Gwitreg (Vitré) : le groupuscule adepte du patois français “gallo” détruit les panneaux en langue bretonne

Gwitreg (Vitré) : le groupuscule adepte du patois français “gallo” détruit les panneaux en langue bretonne

[PNB] A Gwitrez (Vitré), les panneaux en langue bretonne récemment installés par la municipalité ont été ciblés par la poignée d’adeptes du patois français dit “gallo”, aujourd’hui disparu mais utilisé pour justifier une campagne de vandalisme contre la langue bretonne en Bretagne.

Actu.fr :

Durant le week-end des 4 et 5 mars 2023, six panneaux d’entrée et de sortie de ville indiquant le nom de Vitré en breton (Gwitreg) ont été volés.

« Cela concerne trois panneaux d’entrée et trois panneaux de sortie de ville, route de Janzé, Balazé et Laval », précise la Ville.Un préjudice d’un montant supérieur à 1000 euros pour laquelle la Ville de Vitré a porté plainte. « Il s’agit d’un délit qui expose les auteurs à une amende voire à une peine d’emprisonnement », rappelle la maire, Isabelle Le Callennec.

Ces panneaux en breton avaient été installés en janvier dernier à cinq entrées de ville, dans un premier temps : route de Janzé, route de Laval, route d’Erbrée, route de Balazé et route d’Argentré.

L’agitation patoisante, limitée dans les faits à une poignée de marginaux, est le relais du latinisme franco-angevin, front ouvert sur les arrières bretons, dont la finalité est d’entraver le réveil de la conscience celtique de la Bretagne orientale pour l’encager dans le cadre de l’état hexagonal. Cet effort est répliqué ces dernières semaines dans le Pays Nantais contre le drapeau national breton.

Pour le Parti National Breton, cette agitation frontalement anti-bretonne est aussi logique que prévisible. Forme mal orthographiée de français rural jadis parlé dans l’ouest de la France, le patois gallo a été ces 20 dernières années promu par des niais issus de la gauche régionaliste, pétrie de relativisme et de misérabilisme culturel. Cette promotion a permis de mettre sur le même plan rhétorique et politique la langue brittonique et un parler français. Le rapport de force national créé par l’Emsav entre langue bretonne d’une part et langue française d’autre part est remis en cause grâce à la confusion engendrée. Embourbé dans un débat absurde entre la survie de la dernière langue celtique du continent et un patois de ferme disparu, le français d’état, dominant partout, ressort vainqueur, faute d’un opposant de sa stature politique et symbolique.

Enhardis par cette erreur politique grossière, les intérêts français hostiles à la langue bretonne entendent empêcher la diffusion et l’enseignement du breton dans la moitié de la Bretagne au profit du patois “gallo” qui, par ailleurs, ne rencontre aucune demande sociale. Aucun Breton ne veut en effet apprendre une forme de français rural fleurant bon le fumier quand le français unifié, langue de culture et d’état, est à sa disposition.

Rappelons les vérités d’évidence : le breton est partout chez lui en Bretagne. A l’argument fallacieux de la langue bretonne “jamais parlée dans l’est breton”, le Parti National Breton rappelle que le français ne l’a jamais été dans une grande part de la Bretagne et que le celtique breton est légitime dans tous les territoires où le celtique a été parlé historiquement en Bretagne. Le breton contemporain est une langue d’état, vecteur de la receltisation des masses bretonnes. Pas plus que l’anglais ou une autre langue, il ne s’interdit un territoire, surtout dans les frontières nationales de la Bretagne. Par définition, il n’existe pas de Bretagne où les Bretons ne pourraient pas parler leur langue : le breton.

Le Parti National Breton appelle les acteurs de la langue bretonne à cesser d’alimenter cette confusion funeste qui ne pourra avoir pour seul effet que de frapper la langue bretonne et elle seule, à refuser toute collusion avec la poignée de marginaux qui promeut pour le compte des intérêts franco-latins le patois gallo et à lutter pour une confrontation nationale entre la langue bretonne et la langue de l’Etat français.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Callac : l’Etat importe une dizaine de migrants musulmans du Soudan, incendie dans un bâtiment occupés par des migrants roumains !

Callac : l’Etat importe une dizaine de migrants musulmans du Soudan, incendie dans un bâtiment occupés par des migrants roumains !

[PNB] L’effondrement démographique de Callac se poursuit sous l’œil amusé de l’ahuri de service préposé au désastre, le vieil élément marxiste Jean-Yves Rolland. Rolland est désormais connu en Bretagne, mais également dans l’Hexagone, pour avoir voulu imposer, sans succès, des centaines de colons d’Afrique à sa commune de 2,000 habitants, en connivence avec les millionnaires parisiens Cohen.

