Le Parti National Breton salue la dénonciation par le Burkina Faso de “l’accord d’assistance militaire” avec la France datant de 1961

Le Parti National Breton salue la dénonciation par le Burkina Faso de “l’accord d’assistance militaire” avec la France datant de 1961

[PNB] Le gouvernement du Burkina Faso a officiellement dénoncé l’accord de “coopération et d’assistance” imposé par la France en 1961 dans le cadre du système néo-colonial imposé par Charles De Gaulle. Ce diktat permettait à l’impérialisme français de déployer ses forces armées sur le territoire burkinabé afin de perpétuer l’occupation du pays.

Le Parti National Breton salue cette décision prise par le chef du gouvernement burkinabé Ibrahim Traoré. Cette politique de souveraineté volontariste marque un tournant dans l’écrasement de l’impérialisme français en Afrique de l’Ouest. Toute défaite de l’impérialisme français est une victoire pour la nation bretonne, elle-même sous occupation de cet impérialisme.

Le Parti National Breton voit dans cette politique pour la souveraineté nationale un exemple dont il s’inspirera dans sa lutte pour la libération de la Bretagne et l’expulsion définitive de l’armée d’occupation française du territoire national breton.

Breizh Atav !

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SNU obligatoire en Bretagne : le PNB appelle les jeunes Bretons à s’opposer à leur enrôlement forcé par l’état colonial français !

SNU obligatoire en Bretagne : le PNB appelle les jeunes Bretons à s’opposer à leur enrôlement forcé par l’état colonial français !

[PNB] Le régime d’occupation français en Bretagne planifie l’enrôlement des jeunes Bretons dans le cadre de la militarisation de la société hexagonale entreprise par Paris. Cette militarisation est indissociable des préparatifs de guerre de la France, supplétive de l’OTAN, contre la Russie.

La presse du régime coloniale indique que dès janvier 2024 les jeunes Bretons seront enrôlés de force dans le programme “SNU” et, conformément à l’idéologie cosmopolite du régime colonial, transportés hors de Bretagne pour les déraciner et casser leurs liens avec leur patrie bretonne. Par la voix de sa représentante Sarah El Haïry, le régime d’occupation a annoncé vouloir forcer les jeunes Bretons à saluer le torchon tricolore chaque matin, symbole de l’oppression de la nation bretonne, et chanter la Marseillaise, le chant des égorgeurs sans-culottes qui ont ensanglanté la Bretagne.

Le Parti National Breton appelle les jeunes Bretons à s’opposer au plan des bandits du régime colonial par tous les moyens à leur disposition, y compris en participant aux manifestations organisées contre le gouvernement français. 

Le Peuple Breton ne doit plus jamais servir de force d’appoint aux buts de l’état impérialiste français, surtout militaires. La lutte pour l’indépendance de la nation bretonne passe par l’expulsion définitive des forces armées françaises hors du territoire breton.

Une seule direction : à bas l’état colonial, France hors de Bretagne !

Breizh Atav !

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Saint-Brévin, Carhaix, Pont l’Abbé : malgré une formidable couverture médiatique, la gauche française ne mobilise que quelques centaines de septuagénaires !

Saint-Brévin, Carhaix, Pont l’Abbé : malgré une formidable couverture médiatique, la gauche française ne mobilise que quelques centaines de septuagénaires !

[PNB] Cette semaine, la gauche française tentait de montrer qu’elle pouvait mobiliser les masses bretonnes sous sa direction.

Premièrement à Saint-Brévin, dans le Pays Nantais, en faveur de l’intensification de l’immigration afro-islamique en Bretagne. A peine 300 personnes se sont déplacées, pour une moyenne d’âge de 70 ans.

Deuxièmement à Carhaix, où le journal de gauche “Le Poher” prétendait avoir été l’objet de menaces suite à son militantisme radical en faveur de l’implantation de colons d’Afrique à Callac, en concertation avec les millionnaires parisiens Cohen. Environ 200 personnes se sont réunies, pour une moyenne d’âge de 70 ans, chiffre miraculeusement triplé par Ouest-France, corporatisme oblige en faveur du “Poher”.

Troisièmement à Pont l’Abbé en essayant de récupérer la colère des pêcheurs sacrifiés par le régime de Paris.

Le résultat est indiscutable : la gauche française est exsangue en Bretagne. Elle n’a ni énergie, ni jeunesse, et ne peut pas mobiliser en masse. En dépit de l’énorme écho donné en amont à ces actions par l’ensemble du bloc médiatique contrôlé par la gauche française, seuls les agents des partis, associations et syndicats qui en sont membres ont fait le déplacement. Le peuple breton brille par son absence. Ce constat est empirique et corroboré par les photos prises sur place par les médias précités qui, pourtant, s’assurent des meilleurs cadrages possibles pour donner le change.

