+20% d’inflation alimentaire : la Bretagne victime des diktats catastrophiques de l’Etat français !

+20% d’inflation alimentaire : la Bretagne victime des diktats catastrophiques de l’Etat français !

[PNB] De l’aveu du Vice-président aux Finances du Conseil régional de Bretagne, Stéphane Perrin-Sarzier, l’inflation alimentaire en Bretagne se situe à près de 20% en 2022 (lire ici). Cette situation désastreuse, mais aisément prévisible, est le résultat de la politique catastrophique imposée à la Bretagne par l’Etat français depuis des années. 

Tout d’abord, les confinements de 2020-2021, dictés par Paris, ont créé un choc majeur sur les chaînes d’approvisionnements, les désorganisant en profondeur, avec, pour conséquence, une crise de l’offre. L’escalade de sanctions contre la Russie, en plaçant de fait l’Europe sous rationnement, a fait exploser le coût de l’énergie et des matières premières. Pour les secteurs primaires comme le secteur agricole breton, la compétition internationale s’en retrouvera considérablement durcie dans les années à venir, sans espoir de voir la situation s’améliorer. L’extrême dépendance bretonne en matière d’énergie constitue à présent une grave menace pour l’avenir de notre peuple.

Faute de souveraineté nationale, la Bretagne a subi, impuissante, les diktats de Paris. Désormais, les Bretons sont pieds et poings liés face aux conséquences de cette politique sanitaire et internationale française. Paris impose des coupes budgétaires drastiques aux différentes collectivités bretonnes qui ne peuvent réagir, faute d’indépendance fiscale.

Le Parti National Breton souligne l’importance pour la nation bretonne de disposer d’un état national en mesure de décider des politiques intérieure et extérieure qui limiteront les conséquences du naufrage français en Bretagne. Avec 3,000 milliards de dette publique, la faillite de l’Etat français n’est plus qu’une question de temps. Pour retarder l’inévitable banqueroute, Paris ne cessera de racketter toujours plus les contribuables bretons.

La seule solution : l’indépendance nationale !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Mouezh ar Vroad n°2 : “Petra o deus graet evit ar Vro ?”

Mouezh ar Vroad n°2 : “Petra o deus graet evit ar Vro ?”

[PNB] Petra o deus graet evit ar Vro ? Piv e oant Louez-Napoleon ar Rouz, Yann Fouere, Neven Trogoff, Glenmor, Morvan Lebesque ha Roparz Hemon ? Petra graent evit ar Vro ?

Deus da gavout bremañ.

A galon vat !

Bevet Breizh ! Breizh atav !

 Arlizh derou
 Digoradur
 An Emsav
 Louez-Napoleon ar Rouz
 Yann Fouere
 Neven Trogoff
 Glenmor
 Morvan Lebesque
 Roparz Hemon
 Conclusion
 Klozadur
 Arlizh dibenn

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Ephéméride national breton : 27 décembre 1931, fondation du Parti National Breton

Ephéméride national breton : 27 décembre 1931, fondation du Parti National Breton

[PNB] Le 27 décembre 1931, à Landerneau, les cadres du Parti Autonomiste Breton se rassemblaient pour clarifier le positionnement du P.A.B. après la sécession d’éléments de gauche, fédéralistes et internationalistes lors d’une réunion à Guingamp. Ce fut l’affirmation nationale qui s’en retrouva nettement formulée et le P.A.B. devint le Parti National Breton, succédant au Parti Nationaliste Breton fondé en 1911, lequel avait été brutalement stoppé dans son élan avant-gardiste par la Première guerre mondiale.

Nos grands anciens eurent également à affronter les circonstances internationales les plus difficiles. Le Parti National Breton, fondé en 1931, brandit héroïquement la bannière nationale face à l’impérialisme français en 1939, proclama la renaissance nationale à Pontivy en juillet 1940, mena une intense activité qui gagnait en puissance dans toute la Bretagne durant un conflit que les Bretons n’avaient pas recherché, mais ne put poursuivre ses activités après 1944 sous l’effet d’une nouvelle Terreur, digne de 1793, menée par les gaullo-communistes français.

