[PNB]Les 4 et 5 juin, l’extrême-gauche française planifie une attaque en règle contre le groupe industriel breton Le Duff et son projet de site de production agro-alimentaire à Liffré, dans le Pays Rennais. Au prétexte de l’imposture écologiste, la lie anarcho-marxiste rennaise entend créer une nouvelle ZAD sur le terrain prévu pour cette implantation qui pourrait employer jusqu’à 500 travailleurs en Bretagne. Face à ces menaces, le Groupe Le Duff songe d’ores et déjà à créer ce site en Allemagne ou en Espagne.
L’objectif des agitateurs du front rouge, protégés par les municipalités rouge/verte voisines de Rennes et de Nantes, est de créer une enclave où les marginaux, habitués de la nébuleuse anarcho-communiste, pourront venir se défoncer collectivement, en toute impunité, tout en structurant un centre névralgique destiné à étendre l’influence de l’extrême-gauche française dans l’est de la Bretagne. Parmi eux : CoLERE Liffré-Cormier ; Confédération Bretonne pour l’Environnement et la Nature (CoBen) ; Solidaires 35 ; Extinction Rebellion ; Youth for climate ; Deep Green Resistance ; Alternatiba Rennes ; Halte aux marées vertes ; Attac Rennes ; Oxfam Rennes…
Des affiches du week-end de mobilisation ont été collées dans les rues de Rennes. Ici dans le centre-ville, dimanche 22 mai.
Le Parti National Breton, conformément à sa ligne de défense patriotique de l’économie nationale bretonne, dénonce cette tentative d’intimidation orchestrée par la canaille marxiste dont le but est la ruine des entreprises bretonnes et des travailleurs bretons.
Le Parti National Breton apporte son soutien au Groupe Le Duff, et par là même, à l’économie nationale bretonne.
Le Parti National Breton dénonce l’impuissance des autorités françaises face à la racaille marxiste et rappelle son intention, dans le cadre de l’Etat Breton pour lequel il mobilise le Peuple Breton par son action, d’en débarrasser la Bretagne une bonne fois pour toute.
[PNB] Les nationalistes bretons observent avec satisfaction l’effondrement du régionalisme dans son versant “de gauche” à la faveur des élections législatives hexagonales. Comme chacun sait, Jean-Luc Mélenchon, issu du trotskisme lambertiste, est un partisan du jacobinisme pur et dur dans lequel il voit, à juste titre, le moyen de faire passer le marxisme en contrebande. Avec constance et cohérence, il s’inscrit dans l’internationalisme égalitariste du républicanisme français qui postule depuis la Terreur que la Révolution ne parle qu’une seule langue : la langue française. Cet homme nouveau, acculturé par la francisation autoritaire, sans passé ni caractéristiques particulières, c’est le “citoyen” normé par Paris.
Avec l’écroulement de la gauche socialiste menée par le PS, la démagogie sans-culottarde portée par Mélenchon domine sans partage les autres partis de gauche. Hostile à l’Europe pour des raisons explicitement raciales – “Je ne peux pas vivre entouré de Blonds, c’est au delà de mes forces” -, que justifie a posteriori un social-chauvinisme cocardier islamocentré, Mélenchon est viscéralement hostile aux cultures indigènes d’Europe, a fortiori de l’Hexagone. C’est sans surprise que ce métèque d’Afrique du Nord voit dans la timide défense des langues indigènes dites “régionales” un péril pour la république néo-robespierriste repeuplée d’allogènes dont il rêve.
Ses représentants à Rennes l’expriment sans honte. Les régionalistes de gauche de l’UDB ont ainsi été brutalement mis face à leurs contradictions à propos de la loi Molac qui permet notamment aux communes de financer la scolarité des élèves inscrits dans les écoles associatives en langue bretonne (Diwan).
Défendre une loi qui n’est un cheval de Troie pour le financement du privé au détriment du publique. Vos œillères vous font oublier les valeurs de gauche apparemment, pas nous !
