Ni droitisme, ni gauchisme. Un seul ennemi pour la nation bretonne : l’Etat français, son régime et sa société !

Ni droitisme, ni gauchisme. Un seul ennemi pour la nation bretonne : l’Etat français, son régime et sa société !

[PNB] Depuis la Révolution française, gauche et droite françaises ont constitué les deux principaux obstacles dressés sur la voie de l’émergence de la conscience nationale bretonne. Soumise à l’Etat français et à sa bourgeoisie, donc aux contradictions de la société hexagonale, la Bretagne a été le théâtre secondaire de cette guerre civile entre droite et gauche coloniales. Le Parti National Breton s’est constitué pour dépasser cette contradiction, en se donnant pour but d’arracher les Bretons de cette dialectique franco-française et ce en les nationalisant.

La dérive gauchiste de la société française en Bretagne est bien connue. Elle entraîne organiquement la collusion d’éléments acculturés, aliénés et francisés s’autoproclamant paradoxalement “bretons” avec les diverses factions de la gauche hexagonale. La dérive droitiste, moins remarquable car beaucoup plus isolée socialement, a régulièrement tenté d’entraîner de la même façon un certain nombre de Bretons dans le camp de la réaction hexagonale. Comme une barricade n’a que deux côtés et si l’on raisonne en termes d’affrontement contre la gauche (française), les régionalistes de gauche et de droite finissent invariablement par promouvoir un rapprochement, honteux ou assumé, entre Bretons et éléments factions françaises.

A droite, les prétextes sont connus depuis un quart de siècle dans ce registre : le pragmatisme – la France d’abord, la Bretagne une autre fois – et le bougisme, c’est-à-dire l’agitation désordonnée, qui, en pratique, accouchent systématiquement de l’opportunisme pro-français. Le produit concret en est une formule hétéroclite et régionalisante où chaque Breton est convié à participer sans regard pour la théorie politique et historique, tant que l’on se classe “à droite” du spectre français. Deux notions sont habituellement convoquées pour justifier ce genre de bricolage opportuniste de la part des régionalistes de droite en Bretagne : l’opposition à l’immigration extra-européenne et une vague référence à “l’identité bretonne et européenne”. Rien de nouveau là-dedans, du Mouvement Régionaliste de Bretagne, excroissance du MNR de Bruno Mégret (Nouvelle Droite) à Jeune Bretagne (régionaliste), le droitisme fransquillon a usé de ce véhicule.  Le premier effet de cet opportunisme, c’est que se bousculent dans ce genre de boutiques droitistes des Français établis en Bretagne qui ne tardent pas à revendiquer la même légitimité que les Bretons sur leurs terres ancestrales et à appeler à perpétuer l’état de sujétion coloniale au même titre que l’ensemble des partis français et, plus encore, l’Etat français.

Très vite, dans la pratique, les affinités droitistes françaises priment la question nationale bretonne, qui n’est en réalité que tolérée en tant décorum culturel secondaire. Il n’est pas question d’affronter la France et son état, encore moins son colonialisme, mais bien au contraire de se rapprocher des éléments droitistes français pour faire “cause commune”. Mais cette “cause”, c’est la cause française, invariablement. Dans une Bretagne occupée par la France, cela revient à servir de supplétifs à l’occupant français, au profit de l’un de ses camps politiques, et donc de proroger le statu quo général.

Ce n’est pas peu dire que le thème vaporeux de “l’Europe”, en Bretagne, a agité le régionalisme depuis un siècle. Pour les fédéralistes, elle serait l’entité qui, magiquement, encagerait la France dans un ensemble capable de réduire l’ADN impérialiste de son état et desserrer son étau sur la Bretagne. Pour les droitistes du régionalisme breton, c’est un horizon que l’on exalte pour dépasser la nation française sans avoir à assumer publiquement la confrontation nationale avec la France, confrontation qui hypothèquerait les rapprochements avec la réaction française qu’ils recherchent par ailleurs. L’avantage de l’Europe, comme idée molle, c’est d’entretenir le flou artistique nécessaire à toutes les ambigüités et compromissions et d’éviter ainsi la seule question qui importe : la lutte de libération nationale bretonne.