Par la suite, en dépit de l’éclipse de l’Emsav, la flamme nationale continua de couver sous la cendre, avant d’être réactivée par le Front de Libération de la Bretagne. Hélas, très vite, l’influence délétère du marxisme, qui connaissait une nouvelle flambée à partir des années 1960 sous la forme du gauchisme, 120 ans après la publication du Manifeste du Parti Communiste de Marx et Engels, porta un coup particulièrement dur à l’Emsav. Le combat ethno-national breton fut systématiquement obscurci et escamoté par les doctrinaires du marxisme pour se voir subordonner à ce fanatisme religieux qu’est la fièvre rouge. La nation bretonne connut à cette occasion un formidable recul de son niveau de conscience, basculant dans le socialisme hexagonal, toutes tendances confondues, lorsque le Parti socialiste français après qu’il se soit emparé du Conseil “régional” de Bretagne en 2004 et qu’il trouva de nombreuses recrues chez les éléments dégénérés du régionalisme de gauche. L’opportunisme se dévoila et, pour la Bretagne, ce fut une leçon de politique.

Aujourd’hui, le socialisme est moribond et avec lui, la gangue dénationalisante sous laquelle agonisait l’Emsav. Les cervelles folles qui croient encore au sans-frontiérisme et à l’utopie égalitaire n’ont plus rien à proposer au Peuple Breton si ce n’est, en pratique, un flot immense d’immigration extra-européenne, par haine de leur propre peuple et de la Bretagne bretonne, mais aussi, plus prosaïquement, pour compenser l’hémorragie d’électeurs qui frappe la gauche française. 

Décembre 2021 fut l’heure, pour la nation bretonne, de réaffirmer ce qui lui avait été largement interdit pendant près de soixante ans par les bandes du socialo-marxisme hexagonal et la presse du régime français, toujours écumante de haine contre les Bretons fiers de leur identité nationale. Désormais, le jeune Parti National Breton affirme hautement la nationalité bretonne telle qu’elle doit être comprise, c’est-à-dire dans sa dimension ethnique, sans le fatras d’idées étrangères importées de France. On ne devient pas breton, on l’est. C’est un sursaut de conscience majeur pour notre nation car, jusqu’à présent, notre nationalité était systématiquement conditionnée par des serments de fidélité à l’idéologie révolutionnaire française, idéologie anti-nationale et cosmopolite par essence. L’église des droits-de-l’homme parisienne ne peut compter sur les militants du Parti National Breton pour faire perdurer cette mystification et la résurrection de la nationalité bretonne par l’activisme nationaliste est désormais un fait politique en Bretagne. C’est d’ailleurs le sens de la proclamation de Pontivy, en décembre 2022.

Nous abordons l’année 2023 avec à l’esprit cette clarification idéologique, politique et historique que notre Parti doit porter. Le travail à réaliser est considérable, mais les jalons préalables ont été posés après un an d’engagement politique. Le Parti National Breton appelle les Bretons à le rejoindre dans cette action décisive à un moment où, une nouvelle fois, les évènements internationaux indiquent que des bouleversements majeurs auront lieu en Europe et ne manqueront pas d’influencer la Bretagne dans sa propre évolution. La France aborde ces tensions internationales dans une position d’une précarité inédite. Financièrement ruinée, profondément divisée, la France est, au plan internationale, un pays en voie de déclassement rapide. Une redistribution mondiale des cartes aboutira à un recul si dramatique de sa position générale, que l’Etat français ne s’en remettra pas. 

Cette fois, la Bretagne devra en ressortir intérieurement et extérieurement renforcée et ce renforcement passe par la montée en puissance du Parti National Breton, instrument de résurrection nationale. L’objectif est la restauration de l’Etat breton, étape indispensable pour rendre aux Bretons les moyens de leur renaissance nationale. De nouvelles possibilités apparaîtront dans la présente décennie et le Parti National Breton doit être un acteur en mesure de les exploiter pour garantir à la nation bretonne des avancées décisives. 

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Saint-Nazaire, ville bretonne !

Saint-Nazaire, ville bretonne !

[PNB] Suite à l’attaque de la municipalité franco-socialiste de Saint-Nazaire contre l’appartenance bretonne de la ville (lire ici), les militants du Parti National Breton ont riposté en menant une opération d’affirmation nationale bretonne sur la région nazairienne !

Saint-Nazaire est et restera une ville bretonne !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Contre les spéculateurs qui louent prioritairement aux migrants, le PNB mène une opération spéciale à Kerlouan !

Contre les spéculateurs qui louent prioritairement aux migrants, le PNB mène une opération spéciale à Kerlouan !

[PNB] En pleine crise de l’accès au logement que connaissent les travailleurs bretons, les militants du Parti National Breton ont mené une opération spéciale à Kerlouan, sur la côte léonarde, confortable commune de résidence de partisans de la préférence étrangère pour le logement qui se sont signalés dans la presse d’état française.

