Impunité : à Nantes, l’extrême-gauche attaque et blesse gratuitement 3 personnes

Impunité : à Nantes, l’extrême-gauche attaque et blesse gratuitement 3 personnes

[PNB] Le journal Presse Océan rapporte des violences commises ce weekend par des nervis d’extrême-gauche dits “Antifas” contre trois personnes. Elles ont déposé plainte.

Sous la mandature de Johanna Rolland, la capitale bretonne est devenue un coupe-gorge où viols de rue commis par des migrants du tiers-monde alternent avec des attaques en règle par les bandes de marginaux d’ultra-gauche contre toute personne suspecte de déviationnisme idéologique.

Le Parti National Breton constate la bienveillance des autorités françaises à l’égard de ces deux phénomènes et rappelle que seul un pouvoir breton, par des Bretons, ramènera l’ordre à Nantes, comme dans le reste de la Bretagne.

Bevet Breizh !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Proclamation de Pontivy du Parti National Breton

Proclamation de Pontivy du Parti National Breton

[PNB] Le 17 décembre se sont assemblés à Pontivy les patriotes du Parti National Breton pour poser un acte de fondation par une proclamation solennelle.

Réunis au pied de la forteresse de Rohan, ses chefs ont lu la déclaration suivante :

“Il y a 232 ans, un groupe de Bretons sans mandat, aveuglés par une fausse idéologie, introduite en Bretagne par la France, se réunirent à Pontivy, avec des étrangers, et déclarèrent qu’ils n’étaient plus Bretons, mais Français.

Bien qu’ils fussent persuadés d’introduire ainsi une ère nouvelle en Bretagne, ils ouvrirent en réalité le chemin à la ruine et à la destruction de notre nationalité.

Nous, Patriotes Bretons, accourus aujourd’hui à Pontivy de toutes les parties de la Bretagne, proclamons devant le monde que notre seule Patrie est la BRETAGNE.

Nous jurons de défendre, dans toutes circonstances et envers tous, le droit des Bretons à vivre comme peuple libre.

Que Dieu nous protège pendant la lutte inlassable que nous ouvrons ici pour notre pays.”

Ils ont également donné lecture d’un discours du secrétaire national du Parti National Breton intitulé “La mission du Parti National Breton” dont voici le contenu : 

La mission du Parti National Breton est de sauver le peuple breton de la disparition. Cette tâche, qui incombe à notre Parti, suppose non seulement de réveiller la conscience nationale bretonne dans les masses, mais de la conduire à sa conclusion logique : la restauration de l’Etat breton et l’indépendance de la nation, conditions fondamentales de la préservation du peuple breton au 21e siècle. La restauration de notre état et de notre indépendance ne sont pas une coquetterie, mais une nécessité vitale pour le peuple breton. La France est entrée dans sa phase de déchéance finale et de cette phase, elle ne pourra pas se relever. La question est de savoir si elle entraînera ou non notre pays dans l’abîme.

Notre réponse, camarades, est non.

Quelles sont les manifestations de cette déchéance ? La première est la disparition de l’homogénéité de son peuplement et la balkanisation rapide de son territoire en une myriade d’enclaves ethniques et religieuses, résultat de la colonisation à rebours que connaît l’Etat français. La Bretagne étant encore une colonie française, elle connaît, elle aussi, de par l’occupation qu’elle subit, ce phénomène dans ses grandes villes et même ici, à Pontivy, cette menace se matérialise.

Ce bouleversement démographique n’est que le symptôme d’une dissolution anthropologique générale. Notre peuple risque rien de moins que de disparaître, s’il se complaît dans l’indifférence. Ne pas lutter contre cette mort lente qui ronge notre patrie, c’est accepter de la voir disparaître après des millénaires de transmission et de combats menés par notre ancêtres. Tant que la Bretagne sera sous le joug de l’Etat français et d’une clique de politiciens à la botte de Paris, elle suivra la pente mortelle qu’a déjà emprunté la France.

