[PNB] Les scènes d’agression contre des supporters européens commises par des Français d’origine afro-maghrébine, en marge la finale de la Ligue des Champions, ont fait le tour du monde.
Le mec se vante d’être entré illégalement au stade de France en occupant une place d’une valeur de 5000€ et crie vive l’Algérie. Toujours pas de lien entre insécurité, incivilité et immigration ? #stadedefrance#UCLfinalpic.twitter.com/jN3Y1BOXT6
Le Parti National Breton alerte le Peuple Breton sur le danger qui le menace et qu’illustre les scènes du weekend à Paris : si la Bretagne reste sous occupation française, elle suivra le processus de dégénérescence démographique organisé par l’Etat Français sous l’impulsion de sa politique de repeuplement de l’Hexagone par les masses du tiers-monde afro-musulman.
Dominée par Paris, la Bretagne deviendra une autre Seine-Saint-Denis, c’est-à-dire un territoire afro-islamique où règnent le crime organisé et l’islam radical. Ce fléau touche déjà les grandes villes bretonnes et infecte de plus en plus des communes de taille bien plus modeste. Il ne s’agit plus d’immigration, mais d’invasion pure et simple avec, à terme, la disparition physique du Peuple Breton sous le triple effet de la dénatalité, de l’émigration de la jeunesse bretonne, privée de logements par la prédation de la bourgeoisie française, et de la colonisation de peuplement extra-européenne.
Le Parti National Breton appelle les Bretons conscients de la gravité de la situation à rejoindre ses rangs sans tarder pour organiser la résistance ethno-nationale bretonne. L’objectif du PNB est clair : préparer l’indépendance de la Bretagne dans un contexte de balkanisation ethnique et religieuse de la France devenue irréversible.
Le salut de Breizh est en jeu. Le Peuple Breton a encore pour peu de temps son destin en mains.
[PRESSE]Au tribunal correctionnel de Vannes (Morbihan), mercredi 25 mai 2022, ce mari de 43 ans, habituellement violent avec sa femme, a été filmé par son fils. Deux minutes de vidéo accablantes pour l’individu, qui niait les faits. C’est la jeune fille du couple, âgée de 14 ans, qui, cette fois, avait mis fin aux violences. L’homme a été condamné à quatre ans de prison, dont 30 mois avec sursis.
Cette deuxième affaire de violences conjugales devant le tribunal correctionnel de Vannes (Morbihan) a pour cadre un mariage qui dure depuis quinze ans. Cinq enfants sont nés de cette union. “Je l’aime ma femme. C’est moi qui l’ai choisie au bled, en Tunisie“, clame le prévenu dans son box.
[PNB]Le régime colonial français organisera des élections fantoches sur le territoire breton les 12 et 19 juin 2022. L’objectif politique de ce simulacre est d’offrir en Bretagne un semblant de légitimité politico-médiatique au régime.
Le Parti National Breton appelle le Peuple Breton à s’abstenir massivement afin de décrédibiliser et d’affaiblir le régime qui organise l’exode massif de la jeunesse bretonne tout en la remplaçant sur sa terre historique par les retraités et spéculateurs de la bourgeoisie française ainsi que leurs supplétifs afro-musulmans.
Pas une voix bretonne pour l’état criminel français !
[HISTOIRE NATIONALE DE BRETAGNE ]Une cérémonie de couronnement pour un duc de Bretagne existe au moins depuis Conan Ier de Bretagne, car elle fut racontée par les chroniques de Raoul Glaber. Il est cependant très probable que des cérémonies équivalentes se soient déroulées dès l’époque du Royaume de Bretagne et aient inspirées les rituels ducaux. La prestation de serment devant la Porte mordelaise remonte quant à lui au moins à 1213 pour le début de régence de Pierre Mauclerc.
Porte mordelaise au 15e siècle
Porte mordelaise actuellement
Si le cérémonial du couronnement date au minimum du XIe siècle, la première description précise que nous possédions date du couronnement de Jean V de Bretagne par Anselme de Chantemerle en 1401 et décrit en latin dans le Chronicon Briocense. Au 15e siècle, sous la dynastie Monfort, les couronnements ducaux développent réellement leurs fastes et leurs rituels au même moment où, dans son affirmation d’indépendance face au royaume de France, les ducs utilisent la formule « par la grâce de Dieu » dans les actes de leurs chancelleries.