Le Parti National Breton ne nourrit pas ce genre d’illusions. Il désigne l’ennemi en termes clairs : l’Etat français, son régime, peu importe les factions et les partis. Aucun des moulins à prières agités pendant plus de cent ans par les adeptes bretons de l’illusion européenne n’ont permis à la Bretagne de faire un seul pas en direction de la liberté et de la souveraineté nationale. En Bretagne, le mot Europe est toujours brandi par des gens qui refusent d’assumer le paradigme politique de la nation bretonne en lutte contre l’occupant français. 

Pour le Parti National Breton, la nation bretonne doit tirer les conclusions de son histoire : son salut ne viendra que d’elle seule, contre la France occupante, état et société irréversiblement condamnées à aller au bout de leur logique formulée en 1789. Former l’unité étatique ethno-nationale “verticale” des Bretons en dépassant le clivage “horizontal” droite/gauche de la société française en Bretagne est l’enjeu stratégique du nationalisme breton. Comme d’autres nations européennes, la nation bretonne doit trouver en elle la force nécessaire au salut du peuple. Cela passe par le rejet radical de l’influence française et de l’Etat français, de récuser toute participation active à la société française et encore moins de se subordonner à ses factions.

Ni gauche, ni droite françaises, Nation bretonne seulement !

Breizh Atav !

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Ephéméride national breton : 29 novembre 1799, grâce à la marine britannique, le général breton George Cadoudal organise avec succès un colossal débarquement d’armes destinées à l’armée chouanne de Bretagne

Ephéméride national breton : 29 novembre 1799, grâce à la marine britannique, le général breton George Cadoudal organise avec succès un colossal débarquement d’armes destinées à l’armée chouanne de Bretagne

[ISTOR BREIZH] Dans la nuit du 29 novembre 1799, grâce à l’aide anglaise, le général breton Georges Cadoudal organise avec succès un énorme débarquement d’armes et de munitions à la Pointe de Pen Lan, dans le Pays Vannetais.

Hormis Vannes et quelques villes isolées encore aux mains des Français, la totalité du Vannetais est aux mains des Chouans bretons déterminés à chasser le régime républicain de Bretagne.

Acheminés par une escadre de la Royal Navy, 30,000 fusils, 4 canons et 2 obusiers sont livrés à près de 15,000 Chouans bretons venus sécuriser la côte. Cadoudal, chef de la rébellion bretonne, est sur place. Après douze heures d’efforts, ce sont 80 charrettes d’armes qui se mettent en mouvement vers l’intérieur de la Bretagne.

Les républicains, bloqués dans la ville de Vannes, tentent une sortie pour couper le convoi, mais l’action déterminée de Cadoudal met en pièces les 2,000 soudards français qui doivent fuir en désordre. 

Breton, souviens-toi !

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Gestion coloniale de la Bretagne : le PNB dénonce la tentative de prise de contrôle du Festival Interceltique de Lorient par l’agent du ministère de l’Intérieur français Jean-Paul Kihl

Gestion coloniale de la Bretagne : le PNB dénonce la tentative de prise de contrôle du Festival Interceltique de Lorient par l’agent du ministère de l’Intérieur français Jean-Paul Kihl

[PNB] L’Etat français a lancé une opération subversive afin de prendre le contrôle du Festival Interceltique de Lorient. Objectif : conditionner son existence à sa subordination au régime de Paris.

Avec l’aide de l’actuel président du Festival Interceltique de Lorient, Denis Le Mentec, l’agent du régime français Jean-Paul Kihl, préfet, a adhéré à l’association du FIL il y a trois semaines et, par une suite de manœuvres internes, exigé de se faire désigner président du FIL d’ici la mi-décembre. Du fait de l’incurie de Le Mentec, aussi dénué de profondeur de vue que de courage et de patriotisme breton, il aura fallu quelques semaines au ministère de l’Intérieur français pour se rendre maître d’un festival vieux de 50 ans fondé par des bénévoles bretons sur l’impulsion du nationaliste breton Polig Monjarret. 

Le Festival Interceltique de Lorient ne doit rien à l’Etat français, bien au contraire. Il n’existe que grâce à la volonté du peuple breton par l’action de ses militants culturels. Cet évènement culturel international, qui exalte les qualités ethniques des nations celtes, dont la nation bretonne, est depuis toujours dans le viseur du régime colonial français qui a pour objectif politique constant, depuis 1789, la destruction des caractéristiques ethno-nationales bretonnes. Dans le système soviétique hexagonal que l’on appelle le régime jacobin-républicain, ce sont désormais des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur désignés par Paris qui entendent administrer les évènements culturels comme de simples fermes collectivisées.