Quelle honte ce tweet…. On savait que la france insoumise avait un problème avec la diversité et ce n’est pas nouveau mais là c’est vraiment abject ces propos de la part de @RennesEnCommunpic.twitter.com/kxEgFsthns
Longtemps associé aux écologistes français, les régionalistes de gauche de l’UDB tentaient de s’insérer dans le processus politique hexagonal en passant par des partenariats avec des formations plus européistes, fédéralistes comme EELV. Avec l’effondrement du PS, EELV est désormais aligné sur les positions du mélenchonisme suite à l’accord politique au sein du NUPES. Pour les régionalistes de gauche de l’UDB, c’est un retour forcé à la réalité : la gauche hexagonale est impérialiste et étatiste par construction et elle opère aujourd’hui un vaste mouvement de repli sur ses fondements historiques, c’est-à-dire jacobins.
Parce qu’elle n’intéresse personne au sein de la gauche hexagonale fédérée autour de Mélenchon, la gauche régionaliste se présente seule aux élections législatives de juin.
Pour les nationalistes bretons, cette évolution n’est en aucun cas une surprise. Quiconque n’assume pas la nationalité bretonne, donc le nationalisme breton, ne peut que jouer le rôle de domestique violentée par le maître français. Le clivage entre “gauche” et “droite” a cessé d’exister, remplacé par un éclatement horizontal entre groupes ethniques dont la structuration s’opère géographiquement. Cette balkanisation est une donnée lourde du 21e siècle en France, ce n’est donc pas un hasard si Mélenchon tente – et réussit – la fusion de l’égalitarisme jacobin et de la soumission collectiviste islamique. L’égalité française n’a jamais été que l’autre nom de la soumission à l’Etat, il y a là une parfaite continuité idéologique.
La gauche en Bretagne va progressivement être marginalisée en raison d’un européisme, d’un personnalisme et d’un modérantisme qui font certes consensus parmi les Bretons mais qui n’ont plus cours au sein de la gauche française néo-jacobine, devenue une caserne où règnent les aboiements. Pour se faire élire à gauche, il faudra se prosterner aux pieds des mélenchonistes et se faire le chantre d’un chavisme cocardier passablement islamique. Ce décrochage ira toujours plus avant, jusqu’à ce que les derniers restes de la gauche en Bretagne se soient ralliés ou aient disparus.
Le Parti National Breton opère, à ce moment important, un nécessaire travail de réorientation historique : le mythe du réformisme au sein du cadre institutionnel français a vécu, il importe de passer à une nouvelle étape. L’heure est venue pour les Bretons soucieux de l’avenir de leur peuple d’embrasser avec audace et détermination leur nationalité, d’abandonner l’excuse honteuse de l’universalisme et du misérabilisme pour essayer de la faire passer en contrebande dans les wagons de la gauche hexagonale. Le Peuple Breton a beaucoup trop tardé à s’organiser nationalement, à force de soupirer après les lubies idéologiques parisiennes. Aujourd’hui que la France crève d’endettement stato-socialiste et d’overdose d’immigration afro-islamique, le choix est simple : la disparition sous les flots du tiers-monde musulman encadré par les derniers restes de la gauche française, ou survivre par l’indépendance d’un état breton conçu par les Bretons, pour les Bretons, hors de la déchéance française.
Le Parti National Breton porte ce choix ethno-nationaliste en toute clarté, une clarté qu’aucun autre parti ne peut porter en Bretagne. Les Bretons qui veulent combattre pour la liberté de leur peuple sont appelés à le rejoindre. Tout autre choix est stérile, seule la rupture avec la France incarne désormais l’unique espoir de salut.
[PNB]Le régionalisme est une contradiction interne du système français. Il prétend corriger les « erreurs » du jacobinisme révolutionnaire centralisateur, consubstantiel à l’État français, en renforçant les périphéries administrées par cet état. Les régionalistes disent ainsi vouloir créer un « nouveau » système politique sur la base de la « région », notion exclusivement géographique dont les contours sont par nature changeants et arbitraires. Le terme générique de « région » peut ainsi servir à qualifier indifféremment une nation vieille de quinze siècles comme la Bretagne et une structure administrative aussi artificielle, de création récente, que le « Grand Est ».