Couronnement du Duc François Ier, chef de l’Etat Breton
En 1442, François Ier réalise son couronnement, dans une cérémonie et représentée dans la Compillation des cronicques et ystoires des Bretons de Pierre Le Baud. Les rituels ducaux ne se modifieront quasiment plus après cela.
Le dernier « vrai » couronnement breton est fait en 1489 pour Anne de Bretagne, dans un contexte de guerre avec la France. La cérémonie, considérée comme peu représentative des coutumes en raison de la faiblesse des moyens, est cependant probablement la plus exactement décrite dans le Missel pontifical de Michel Guibé.
Anne de Bretagne
En 1532, dans le contexte d’annexion de la Bretagne par la France au terme d’un coup d’état orchestré par la monarchie française, un dernier couronnement ducal est réalisé pour François de France, dauphin de France, et qui devient duc sous le nom de François III de Bretagne.
Même si la Bretagne commence à ne devenir plus qu’un simple province du royaume, le roi François Ier veut que son fils soit « receu et couronné en vray duc et seigneur propriétaire de Bretagne, avec toutes solemnitez et autres choses requises et acoustumées d’estre faictes, gardant les louables et anciennes coustumes dudit pays ». Le dauphin-duc se présente par le nord, via la Porte aux Foulons, à cause de son cortège trop nombreux3 et sera ensuite couronné par Yves Mahyeuc.
Entrée solennelle
Avant d’entrer dans la ville, le duc en costume de cérémonie se présente à l’entrée de Rennes, capitale du duché, par la porte mordelaise avec cortège, précédé des hérauts.
Devant l’évêque de Rennes et le gouverneur de la ville, il fait le serment sur les reliques de maintenir les « droitures, souverainetés, noblesses, libertés et franchises du patrimoine de Bretagne », de protéger l’Église et de rendre une Justice impartiale. Il reçoit alors les clés de la ville et se place sous un dais porté par quatre gentilhommes. Il entre alors dans la ville décorée et pavoisée aux couleurs nationales pour se faire voir du peuple breton.
Après avoir écouté les vêpres, il se retire dans le manoir épiscopal nextant la cathédrale Saint-Pierre et passe une nuit de veille en prière.
Couronnement
François Ier, Duc de Bretagne
Le lendemain, le duc habillé d’une robe de cérémonie blanche et d’un habit royal bleu entre dans la cathédrale, où il est revêtu d’un manteau pourpre doublé d’hermine.
Une fois installé sur son trône, on lui remet les regalia de Bretagne : la bannière royale, l’épée ducale bénie par l’évêque et le sceptre. En lui remettant l’épée, l’évêque récite la formule liturgique :
« On vous donne cette épée au nom de monseigneur saint Pierre, comme on l’a donnée aux rois et ducs vos prédécesseurs en signe de justice, pour défendre l’Église et le peuple qui vous est commis, en prince équitable. Dieu veuille que ce soit ainsi, et que vous en puissiez rendre vrai compte au jour du jugement, au sauvement de vous et dudit peuple. »
Enfin, le duc est couronné avec le cercle ducal. En le couronnant, l’évêque récite :
« On vous baille, au nom de Dieu et de monseigneur saint Pierre, ce cercle qui désigne que vous recevez votre puissance de Dieu le tout puissant, puisque étant rond, il n’a ni commencement ni fin. Ce Dieu vous réserve une couronne plus durable dans le ciel, si vous remplissez vos devoirs en contribuant par vos soins à l’exaltation de la foi et à la tranquillité de l’Église et de vos sujets. »
Depuis son trône, le duc répond « Amen » à chaque partie du sermon récité par l’évêque. Il retourne ensuite à son prie-Dieu pour entendre un Te Deum. Avant de sortir, il adoube plusieurs nobles bretons, généralement les premiers pairs du duché. Il monte alors sur son palefroi et parade en triomphe dans les rues de Rennes avant d’aller présider un grand banquet festif.
Ainsi, le Duc de Bretagne, successeur des rois de Bretagne, exprime la puissance souveraine de l’Etat Breton.
