Lorient : le Parti National Breton dans les rues pour le Festival Interceltique

Lorient : le Parti National Breton dans les rues pour le Festival Interceltique

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une opération d’affirmation nationale à Lorient pour la parade des nations celtes, dimanche.

Largement réduit à l’état d’évènement folklorique, les Emsaverien entendent replacer le Festival Interceltique dans la lutte plus large pour l’indépendance de la nation bretonne et son redressement ethno-nationaliste.

Breizh Atav !

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Destruction du monument de la honte à Rennes : le torchon colonial “Le Télégramme” glorifie l’annexion sanglante de la Bretagne par la France et attaque la résistance nationale bretonne

Destruction du monument de la honte à Rennes : le torchon colonial “Le Télégramme” glorifie l’annexion sanglante de la Bretagne par la France et attaque la résistance nationale bretonne

[PNB] Dans un article inqualifiable publié le 7 août 2022, le torchon colonial “Le Télégramme” se livre à une ignoble apologie de l’annexion et de l’occupation de la Bretagne par le régime français en condamnant, à 90 ans de distance, l’héroïque destruction par les patriotes bretons de la statue glorifiant la sujétion de la nation bretonne à la France.

Utilisant les pires accents de l’exaltation nationaliste française, la feuille de chou de Coudurier ose :

La frange nationaliste qui magnifiait les héros de l’histoire de la Bretagne ne supportait pas cette prétendue offense au particularisme régional (sic) […] La capitale Bretonne conservera longtemps dans son histoire les stigmates de cet acte brutal. Ce creux devant lequel défilent tous les jours les Rennais porte en lui l’absence d’un monument prônant la réconciliation et la vacuité d’un acte qui n’avait pas lieu de se produire.

Dans l’enceinte du parlement national breton, une statue mettant en scène l’annexion sanglante de la Bretagne par l’Etat français, annexion qui sera suivie – jusqu’à nos jours – d’une campagne ethnocidaire de destruction de la langue et de la culture bretonnes par cet état étranger, est qualifiée de monument de la “réconciliation” par ce torchon colonial français. Tel est l’état de la virulente propagande révisionniste française en Bretagne, en 2022. 

Sur ce sujet, le Parti National Breton rappelle la nécessité pour chaque Breton de lire le Petit Livre Bleu de la Bretagne du Professeur Melennec sur l’annexion armée de la Bretagne par la France et l’état d’occupation de notre patrie par la puissance étrangère française. Aujourd’hui, la Bretagne demeure une nation occupée par la France en violation du droit international.

Cet article ne surgit pas par hasard. Les intérêts coloniaux français savent que le temps de la République française est compté et que la Cinquième république n’en a plus que pour quelques années. Ils savent également que le réveil de la nationalité bretonne sera parallèle à cet effondrement, comme celui d’autres nationalités, d’où les attaques contre la nation bretonne par la clique Coudurier, infâme laquais de Paris en Bretagne. 

Le Parti National Breton avertit le valet Coudurier : à jouer avec le feu, on finit par se brûler. La subordination à l’impérialisme français ne permet pas tout, surtout pas face à des patriotes bretons en ordre de marche pour libérer leur pays. Dans la Bretagne nouvelle qui approche, il n’y aura plus de place pour la propagande française et ses relais : ces gens peuvent d’ores et déjà le tenir pour acquis.

Après 1532 vient 2032. Pour le Parti National Breton, cette année sera une année placée sous le signe de bouleversements révolutionnaires pour la nation bretonne. La décennie qui nous en sépare sera marquée par la débâcle finale de la France, ruinée et submergée par la démographie afro-islamique, la fin de l’humiliation du Peuple Breton et la libération de Breizh. Ceux qui auront osé insulter la nation bretonne du temps de son asservissement répondront alors politiquement de leurs actes face à l’Etat breton.

Breizh Atav !

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Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

[PNB] La capitale bretonne a une nouvelle fois été le théâtre de l’ultra-violence des gangs ethniques implantés par l’Etat français dans la ville avec l’appui de la gauche coloniale hexagonale, représentée sur place par Johanna Rolland.

Cette violence, outre l’immigration extra-européenne, a pour racine le trafic de drogue.

Le Parti National Breton a une ligne programmatique claire pour la Bretagne nationalement redressée. Sous sa direction, l’Etat breton procèdera automatiquement à la condamnation à mort de tout individu arrêté en possession de drogue, à raison de 500 grammes pour le cannabis, et 15 grammes pour l’héroïne.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

[PNB] Le Parti National Breton relève avec satisfaction que la diplomatie chinoise a correctement relevé l’hypocrisie insolente de la France sur la scène internationale.