Moyennant un montage fiscal préférentiel garanti par l’Etat colonial français, ces riches possédants louent prioritairement leur patrimoine immobilier aux migrants extra-européens. Pendant ce temps, les travailleurs bretons, déjà fortement touchés par l’envolée des prix de l’immobilier, sont chassés de leurs propres terres, sous les applaudissements des politiciens et des journalistes à la botte de l’Etat français.

Le Parti National Breton, fidèle à sa défense du Peuple Breton et conformément à son combat en faveur de l’exclusivité bretonne pour le logement, a décidé de réagir en dénonçant la collusion entre spéculateurs immobiliers, organisations immigrationnistes et l’état colonial français.

Le Parti National Breton a dénoncé le caractère intolérable de cette véritable discrimination anti-bretonne soutenue par les spéculateurs précités.

Suivant son principe guide “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton a martelé que seul l’Etat breton sera en mesure d’assurer la protection des Bretons.

Conformément à ses mesures d’application immédiate, le Parti National Breton exige :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Honte aux spéculateurs !

Etat français, hors de Bretagne !

La Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Haine du Peuple Breton : le PNB dénonce l’interdiction du Gwenn ha Du par le maire socialiste de Saint-Nazaire, David Samzun

Haine du Peuple Breton : le PNB dénonce l’interdiction du Gwenn ha Du par le maire socialiste de Saint-Nazaire, David Samzun

[PNB] David Samzun, maire franco-socialiste de Saint-Nazaire, a une nouvelle fois craché au visage des Bretons. Interrogée dans le cadre d’une interpellation citoyenne signée par 2,500 habitants de la ville, la majorité municipale de Saint-Nazaire a exprimé son refus de faire flotter le drapeau breton sur le parvis de l’hôtel de ville. Pour toute justification, les représentants de la majorité dirigée par David Samzun se sont laissés aller à des éclats de haine ethnique contre le Peuple breton dignes des délibérations du Comité de Salut Public.

L’adjointe municipale Maribel Létang-Martin, 68 ans, a ainsi dénoncé le Gwenn ha Du et son symbole qu’est l’hermine comme l’expression de “l’opposition entre la Bretagne ducale et la Bretagne républicaine”, c’est-à-dire en la Bretagne libre de la colonisation française et la Bretagne enchaînée actuelle.Létang-Martin a poursuivi en déniant le droit des Bretons à être maîtres de leurs patrie, au motif que  la Bretagne était sous la tutelle des Français et de leur république. “Apposer ce drapeau-là sur le fronton de la mairie serait une erreur parce que les mairies représentent l’endroit où tous les citoyens, à égalité de droit, ont droit de cité” a-t-elle affirmé pour signifier que les étrangers, c’est-à-dire les Français et leurs invités, ont préséance sur les Bretons à Saint-Nazaire.

Inspirés par les consignes de la loge locale du Grand Orient de France, la sans-culotterie municipale nazairienne menée par Samzun poursuit la politique permanente du régime républicain en Bretagne depuis 1789, à savoir la destruction de ses spécificités ethno-nationales. A Saint-Nazaire, outre sa politique ouvertement anti-bretonne, la majorité franco-socialiste a pour priorité de livrer la ville aux étrangers : 72% des personnes figurant sur les listes d’attente pour un logement social sont des migrants extra-européens.

Rappelant que Samzun a été élu sur fond d’abstention record (près de 69%), le Parti National Breton condamne l’incitation à la haine ethnique contre le Peuple breton qu’alimente impunément la municipalité de Saint-Nazaire, représentante du pouvoir colonial français. Il rappelle que le Gwenn ha Du, la bannière nationale bretonne, est partout chez elle en Bretagne.

La dérive sectaire de la très théorique majorité actuelle ne peut qu’accélérer sa marginalisation dans l’opinion nazairienne et, ultimement, sa chute.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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Quimper : les militants du PNB sur le terrain !

Quimper : les militants du PNB sur le terrain !

[PNB] En cette fin d’année 2022, les militants du Parti National Breton continuent de mener les actions d’affirmation nationale bretonne, notamment dans le Pays Glazik.

Le Parti National Breton entend mener avec détermination le travail d’éveil national durant l’année 2023 !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Impunité : à Nantes, l’extrême-gauche attaque et blesse gratuitement 3 personnes

Impunité : à Nantes, l’extrême-gauche attaque et blesse gratuitement 3 personnes

[PNB] Le journal Presse Océan rapporte des violences commises ce weekend par des nervis d’extrême-gauche dits “Antifas” contre trois personnes. Elles ont déposé plainte.

