyauté, mais à l’état qui se veut le porteur d’un millénarisme idéologique codifié par la déclaration des droits de l’homme, véritable religion qui ne tolère aucune divergence. Toute divergence idéologique avec les proclamations de 1789 ne peut aboutir, à terme, qu’à une rupture politique, donc au sécessionnisme. Pour s’assurer qu’aucune sécession n’advienne, l’état révolutionnaire sort de l’espace politique traditionnel pour déborder dans l’espace social et culturel afin de procéder à une révolution culturelle articulant politique, idéologie et culture. Dans ce domaine, la France révolutionnaire a préfiguré toutes les expérimentations ultérieures du communisme, de l’URSS à la Chine maoïste en passant par le Cambodge des Khmers Rouges. Pour être politiquement intégré, le sujet colonisé doit devenir une simple copie normée par la périphérie culturelle du centre impérial. Il faut souligner à quel point cette massification recherchée par le système jacobin français est barbare et primitive, reposant sur un principe fondamentalement dénué d’élévation morale, réduisant l’homme à sa dimension matérielle et biologique la plus élémentaire, celui de la masse qui attire la masse, détruisant les libertés et caractères des peuples pour assouvir un délire de puissance névrotique que rien n’étanche et qu’on ne peut comparer qu’à un de ces trous noirs du vide spatial. 

Cette obligation au mimétisme par un lavage de cerveau collectif contre les groupes ethniques ciblés n’est pas négociable pour l’impérialisme français issu du millénarisme de 1789. Sinon, la fragmentation de sa superstructure idéologique et culturelle précipite celle de son état. 

Vous évoquez, dans la société bretonne sous influence française, le fait que rien, fondamentalement, ne distingue dans leurs valeurs les initiatives “bretonnes” (Diwan, etc.) des valeurs portées par la bourgeoisie française. Comment pourrait-il en être autrement quand le média (la langue) est perçue par les éléments bretons assimilés à la bourgeoisie française comme une fin en soi parfaitement dissociable de l’état de sujétion coloniale du peuple breton ? Le tropisme linguistique constitue depuis longtemps, pour les Bretons qui refusent de poser la question nationale, tant une échappatoire qu’une impasse. Pourquoi, parce qu’étant pleinement intégrés dans le giron de la bourgeoisie française, la rupture sociale est redoutée par eux comme un facteur de déclassement, ce qui nous rappelle que la francisation a été consentie par la bourgeoisie bretonne car elle présupposait l’accès à la société impériale française qui, au 18ème et surtout au 19ème et au 20ème siècle, est celle de la deuxième puissance de la planète (jusqu’en 1940). “Revenir” à Breizh, pensent-ils, c’est régresser socialement et économiquement, c’est perdre des débouchés individuels. Ces bourgeois bretons acceptent de troquer les droits collectifs, c’est-à-dire nationaux du peuple breton, pour assurer leurs privilèges individuels dans le cadre français. Ainsi donc, l’idéologie eschatologique du progrès portée par le centre révolutionnaire parisien n’est pas seulement théorique en Bretagne, elle est aussi, en pratique, une pratique sociale qui se traduit, pour les masses bretonnes dirigées par la bourgeoisie, comme la certitude que la frontière française est une source de prospérité économique individuelle. C’est ce complexe d’infériorité sociale acquis et la perception de la frontière continentale orientale comme seul horizon pour des masses paysannes et sa bourgeoisie enclavées qui structure les représentations mentales collectives en Bretagne. C’est cette colonisation géographique mentale avec laquelle il faut en finir, ce qui suppose, évidemment, de poser la question bretonne dans son cadre national et de présenter la faillite de l’état révolutionnaire français comme le nouveau vecteur de la régression sociale en Bretagne.

Il faut certes pratiquer l’autocritique, évaluer les erreurs commises et les corriger. Il ne faut pas faire preuve de complaisance à l’égard de la bourgeoisie bretonne francophile qui est le relais principal de la colonisation française et qui doit, à ce titre, être prioritairement combattue, avant même l’état français qui, sans elle, ne pourrait rien en Bretagne. Mais l’autocritique ne doit pas devenir une auto condamnation de principe. Plus important encore, la désignation de l’ennemi ne peut, à aucun moment, viser les Bretons en lieu et place de l’état français. Imagine-t-on un instant, en dépit des faiblesses ou des trahisons, les nationalistes irlandais ou vietnamiens faire de leur peuple l’ennemi principal plutôt que les empires britannique ou français ? Non, bien sûr.