Critiquée par la chaîne BFMTV pour la politique de “rééducation” que la Chine mènerait dans le futur à Taïwan, l’ambassadeur de Chine en France, Lu Shaye, a rejeté la duplicité française et souligné que le régime républicain français rééduquait lui-même la population hexagonale grâce à son ministère de l’Education.

Les nations victimes de l’impérialisme français peuvent en témoigner. Il y a encore 60 ans, la France prétendait que les ancêtres des Africains ou Asiatiques sous sa botte avaient pour ancêtres les Gaulois. Cette funeste rééducation visait à se servir de ces peuples dans les guerres impérialistes de la république française en Europe.

La Bretagne, occupée illégalement et illégitimement par la France, est une colonie. Encore aujourd’hui, le gouvernement français procède à une rééducation radicale du Peuple Breton dès le plus jeune âge. L’enseignement de l’histoire de Bretagne est interdite dans les écoles bretonnes, tout comme l’enseignement de la langue bretonne qui, contrairement au français ou à l’anglais. L’identité nationale de la Bretagne est niée, tout comme celle d’un cinquième de son territoire, actuellement partitionné par la France. Ses droits politiques, comme nation occupée, sont niés. 

De par sa politique de neutralité pour la Bretagne, le Parti National Breton recherche une analyse objective et équilibrée des rapports internationaux. En cohérence avec sa condamnation de l’impérialisme français, il récuse les vociférations françaises à propos d’un continent, l’Asie, dans lequel la France n’est qu’un stigmate colonial. Il constate que la Chine offre un point de vue lucide sur la nature du régime français qui, derrière ses mensonges et son insolence, ne peut masquer ses rêves fantaisistes de restauration impérialiste.

La question qui intéresse les Bretons n’est pas le destin de la province de Taïwan, mais celui de leur patrie dont ils veulent la libération de l’occupant français, le seul occupant qu’ils connaissent.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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3 août 1379 : le Duc Jean IV prend la tête de la révolution nationale bretonne contre l’occupation française

3 août 1379 : le Duc Jean IV prend la tête de la révolution nationale bretonne contre l’occupation française

[PNB] Le 3 août est un jour de gloire pour la nation bretonne. C’est en effet le 3 août 1379 que le Duc Jean IV débarque à Dinan pour prendre la tête d’une révolution populaire antifrançaise consécutive à l’occupation et l’annexion de la Bretagne par les Français.

Bas-relief en Bronze sur le débarquement de Jean IV de Bretagne à Dinard – Promenade du Clair de Lune (Sculpteur : Armel-Beaufils)

Coalisant l’ensemble de la nation bretonne, Jean IV brise les Français qui doivent fuir. Breizh est à nouveau libre.

Ce que les Bretons ont su faire en s’unissant au 14e siècle, ils pourront le refaire au 21e siècle sous la direction du parti de la patrie: le Parti National Breton.

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Paul Molac et l’impasse du régionalisme français : ethno-nationalisme breton contre socialisme régional

Paul Molac et l’impasse du régionalisme français : ethno-nationalisme breton contre socialisme régional

[PNB] Un entretien récent accordé par le député régionaliste breton Paul Molac au journal d’état français “Ouest-France” (Ouest-Eclair) a suscité l’intérêt des uns et des autres, et surtout entraîné la satisfaction du mouvement régionaliste breton. La cause de cet intérêt et de cette satisfaction est la déclaration de Paul Molac à propos de sa “nationalité bretonne”.

Face aux nations écossaise, catalane ou flamande, les Bretons font pâle figure tant, encore aujourd’hui, ils se comportent en peuple colonisé, obséquieux devant la puissance française occupante. Dans un tel contexte, on se satisferait de peu et une déclaration, en apparence audacieuse, pourrait rassembler à un rayon de soleil. Pourtant, contrairement au mouvement régionaliste breton, contradiction interne du système français, l’Emsav doit analyser avec rigueur les propos tenus par Paul Molac et en tirer les conséquences politiques.

Que dit Paul Molac, député de la nation française à l’Assemblée nationale française, dans cette interview ? Le champ lexical qu’il utilise est révélateur. Il parle de la Bretagne comme d’une “région” à plusieurs reprises et déclare même, un peu plus loin, “Nous, les Français”. Lorsqu’il développe ce point de vue, il oppose finalement “la France” aux “technocrates parisiens”, et non pas la nation bretonne à un état étranger qui l’occupe, l’Etat français. La question nationale bretonne n’existe pas en tant que telle dans la bouche de Paul Molac, la Bretagne demeure une “région” parmi d’autres qui souffrirait simplement d’une mauvaise organisation de la structure politique française.