Cette opération du ministère de de la police française fait suite au chantage exercé par Paris sur la tenue des festivals bretons en 2024. Paris prétend interdire les évènements festifs bretons pour ne pas détourner cette année-là l’attention des Jeux Olympiques qui sont censés servir de village Potemkine médiatique à un état français en voie de désintégration rapide. Le précédent est grave : sauf à désigner des hauts-fonctionnaires du ministère de la police française choisis par Paris, les évènements culturels majeurs en Bretagne seront purement et simplement interdits par l’état colonial français.

Cette attaque contre les libertés et la culture bretonnes par une république française en voie de radicalisation doit recevoir la riposte qu’elle mérite. Traitée en colonie avec la complicité de domestiques recrutés localement, à l’instar de Le Mentec, la nation bretonne ne peut tolérer ces provocations françaises si spectaculairement mises en scène.

Il y a plus important que n’importe quel festival : c’est la dignité de la nation bretonne. Le droit de la culture bretonne à s’exprimer en Bretagne n’est pas un privilège accordé par Paris. Jamais les préfets du régime colonial français ne dicteront leur conduite aux Bretons conscients de leur nationalité. Si le Festival Interceltique de Lorient confirme la nomination d’un commissaire politique du régime colonial français à sa tête, le boycott sera la règle tant que le ci-devant Kihl aura un pied au FIL.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Ephéméride national breton : les officiers du FLB Chenevière et Montauzier boycottent leur procès politique

Ephéméride national breton : les officiers du FLB Chenevière et Montauzier boycottent leur procès politique

[ISTOR BREIZH] Ephéméride national breton : jugés par la Cour de sûreté de l’Etat français pour l’attentat de Versailles, le 26 juin 1978, les officiers du FLB Lionel Chenevière et Padrig Montauzier quittent leur procès le 28 novembre 1978 après le refus par Paris de leur demande d’être jugés en Bretagne.

Le réquisitoire délirant, deux jours plus tard, du procureur général de la Cour de sûreté de l’Etat français Raoul Béteille illustre le caractère arbitraire et éminemment politique de ce tribunal d’exception qui n’avait rien à envier au tribunal révolutionnaire de Fouquier-Tinville.

Breton, souviens toi !

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Ephéméride national breton : 27 novembre 2022, le Général de Keratry démissionne après le sacrifice des 60,000 Bretons de l’Armée de Bretagne par le régime républicain de Gambetta

Ephéméride national breton : 27 novembre 2022, le Général de Keratry démissionne après le sacrifice des 60,000 Bretons de l’Armée de Bretagne par le régime républicain de Gambetta

[PNB] Le 27 novembre 1870, le général Emile de Keratry démissionne de son commandement de l’Armée de Bretagne. La formation de cette armée bretonne, le 22 octobre 1870, résultait de l’effondrement complet de l’armée française, un mois après la déclaration de guerre à la Prusse par la France de Napoléon III, le 19 juillet 1970. Profitant de la débâcle, l’Italien Gambetta organise un coup d’état et proclame l’instauration du régime républicain, le 4 septembre 1870.

Emile de Keratry

Les putschistes jacobins menés par Gambetta, ministre de l’Intérieur, ont besoin d’hommes pour tenter de restaurer un front en désintégration rapide. Keratry, d’origine bretonne, honteusement et naïvement aligné sur les projets de Gambetta, se propose de lever 60,000 Bretons pour dégager Paris, encerclée, avec le gouvernement français, par les troupes prussiennes. L’Armée de Bretagne est formée en dehors du cadre de l’armée française et dépend exclusivement de Keratry et de Freycinet, ministre de la Guerre. Si Gambetta accepte le plan dans un premier temps, la suspicion s’installe rapidement. Le gouvernement républicain craint que cette armée bretonne, si elle est équipée et entraînée, ne forme une armée nationale bretonne d’orientation chouanne, catholique et antirépublicaine susceptible de le prendre à revers.