Si l’infiltration afro-islamique ne peut pas atteindre le volume escompté, suite à l’abandon de ce projet délirant, le perfide Rolland s’assure qu’elle se poursuive à basse intensité. L’hebdomadaire d’extrême-gauche “Poher Hebdo”, virulemment engagé pour le repeuplement de la Bretagne par les masses du tiers-monde, s’en fait l’écho avec satisfaction dans ses colonnes. 

Le Poher :

Le conseil se termine (…) Et la question des réfugiés revient. Viltaïs vient d’installer une famille de Soudanais à Callac. Un conseiller remarque : « Ils sont arrivés à dix depuis 15 jours. Viltaïs est juste venu leur donner un peu d’argent pour acheter à manger. Les voisins les ont aidés. Ils n’ont pas de meubles ni de jouets pour les enfants. Ils ont juste des matelas pour dormir… » Choqué, Jean-Yves Rolland répond : « Viltaïs, c’est du ressort de l’État. C’est à eux de faire le suivi, mais on va voir ce qu’on peut faire. » L’un des conseillers ajoute « avec le Secours populaire, on va venir s’en occuper. » « On a l’impression que les réfugiés ne sont qu’un marché », se désole le maire. Il tient à préciser : « On parle de réfugiés. Ce sont des personnes qui ont un statut et des papiers. »

Le Soudan à Callac, ce n’est que le début.

On apprend, par la même occasion, que des Tziganes, là aussi hébergés aux frais des contribuables bretons, livrent aux flammes leur habitation gracieusement offerte par la clique marxiste de Callac. Qu’à cela ne tienne, Rolland est encore prêt à dépenser l’argent de ses administrés sans compter.

Le téléphone sonne. Ce sont les pompiers. Jean-Yves Rolland décroche, puis explique : « On a un incendie à la Villeneuve, dans la zone industrielle. Un bâtiment peut être sous-loué à une dizaine de Roumains. Il n’y a pas de blessés heureusement, mais il y a trois enfants. Comment on va les reloger ? » Les conseillers se concertent pour trouver une solution d’urgence. Il est 21 h 30. Les militants de Reconquête ! sont partis. Un adjoint me rattrape : « On a parlé des frelons asiatiques, ce sont les seuls migrants qui nous ennuient ! » Avant de se raviser : « Vous n’allez pas mettre ça dans le journal quand même ! » Puis, « Ah oui, j’oubliais, la presse est libre ! »

Le fanatisme rouge le dispute à la sénilité, le naufrage humain est complet.

Le vieillissement fulgurant du Centre-Bretagne ne peut plus être inversé, ni le dépeuplement radical qui l’accompagne par effet mécanique. Face à cela, tout ce qu’il reste de factieux socialo-marxistes dans la zone, vieillerie mijotant dans une geste antifa hallucinée, se coalise pour importer autant de sujets afro-musulmans de l’Etat français que possible, apparemment en signe de défi contre leurs propres petits-enfants qui devront apprendre à survivre comme d’autres doivent survivre en milieu ethniquement sinistré. 

Les mêmes causes biologiques produisant les mêmes effets culturels, les communes encore aux mains des bandes marxistes qui se livrent à ces expérimentations ethno-raciales connaîtront le sort de la Courneuve, d’Aubervilliers ou de Sarcelles.

Importez le tiers-monde, devenez le tiers-monde.

Pour des communes de mille ou deux milles habitants comme Callac, quelques dizaines d’allogènes auxquels le tapis rouge est déroulé en grande pompe par des traîtres pathologiques et à qui les idiots utiles de Paris font comprendre qu’ils sont en terrain conquis, auront tôt fait de présenter la longue liste de leurs exigences, griefs et imprécations, sur fond d’agressions, de trafic de dope et d’islamisation abrasive. 

Quand les derniers rouges auront débarrassé le plancher sous l’effet de l’état de leurs artères, l’ampleur du champ de ruines démographique les fera maudire par les nouvelles générations de Bretons qui leur auront survécu et qui se trouveront assiégés par les petits protégés exotiques de leurs aïeux.

Le fanatisme égalitaire hérité de 1789, ennemi fondamental de la nation bretonne, se sera définitivement condamné face aux Bretons.