Cette conception régionaliste est clairement affirmée ensuite :

Je suis citoyen français de nationalité bretonne. Il ne suffit pas de parler français pour devenir citoyen français. C’est plus complexe. Avoir une langue commune est un projet politique. Avoir une langue unique relève d’un projet nationaliste. Les gens qui forment une identité n’expriment pas nécessairement l’envie d’un État indépendant. Vivre son identité n’est pas un projet politique. Cette expression n’a d’ailleurs pas d’obédience politique.

Quelle est la portée historique d’une nationalité dépourvue de droits nationaux propres ? En pratique, aucune. Si les Irlandais avaient été guidés par des gens animés par de semblables conceptions, ils seraient restés des sujets britanniques au lieu de mener une révolution nationaliste. Une personne de “nationalité bretonne” réduite à l’état de citoyen français en Bretagne ne diffère en rien d’un citoyen français tout court, comme aujourd’hui c’est le cas pour les Bretons fondus de force dans un état étranger. En plus de n’avoir aucune conséquence pratique, la déclaration de Paul Molac contient en elle-même l’impasse que représente le régionalisme : maintenir la nation bretonne au sein d’une structure d’état hostile et fondamentalement impérialiste, au nom d’un “pragmatisme” qui se résume le plus clair du temps à de la pusillanimité.

Paul Molac, en cohérence avec ces déclarations, reproche à l’organisation régionaliste d’extrême-gauche UDB sa timide demande d’un permis de résidence d’une année, pourtant accessible à tous les Français et même aux autres étrangers.

J’ai un différend avec le parti sur sa proposition d’un statut de résident. Cette différence entre citoyens me gêne.

On le voit, Paul Molac considère que les Français doivent bénéficier des mêmes droits que les Bretons en Bretagne, ce qui, derrière l’imposture de l’égalité légale, masque l’inégalité fondamentale dont souffre le peuple breton qui n’est pas souverain sur sa terre et doit donc affronter 63 millions de Français selon les termes dictés par leur l’état qui les représente en Bretagne occupée. Lorsqu’il s’agit de choisir entre l’état colonial et ses sujets d’un côté et la nation bretonne de l’autre, Paul Molac opte résolument pour l’état colonial. Ainsi donc, les Bretons sont priés, au nom du dogme hypocrite de l’égalité issue de 1789, de se considérer comme aussi légitimes sur leur terre que le dernier bourgeois parisien venu s’y établir, ou que le dernier migrant d’Afrique importé par Paris, pour peu que l’Etat français en décide. Avec une telle subordination revendiquée, la “nationalité bretonne” de Paul Molac ne sera d’aucun secours face à la volonté d’hégémonie colonialiste et impérialiste de l’Etat français sur la Bretagne, et encore moins face à la colonisation de peuplement extra-européenne que supervise ce même état.

Cette conception sans-frontiériste, issu du contractualisme rousseauiste, n’est pas nouvelle chez Paul Molac, lui qui a virulemment promu l’implantation sauvage de migrants afro-musulmans dans les villages de Bretagne, y compris contre les nationalistes bretons. La “nationalité bretonne” de Paul Molac n’est qu’un décalque du nationalisme géographique français hérité de la Révolution française. C’est le fruit d’un individu acculturé dont l’inconscient est ethniquement breton, ce qui s’exprime par des propositions à caractère particulariste, mais dont le surmoi est intégralement français, issu de 1789. Depuis l’origine, la nationalité bretonne est une protestation de liberté ethnique contre le projet d’écrasement des peuples par l’étatisme impérialiste français qui fonde sa pseudo “nationalité” sur l’idéologie universaliste de 1789. La conception foncièrement française de la nationalité bretonne qu’exprime Paul Molac, comme ses implications politiques, est la négation même celle-ci. 

Réussir 1789 à l’échelle bretonne est certainement une idée fixe du régionalisme de gauche en Bretagne, mais cela n’a jamais été le combat de l’Emsav. L’Emsav est le projet de libération de la nation bretonne par la création d’un état ethno-national breton, Breizh. Les appels à réformer une France consubstantiellement impérialiste pour régler la question bretonne en semant la confusion entre nationalisme, régionalisme, autonomisme et fédéralisme ne sont ni nouveaux, ni utiles. Leur seule fonction est d’affaiblir le sentiment national breton en le maintenant dans le cadre français. L’Emsav assume la confrontation directe avec l’Etat français. Il veut briser les conceptions mortifères de impérialisme révolutionnaire français dans l’esprit des masses bretonnes grâce à la restauration de l’Etat ethnique breton.