Après deux siècles d’engagement, la gauche française est démographiquement vaincue en Bretagne, désormais beaucoup trop vieille et marginale pour constituer une force sociale capable de structurer le futur politique de notre pays. Le Peuple Breton a rompu avec l’ensemble des partis et organisations de la gauche française, en dépit de leur appel à l’action commune. 

Que l’on ne s’y trompe pas, l’hyper agitation médiatique à laquelle nous assistons de la part d’une poignée de propagandistes rouges occupant radios et journaux ne permet, au mieux, que de créer un village Potemkine. Cette désertion est le fait politique majeur de notre époque.

Une nouvelle ère commence en Bretagne, sans les héritiers des égorgeurs de la révolution française.

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Plan de sortie de flotte : Paris tue la pêche bretonne !

Plan de sortie de flotte : Paris tue la pêche bretonne !

[PNB] L’annonce de la destruction de 45 navires de pêche bretons, principalement cornouaillais, sur les 90 que prévoit de faire détruire le gouvernement français au niveau hexagonal dans le cadre de son “plan de sortie de flotte” est une attaque d’une férocité inédite contre la pêche bretonne et les intérêts nationaux de la Bretagne.

Paris compte ainsi, moyennant quelques miettes concédées aux armateurs bretons, accélérer sans encombre le démantèlement de la pêche bretonne.

Ce diktat imposé par Paris, avec la complicité de politiciens serviles à sa botte, démontre l’urgente nécessité pour la nation bretonne de retrouver son indépendance nationale. Subordonnée à l’Etat français, la Bretagne est incapable de défendre ses intérêts nationaux. Seule la restauration de l’Etat breton sera en mesure de redonner à la Bretagne son rang de puissance maritime en Europe.

Le Parti National Breton appelle les professionnels de la pêche bretonne à tirer les conclusions de ce désastre social et économique parfaitement prévisible en soutenant son action en faveur de l’indépendance nationale. L’heure n’est plus aux demi-mesures, mais à une politique révolutionnaire qui rompe définitivement avec Paris et l’Etat français afin de rendre la Bretagne aux Bretons.

Breizh Atav !

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Quimper : le PNB exige le retour du drapeau breton retiré au profit du drapeau ukrainien !

Quimper : le PNB exige le retour du drapeau breton retiré au profit du drapeau ukrainien !

[PNB] C’est avec indignation que les Bretons ont découvert que leur bannière nationale, le Gwenn ha Du, a été retirée du fronton de la mairie de Kemper (Quimper) au profit du drapeau ukrainien. 

En choisissant de sacrifier le drapeau national breton au profit de celui d’un état étranger tout en laissant flotter le drapeau de la puissance coloniale française ainsi que celui de l’Union Européenne, la municipalité quimpéroise démontre que son soutien à la souveraineté des nations qu’elle veut ainsi mettre en scène ne s’applique pas aux nations que la France occupe à l’instar de la Bretagne.

La confortable dénonciation de “l’impérialisme russe”, à des milliers de kilomètres de l’Ukraine, accompagnée d’une obséquieuse servilité à l’endroit de l’impérialisme français en Bretagne démontre l’hypocrisie des agents de l’Etat français qui composent la majorité municipale. Courageux par procuration en Ukraine, mais soumis en Bretagne !

Le Parti National Breton dénonce cette décision prise sans consultation des Quimpérois. Elle témoigne de l’hostilité qui anime la majorité franco-socialiste Isabelle Assih à l’encontre la nation bretonne. En réduisant le drapeau national breton à une simple option que l’on peut faire disparaître des bâtiments officiels au gré des lubies de politiciens en manque d’attention médiatique, un grave précédent est posé que le régime colonial français ne manquera pas d’exploiter cyniquement contre le Peuple Breton.