Une région, surtout, n’est que la partie d’un tout géographique plus vaste, ici, en l’occurrence, la France. Pour les régionalistes, seule la France peut prétendre bénéficier du statut de nation et de pays à part entière. Tout en prétendant modifier l’organisation interne de la France, le régionalisme affirme donc, par principe, la supériorité de l’Etat Français sur les « régions » qu’il a envahies et subordonnées, Bretagne incluse. Dans une France conçue depuis l’origine comme une administration militarisée multiethnique puis multiraciale dont les frontières ne s’arrêtent que là où s’arrêtent ses armées, faute de victoires nouvelles, ce prisme exclusivement géographique du « régionalisme » est une suppuration logique. Comme produit idéologique dérivé de la Révolution française et des « frontières naturelles » de Danton, le régionalisme, avec son tropisme exclusivement géographique, découle de l’interdiction qui est faite par Paris à toute communauté ethnique conquise de se penser et de s’organiser comme nation face à l’impérialisme niveleur de l’État français qui la colonise au nom de « l’égalité », c’est-à-dire, en pratique, au profit de la suprématie missionnaire des impérialistes français.
Nous l’avons vu, c’est le sang breton, et non la géographie, qui fait la Bretagne. Utiliser le paradigme « régional », c’est-à-dire géographique, pour organiser politiquement la Bretagne, c’est nier fondamentalement la Bretagne dans son essence pour conforter idéologiquement la France jacobine afin qu’elle puisse continuer de soumettre la nation bretonne en toute impunité. Breizh n’est pas une « région » de l’Hexagone, comme l’affirme Paris, mais une nation privée de ses droits. Face à cette réalité, seule l’affirmation nationale bretonne, c’est-à-dire le nationalisme breton, est légitime et nécessaire. Le régionalisme en Bretagne, c’est prétendre affronter victorieusement la France après s’être castré sur l ‘ordre de Paris pour ne pas froisser les tenants de « l’égalité » hexagonale, simple masque de son impérialisme. Sans surprise, des esprits bretons francisés, pensant réaliser la quadrature du cercle de la compatibilité de leur ethnicité et de leur subordination à la France, ont développé ce thème, sans aucun succès politique, pendant plus de 150 ans. Et pour cause : on ne meurt pas pour une « région ». Les régionalistes bretons ne proposent que le maintien de la nationalité française en Bretagne, c’est-à-dire la négation de la nationalité bretonne. Comment une nation aussi ancienne que la nation bretonne pourrait-elle accepter de voir sa nationalité niée au point de se borner à une formule politique qui exige d’elle qu’elle se renie nationalement pour conforter l’État qui l’agresse, l’occupe et vise sa destruction complète ? En soi, le régionalisme breton est intrinsèquement une demande de capitulation en règle face à la France avant même le début des hostilités.
Qui sont les régionalistes en Bretagne ?
Bien qu’il soit affirmé qu’il existe des « régionalistes de droite » et des « régionalistes de gauche » en Bretagne au point de devoir les distinguer radicalement, cette affirmation est fausse. Les régionalistes sont essentiellement les mêmes face à la question existentielle posée par le nationalisme breton : des Bretons soumis qui servent la France et qui refusent d’affirmer la nationalité bretonne. Ce sont les modalités de cette soumission qui varient. Le sujet breton domestiqué « de gauche » justifie sa subordination à la France par sa solidarité idéologique avec l’église de la gauche hexagonale, au nom de « l’égalité » mensongère française. Le sujet breton « de droite » justifie sa subordination à la France par ses liens économiques avec la bourgeoisie hexagonale qui contrôle l’économie bretonne et, accessoirement, quelques colifichets symboliques hérités des guerres de rapine françaises, à l’instar du drapeau tricolore. Les deux, pour justifier leur soumission à la France, alternent entre la négation de la nationalité bretonne et le défaitisme face à la toute-puissance qu’ils prêtent à la France.