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Irlande : l’influenceur Keith Woods placé sous surveillance par la police du régime pro-UE

Irlande : l’influenceur Keith Woods placé sous surveillance par la police du régime pro-UE

[EIRE – IRLANDE] La surveillance politique s’intensifie aussi en Irlande contre les opposants au système globaliste. L’influenceur identifaire Keith Woods a été placé sous surveillance par la police irlandaise pour avoir échangé avec un nationaliste américain, Nick Fuentes.

“Il n’est pas suggéré que j’ai violé la loi” a réagi Keith Woods sur son compte Telegram. “Ce n’est pas surprenant, puisque nous savons que l’appareil sécuritaire en Irlande collabore avec des extrémistes de gauche, avec le groupe antifa financé par l’Etat “Observatoire de l’extrême-droite” qui transmet des noms pour déclencher des enquêtes. Les médias, l’Etat et la gauche radicale travaillent main dans la main pour faire taire l’opposition” a ajouté Keith Woods.

L’immigration de remplacement mise en place par la caste politique irlandaise ces dernières a déclenché de nombreuses manifestations à travers le pays depuis quelques semaines. Le Parti National irlandais a défilé ce weekend à Cork contre la colonisation de peuplement. 

Procédant longtemps par le fait accompli, le gouvernement irlandais doit désormais assumer cette politique et faire face aux questions des opposants. Cette dérive du sys est identique à ce que l’on peut observer dantèmes l’Hexagone sous la pression du gouvernement central.

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Ephéméride national breton : 7 mars 851, mort du roi de Bretagne Nominoë, Tad ar Vro

[ISTOR BREIZH] Le 7 mars 851, Nominoë, roi de Bretagne, unificateur de la nation bretonne et vainqueur de l’envahisseur franc, meurt alors qu’il mène campagne contre l’ennemi dans la région de Vendôme.

Ses victoires décisives contre l’empereur franc Charles le Chauve permettent de sceller les frontières de la Bretagne dans ses limites actuelles.

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Mouezh ar Vroad n°5 : crise démographique et implosion du système des retraites

Mouezh ar Vroad n°5 : crise démographique et implosion du système des retraites

[MOUEZH AR VROAD] Dans ce nouvel épisode de Mouezh ar Vroad est abordée la question de la crise démographique sous-jacente à l’implosion du système de retraite hexagonal.

00:00 : Générique
00:35 : Introduction
02:19 : Actualité : Réforme des retraites
15:59 : Pause musicale : Soudard bubri
19:24 : Politique : Collectif et responsabilité
49:35 : Pause Musicale : Youenn Gwernig
55:07 : Histoire : Janed ar Flamm (Jeanne la flamme)
1:07:11 : Conclusion
1:09:02 : Générique 

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Le Parti National Breton souhaite une bonne nationale aux Bretons de Cornouailles !

Le Parti National Breton souhaite une bonne nationale aux Bretons de Cornouailles !

[PNB] En ce 5 mars 2023, le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh souhaite une bonne fête nationale à nos compatriotes bretons de Cornouailles.

A cette occasion, ses cadres et militants forment le vœu de l’union des neuf millions de Bretons de Grande et Petite-Bretagne en une seule fédération nationale.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Les Bretons ne mourront pas ni pour Paris ni pour Kiev !

[PNB] La propagande belliciste hexagonale ne cesse de s’intensifier. Cette intervention sur LCI d’un amiral français en faveur d’une escalade illimitée en Ukraine démontre que la France est incontestablement entrée en guerre contre la Russie. 

Le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh réaffirme que le Peuple Breton ne peut, ni ne doit être entraîné par l’impérialisme français dans une nouvelle guerre mondiale. La seule lutte que Bretagne doit mener est celle pour son indépendance.

L’indépendance, c’est la neutralité, la neutralité, c’est la paix !

Breizh Atav !

Le Secrétariat National du Parti National Breton

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Retraites : face à la crise sociale et démographique, le Parti National Breton propose le système communautaire breton (SCB)

Retraites : face à la crise sociale et démographique, le Parti National Breton propose le système communautaire breton (SCB)

[PNB] Face à l’implosion du système de retraite hexagonal, le Parti National Breton défend une révolution sociale et culturelle qui répond aux causes de son effondrement : le vieillissement, lui-même généré par l’individualisme issu des années 1960.