Le Parti National Breton exige que le drapeau national de la Bretagne soit immédiatement remis à sa place légitime sur le fronton de la mairie de Kemper (Quimper), ainsi que de toutes les mairies qui insulteraient l’honneur de la nation bretonne en outrageant sa bannière. Il appelle les Bretons à le faire savoir en s’adressant directement à la municipalité quimpéroise :

Tél. 02 98 98 89 89

Fax 02 98 95 27 93

Email : [email protected] 

Le Parti National Breton affirme ensuite que le moment est venu pour le drapeau de l’occupant français d’être retiré de tous les bâtiments officiels en Bretagne. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Assassinat de la jeune Bretonne Héléna Cluyou : le PNB dénonce l’immigration venue de France à l’origine du drame

Assassinat de la jeune Bretonne Héléna Cluyou : le PNB dénonce l’immigration venue de France à l’origine du drame

[PNB] L’identité de l’assassin d’Héléna Cluyou, jeune étudiante bretonne de 21 ans, a été révélée. Il s’agit de Sylvain Legrand, un Français d’origine extra-européenne. 

Suite à ce nouveau drame, le Parti National Breton rappelle l’urgence de stopper et d’inverser l’immigration venue de France en Bretagne. Celle-ci met gravement en danger l’intégrité et la sécurité du Peuple Breton. C’est ce qu’il propose dans son programme national.

Breizh Atav !

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Pays nantais, pays breton ! Le PNB dénonce l’appel colonialiste des élus macronistes à interdire le drapeau breton en Loire-Atlantique

Pays nantais, pays breton ! Le PNB dénonce l’appel colonialiste des élus macronistes à interdire le drapeau breton en Loire-Atlantique

[PNB] La région artificielle “PDL” est aux abois. Face à la mobilisation croissante de la nation bretonne pour parachever la réunification de la Bretagne, la clique politique fransquillonne qui vit de cette collectivité créée par le pouvoir colonial français tente un dérisoire contrefeu avec la création d’une association “pour la valorisation et le soutien des Pays de la Loire”.

Cette structure groupusculaire réunit sur le Pays Nantais les Français affiliés au parti présidentiel hexagonal “Renaissance” et aux “Républicains” qui veulent maintenir le cadre administratif colonial dont la région artificielle PDL est l’instrument. 

Fait révélateur, la rhétorique utilisée par la droite réactionnaire française qui domine les PDL sous la direction de Morançais est identique à celle de la gauche jacobine anti-ethnique. 

Le Télégramme :

À ce stade, les fondateurs de l’AVSPL tentent de mobiliser les élus. En décembre, ils ont commencé par adresser un courrier aux parlementaires, dans lequel ils fustigent, notamment, des « mouvements autonomistes bretons motivés par un projet séparatiste de la République qui vise à remplacer, en France et en Europe, les Etats-nations par des Ethnos-nations. »

Le néologisme franco-jacobin “ethno-nation” est un pléonasme. Il est révélateur que les représentants du pouvoir colonial français agités par la région artificielle PDL opposent nation et ethnie, la racine du mot nation provenant du latin natus (naître) en référence à la filiation biologique qui sert de ciment à la nation selon la terminologie latine. Un état-nation est par définition ethnique, sinon il n’est pas national. C’est justement le cas de l’état cosmopolite français, antinational par définition mais qui usurpe à loisir ce concept pour le dénaturer, dont se revendiquent les colons signataires du texte.

La criminalisation de l’unité ethnique du Peuple Breton est symptomatique de l’impudence de l’impérialisme français qui n’hésite pas à accuser les autochtones d’être conscients d’eux-mêmes sur leur propre terre, poussant l’audace jusqu’à prétendre être en position d’arbitrage moral au point d’interdire aux Bretons de lutter pour leur liberté dans leur propre pays.

Nous, Bretons, ne devons pas tolérer cette insupportable inversion de la réalité : ce sont les Français qui sont en position d’accusés, en tant qu’occupants, et non les Bretons qui résistent à l’occupation malgré les efforts du régime français pour procéder à la destruction de la personnalité ethnique de la Bretagne. Le régime républicain français n’est qu’un régime impérialiste qui pour se maintenir chez les peuples qu’il occupe se doit de détruire leur sentiment d’appartenance.

Imagine-t-on des Français interdire à des Algériens de déployer leur drapeau en Algérie ? 

Et puis, ces jours-ci, ils ont rédigé une lettre destinée aux maires de Loire Atlantique enjoignant à ces derniers de ne pas prendre à la légère l’acte de hisser le Gwen ha du sur le fronton de leur mairie, comme l’a fait Nantes. « Si beaucoup le voient comme symbole de la Bretagne et de son folklore, n’oublions pas ses origines et le projet qu’il sous-tend, écrit l’association. Il fut inventé dans les années 1920 par Maurice Marchal, idéologue d’une race bretonne celtique pure, raciste et antisémite, qui sera membre de la Gestapo (…). » Un discours engagé tout à fait assumé par ses auteurs, même s’ils se défendent de vouloir s’en prendre frontalement aux partisans de la réunification. 