Sous la mandature de Johanna Rolland, la capitale bretonne est devenue un coupe-gorge où viols de rue commis par des migrants du tiers-monde alternent avec des attaques en règle par les bandes de marginaux d’ultra-gauche contre toute personne suspecte de déviationnisme idéologique.

Le Parti National Breton constate la bienveillance des autorités françaises à l’égard de ces deux phénomènes et rappelle que seul un pouvoir breton, par des Bretons, ramènera l’ordre à Nantes, comme dans le reste de la Bretagne.

Bevet Breizh !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Proclamation de Pontivy du Parti National Breton

Proclamation de Pontivy du Parti National Breton

[PNB] Le 17 décembre se sont assemblés à Pontivy les patriotes du Parti National Breton pour poser un acte de fondation par une proclamation solennelle.

Réunis au pied de la forteresse de Rohan, ses chefs ont lu la déclaration suivante :

“Il y a 232 ans, un groupe de Bretons sans mandat, aveuglés par une fausse idéologie, introduite en Bretagne par la France, se réunirent à Pontivy, avec des étrangers, et déclarèrent qu’ils n’étaient plus Bretons, mais Français.

Bien qu’ils fussent persuadés d’introduire ainsi une ère nouvelle en Bretagne, ils ouvrirent en réalité le chemin à la ruine et à la destruction de notre nationalité.

Nous, Patriotes Bretons, accourus aujourd’hui à Pontivy de toutes les parties de la Bretagne, proclamons devant le monde que notre seule Patrie est la BRETAGNE.

Nous jurons de défendre, dans toutes circonstances et envers tous, le droit des Bretons à vivre comme peuple libre.

Que Dieu nous protège pendant la lutte inlassable que nous ouvrons ici pour notre pays.”

Ils ont également donné lecture d’un discours du secrétaire national du Parti National Breton intitulé “La mission du Parti National Breton” dont voici le contenu : 

La mission du Parti National Breton est de sauver le peuple breton de la disparition. Cette tâche, qui incombe à notre Parti, suppose non seulement de réveiller la conscience nationale bretonne dans les masses, mais de la conduire à sa conclusion logique : la restauration de l’Etat breton et l’indépendance de la nation, conditions fondamentales de la préservation du peuple breton au 21e siècle. La restauration de notre état et de notre indépendance ne sont pas une coquetterie, mais une nécessité vitale pour le peuple breton. La France est entrée dans sa phase de déchéance finale et de cette phase, elle ne pourra pas se relever. La question est de savoir si elle entraînera ou non notre pays dans l’abîme.

Notre réponse, camarades, est non.

Quelles sont les manifestations de cette déchéance ? La première est la disparition de l’homogénéité de son peuplement et la balkanisation rapide de son territoire en une myriade d’enclaves ethniques et religieuses, résultat de la colonisation à rebours que connaît l’Etat français. La Bretagne étant encore une colonie française, elle connaît, elle aussi, de par l’occupation qu’elle subit, ce phénomène dans ses grandes villes et même ici, à Pontivy, cette menace se matérialise.

Ce bouleversement démographique n’est que le symptôme d’une dissolution anthropologique générale. Notre peuple risque rien de moins que de disparaître, s’il se complaît dans l’indifférence. Ne pas lutter contre cette mort lente qui ronge notre patrie, c’est accepter de la voir disparaître après des millénaires de transmission et de combats menés par notre ancêtres. Tant que la Bretagne sera sous le joug de l’Etat français et d’une clique de politiciens à la botte de Paris, elle suivra la pente mortelle qu’a déjà emprunté la France.

Soyons concrets : la France sera à majorité extra-européenne d’ici 2060, au plus tard. La situation est déjà intenable dans nos villes, comme à Nantes, Rennes ou Brest. Il suffit à chacun d’imaginer, d’ici à 2060, c’est-à-dire d’ici 37 ans, la moitié d’une vie d’homme, ce que sera la longue agonie d’une Bretagne abandonnée par ses fils à l’étranger. Cela, le Parti National Breton n’en veut pas. Il veut doter le peuple breton de l’état nationaliste nécessaire à sa survie, au 21e siècle, pour régler cette question une fois pour toute et assurer à la Bretagne la continuité biologique de son peuple. En un mot, sa survie.