Soyons concrets : la France sera à majorité extra-européenne d’ici 2060, au plus tard. La situation est déjà intenable dans nos villes, comme à Nantes, Rennes ou Brest. Il suffit à chacun d’imaginer, d’ici à 2060, c’est-à-dire d’ici 37 ans, la moitié d’une vie d’homme, ce que sera la longue agonie d’une Bretagne abandonnée par ses fils à l’étranger. Cela, le Parti National Breton n’en veut pas. Il veut doter le peuple breton de l’état nationaliste nécessaire à sa survie, au 21e siècle, pour régler cette question une fois pour toute et assurer à la Bretagne la continuité biologique de son peuple. En un mot, sa survie.

Il était une évidence pour le Parti National Breton de rassembler ses militants et sympathisants là où, il y a 82 ans, les pères fondateurs de l’Emsav ont défié avec lucidité la République française qui était déjà lancée sur le chemin de la disparition que nous connaissons aujourd’hui. Le choix de Pontivy, à l’époque, se justifiait pour balayer symboliquement le pacte des révolutionnaires réunis cette ville, en 1790, qui jurèrent de détruire la Bretagne. Il fallait à l’époque, plus encore qu’aujourd’hui, une puissante clairvoyance, et encore plus de courage, pour affirmer, comme le firent Fransez Debauvais, Olier Mordrel, Marcel Guiyesse et Célestin Lainé, l’impérative liberté de la Bretagne pour conjurer le naufrage. Ils avaient raison trop tôt, alors qu’il était déjà très tard.

Si la France est condamnée à devenir un foyer de la barbarie afro-orientale, véritable bastion de l’islam en Europe, la Bretagne dispose encore des moyens de préserver son être national, de revivifier sa culture celtique, à la condition que son avant-garde nationaliste, représentée par le Parti National Breton, sache réveiller le sentiment national breton dans les masses, les organiser et en faire la force motrice du salut de la nation par la constitution de l’Etat breton. Ce réveil passe par l’organisation méthodique de l’action nationaliste. Cela implique pour le Parti National Breton de se construire en parti révolutionnaire professionnel, c’est-à-dire en parti hiérarchisé, discipliné qui, sans méconnaître l’immensité de la tâche, sait que les circonstances objectives sont désormais réunies pour qu’une part importante de Bretons sortent de leurs illusions, rompent leur sujétion mentale à l’égard de la marâtre française et forgent leur nouvel état.

La situation est simple : le Parti National Breton affronte la totalité des partis français et l’Etat français lui-même. Sa force, c’est celle qu’il sera capable de susciter par son action dans l’esprit et le coeur des masses bretonnes. Les militants et sympathisants du PNB ne doivent pas se laisser impressionner : toutes les grandes tâches ont été entreprises par une poignée d’hommes. Ayant commencé à peu, nous sommes désormais, après douze mois d’action, des dizaines à agir au sein du PNB pour notre pays. Nous voulons être bien plus pour élargir la lutte. Le Parti National Breton doit mobiliser la partie patriotique du peuple breton, c’est-à-dire celle qui a encore la mémoire de son sang, qui représente désormais un Breton sur cinq, et l’organiser politiquement pour qu’elle fasse ce que d’autres nations font en ce moment même en Europe, qu’il s’agisse de la Catalogne ou de l’Ecosse, pour se dégager de la tutelle d’états pourris, voués à la faillite, au chaos et à l’anarchie. Les Bretons, en prenant conscience de leur nationalité et de leur cohésion ethnique, doivent parvenir à la conclusion que seul le Parti National Breton, et à travers lui, demain, l’Etat breton, est en mesure de prendre les mesures radicales qui s’imposent pour assurer la survie du peuple breton.