Les régionalistes bretons, en tentant de concilier la défense d’intérêts spécifiquement bretons et leur soumission politique aux intérêts français, évoluent perpétuellement entre deux nationalités que tout oppose idéologiquement : la leur, réelle, en tant qu’indigènes bretons, et celle, factice et purement légale, de l’état étranger qui les domine. C’est cette schizophrénie identitaire qui caractérise les régionalistes : Breton par instinct naturel un jour, Français par convention sociale le lendemain, solidaires en cela de 17 millions de sujets exotiques importés et naturalisés par Paris depuis 60 ans. De crainte de susciter une violente réaction des intérêts français à leur encontre, les régionalistes bretons redoutent particulièrement le nationalisme breton pour sa capacité potentielle de déstabilisation de l’ordre français en Bretagne auquel ils appartiennent socialement et économiquement. Quand le nationalisme breton s’affirme avec efficacité, les régionalistes bretons, incapables de choisir leur nation, s’alignent invariablement sur les positions de Paris dans l’espoir d’être ménagés par la puissance occupante. De quoi découle la réalité politique suivante : les régionalistes bretons ne veulent pas la fin de l’occupation française, ils veulent l’organiser eux-mêmes.
Sans lien avec l’Emsav, les régionalistes n’ont jamais participé à l’action historique de la nation bretonne. Logiquement, ils n’ont jamais produit quoi que ce soit d’utile pour l’émancipation nationale des Bretons puisque leurs conceptions sont celles du statu quo politique, idéologique et culturel français. Là où le nationalisme breton veut organiser la rébellion, puis la révolution, le régionalisme accompagne l’inertie, tantôt au nom d’une nostalgie provincialiste incapacitante, tantôt au nom d’un loyalisme pro-républicain infâmant.
Le nationalisme breton, par sa clarté dialectique, dépasse l’imposture du régionalisme et expose clairement le paradigme qui se pose au peuple breton : soit on est breton, soit on est un traître à la solde du régime français, on ne peut pas être les deux.
[PNB]“Et j’espère obstinément qu’un jour j’entendrai sur la Montagne Noire ou sur le Méné un pas martelé, un pas martelé qui sera celui de jeunes gens au regard clair, venus retremper leur coeur au sein de la nature vierge, en vue des combats qu’ils auront décidés.
La jeunesse de Bretagne doit se réaliser librement et elle doit agir.”
Olier Mordrel, Lettre à un jeune camarade, La Vie du Parti n°6, 30 novembre 1930
[PNB] Les scènes d’agression contre des supporters européens commises par des Français d’origine afro-maghrébine, en marge la finale de la Ligue des Champions, ont fait le tour du monde.
Le mec se vante d’être entré illégalement au stade de France en occupant une place d’une valeur de 5000€ et crie vive l’Algérie. Toujours pas de lien entre insécurité, incivilité et immigration ? #stadedefrance#UCLfinalpic.twitter.com/jN3Y1BOXT6
Le Parti National Breton alerte le Peuple Breton sur le danger qui le menace et qu’illustre les scènes du weekend à Paris : si la Bretagne reste sous occupation française, elle suivra le processus de dégénérescence démographique organisé par l’Etat Français sous l’impulsion de sa politique de repeuplement de l’Hexagone par les masses du tiers-monde afro-musulman.
Dominée par Paris, la Bretagne deviendra une autre Seine-Saint-Denis, c’est-à-dire un territoire afro-islamique où règnent le crime organisé et l’islam radical. Ce fléau touche déjà les grandes villes bretonnes et infecte de plus en plus des communes de taille bien plus modeste. Il ne s’agit plus d’immigration, mais d’invasion pure et simple avec, à terme, la disparition physique du Peuple Breton sous le triple effet de la dénatalité, de l’émigration de la jeunesse bretonne, privée de logements par la prédation de la bourgeoisie française, et de la colonisation de peuplement extra-européenne.