Pour conclure, à propos du “victimisme” évoqué, il y a une différence fondamentale entre se complaire dans une attitude passive face à une injustice dont on est victime, à geindre d’impuissance donc, ou à justifier de ses échecs présents par un préjudice subi dans le passé, et dénoncer et combattre une injustice qui est une réalité quotidienne pour la dépasser. Un esclave haïtien avait-il tort de dénoncer son statut d’esclave avant de se révolter victorieusement contre les Français ? Non, encore une fois. En revanche, le nationalisme breton, pour réveiller dans l’homme breton sa nature de seigneur et maître de sa terre ancestrale et de son futur, doit résolument combattre les éléments faibles et ethno-psychologiquement désarticulés du peuple breton qui, accoutumés à l’état de sujétion coloniale, en viennent à s’identifier à tous les vaincus et ratés passant à portée de main. Ces éléments aliénés devenus addicts à l’irresponsabilité ne cherchent pas à se libérer, mais à proroger l’aliénation en la rendant moralement et psychologiquement confortable. Cela, en effet, doit être rejeté et ardemment pourfendu en Bretagne par les nationalistes. La dignité bretonne commande de récuser toute identification à une culture de l’échec systématique et d’opposer une fin de non-recevoir à toute sommation de fondre la nation bretonne dans un fourretout syndical de tout ce qui peut échouer et pleurer. Cette spécialité revient d’ailleurs à l’arrière-ban des ploucs du marxisme en Bretagne, généralement drogués et alcooliques eux-mêmes en plus d’être fonctionnarisés par le guichet colonial français, c’est-à-dire de vivre dans la contradiction permanente d’esclave-protestataire consentant. 

Les Bretons doivent acquérir une conscience nationale, ce qui suppose de rompre socialement, économiquement, politiquement avec l’état français et conquérir de cette façon l’espace intérieur nécessaire à la renaissance de l’être historique brittonique. Ils doivent vouloir redevenir les maîtres de leur terre. Le parti français, incarné par la bourgeoisie bretonne francophile et francisée, est le parti à combattre pour y parvenir et ce combat doit être présenté en termes de nation contre nation aux Bretons, afin qu’ils choisissent leur camp, les circonstances objectives, la faillite de l’état révolutionnaire, les contraignant à sortir de l’attentisme de confort ou de la collaboration antinationale.

Ajoutons enfin que l’état révolutionnaire français a déjà perdu cette guerre de libération, car en organisant l’immigration de masse depuis ses anciennes colonies et en échouant à assimiler ces masses, il a dû renoncer à l’articulation assimilation-soumission qui fondait la théorie et la pratique de l’impérialisme français. Le bouleversement démographique fait le reste. Le démantèlement de l’empire français a connu plusieurs dates fatidiques : l’arrêt de son expansion en Europe en 1815 malgré les tentatives de 1870 et 1914 d’inverser cette tendance, la destruction de son empire colonial à partir de 1940 et le début du reflux avec la chute de Dien Bien Phu en 1954. En moins de 60 ans, les impérialistes français sont passés des tranchées des cuvettes du Nord-Vietnam à la débandade dans la périphérie parisienne face à ses anciens sujets coloniaux d’Afrique. Premiers conquis avec les Bourguignons, car à l’extrême proximité du centre impérial, les Bretons seront également les derniers libérés, mais libres ils seront. Les Français auront attiré sur eux, par leurs choix historiques, un impitoyable et inéluctable châtiment. Les nationalistes bretons se contentent, patriotiquement, de s’adapter à la nouvelle constellation politique. Le rôle du PNB est d’organiser cette offensive finale de la nation bretonne contre le centre impérialiste et de précipiter par leur action la destruction de l’état français, cette erreur géopolitique qui, depuis le traité de Verdun, pèse comme une malédiction sur l’Europe. Quand le dénouement sera enfin visible pour tous, Paris regrettera longtemps d’avoir jamais annexé la Bretagne.

Confiance et détermination, les nationalistes bretons doivent avancer avec le calme de ceux qui marchent vers la victoire, sans regard pour les difficultés, avec une conception claire de leur action historique. 

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JO 2024 : avec son bonnet phrygien pour symbole, Paris prend en otage les Jeux Olympiques pour sa propagande jacobine

JO 2024 : avec son bonnet phrygien pour symbole, Paris prend en otage les Jeux Olympiques pour sa propagande jacobine

[PNB] Paris veut faire des Jeux Olympiques de 2024 une tribune politique à la gloire du régime républicain et de l’idéologie terroriste sur laquelle la république française est fondée en 1793. C’est ce que reflète le choix d’un “bonnet phrygien” comme mascotte de ces jeux.