La cause structurelle : l’impératif consumériste et la dénatalité

La rétraction démographique que connaissent les sociétés occidentales résulte d’une reconfiguration féministe de l’ordre social avec le plein appui des hommes. Cette reconfiguration découle de la mobilisation progressive des femmes par la société capitaliste de consommation afin d’en faire à la fois des salariées et des consommatrices. Cette mobilisation intensive a détourné les femmes de la maternité et comprimé le taux de natalité occidental.  Le démantèlement du patriarcat légal a accompagné cette mobilisation des femmes par le capital et pas l’inverse comme le prétend la vulgate féministe. Grâce à ce démantèlement est survenue la démocratisation du divorce, de la contraception et de l’avortement qui ont subordonné la famille et sa finalité procréative à l’impératif hédoniste et consumériste du système économique capitaliste contemporain. En résumé, tout a été fait au plan légal, culturel, social et économique pour détourner les femmes et les hommes de la tâche première qui leur incombe : perpétuer la vie qu’ils ont reçu en faisant des enfants. Ce système touche à sa fin pour des raisons de limites biologiques. En 2030, il y aura plus d’un retraité pour moins d’un actif en situation d’emploi réel.

La nécessité d’une solidarité démographique entre générations, la natalité qu’elle implique et les conditions de cette natalité constitue le tabou idéologique central de la présente crise du système de retraite.

L’impasse libérale-marxiste

Aucune manœuvre dilatoire sur le taux de cotisation ou la durée de cotisation promue par le gouvernement hexagonal ne permettra à ce système par répartition de survivre car le cœur du problème n’est pas traité : le renouvèlement des générations sans lequel il ne peut y avoir de système de solidarité pérenne. Pire, avec un encouragement radical à la maximalisation des avortements (230,000 par an) au nom d’une fuite en avant individualiste, l’Etat français travaille au dépeuplement dont il prétend combattre les effets sur la désarticulation de son système social.

C’est pour cette raison que le capitalisme organisé et la bureaucratie étatique hexagonale, soutenus par leurs idiots utiles d’extrême-gauche, imposent la prothèse démographique de l’immigration extra-européenne comme solution miracle au refus de traiter la crise démographique dont découle la crise du système de retraite. Selon cette logique cosmopolite et utilitariste pro-immigration, ce n’est plus la structure sociale qui est au service du peuple, mais le peuple qui est au service de la structure.

Le seul effets tangible de ce recours massif à l’immigration extra-européenne est l’intensification de la désarticulation de l’ordre social : insécurité, crime, islamisme, colonisation de peuplement, etc..

La solution du PNB : le système communautaire breton (SCB)

Le Parti National Breton, conformément à son idée de solidarité nationale organique, veut repenser l’ordre social afin de recréer les liens détruits par l’individualisme bourgeois du 20e siècle et le collectivisme bureaucratique de l’étatisme hexagonal qui réduit chaque cotisant à un bénéficiaire anonyme pour qui la pérennité de l’ensemble est une chose lointaine, sinon indifférente.

C’est pourquoi le Parti National Breton propose une responsabilisation démographique du Peuple Breton au sein de chaque famille, entre générations, dans l’espace et le métier afin que la nation entière développe en conscience les outils de sa propre solidarité. Pour cela, le Parti National Breton veut un système de retraite qui soit financé à 50% par les enfants, puis partiellement par les petits-enfants des citoyens bretons, à 25% par les habitants de la commune de résidence, à 15% par l’Etat breton et enfin à 10% par l’entreprise.

Grâce à ce système révolutionnaire, les Bretons seraient puissamment mobilisés pour avoir des familles raisonnablement nombreuses et solides. Cette mobilisation se formerait non seulement au sein des familles bretonnes, mais également dans le milieu de vie, à l’échelle de la commune. La dimension qualitative de la natalité serait aussi importante que sa dimension quantitative, car les Bretons, ensemble, verraient l’importance à accorder au succès éducatif de leurs enfants comme de ceux de leurs voisins et collègues qui seraient ceux qui assureraient 35% de leurs revenus une fois en retraite.

L’Etat breton, par son intervention, donnerait sa dimension nationale au système communautaire breton en corrigeant les déséquilibres entre communes et entreprises.

Enfin, l’entreprise et ses salariés verraient dans leur effort économique conjoint la base de leur réussite personnelle et sociale collective, ainsi que celle de leurs enfants. 

Toutes les strates de la vie bretonne seraient ainsi unifiées et mobilisées pour une renaissance ethno-nationale et sociale, en opposition complète avec l’individualisme nihiliste et le collectivisme bureaucratique hexagonal actuels. 

Ce système communautaire breton serait étendu au système de santé.

S’il s’agit de trouver des solutions à la crise actuelle de la solidarité entre générations, l’objectif fondamental est autrement plus existentiel : il s’agit de la revitalisation de la famille bretonne et le rajeunissement radical de la Bretagne qui entraîneraient une renaissance de la nation bretonne dans tous les domaines.

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