Sur ce dernier point, nous sommes d’accord avec l’affirmation des représentants du pouvoir colonial français. Le Gwenn ha Du est la bannière de la nation bretonne qui, contrairement au fatras multiracial hexagonal, a une conception claire de ce qu’elle est comme communauté réelle. Il est d’ailleurs révélateur que la pureté du Peuple Breton soit désignée comme une tare par les agents du pouvoir colonial, lesquels avouent implicitement être les représentants d’un régime bâtard, sans racines ni qualités, entièrement construit pour niveler par le bas les hommes qui tombent sous son emprise. 

Le drapeau breton créé par Breiz Atao est un drapeau ethno-séparatiste, puisque la Bretagne, comme nation, doit se séparer de l’état impérialiste français qui l’occupe illégitimement et qui met tout en œuvre pour détruire notre peuple, tantôt par l’arme de l’immigration extra-européenne, tantôt par la colonisation française de peuplement. L’installation du Gwenn ha Du partout dans le Pays Nantais est le meilleur symbole de cette résistance ethnique au pouvoir colonial français. Les agents de ce pouvoir ont raison de le craindre.

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L’association régionaliste “Parti Breton” rallie l’Etat français dans ses attaques contre le PNB pour imposer des migrants à Corlay

L’association régionaliste “Parti Breton” rallie l’Etat français dans ses attaques contre le PNB pour imposer des migrants à Corlay

[PNB] Par la voix de l’un de ses membres, Joannic Martin, l’inutile association régionaliste “Parti Breton” a cru nécessaire de se lamenter dans la presse française de l’existence du Parti National Breton. L’engagement offensif du PNB pour la défense des intérêts de la nation bretonne à Corlay, commune prise en otage par l’Etat français qui y déverse ses migrants depuis Paris, a suscité la frayeur des pleutres régionalistes, inquiets d’être associés aux militants nationalistes. 

Lire : https://www.ouest-france.fr/bretagne/cotes-d-armor/refugies-a-corlay-le-parti-breton-denonce-une-confusion-avec-le-parti-national-breton-791d7cf0-a850-11ed-aeeb-69381795ad8f

Si la confusion est tout sauf évidente compte tenu de l’invisibilité de cette association régionaliste comme des platitudes qu’elle produit d’ordinaire, elle est à tout le moins révélatrice. Face à une attaque frontale de l’Etat français contre le Peuple Breton comme l’est la colonisation de peuplement, en l’occurrence à Corlay, l’unique préoccupation des lâches du régionalisme est de rassurer leurs maîtres français quant à son caractère inoffensif en s’associant à eux pour attaquer les patriotes bretons du Parti National Breton qui s’opposent à leur programme.

Après deux décennies d’existence, cette formation bourgeoise est davantage soucieuse de sa réputation dans les cercles médiatiques du pouvoir colonial français que des enjeux existentiels qui se posent pour la Bretagne, l’immigration de remplacement imposée aux Bretons par Paris constituant l’un de ces jeux vitaux. Qui peut croire que des faibles et des timides qui tremblent comme des feuilles mortes à l’idée de déplaire au régime colonial seraient à même de défier l’Etat français en Bretagne ?

Comme sécrétion de la société française, cette association régionaliste ne peut que régurgiter les orientations cosmopolites de la bourgeoisie parisienne et les plaquer avec zèle sur la Bretagne. Compte tenu de la centralité identitaire du dogme immigrationniste pour la bourgeoisie française, il est logique que le régionalisme s’exprime comme elle à ce sujet et qu’il lui réitère son serment de fidélité à chaque fois que les nationalistes bretons expriment leur intention de rompre avec la société hexagonale. Cette schizophrénie mimétique du colonisé régionaliste face à son colonisateur parisien est l’impasse dont les nationalistes bretons entendent sortir le Peuple Breton. Sans regard pour les interdits idéologiques de Paris, les nationalistes bretons créent leurs propres conceptions et les imposent par la force de leur volonté et leur activisme. Cette décolonisation mentale est la première étape de la lutte libération nationale.

Contrairement aux habituelles prostituées qui sévissent en Bretagne, le Parti National Breton ne laissera pas l’Etat français transformer la Bretagne en nouvelle Seine-Saint-Denis pour complaire au maître parisien. Son objectif est la renaissance de la nation celtique bretonne et la restauration de l’Etat breton qui en est la conclusion logique. Aucune menace, insulte ou entrave, par le régime colonial français ou ses idiots utiles, ne fera dévier le Parti National Breton de ce but. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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