Ce choix politique constitue une provocation pour le peuple breton, martyr des crimes de masse commis par le système révolutionnaire français. Du démantèlement du parlement de la nation bretonne en 1789 aux noyades de Nantes en passant par la sauvage campagne de pacification de la Bretagne jusqu’en 1815, le bonnet phrygien incarne pour les Bretons, et pour l’Europe entière, le proto-totalitarisme que fut le jacobinisme français, juché sur sa guillotine et ses colonnes infernales. 

A cette provocation s’ajoute l’intention par Paris de supprimer tous les festivals de Bretagne, en 2024, pour ne pas faire nombre à la mise-en-scène du régime.

La prise en otage politique des Jeux Olympiques par le régime de Paris pour les besoins de son simulacre impérial démontre, s’il en était besoin, que ce système repose sur le fanatisme idéologique et le narcissisme d’une bourgeoisie parisienne qui croit encore être le centre du monde. Pour le peuple breton, il est urgent de rompre avec cet état qui sombre chaque jour un peu plus dans sa propre caricature.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Lecture nationaliste du PNB : 14-18, la destruction des Bretons par l’impérialisme français

Lecture nationaliste du PNB : 14-18, la destruction des Bretons par l’impérialisme français

[PNB] Lecture nationaliste du Parti National Breton : 14-18, la destruction des Bretons par l’impérialisme français

Les mensonges de la propagande de guerre française encore répandus aujourd’hui en Bretagne par le pouvoir colonial et ses médias doivent être méthodiquement démontés avant de rétablir la vérité sur l’effroyable massacre des 200,000 Bretons par l’état impérialiste français durant le premier conflit mondial. Pas de libération nationale, sans vérité nationale !

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Breton, n’oublie pas les 200,000 Bretons sacrifiés par l’impérialisme français !

Breton, n’oublie pas les 200,000 Bretons sacrifiés par l’impérialisme français !

[PNB] En ce 11 novembre 2022, la nation bretonne commémore la mémoire des 200,000 Bretons tués par la France impérialiste lors de la guerre criminelle de 1914-1918.

Les Bretons, chair à canon

Face au révisionnisme d’état français, les chiffres dont les Bretons doivent avoir connaissance. L’Etat français mobilise lors de cette guerre 8,4 millions de soldats dont 583,000 sujets coloniaux extra-européens (environ 7%). Sur les 7,8 millions de soldats métropolitains mobilisés,  592 916 sont bretons (soit 7,38 % du total), c’est-à-dire autant que les sujets des colonies extra-européennes. Les Bretons de 18 à 48 ans sont mobilisés à hauteur de 65%, contre 56% pour les Français.

Sur cette durée, les 7,2 millions de soldats français mobilisés perdent 1,3 million d’hommes au front entre 1914 et 1918, soit 17% du total. D’après les autorités françaises, les 592,000 soldats bretons perdent 135,000 hommes dans les combats, soit près de 23% des effectifs totaux. Sur la base de ces seuls chiffres avancés par le régime colonial, les Bretons ont subi 27% de pertes de plus que les Français.

200,000 Bretons tués 

Le nombre total de Bretons tués doit toutefois être révisé. Une forte émigration bretonne est solidement établie en Normandie et en région parisienne avant le conflit. On compte 110,000 Bretons à Paris en 1911 et 54,000 Bretons dans l’ouest français en 1891 (source). Avant le déclenchement de la guerre, une part non-négligeable des quelques 200,000 Bretons établis en France est née hors de Bretagne et n’est pas comptabilisée de ce fait dans les pertes bretonnes, mais, comble du cynisme macabre, sont versées dans les pertes françaises. Sur ces 200,000 Bretons envoyés au carnage par l’impérialisme français, on peut estimer que 40,000 hommes ont été mobilisés et 10 à 15,000 tués durant la guerre, portant à 150,000 le nombre de Bretons tués entre 1914 et 1918.

L’étude des recensements de 1911 et de 1921 permet d’observer une chute démographique de 196,000 habitants en Bretagne sur la période. Les quelques 15,000 morts de l’épidémie de grippe espagnole recensés en Bretagne entre 1918 et 1921, maladie qui touche principalement les jeunes hommes, n’explique pas à elle seule cette chute. L’épidémie n’épargne d’ailleurs pas les démobilisés revenus du front et restés diminués par les blessures (balles, arme blanche, obus, gaz), la malnutrition, les maladies. Plus de 300,000 Bretons, sur les 592,000 mobilisés, ont été blessés à divers degrés durant les quatre années de guerre. Les gazés, en particulier, succombent après l’armistice aux maladies affectant le système respiratoire.  L’historien Antoine Prost évalue à 1 million le nombre de soldats morts après l’armistice, soit 10% de morts non-comptabilisés. 