Le gros Italien Gambetta

Près de 60,000 Bretons passeront par le camp improvisé de Conlie, dans le département de la Sarthe, où la formation de l’Armée de Bretagne doit avoir lieu. Le régime républicain, rapidement effrayé par les Bretons, manœuvre pour ne pas armer, ravitailler et entraîner l’Armée de Bretagne dont les mobilisés réalisent progressivement qu’ils sont dans une vaste prison à ciel ouvert. Ce camp, en plein automne, est un vaste étang de boue où, à la faveur de la promiscuité et de l’absence de conditions d’hygiène élémentaire, éclatent les épidémies. Les Bretons le nomment rapidement “Kerfank”, la ville de boue.

Keratry, dénué de toute lucidité politique, ne réalise à aucun moment que les Français voient plus clairement que lui le péril potentiel d’une nation bretonne en armes, placée sur leurs arrières. Freycinet adresse à Keratry un télégramme des plus clairs quant à l’angoisse qui traverse le nouveau gouvernement républicain : “Je vous conjure d’oublier que vous êtes breton pour ne vous souvenir que de vos qualités de Français.”

Le Camp de Conlie par Jeanne Malivel

Inconséquent et naïf, Keratry met un mois à réaliser que les révolutionnaires parisiens n’ont aucune intention d’armer les dizaines de milliers de Bretons concentrés à Conlie, mais bien au contraire de les y maintenir sous surveillance. Le 26 novembre, face à la pression allemande, l’Italien Gambetta ordonne à 10,000 Bretons affamés, désarmés et malades de rejoindre le Mans pour servir de bouclier humain aux troupes françaises. Keratry démissionne le lendemain, réalisant finalement ce que prépare Paris pour les Bretons mobilisés. Ce sont 6,400 Bretons qui sont envoyés au front. Les troupes prussiennes dirigés par le duc de Mecklembourg approchent du Mans, début janvier 1871 et la bataille décisive a lieu le 11 janvier. Les Bretons quittent rapidement le champ de bataille, précipitant la défaite de l’armée française et la capitulation de la France.

Le général Lalande, interrogé après la guerre sur les circonstances des combats, déclare : « Je crois que nous avons été sacrifiés. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Mais j’affirme qu’on n’aurait pas dû nous envoyer là, parce que l’on devait savoir que nous n’étions pas armés pour faire face à des troupes régulières. »

L’enseignement politique de Conlie

L’affaire du Camp de Conlie représente parfaitement les conséquences d’une direction bretonne acculturée et dépourvue de consience nationale quand, face à elle, les Français perçoivent les Bretons comme un corps national étranger et redouté. Un chef breton digne de ce nom, en lieu et place de Keratry, aurait pris les dispositions nécessaires à un résultat politique favorable pour la nation bretonne.

Il aurait d’abord eu à l’esprit la profonde détestation des Français pour les Bretons qu’ils ne font semblant de respecter qu’en position de soumission complète. De la sorte, il n’aurait nourri aucune illusion sur la nature des rapports coloniaux entre la Bretagne et la France.

Ensuite, ce chef aurait formé l’Armée de Bretagne en Bretagne et non sur le territoire français, afin d’exercer le moment venu le coup de force décisif. Il aurait à cet effet établi son quartier général à Rennes, centre politique de la Bretagne.

Il aurait nommé des officiers politiquement sûrs et les aurait chargé de s’emparer des réserves d’armes de Brest, y compris par la force en cas d’opposition. 

Durant tout ce temps, ce chef aurait assuré Paris de ses meilleures intentions, procédant par une politique du fait accompli sans pour autant alerter la direction parisienne.

Au moment où l’Armée de Bretagne aurait été appelée en renfort, début janvier 1871, le chef breton aurait donné l’ordre aux troupes bretonnes de s’emparer de sécuriser Rennes, Nantes et Brest, tout en prenant contact avec les troupes prussiennes. Le chef breton aurait proclamé la restauration immédiate du parlement national de la Bretagne et la constitution d’un gouvernement breton provisoire dont il aurait pris la tête. Son premier geste aurait été d’entrer en négociations avec la Prusse en vue de la cessation des hostilités et d’obtenir la reconnaissance de la Bretagne comme nation libre. Il aurait fait de même en direction de Londres.