[PNB]Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les communes bretonnes aux mains de la gauche coloniale française se transforment invariablement en excroissance du tiers-monde sous l’effet de l’immigration extra-européenne qu’elles organisent sous la direction de Paris.
Les conséquences sont invariablement les mêmes : explosion du crime et de l’insécurité, trafic de drogue endémique, formation d’enclaves islamiques radicalisées, harcèlement sexuel contre les femmes bretonnes sur fond de racisme antiblanc.
La police a organisé une importante opération de sécurisation dans l’après-midi du mardi 24 mai 2022 à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique).
45 fonctionnaires ont été mobilisés dans divers secteurs de la commune, et notamment à Kerlédé, à la suite d’une affaire qui a suscité un fort émoi dans le quartier.
Lundi 2 mai 2022, une arme à feu a été trouvée dans la cour de l’école Jean-Zay.
C’est un enfant qui a fait cette découverte avant de la remettre à un membre du personnel éducatif.
S’il n’y a pas eu de blessé, cet incident a provoqué beaucoup d’émotion.
« J’ai immédiatement écrit à la direction académique. Le sujet a occupé l’essentiel des débats au cours d’une réunion quelques jours plus tard entre le maire, la procureure, le sous-préfet et le commissaire », avance Xavier Perrin, adjoint à l’éducation.
L’élu pointe le trafic de drogue mené depuis le hall de l’immeuble voisin du groupe scolaire, rue Ambroise Paré.
« Le personnel éducatif en a marre de subir les nuisances de dealers qui font des allées et venues toute la journée devant l’école. »
Cette arme pourrait avoir été jetée dans l’enceinte de l’école depuis l’extérieur pour ne pas être trouvée lors d’une intervention de police.
La nuit précédente, le centre commercial qui fait face à l’école avait la cible de multiples cambriolages.
« Les forces de l’ordre font des contrôles. Quand on fait appel à eux, elles répondent présentes. Mais les effectifs ne sont pas suffisants », critique Xavier Perrin.
Contrairement à ce qu’affirme mensongèrement Xavier Perrin, représentant de la gauche socialiste française à Saint-Nazaire, la question qui se pose n’est pas celle de moyens policiers plus importants. C’est-à-dire l’adaptation des Bretons à une invasion qu’ils ne veulent pas.
Tant que l’inondation migratoire organisée par l’Etat Français ne sera pas stoppée, l’augmentation, même théorique, de moyens policiers ne résoudra pas l’effondrement systémique des conditions de vie que la colonisation afro-musulmane génère, à Saint-Nazaire comme dans toutes les communes bretonnes.
Les chiens ne font pas des chats, pas plus qu’hier que demain. Le Parti National Breton réaffirme l’évidence : pour mettre un terme au triomphe de la sauvagerie dans les rues bretonnes, seule une politique d’autodéfense ethno-nationaliste mise en œuvre par l’Etat Breton sera capable de solder les problèmes causés par l’Etat Français et sa politique de remplacement de population en Bretagne. Cela implique d’expulser massivement tous les étrangers indésirables importés sur le territoire breton par la France.
Conformément àson exigence d’application immédiate n°2, le Parti National Breton exige l’interpellation des trafiquants de drogue impliqués dans cette affaire et leur expulsion immédiate du territoire des cinq départements de la Bretagne.
En outre, le Parti National Breton en appellent à chaque Breton : la destruction de la Bretagne poursuivie par l’Etat Français n’est pas inéluctable. Il est du devoir de chaque Breton de s’engager pour sa sauvegarde face aux périls de mort qui la menacent. Pour cela, une seule possible leur est offerte : entrer dans les rangs du Parti National Breton.
[PRESSE]Son nouveau procès, prévu jeudi 19 mai 2022, pour des faits qui remontent à 2018, à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), a été renvoyé au jeudi 7 juillet, car le prévenu n’avait pas d’avocat.
Le 28 juin 2021, Mohammad Rahman Arsala, un Afghan né en 1990, était condamné par la cour d’assises des Côtes-d’Armor à quinze ans de réclusion criminelle pour le viol d’un garçon de 12 ans, dans une maison abandonnée située entre le boulevard de Sévigné et l’aire de jeux du parc des Promenades, à Saint-Brieuc.