Le Parti National Breton doit amplifier son effort en élargissant considérablement sa base militante et en établissant une présence organisée partout en Bretagne. Cette base, encore jeune, n’est rien moins que celle de l’Etat breton qui doit en découler. Nous sommes tous des combattants de l’Etat breton. Cela suppose pour le Parti National Breton de recruter en allant partout à la rencontre du peuple breton, de chercher en son sein les éléments nationalisés et d’en nationaliser de nouveaux, et sur cette base, de lancer la révolution bretonne qui doit aboutir à la libération complète de la Bretagne et à la création d’un état nationaliste qui inverse la spirale de la disparition qui frappe notre peuple.

Les Bretons, n’en doutez pas camarades, attendent une phase nouvelle de leur histoire, une phase nationale, dégagée de la France pourrissante. Ce sentiment est encore confus, mais réel. C’est au Parti National Breton de le leur offrir, par la voix et l’action de ses militants, le chemin pratique vers cette phase nouvelle.

Nous avons encore beaucoup à apprendre, beaucoup à faire, mais l’horizon est dégagé, le but est clair, la volonté intégrale. L’alternative, nous le savons, n’est rien moins que la destruction de notre terre et de notre peuple.

Nous serons à la hauteur, car nous n’avons pas le droit d’échouer.

Bevet Breizh !

Breizh Atav ! 

Le Parti National Breton appelle les patriotes bretons à le rejoindre pour mener à bien le combat pour la restauration de l’Etat breton dont dépend la survie de notre peuple.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Communiqué du PNB : “Clandestins afghans à Rennes et Roscoff : la Bretagne ne doit pas être la poubelle de la France !”

Communiqué du PNB : “Clandestins afghans à Rennes et Roscoff : la Bretagne ne doit pas être la poubelle de la France !”

[PNB] Le gouvernement français a annoncé vouloir vider les poubelles migratoires de Paris en Bretagne. 

Valeurs Actuelles :

Une opération d’évacuation de 771 migrants a eu lieu boulevard de la Chapelle dans le 18e arrondissement de Paris, ce vendredi matin, selon nos informations. Avant le début de l’opération, un groupe de familles, soit environ 60 personnes, ont été confiés aux soins d’associations. Pour le reste, il s’agit d’hommes majeurs, essentiellement de nationalité afghane, précise une source policière à Valeurs actuelles. Ceux-ci ont été répartis par bus dans toute la France.

Paris va ainsi déverser 25 migrants d’Afghanistan à Rennes et 10 à Roscoff.

Pour le Parti National Breton, cette décision est le résultat du statut colonial de la Bretagne. Dépourvue d’état national et de souveraineté, son territoire n’est qu’une excroissance du système français qui y mène sa sauvage politique de nettoyage ethnique à bas bruit contre les Bretons grâce à l’immigration de remplacement.

Sans abolir le statut de sujétion de la Bretagne à l’Etat français, cette submersion migratoire ne s’arrêtera pas. Les ravages de l’immigration s’accentueront sur le territoire breton, rendant la situation générale intenable pour la population breton. Pour préserver le peuple breton et la paix intérieure bretonne, l’indépendance de la Bretagne est la seule et unique solution.

Seul un état national breton pourra mettre un terme à cette politique destructrice du régime français.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

16 décembre 1794 : Jean-Baptiste Carrier est guillotiné à Paris pour avoir exterminé près de 10,000 innocents à Nantes, lors de la Terreur

16 décembre 1794 : Jean-Baptiste Carrier est guillotiné à Paris pour avoir exterminé près de 10,000 innocents à Nantes, lors de la Terreur

[ISTOR BREIZH] Le 16 décembre 1794, Jean-Baptiste Carrier est guillotiné à Paris. Après s’être débarrassé de Robespierre, le gouvernement républicain cherche alors à se débarrasser de ses exécutants les plus compromis pour épargner les véritables décideurs.