La flotte française de Brest aurait été séquestrée par le gouvernement breton, les marins français expulsés sur le champ de Bretagne et les marins bretons versés dans la nouvelle flotte bretonne armée avec les navires saisis.

La France à genoux et occupée par la Prusse jusqu’à en 1873, la Bretagne aurait été organisée en corps de nation à marche forcée. Le nouveau gouvernement breton aurait adopté une orientation conservatrice, mais non-extrémiste pour ne pas polariser la société bretonne. La Bretagne aurait été constituée en royaume afin de s’assurer du soutien des segments monarchistes et catholiques de la nation, tout en adoptant une constitution libérale et fédéraliste de nature à apaiser la bourgeoisie. La langue nationale serait devenue langue d’état. La Bretagne aurait eu 40 ans pour forger deux générations de Bretons enfin dégagées de la tutelle française. En lieu et place, faute d’un homme lucide et nationalement conscient, elle a subi le joug d’une Troisième république déterminée à la détruire sur tous les plans, ce qui culminera avec la catastrophe de 1914.

Breton, souviens-toi !

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Douarnenez : face aux menaces de l’extrême-gauche, le Parti National Breton apporte son soutien à Henri Savina, maire de Pouldergat

Douarnenez : face aux menaces de l’extrême-gauche, le Parti National Breton apporte son soutien à Henri Savina, maire de Pouldergat

[PNB] Le Parti National Breton apporte son soutien au maire de Pouldergat, Monsieur Henri Savina, pour son vote courageux, lors du dernier conseil de Douarnenez communauté, contre une subvention de 3,000 euros au profit de l’association “Un puits, une école à Madagascar” exigée par les derniers marxistes sévissant à Douarnenez.

Suite à ce vote, l’habituelle nébuleuse de la gauche française en Bretagne – nostalgiques des égorgeurs de 1793, communards, trotskistes, rouges honteux déguisés en écologistes, opportunistes de gauche, anarcho-nihilistes et autres déviants LGBT – a cru bon de vociférer insultes et menaces contre Monsieur Savina pour son soucis des finances des contribuables bretons.

Monsieur Savina a indiqué, avec justesse, qu’après 62 ans d’accès à l’indépendance, les Bretons n’ont pas à être rackettés par les réseaux louches du marxisme pour financer ses “projets” internationalistes à Madagascar dont les résultats théoriques, si prometteurs sur le papier, se font attendre depuis le siècle dernier. 

Le Parti National Breton rappelle que c’est bien la Bretagne occupée par l’Etat français qui doit être décolonisée en 2022 et non le continent africain. Conformément à son principe d’action “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton rappelle que l’argent des contribuables bretons doit être exclusivement utilisé par les Bretons, pour les Bretons, afin de régler les nombreuses difficultés que notre peuple affronte. 

Les Bretons ne doivent plus se faire soustraire le fruit de leur labeur au profit du tonneau des Danaïdes de l’Afrique. Si d’aventure ce principe de bon sens dérange les illuminés du marxisme français et de sa périphérie proche, le Parti National Breton les invite à se cotiser pour financer par eux-mêmes leurs lubies, en France.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Ephéméride national breton : 26 novembre 1943, échec de la tentative de meurtre de l’Abbé Yann-Vari Perrot par les assassins du Parti communiste français

Ephéméride national breton : 26 novembre 1943, échec de la tentative de meurtre de l’Abbé Yann-Vari Perrot par les assassins du Parti communiste français

[ISTOR BREIZH] Le 26 novembre 1943, une première tentative d’assassinat politique échoue contre l’Abbé Yann-Vari Perrot, figure charismatique de l’Emsav. Pionnier de la défense des droits culturels, linguistiques et politiques de la nation bretonne, l’Abbé Perrot incarne, en 1943, une puissante figure de la nation bretonne que les communistes français veulent assassiner.

En 1943, le Parti communiste français, aux ordres de l’Union Soviétique, est engagé dans les préparatifs du coup d’état révolutionnaire en France qui doit suivre le départ des troupes allemandes, conformément à l’orthodoxie opérationnelle léniniste. Ce coup d’état révolutionnaire doit avoir lieu au moment où l’Armée rouge s’approchera du Rhin, afin de faciliter le déferlement des divisions soviétiques jusqu’à l’Atlantique. Pour mettre les Anglo-américains devant le fait accompli, une course contre la montre s’engage afin d’établir un gouvernement communiste parallèle sur le territoire grâce à l’usage de la terreur rouge. Ce que les Bolcheviques appellent les “zones libérées”.