Près d’un an plus tard, jeudi 19 mai 2022, le même homme devait être jugé par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc…
[PNB]Les Bretons sont progressivement chassés de leurs terres par les migrants français et extra-européens. Résultat : les populations bretonnes ne peuvent plus se loger.
Sylvie n’a plus de domicile depuis fin mars. L’habitante de Moëlan-sur-Mer a pourtant multiplié les démarches depuis des mois. Cette situation lui a fait perdre son travail.
Sylvie a pourtant cherché partout durant des mois, anticipant le moment où elle allait devoir quitter le logement qu’elle partageait avec son ex-compagnon. Après la séparation, elle ne pouvait plus assumer seule leur maison en location de Moëlan-sur-Mer malgré son salaire d’auxiliaire de vie, qu’elle qualifie de « confortable ». « J’ai fait une demande de logement social il y a deux ans et demi. J’ai renouvelé la demande régulièrement. J’ai envoyé mon dossier à plein de propriétaires mais il y a toujours un meilleur dossier. D’ailleurs, pour une annonce qui paraît, il y a cinquante dossiers », raconte-t-elle avec exaspération.
« J’ai cherché partout. Même dans les terres, il n’y a rien à louer. J’ai appelé tous les campings pour trouver un mobile home mais avec la saison touristique qui arrive, ce n’est pas possible. Quand je vois au Pouldu toutes les maisons avec les volets fermés… Les annonces pour les locations courte durée, ça ne manque pas non plus », ajoute-t-elle avec une pointe de colère dans la voix.
Fin mars, après des mois de recherches intenses, elle a rendu son logement sans en avoir trouvé un autre derrière. Ses meubles sont partis dans un box. Sylvie, 62 ans, et son chien, élisent domicile dans sa voiture. « Je n’arrivais plus à aller au travail après les nuits dans la voiture. C’était trop dur. Je m’occupais d’une personne âgée handicapée six heures par jour par tranche de deux heures. J’ai dû arrêter de travailler. C’est encore plus dur de trouver quelque chose maintenant que je suis au chômage. Je suis arrivée à l’âge de la retraite, pas à celui de dormir dans ma voiture », soupire celle dont la famille vit loin.
Elle finit finalement par être hébergée quelque temps par une famille dans les Côtes-d’Armor avant de recevoir une proposition d’un couple de Moëlanais, Pascal et Helda, où elle vit depuis trois semaines. « C’était une évidence. On ne pouvait pas la laisser dans sa voiture. Tout le monde peut tomber dans la rue », témoigne Helda.
Sylvie est reconnaissante. Mais se sent gênée aussi. « Je culpabilise un peu. Dans ces moments-là, on a tendance à se renfermer un peu », admet-elle. « C’est une belle aventure pour nous. On restera en contact après. On paie une politique de logements qui a créé une pénurie. On a fait jouer notre réseau. Tout le monde cherche », complète Pascal, qui a peut-être une piste à Rosporden.
Marie-Louise Grisel, vice-présidente en charge de l’habitat à Quimperlé Communauté et maire de Moëlan-sur-Mer, est consciente du problème. « Dans le pays de Quimperlé, des personnes sont obligées de dormir au camping ou dans leur camping-car. Mais la politique de logements est en train de changer. Nous allons construire en moyenne 100 logements sociaux par an dans le pays de Quimperlé pour arriver à 549. Dans ma commune, j’ai mis en place une taxe sur les logements vacants », annonce la première édile, qui demande un peu de temps pour que la politique fasse effet. « C’est un travail de longue haleine ».
Contrairement à ce qu’affirme le maire de Moëlan-sur-Mer, la réponse n’est pas dans la bétonisation accélérée de la Bretagne, surtout par le truchement du logement social, par principe réservé aux allogènes extra-européens que l’Etat Français impose en Bretagne dans le cadre de sa politique coloniale de remplacement des Bretons.
La solution réside dans l’arrêt immédiat de la colonisation de peuplement et l’instauration de la priorité bretonne pour le logement !
Face à la double colonisation de peuplement qu’organise l’Etat Français en Bretagne – par le haut, avec la colonisation franco-parisienne, et par le bas, avec la colonisation extra-européenne – le Parti National Breton va prochainement lancer sa campagne sur le thème de la priorité bretonne pour le logement, social et privé.