Joseph Fouché, conventionnel et jacobin radical, lui-même impliqué dans les meurtres de masse les plus sanglants de la Terreur, notamment à Lyon, joue un rôle clef dans le renversement du gouvernement terroriste de Robespierre. Pressentant que la chute de ce dernier est inévitable au cours de 1794, il prend la tête de la conspiration visant à l’abattre pour mieux pouvoir échapper aux retombées de la fin du terrorisme. Il parvient à convaincre les indécis au sein de la Convention, le parlement français, qu’ils figurent sur la prochaine liste des députés que Robespierre entend faire exécuter. Paniqués, ils se rallient à son plan et votent la mise en accusation de Robespierre.

Conscient que les massacres de masse perpétrés par le gouvernement républicain entraîneront des enquêtes à grande échelle, il prend une nouvelle fois les devants. Il fait parvenir au journaliste Gracchus Babeuf, jacobin radical lui-même, les documents les plus compromettants à propos des évènements de Nantes. Il n’en garde que les éléments accablant Carrier avant de lancer la campagne d’accusation médiatique. Carrier est rapidement accusé de la mise à mort de milliers d’innocents, dont les noyades, à Nantes, de 5,000 personnes et l’exécution de milliers d’autres, simplement accusés par Carrier de déviation idéologique.

Carrier, fanatique assoiffé de sang, adhère au projet révolutionnaire qui vise à détruire la société ancienne et, avec elle, ses membres. Il préfigure les commissaires bolcheviques qui commettront les plus grands crimes de masse du 20e siècle. Carrier assiste aux nombreuses tueries qu’il met à exécution à Nantes, organisant des repas mondains où il invite les révolutionnaires présents dans la ville. Il est connu comme un violeur compulsif qui abuse des prisonnières que les bandes républicaines font en Bretagne.

Carrier, loin de rougir, assume cette politique génocidaire jusqu’au parlement français où, en février 1793, il soutient explicitement à la tribune le général Tureau dans sa politique d’extermination des femmes et des enfants en Vendée.

Il conclut son intervention en disant :

Tuons donc tous les rebelles sans miséricorde. Le plan du comité de salut public et celui des généraux est conforme à mes vues.

Boucher servile et zélé, Carrier est jugé de manière expéditive en décembre 1794 pour protéger les véritables architectes de la Terreur après la chute de Robespierre.

Pour sa défense, Carrier déclare aux membres du Tribunal révolutionnaire qui supervise l’opération de blanchissement des terroristes en le sacrifiant pour apaiser l’opinion : “Tout est coupable ici, jusqu’à la sonnette du président !”.

Breton, souviens-toi !

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

 

L’Equipe de France ou la marche des Sans-Culottes vers l’Afrique (Editorial du PNB)

L’Equipe de France ou la marche des Sans-Culottes vers l’Afrique (Editorial du PNB)

[PNB] Citant l’essayiste Eric Naulleau, le journal parisien Le Figaro titrait, hier, que la Coupe du Monde de football était le “dernier évènement qui fédère à ce point la nation (française)”. La formule est inexacte – la France n’est pas une nation, mais un empire -, mais c’est en effet tout ce qu’il reste de l’empire français : une équipe de football composée au trois quarts de sportifs africains.

C’est, à bien des égards, la forme paroxystique et caricaturale d’un processus impérialiste entamé il y a huit siècles sous la direction de Philippe Le Bel, depuis Paris, puissamment accéléré avec l’éviction des Anglais du continent et la destruction des états breton et bourguignon à la fin du 15ème siècle. Libéré sur le continent, la bureaucratie centrale parisienne, grâce à son armée, a pu étendre à grande échelle son système impérialiste sur les autres continents à partir de 16ème siècle, ce jusqu’à son effondrement complet en 1962.