Au total, ce sont 200,000 jeunes Bretons qui ont été broyés dans la guerre criminelle menée par la France impérialiste à partir de 1914.

La Bretagne, saccagée par l’impérialisme français

Les centaines de milliers de rescapés, blessés et traumatisés, seront remerciés par l’intensification de la destruction de leur culture et de leur langue par la puissance coloniale française. Faute d’une nation bretonne organisée, capable de défendre sa neutralité face à l’occupant français, les Bretons ont été menés au charnier par centaines de milliers dans une guerre qui ne les concernait pas, leur pays durablement saccagé par les menées du régime de Paris.

La leçon est décisive pour les Bretons. Tolérer la sujétion coloniale est fatale pour les Bretons, invariablement sacrifiés par l’impérialisme français sur l’autel des intérêts de son infâme bourgeoisie. L’Etat français, c’est la barbarie criminelle. Aujourd’hui, cette politique génocidaire se poursuit, plus radicale encore. Les descendants des soldats bretons, toujours privés de leurs droits nationaux, sont remplacés par les masses du tiers-monde dont se sert la bourgeoisie hexagonale contre le peuple breton. Même politique cannibale de pillage et de saccage. Plus jamais les Bretons ne doivent être utilisés par l’Etat français et ses guerres de rapine. 

Le réveil national ou la mort

Avec la création de Breiz Atao en 1919 et le réveil du nationalisme breton, c’est la lutte d’une nation martyrisée par la machine à détruire les peuples qu’est l’Etat français qui a été lancée face à l’histoire.

Les Bretons doivent se rappeler, à chaque fois qu’ils passent devant le monument aux morts de leur village, les noms de nos jeunes frères de race celtes qui ont vu le même clocher une dernière fois avant de partir mourir sur une terre qui n’était pas la leur, pour un état colonial criminel qui n’a jamais eu qu’un projet pour notre peuple : son exploitation féroce.

En 2022, le Parti National Breton poursuit le combat pour que le 21ème siècle soit le siècle de la victoire finale de la race bretonne sur son ennemi mortel : l’Etat français et sa tête, Paris.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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[30] Chiffres cités in GUYVARC’H, Didier, « La mémoire bretonne de 1914-1918 », art. cit., p. 220.

Le PNB apporte son soutien au projet du groupe Le Duff à Liffré, ciblé par des saboteurs de l’extrême-gauche française et la bureaucratie de l’Etat français

Le PNB apporte son soutien au projet du groupe Le Duff à Liffré, ciblé par des saboteurs de l’extrême-gauche française et la bureaucratie de l’Etat français

[PNB] Le Parti National Breton dénonce la campagne de harcèlement menée par l’extrême-gauche française contre le groupe breton Le Duff et son projet de  site de production à Liffré.

Ce projet, susceptible de créer 500 emplois, marque la fidélité du groupe Le Duff à la Bretagne, mais les virulentes attaques fomentées par des bandes d’asociaux issus de l’extrême-gauche entravent sa mise en oeuvre. Lancé en 2017, le projet demeure en 2022 paralysé par les tribunaux du régime français dont se servent les agitateurs rouges-verts. Le groupe Le Duff a récemment fait savoir qu’il abandonnerait le projet au profit d’alternatives en Amérique et ailleurs, faute d’une résolution rapide.

L’économie bretonne, déjà gravement mise en danger par l’incurie fiscale et la gabegie d’un état français surendetté, est menacée par les attaques convergentes d’éléments nihilistes issus de la gauche régressive hexagonale et d’une bureaucratie française hors de contrôle. 

Le Parti National Breton apporte son soutien au groupe Le Duff. Il exprime sa ferme intention, grâce à son projet d’émancipation nationale, de mettre un terme à l’agitation anarcho-communiste hexagonale en Bretagne. Il exprime également son intention de libérer les entrepreneurs et travailleurs bretons des menées illégitimes d’une bureaucratie coloniale française impotente et notoirement corrompue.

L’indépendance de la Bretagne est la seule alternative au naufrage industriel et économique français. Le Parti National Breton continuera de marteler cette évidence.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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