Le Parti National Breton appelle les Bretons conscients de la gravité de la situation à rejoindre ses rangs sans tarder pour organiser la résistance ethno-nationale bretonne. L’objectif du PNB est clair : préparer l’indépendance de la Bretagne dans un contexte de balkanisation ethnique et religieuse de la France devenue irréversible.
Le salut de Breizh est en jeu. Le Peuple Breton a encore pour peu de temps son destin en mains.
[PRESSE]Au tribunal correctionnel de Vannes (Morbihan), mercredi 25 mai 2022, ce mari de 43 ans, habituellement violent avec sa femme, a été filmé par son fils. Deux minutes de vidéo accablantes pour l’individu, qui niait les faits. C’est la jeune fille du couple, âgée de 14 ans, qui, cette fois, avait mis fin aux violences. L’homme a été condamné à quatre ans de prison, dont 30 mois avec sursis.
Cette deuxième affaire de violences conjugales devant le tribunal correctionnel de Vannes (Morbihan) a pour cadre un mariage qui dure depuis quinze ans. Cinq enfants sont nés de cette union. “Je l’aime ma femme. C’est moi qui l’ai choisie au bled, en Tunisie“, clame le prévenu dans son box.
[PNB]Le régime colonial français organisera des élections fantoches sur le territoire breton les 12 et 19 juin 2022. L’objectif politique de ce simulacre est d’offrir en Bretagne un semblant de légitimité politico-médiatique au régime.
Le Parti National Breton appelle le Peuple Breton à s’abstenir massivement afin de décrédibiliser et d’affaiblir le régime qui organise l’exode massif de la jeunesse bretonne tout en la remplaçant sur sa terre historique par les retraités et spéculateurs de la bourgeoisie française ainsi que leurs supplétifs afro-musulmans.
Pas une voix bretonne pour l’état criminel français !
[HISTOIRE NATIONALE DE BRETAGNE ]Une cérémonie de couronnement pour un duc de Bretagne existe au moins depuis Conan Ier de Bretagne, car elle fut racontée par les chroniques de Raoul Glaber. Il est cependant très probable que des cérémonies équivalentes se soient déroulées dès l’époque du Royaume de Bretagne et aient inspirées les rituels ducaux. La prestation de serment devant la Porte mordelaise remonte quant à lui au moins à 1213 pour le début de régence de Pierre Mauclerc.
Porte mordelaise au 15e siècle
Porte mordelaise actuellement
Si le cérémonial du couronnement date au minimum du XIe siècle, la première description précise que nous possédions date du couronnement de Jean V de Bretagne par Anselme de Chantemerle en 1401 et décrit en latin dans le Chronicon Briocense. Au 15e siècle, sous la dynastie Monfort, les couronnements ducaux développent réellement leurs fastes et leurs rituels au même moment où, dans son affirmation d’indépendance face au royaume de France, les ducs utilisent la formule « par la grâce de Dieu » dans les actes de leurs chancelleries.
Couronnement du Duc François Ier, chef de l’Etat Breton
En 1442, François Ier réalise son couronnement, dans une cérémonie et représentée dans la Compillation des cronicques et ystoires des Bretons de Pierre Le Baud. Les rituels ducaux ne se modifieront quasiment plus après cela.
Le dernier « vrai » couronnement breton est fait en 1489 pour Anne de Bretagne, dans un contexte de guerre avec la France. La cérémonie, considérée comme peu représentative des coutumes en raison de la faiblesse des moyens, est cependant probablement la plus exactement décrite dans le Missel pontifical de Michel Guibé.
Anne de Bretagne
En 1532, dans le contexte d’annexion de la Bretagne par la France au terme d’un coup d’état orchestré par la monarchie française, un dernier couronnement ducal est réalisé pour François de France, dauphin de France, et qui devient duc sous le nom de François III de Bretagne.