En Bretagne, les Bolcheviques ont pour mission de repérer et d’assassiner les personnes socialement influentes qui pourraient animer la résistance anticommuniste, une fois le coup d’état révolutionnaire réussi. Situé à Scrignac, en pleine zone rouge, l’Abbé Perrot suscite depuis longtemps la haine des brigands communistes. Sa dénonciation de l’assassinat de 20,000 officiers polonais à Katyn par les Bolcheviques, révélée en 1943, fait de lui une cible privilégiée des tueurs de Moscou.

Conformément à la mise en place d’un gouvernement bolchevique parallèle qui devra devenir le gouvernement légal après le putsch révolutionnaire, la direction parisienne du Parti communiste dépêche en Bretagne le commissaire politique Marcel Dufriche afin de superviser l’assassinat. Le verdict précédant le jugement, Dufriche préside au simulacre et forme un “tribunal révolutionnaire” chargé de prononcer et exécuter la sentence. Ce tribunal est dirigé par Albert Stephan, chef de la gare à Huelgoit et militant communiste. Un “magistrat instructeur” originaire de la commune dénommé Le Foll monte les charges. Y participe également le communiste parisien Antoine Duperrier, habitant Scrignac en compagnie de son épouse, fonctionnaire des postes dans le village. Le choix de Duperrier ne doit rien au hasard. La femme de ce dernier, communiste comme son mari, s’en prend avec virulence à l’Abbé depuis de longs mois lors de ses passages dans le bourg. En compagnie du communiste Daniel Trellu, Marcel Dufriche réunit à Scaër le “tribunal révolutionnaire” chez une autre militante bolchevique, Rosine Kersulec. Là, la condamnation est prononcé début novembre 1943. Le Parti communiste offre une récompense de 10,000 francs à celui qui assassinera le prêtre.

Le 26 novembre, une première tentative d’assassinat contre l’abbé Yann-Vari Perrot échoue. Après cet échec, Marcel Dufriche réunit à nouveau le “tribunal révolutionnaire” chez Rosine Kersulec, début décembre, et ordonne à un jeune communiste dénommé Jean Thépault d’assassiner l’abbé. Ce qui sera fait le 12 décembre, à Kroaz Ruz, dans la campagne de Scrignac. 

Les commanditaires ne pourront pas se réjouir longtemps de leur crime. Le terroriste Albert Duperrier est capturé le 12 juin 1944, placé en détention à la prison de Pontaniou, à Brest. Il est fusillé le 7 août 1944. 

La mémoire de l’Abbé Yann-Vari Perrot continue d’attiser la haine des derniers éléments rouges de la région, mais également d’intérêts nostalgiques de 1793. Sa tombe a été profanée par une petite bande communiste en avril 2018, puis la chapelle de Koad Kev qui l’abrite incendiée le 5 juillet 2019. Le Parti National Breton dispose des éléments lui permettant d’affirmer que l’enquête sur le caractère criminel de l’incendie a été étouffée par la Gendarmerie française dès le 6 juillet sur ordre formel du commandant présent sur place dont il ne manque à ce jour que le nom de la loge de tutelle.

Il s’agit là du procédé ordinaire des cercles occultes qui sévissent en Bretagne depuis 1789, lesquels ont agité les incendiaires, successeurs putatifs de la sans-culotterie parisienne, idiots utiles traditionnellement recrutés dans le vivier de marginaux d’extrême-gauche nourris à cet effet. Disposés à les couvrir, leurs commanditaires, soucieux de discrétion et peu enclin à se salir les mains, peuvent toutefois sacrifier ce genre de seconds couteaux après usage en cas d’imprévu.

“Mon plus grand désir était, avant de quitter cette terre, de voir mon pays depuis Rennes jusqu’à Saint Mathieu, dirigé comme jadis par les Bretons et par les Bretons seulement.”