Ses 4 exigences d’application immédiate pour le logement :
6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.
7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.
8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.
9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.
Le Parti National Breton veut rendre la Bretagne aux Bretons, à tous les niveaux de la société.
[PNB]Pour les besoins de leur promotion du remplacement de la population bretonne par les masses afro-musulmanes, les médias d’état français en Bretagne ne reculent devant aucun acte de désinformation, quitte à innover génétiquement.
Le journal d’état français “Le Télégramme” a ainsi découvert un nouveau concept : les musulmans ukrainiens d’Afrique.
Pour peu que Mourad soit prochainement logé à Pontanézen, à Brest, ou à Malakoff, à Nantes, il n’éprouverait aucune difficulté “d’intégration”, et pour cause : c’est déjà Dar al Islam.
Le Parti National Breton veut pousser plus loin ce concept d’intégration en rapatriant Mourad l’Ukrainien en terre d’Islam.
[PNB]La municipalité franco-socialiste de Rennes, dirigée par Nathalie Appéré, a annoncé son intention de poursuivre son travail de propagande en faveur de la pathologie du travestissement sexuel.
Elle veut ainsi donner le nom d’un passage à un ancien militant normand du Parti communiste français, vétéran du stalinisme, qui aimait se déguiser en femme : Jean-Pierre Voidies dit “Ovida Delect”.
Le communiste Jean-Pierre Voidies souffrait de graves troubles sexuels
Les hôpitaux psychiatriques sont remplis de gens qui pensent être Napoléon Bonaparte ou Jules César, il n’échoie pas pour autant à la société de les croire ou de modifier ses normes sur la base de tels troubles comportementaux.
Le bon sens breton commande de refuser la promotion politique agressive de telles déviances sexuelles par les autorités françaises d’occupation qui, dans le cas du travestissement, a des conséquences graves au plan médical : 40% des individus qui se travestissent se suicident.
Alors que l’islamisation fulgurante de la ville de Rennes sous l’effet du remplacement de population rend la ville de plus en plus inhospitalière et dangereuse, les lubies marginales d’une bourgeoisie ultra-urbaine représentée par Nathalie Appéré sont le symptôme d’une dégénérescence avancée. Ces obsessions bouffonnes témoignent en outre du déphasage complet de la classe politique française qui prétend occuper la Bretagne.
Le Parti National Breton réaffirme son intention de défendre les pulsions vitales du Peuple Breton par l’effacement méthodique des atteintes à l’ordre hétérosexuel et patriarcal, garant de la santé biologique d’une nation libre. Les pathologies sexuelles seront invariablement réintégrées dans le champ psychiatrique et médical par l’Etat Breton, tandis que les déséquilibrés sexuels porteurs d’un passeport français seront fermement invités à rejoindre leur pays d’appartenance.
[PRESSE]Le fléau du remplacement de population organisé par l’Etat Français en Bretagne encore une fois illustré à Nantes.
🔴 De sources #policières, 2 hommes, Aymen B. (16 ans) et Ahmed M. (41 ans) ont été interpellés après avoir piqué en douce une jeune femme de 37 ans sur les quais, à Nantes, le soir du 14 mai. La jeune femme a aussitôt été prise de malaise (sueurs froides, engourdissements..) 1/3
Lors de leur interpellation, les deux hommes venaient de se débarrasser d’un paquet de cigarettes contenant des capsules (vides) de Prégabaline, un médicament utilisé dans le traitement des douleurs neuropathiques, de l’épilepsie et du trouble anxieux généralisé 2/3
De nombreuses personnes en France (Nantes, Rennes, Grenoble, Béziers, Toulouse…) disent avoir été victimes de piqûres de seringue effectuées à leur insu lors d’évènements festifs, provocant des états seconds 3/3 ⬇️https://t.co/eYThHuB0t1
La population nantaise paie le prix de l’administration de la ville par la gauche hexagonale menée par Johanna Rolland.
Le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance de l’ethno-état breton, en rupture radicale avec le régime français, permettra de mettre un terme à la catastrophe migratoire. D’ici là, la spirale de la tiers-mondisation migratoire se poursuivra.