Il était une évidence pour le Parti National Breton de rassembler ses militants et sympathisants là où, il y a 82 ans, les pères fondateurs de l’Emsav ont défié avec lucidité la République française qui était déjà lancée sur le chemin de la disparition que nous connaissons aujourd’hui. Le choix de Pontivy, à l’époque, se justifiait pour balayer symboliquement le pacte des révolutionnaires réunis cette ville, en 1790, qui jurèrent de détruire la Bretagne. Il fallait à l’époque, plus encore qu’aujourd’hui, une puissante clairvoyance, et encore plus de courage, pour affirmer, comme le firent Fransez Debauvais, Olier Mordrel, Marcel Guiyesse et Célestin Lainé, l’impérative liberté de la Bretagne pour conjurer le naufrage. Ils avaient raison trop tôt, alors qu’il était déjà très tard.

Si la France est condamnée à devenir un foyer de la barbarie afro-orientale, véritable bastion de l’islam en Europe, la Bretagne dispose encore des moyens de préserver son être national, de revivifier sa culture celtique, à la condition que son avant-garde nationaliste, représentée par le Parti National Breton, sache réveiller le sentiment national breton dans les masses, les organiser et en faire la force motrice du salut de la nation par la constitution de l’Etat breton. Ce réveil passe par l’organisation méthodique de l’action nationaliste. Cela implique pour le Parti National Breton de se construire en parti révolutionnaire professionnel, c’est-à-dire en parti hiérarchisé, discipliné qui, sans méconnaître l’immensité de la tâche, sait que les circonstances objectives sont désormais réunies pour qu’une part importante de Bretons sortent de leurs illusions, rompent leur sujétion mentale à l’égard de la marâtre française et forgent leur nouvel état.

La situation est simple : le Parti National Breton affronte la totalité des partis français et l’Etat français lui-même. Sa force, c’est celle qu’il sera capable de susciter par son action dans l’esprit et le coeur des masses bretonnes. Les militants et sympathisants du PNB ne doivent pas se laisser impressionner : toutes les grandes tâches ont été entreprises par une poignée d’hommes. Ayant commencé à peu, nous sommes désormais, après douze mois d’action, des dizaines à agir au sein du PNB pour notre pays. Nous voulons être bien plus pour élargir la lutte. Le Parti National Breton doit mobiliser la partie patriotique du peuple breton, c’est-à-dire celle qui a encore la mémoire de son sang, qui représente désormais un Breton sur cinq, et l’organiser politiquement pour qu’elle fasse ce que d’autres nations font en ce moment même en Europe, qu’il s’agisse de la Catalogne ou de l’Ecosse, pour se dégager de la tutelle d’états pourris, voués à la faillite, au chaos et à l’anarchie. Les Bretons, en prenant conscience de leur nationalité et de leur cohésion ethnique, doivent parvenir à la conclusion que seul le Parti National Breton, et à travers lui, demain, l’Etat breton, est en mesure de prendre les mesures radicales qui s’imposent pour assurer la survie du peuple breton.

Le Parti National Breton doit amplifier son effort en élargissant considérablement sa base militante et en établissant une présence organisée partout en Bretagne. Cette base, encore jeune, n’est rien moins que celle de l’Etat breton qui doit en découler. Nous sommes tous des combattants de l’Etat breton. Cela suppose pour le Parti National Breton de recruter en allant partout à la rencontre du peuple breton, de chercher en son sein les éléments nationalisés et d’en nationaliser de nouveaux, et sur cette base, de lancer la révolution bretonne qui doit aboutir à la libération complète de la Bretagne et à la création d’un état nationaliste qui inverse la spirale de la disparition qui frappe notre peuple.

Les Bretons, n’en doutez pas camarades, attendent une phase nouvelle de leur histoire, une phase nationale, dégagée de la France pourrissante. Ce sentiment est encore confus, mais réel. C’est au Parti National Breton de le leur offrir, par la voix et l’action de ses militants, le chemin pratique vers cette phase nouvelle.

Nous avons encore beaucoup à apprendre, beaucoup à faire, mais l’horizon est dégagé, le but est clair, la volonté intégrale. L’alternative, nous le savons, n’est rien moins que la destruction de notre terre et de notre peuple.

Nous serons à la hauteur, car nous n’avons pas le droit d’échouer.

Bevet Breizh !

Breizh Atav ! 

Le Parti National Breton appelle les patriotes bretons à le rejoindre pour mener à bien le combat pour la restauration de l’Etat breton dont dépend la survie de notre peuple.

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