Yann-Vari Perrot

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Ephéméride national breton : 25 décembre 1986, disparition de Moadez Glanndour, poète de langue bretonne

Ephéméride national breton : 25 décembre 1986, disparition de Moadez Glanndour, poète de langue bretonne

[ISTOR BREIZH] Maodez Glanndour, dit également Loeiz ar Floc’h, Louis Augustin Le Floc’h à l’état-civil (né en 1909 à Pontrieux et mort le 25 novembre 1986 à Louannec), est un prêtre catholique et un écrivain breton de langue bretonne.

Recteur de Louannec, il est le créateur de diverses revues en langue bretonne : Studi hag Ober, consacrée à la recherche théologique, à l’édition de textes liturgiques pour les célébrations religieuses en langue bretonne ; Kaieroù Kristen ; Gwerin « précieuse collection » (Y.B. Piriou) consacrée à l’édition de collectes folkloriques de chansons bretonnes populaires ; Ar Bedenn evit ar Vro.

Ces revues, parues principalement entre 1940 et 1970 de façon assez sporadique, étaient par définition réservées à des publics motivés.

Auparavant il a participé à la réforme de l’orthographe unifiée du breton en 1941.

Il est l’auteur de plusieurs traductions en langue bretonne des textes grecs des Évangiles et des textes originaux hébreux de la Bible en collaboration avec l’Abbé Gwilherm Dubourg avec qui il travailla sur ce projet commun pendant de nombreuses années.

L’essentiel de son œuvre est constitué par ses poèmes, recueils tels que Troellennoù Glas (Les Spirales bleues), Bragerizoù Ene (Les Bijoux de l’âme), parus en 1937 et en 1939 dans Gwalarn, grands poèmes tels que « Imram » (« Navigation ») (Sterenn, 1941), « Milc’hwid ar serr-noz » (« Le mauvis du crépuscule ») (1946), qui a été traduit en français par Armand Robin.

L’ensemble, à l’exception du « Milc’hwid », a été réuni en 1949 en un recueil : Komzoù bev (Paroles vivantes) réédité en 1984 par Al Liamm. En 1949, également, « Telenngan d’an teir vertuz » (« Ode aux trois vertus »). En 1951, « Kanadeg evit Nedeleg » (« Cantate pour Noël « ) rééditée en 1984 par Al Liamm avec « Milc’hwid ar Serrnoz » en un volume sous le titre de Telennganoù. En 1979, « Vijilez an deiz diwezhañ » (« Nocturne du dernier jour »), le dernier et peut-être le plus dense de ses grands poèmes, le plus prophétique. En 1983, « Va levrig skeudennoù » (« Mon petit livre d’images »). Pour Yann-Ber Piriou, “c’est un de nos plus grands poètes contemporains. D’aucuns disent même le plus grand.”.

Maodez Glanndour était également philosophe. Deux recueils de textes chez Al Liamm, Kregin-mor (Coquillages marins) 1987, Dre inizi ar Bed Keltiek (Par les îles du monde celtique) 1991.

Il a également beaucoup étudié la littérature orale (chants…), et a effectué de nombreux collectages. On lui doit, en collaboration avec Jean-Pierre Foucher, un recueil de poèmes populaires de Bretagne (2 tomes chez 10-18, 1977), Le Brasier des ancêtres (édition bilingue). 

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Référendum d’autodétermination en Ecosse : le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise

Référendum d’autodétermination en Ecosse : le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise

[PNB] Le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise suite au rejet de sa demande de référendum d’autodétermination par la Cour suprême du Royaume-Uni.

Pour le Parti National Breton, il appartient à la nation écossaise de déterminer librement son destin et ce refus de Londres de reconnaître ce droit à la liberté nationale des Ecossais repose sur le seul exercice de la force.

Toutefois, le Parti National Breton ne doute pas de la volonté et de la capacité de la nation écossaise de s’affranchir de ce refus brutal – et illégitime – et de parvenir, malgré les difficultés, à l’indépendance. 


The Breton National Party – Strollad Broadel Breizh expresses its solidarity with the Scottish nation following the rejection of its request for a self-determination referendum by the Supreme Court of the United Kingdom.

For the Breton National Party, it is for the Scottish nation to freely determine its destiny and this refusal by London to recognize this right to national freedom of the Scots is based solely on the exercise of force.

However, the Breton National Party has no doubt that the Scottish nation is willing and able to overcome this brutal – and illegitimate – refusal and to achieve independence despite the present difficulties.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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