Immédiatement après la fin de la Guerre d’Algérie, le processus impérialiste, loin de se clôturer, a tenté de maintenir le projet impérial en métropole, faute de le réussir au niveau planétaire. L’immigration à rebours originaire des colonies, légitimée par l’idéologie missionnaire et impérialiste de 1789, est devenue, sur le modèle du recours aux sujets coloniaux en 1914, la réponse d’une bureaucratie d’état parisienne à son échec historique hors d’Europe. Paris s’identifie totalement à l’Afrique dont elle veut être le tremplin politique planétaire.

En cohérence avec cette logique, la démographie africaine est désormais la solution choisie par Paris pour répondre à l’effondrement de la natalité autochtone en France. Sur le même principe, elle “externalise” ses équipes sportives en “internalisant” l’Afrique par l’immigration. Officiellement sous bannière française, c’est bien toute l’Afrique francophone que la France utilise désormais dans les compétitions sportives mondiales.

De par sa construction impérialiste, l’Etat français se retrouve à organiser et exalter le propre effacement du noyau ethno-biologique qui servait de base humaine à sa création. Le spectacle grotesque du chauvinisme tricolore, excité par une équipe de mercenaires africains, résume parfaitement la fin tragi-comique d’un empire débordé dans ses frontières par ses anciens sujets extra-européens. La sans-culotterie braillarde rejoint finalement la sauvagerie africaine.

Pour les Bretons, la question que pose ce spectacle absurde et sinistre, c’est celle du réveil de leur nationalité face à la fin de l’empire français sous le poids de la submersion afro-islamique que devait par nécessité déclencher la colonisation. Si les Bretons ne prennent pas conscience de leur nationalité, ne prennent pas les dispositions décisives à la préservation de leur personnalité ethnique face à l’Etat français, et restent, par acculturation, prisonniers du fatras multiracial hexagonal tandis que la démographie fait son office, ils disparaîtront durant ce siècle, amalgamés à l’Etat afro-musulman sur le territoire français.

C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui plus encore qu’hier, toute manifestation de chauvinisme français en Bretagne, en plus d’être en soi odieuse, est surtout la manifestation de la marche au néant africain que supervise l’Etat français dans sa fuite en avant vers la sauvagerie afro-sans-culottarde.

Beaucoup de Bretons se plaignent, mais combien agissent de manière ordonnée et révolutionnaire ? Il n’y aura pas de salut sans solution radicale. C’est cette solution que le Parti National Breton veut apporter. Les Bretons lucides doivent réagir et rejoindre le Parti National Breton pour organiser l’alternative à la menace existentielle qui pèse sur notre peuple. Attendre, ou couper les cheveux en quatre, n’est plus un luxe que les Bretons peuvent se permettre, ni la complaisance, la fainéantise, le refus de la discipline au nom d’un anarcho-individualisme compulsif, sauf à accepter d’être remplacés par “les conquérants de nos conquérants” qui, à ce stade, n’ont guère qu’à poser leurs valises – quand ils en ont – en Bretagne. 

Les Bretons doivent retrouver le sens de leur race, le sens de leur nationalité celtique, ce que seul le Parti National Breton entend faire, loin du régionalisme marxisant ou des amicales culturelles inopérantes. Cette décennie sera cruciale et les Bretons doivent désormais choisir leur destin.

Pour rejoindre le PNB : partinationalbreton

 

Carhaix : le Parti National Breton invite Christian Troadec à déménager au Maroc dans les plus brefs délais

Carhaix : le Parti National Breton invite Christian Troadec à déménager au Maroc dans les plus brefs délais

[PNB] Opportunisme et absence de dignité vont souvent de paire. Chez le socialiste français Christian Troadec, c’est une attitude de principe. L’édile de Carhaix-Plouguer, fidèle à son goût revendiqué pour l’écrémage de toutes les bassines électorales, a jugé de bon ton, sinon nécessaire, de se prosterner au pied du bled marocain dont il se félicite du débordement démographique en Bretagne.

Puisque Christian Troadec éprouve un besoin irrépressible de vivre au milieu des Arabes, nous l’invitons à aller au bout de ses aspirations en déménageant sans tarder au Maghreb.