Le Peuple Breton a assez perdu de temps avec les adeptes bretons de la quadrature du cercle français. Ces réactionnaires francisés empêchent la conscience ethno-nationale bretonne d’émerger en forçant les Bretons à se soumettre à un syncrétisme qui contraint la réalité ethnique bretonne à se soumettre à la religion égalitaire française. Au contraire, la tâche de l’Emsav est de pousser le peuple entier dans le séparatisme ethno-nationaliste. Alors que le régime français est à l’agonie, c’est ce qui doit animer chaque jour les patriotes bretons.

Breizh Atav !

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1er août : le Parti National Breton souhaite une heureuse fête nationale à la nation bretonne !

1er août : le Parti National Breton souhaite une heureuse fête nationale à la nation bretonne !

[PNB] Le Parti National Breton célèbre en ce 1er août 2022 la fête nationale bretonne, placée sous le signe de la souveraineté retrouvée de l’Etat Celtique de la Nation Bretonne, Breizh.

Avec la fondation du Parti National Breton cette année, la lutte pour la renaissance de la nation bretonne connaît un tournant. Cette lutte se poursuivra jusqu’à la victoire pleine et entière de la nation, c’est-à-dire jusqu’à la restauration de l’Etat breton et l’indépendance complète de notre patrie.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“Bretagne zone tendue” : un leurre qui détourne la nation bretonne de la lutte pour la fin de la colonisation de la Bretagne

“Bretagne zone tendue” : un leurre qui détourne la nation bretonne de la lutte pour la fin de la colonisation de la Bretagne

[PNB] Présentée comme une solution presque miracle par les régionalistes français en Bretagne, l’extension du dispositif dit de “Zone tendue” à l’ensemble du territoire breton ne résoudrait rien à la grave crise du logement que connaît la nation bretonne dont la terre est agressivement colonisée par la bourgeoisie française.

Le député régionaliste Paul Molac a évoqué cette demande à l’Assemblée nationale française cette semaine.

Sans surprise, cette demande, quoique dérisoire en elle-même, a été rejetée par le Parti colonial français.

Cette revendication de détail n’est au mieux qu’un aménagement de la colonisation de peuplement de la Bretagne organisée par l’Etat français. Rien, dans ce dispositif, ne permet de mettre un coup d’arrêt à cette colonisation, notamment parce qu’elle laisse le choix à la caste politique compradore qui contrôle la Bretagne pour le compte de la bourgeoisie parisienne d’utiliser ou non ces mesures de détail.  La corruption étant la norme de gouvernement en Bretagne occupée, les politiciens à la botte du régime colonial français n’agiront pas plus demain qu’aujourd’hui, “Zone tendue” déclarée ou non. Ceci d’autant que toutes les timides dispositions possibles sont sujettes à l’autorisation préalable du gouvernement français par le truchement des cinq préfets opérant en Bretagne. Cette revendication n’est rien d’autre qu’une demande obséquieuse adressée à l’occupant français de bien vouloir limiter à la marge son occupation.

Le Parti National Breton replace la lutte pour le logement en Bretagne dans son contexte colonial qui est celui qu’affronte le Peuple Breton. On ne peut pas régler cette crise sans comprendre qu’elle n’est que le résultat de la domination du Peuple Breton par l’Etat français et le traitement par cet état de la Bretagne en colonie de peuplement. Aucune solution ne sera trouvée sans que la nation bretonne ne devienne seule maîtresse de sa patrie, c’est-à-dire tant que l’Etat breton ne sera pas la seule et unique source du droit en Bretagne. Il ne s’agit donc pas d’opérer dans le cadre légal pensé par le régime colonial français pour la défense de la bourgeoisie française, mais de rompre avec ce cadre colonial pour le remplacer par un pouvoir national breton pleinement indépendant.

C’est dans cet esprit que le Parti National Breton récuse ces mesures dérisoires pour exiger l’autonomie nationale immédiate de la Bretagne et la constitution d’un gouvernement breton qui mettra fin à la colonisation française et décrètera la mise en place de l’exclusivité bretonne pour le logement. 

Par l’instauration de cette autonomie nationale immédiate sous la direction du gouvernement breton, le Parti National Breton veut :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Le Parti National Breton prévoit en plus un plan de logement national dans le cadre de l’Etat breton qui, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Breizh Atav !

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Résidences secondaires dans le Trégor : le Parti National Breton dit au colonisateur français de dégager !

Résidences secondaires dans le Trégor : le Parti National Breton dit au colonisateur français de dégager !

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une opération d’affirmation nationale bretonne dans le Trégor. Les nationalistes bretons continuent de mobiliser l’opinion bretonne contre la colonisation de peuplement française qui prive les Bretons de l’accès au logement sur la terre de leurs ancêtres.

Le Parti National Breton rappelle ses 4 exigences d’application immédiates sur le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Il rappelle en outre que son programme prévoit un plan de logement national dans le cadre de l’Etat breton qui, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

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