Rencontre militante de nouvelle année 2024 !

Rencontre militante de nouvelle année 2024 !

[PNB] Samedi 13 janvier 2024, le Parti National Breton organisait un repas patriotique pour la nouvelle année.

Des militants de toute la Bretagne se sont réunis dans une ambiance de camaraderie et d’unité. Ils ont dressé un bilan des actions menées durant l’année écoulée et échangé sur les expériences des diverses sections et préparer 2024.

La Bretagne fait face à de nombreux défis et le PNB aborde l’avenir avec confiance et une détermination renouvelée.

Vous aussi, participez à la défense de notre chère Bretagne et rejoignez-nous !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour nous rejoindre : [email protected]

 

Les kevrennoù (sections) du Parti National Breton

Le Parti National Breton compte neuf sections chargées d’organiser l’implantation du PNB dans toute la Bretagne :

  • Bro Leon (Pays du Léon)
  • Bro Kerne (Pays de Cornouaille)
  • Bro Dreger (Pays du Trégor)
  • Bro Sant Brieg (Pays de Saint-Brieuc)
  • Bro Sant Maloù (Pays de Saint-Malo)
  • Bro Roazhon (Pays Rennais)
  • Bro Naoned (Pays Nantais)
  • Bro Gwened (Pays Vannetais)
  • Pourc’hoad (Porhoët)

Vous aussi participez près de chez vous à la progression du Parti National Breton pour bâtir une Bretagne fière, forte et libre !

Email : [email protected]

La France, ennemie mortelle de l’Europe européenne !

La France, ennemie mortelle de l’Europe européenne !

[PNB] La Bretagne souffre dans bien des domaines d’une absence de pensée nationale, indépendante, résultat logique de l’occupation et de l’administration de notre pays par la puissance coloniale française. Depuis trop longtemps déjà, les Bretons sont réquisitionnés par Paris pour servir ses intérêts, dans différents domaines, après avoir enrégimentés idéologiquement dans les écoles du régime hexagonal. La tâche du Parti National Breton est de répondre à cette grave lacune en soulignant les intérêts fondamentaux de la Bretagne nationale.

Développer une pensée bretonne nationale suppose de penser la Bretagne, ses intérêts et ses rapports avec les autres nations, non seulement en tant que nation libérée de l’influence française, dégagée des slogans ou des fausses évidences que claironne la presse hexagonale, mais aussi de la penser comme étant en lutte pour contre cette influence. 

En France, chacun le sait, le parlement est la chambre d’enregistrement d’un pouvoir monarchique d’apparence présidentielle extrêmement centralisé et sclérosé. Les députés et sénateurs bretons qui y participent ne sont pas tenus de servir le Peuple breton, mais de servir l’Etat français, c’est-à-dire Paris, moyennant titres, protocoles et exposition médiatique. Sans parler des inévitables montages de corruption. Par définition, le troupeau parlementaire breton brille pas son inexistence politique, et, si par extraordinaire il prétend agir, ou même penser, il se borne à répéter les vues qui ont cours au sein de la bourgeoisie parisienne.

Larsonneur, une de ses bouches inutiles du Palais Bourbon, député français de Brest, l’illustre bien. Ces derniers temps, il se pique de guerre, supposément parce que Brest, le kyste français depuis trop longtemps présent en Bretagne, accueille les ruines de l’antique marine française et qu’à ce titre, un député de cette ville est l’homme lige de cette flotte de guerre décatie. Cet homme se consacre à répandre les vues bellicistes des cercles parisiens, sous le vernis de la légitimité électorale que lui aurait conféré la population brestoise. Il est question de soutenir l’Ukraine contre la Russie, mais aussi de soutenir l’implication de la Pologne dans cette guerre pour empêcher que la Russie ne noue un pacte avec l’Allemagne. C’est ce pacte germano-russe que redoute le chien enragé hexagonal en voie d’afro-orientalisation.