Carhaix, pas plus que la Bretagne, n’a à subir les conséquences de l’inextinguible soif de métèques de la gauche française.

Breizh Atav !

Pour le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

L’assassinat de l’Abbé Perrot : de la barbarie sans-culotte à la barbarie marxiste

L’assassinat de l’Abbé Perrot : de la barbarie sans-culotte à la barbarie marxiste

[PNB] Dans cette lecture nationaliste n°2, l’assassinat de l’Abbé Yann Vari Perrot, le 12 décembre 1943, est replacé dans son contexte géopolitique, idéologique et historique.

En abattant la figure de la résistance culturelle et linguistique bretonne, à Scrignac, à l’automne 1943, ce n’est pas qu’un prélat que les assassins du Parti communiste français ont visé, c’est l’âme de la vieille Bretagne que les héritiers des terroristes de 1793 ont voulu tuer. Ce meurtre préfigurait l’entreprise d’anéantissement qui devait suivre le coup d’état révolutionnaire léniniste auquel s’activaient les bandes rouges de Staline en France et en Bretagne, à la veille du débarquement allié.

L’objectif des agents de l’Internationale marxiste était l’élimination préventive des cadres de la résistance anticommuniste qui ne manquerait pas de s’organiser au lendemain de l’établissement d’une république bolchevique pro-soviétique dans l’Hexagone. L’Abbé Perrot, de par son charisme débordant sur l’ensemble de la Bretagne, était une cible politique évidente pour les bolcheviques.

Le martyre de l’Abbé Perrot est un legs fondamental pour l’Emsav et les patriotes bretons. Pour ceux qui luttent contre les ennemis mortels de la Bretagne, le crime scelle dans le sang du prêtre la promesse de mener le combat jusqu’à la victoire finale.

Pour rejoindre le PNB : [email protected] 

L’Afrique mise en scène à la prison de Rennes : face à la sauvagerie française, une seule solution, l’Etat breton !

L’Afrique mise en scène à la prison de Rennes : face à la sauvagerie française, une seule solution, l’Etat breton !

[PNB] La culture française continue de menacer la Bretagne. Dernier exemple en date, la France se donnait en spectacle au centre pénitentiaire de Rennes, dont les détenus sont à l’image des “artistes” venus de l’Hexagone.

La culture française se confond avec l’Afrique. Même aspiration, même finalité. Seule la fin de l’occupation française peut sauver la Bretagne de l’islamo-brésilianisation que prépare l’Etat français pour elle.

Face à l’anarchie française, le Parti National Breton veut restaurer l’ordre breton en Bretagne, ce que seul l’Etat breton pourra réaliser par une politique radicale et inflexible. En plus d’une politique répressive drastique, l’Etat breton expulsera massivement les étrangers indésirables venus de France.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Ephéméride national breton : 9 décembre 1378, l’annexion illégale de la Bretagne par la France déclenche le soulèvement général de la nation bretonne, les Français sont vaincus 10 mois plus tard

Ephéméride national breton : 9 décembre 1378, l’annexion illégale de la Bretagne par la France déclenche le soulèvement général de la nation bretonne, les Français sont vaincus 10 mois plus tard

[ISTOR BREIZH] Le 9 décembre 1378, le roi de France Charles V fait ordonner l’annexion de la Bretagne par le parlement de Paris.

La nation bretonne se soulève et forme une ligue patriotique pour chasser les Français du pays. Une délégation est envoyée en Angleterre pour demander au duc Jean IV de prendre la tête de l’armée de libération. Le souverain breton accepte et débarque à Dinard le 3 août 1379 avec des troupes de l’allié anglais.

Les Français, rapidement écrasés, doivent fuir en désordre face à la violente contre-offensive bretonne. Ils capitulent deux mois plus tard, en octobre 1379.

Le chant An alarc’h célèbre la guerre de libération nationale remportée par le duc Jean IV.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]