 

Il faudrait faire observer à Larsonneur que l’Ukraine recrute et que s’il veut affronter la Russie, un simple billet de train pour Kiev suffirait à assouvir ses pulsions guerrières intimes. Surtout, il faudrait lui faire observer que les Bretons ne veulent pas mourir pour la clique parisienne ou ses hallucinations “stratégiques”, encore moins en Ukraine, dans les Pays Baltes ou “à Varsovie”. Non, de ce côté-là, les Bretons ne veulent plus réitérer le désastreux suivisme de 1870, de 1914 et de 1939. Ils ont vu comment la mère maquerelle française les remerciait pour le sang breton abondamment versé : par les crachats que furent l’interdiction de leur langue, la privation de leurs droits nationaux, l’amputation de leur territoire historique et, aujourd’hui, le repeuplement brutal de leurs terres ancestrales par les sujets exotiques venus de France.

Le PNB le dit clairement : ce ne sont pas les Bretons privés de leur nationalité qui iront mourir pour celle des autres. Paris, à ce sujet, peut faire une croix sur une telle fièvre belliciste en Bretagne. Le PNB ajoute que l’obsession anti-allemande de la classe politique parisienne ne rencontre aucun écho en Bretagne. Bien au contraire, la Bretagne voit dans l’Allemagne le centre de gravité nécessaire de l’Europe continentale qu’une France impérialiste, agressive et destructrice a constamment cherché à provoquer. Il importe, pour la stabilité européenne, que la France soit définitivement empêchée de nuire. 

Allons plus loin. La France, comme état à prétention nationale, est finie. Les émeutes raciales à grande échelle de juillet 2023 l’ont prouvé, sa balkanisation, irréversible, l’emportera tôt ou tard. Ce navire en plein naufrage doit être tenu à bonne distance, ce qui, pour la Bretagne, signifie l’indépendance pleine et entière, à l’instar de l’Ecosse ou de la Catalogne. Cet état, foncièrement anti-européen, est une erreur géopolitique qui depuis 12 siècles empoisonne la vie continentale. Le moment de solder cette erreur approche et il est dans l’intérêt de la Bretagne d’apporter sa contribution dans cette nécessaire évolution.

L’Etat français, voilà le seul ennemi de la nation bretonne. Cet ennemi ne se situe pas à des milliers de kilomètres, il est dans nos villes, il déploie son infâme tricolore, souille notre terre de sa présence, sabote par tous les moyens la Bretagne nationale. L’intérêt décisif de la nation bretonne est de travailler à sa neutralité stratégique qui va de paire avec son indépendance. Rejeter avec vigueur les projets bellicistes de l’impérialisme français figure en haut des priorités nationales et cela, à mesure que le conflit s’étend, devra être martelé.

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Le PNB répond aux insultes du journal d’état français “Le Télégramme”

[PNB] Les Bretons le savent, les médias d’état français n’ont pour seule fonction que d’imposer à la Bretagne les volontés de Paris et de sa caste. Face à la crise du logement, la fermeté du Parti National Breton suscite la colère des propagandistes du Télégramme.

Alors que ce journal à la botte de l’Etat français faisait la promotion de la priorité pour le logement en faveur des migrants clandestins venus de France, le PNB a réagi sans détour.

Les réactions des plumitifs français du “Télégramme” n’ont pas tardé.

La réaction du Parti National Breton aux insultes des cadres du “Télégramme” a été claire. Face à la propagande antibretonne, le PNB maintiendra le cap et défendra l’exclusivité des droits bretons en Bretagne.

Les ennemis de la Bretagne sont connus, leur politique est invariable : déposséder les Bretons de leur identité, de leur terre, de leur avenir. Le Parti National Breton ne variera pas non plus et s’opposera aux ennemis de notre peuple sans faiblir jusqu’à ce que la liberté de notre nation soit retrouvée.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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L’Etat français accumule 3088 milliards d’euros de dette en 2023, préparons le Breizhxit !

[PNB] Au troisième trimestre 2023, la dette publique française a atteint un nouveau record historique de 3 088,25 milliards d’euros. Depuis 2020, elle a explosé de 713 milliards d’euros, alors que le PIB français n’a progressé que de 325 milliards d’euros ! 

Pour la Bretagne, il est temps de préparer le Breizhxit.

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