Même si la Bretagne commence à ne devenir plus qu’un simple province du royaume, le roi François Ier veut que son fils soit « receu et couronné en vray duc et seigneur propriétaire de Bretagne, avec toutes solemnitez et autres choses requises et acoustumées d’estre faictes, gardant les louables et anciennes coustumes dudit pays ». Le dauphin-duc se présente par le nord, via la Porte aux Foulons, à cause de son cortège trop nombreux3 et sera ensuite couronné par Yves Mahyeuc.
Entrée solennelle
Avant d’entrer dans la ville, le duc en costume de cérémonie se présente à l’entrée de Rennes, capitale du duché, par la porte mordelaise avec cortège, précédé des hérauts.
Devant l’évêque de Rennes et le gouverneur de la ville, il fait le serment sur les reliques de maintenir les « droitures, souverainetés, noblesses, libertés et franchises du patrimoine de Bretagne », de protéger l’Église et de rendre une Justice impartiale. Il reçoit alors les clés de la ville et se place sous un dais porté par quatre gentilhommes. Il entre alors dans la ville décorée et pavoisée aux couleurs nationales pour se faire voir du peuple breton.
Après avoir écouté les vêpres, il se retire dans le manoir épiscopal nextant la cathédrale Saint-Pierre et passe une nuit de veille en prière.
Couronnement
François Ier, Duc de Bretagne
Le lendemain, le duc habillé d’une robe de cérémonie blanche et d’un habit royal bleu entre dans la cathédrale, où il est revêtu d’un manteau pourpre doublé d’hermine.
Une fois installé sur son trône, on lui remet les regalia de Bretagne : la bannière royale, l’épée ducale bénie par l’évêque et le sceptre. En lui remettant l’épée, l’évêque récite la formule liturgique :
« On vous donne cette épée au nom de monseigneur saint Pierre, comme on l’a donnée aux rois et ducs vos prédécesseurs en signe de justice, pour défendre l’Église et le peuple qui vous est commis, en prince équitable. Dieu veuille que ce soit ainsi, et que vous en puissiez rendre vrai compte au jour du jugement, au sauvement de vous et dudit peuple. »
Enfin, le duc est couronné avec le cercle ducal. En le couronnant, l’évêque récite :
« On vous baille, au nom de Dieu et de monseigneur saint Pierre, ce cercle qui désigne que vous recevez votre puissance de Dieu le tout puissant, puisque étant rond, il n’a ni commencement ni fin. Ce Dieu vous réserve une couronne plus durable dans le ciel, si vous remplissez vos devoirs en contribuant par vos soins à l’exaltation de la foi et à la tranquillité de l’Église et de vos sujets. »
Depuis son trône, le duc répond « Amen » à chaque partie du sermon récité par l’évêque. Il retourne ensuite à son prie-Dieu pour entendre un Te Deum. Avant de sortir, il adoube plusieurs nobles bretons, généralement les premiers pairs du duché. Il monte alors sur son palefroi et parade en triomphe dans les rues de Rennes avant d’aller présider un grand banquet festif.
Ainsi, le Duc de Bretagne, successeur des rois de Bretagne, exprime la puissance souveraine de l’Etat Breton.
[PNB]Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les communes bretonnes aux mains de la gauche coloniale française se transforment invariablement en excroissance du tiers-monde sous l’effet de l’immigration extra-européenne qu’elles organisent sous la direction de Paris.
Les conséquences sont invariablement les mêmes : explosion du crime et de l’insécurité, trafic de drogue endémique, formation d’enclaves islamiques radicalisées, harcèlement sexuel contre les femmes bretonnes sur fond de racisme antiblanc.
La police a organisé une importante opération de sécurisation dans l’après-midi du mardi 24 mai 2022 à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique).
45 fonctionnaires ont été mobilisés dans divers secteurs de la commune, et notamment à Kerlédé, à la suite d’une affaire qui a suscité un fort émoi dans le quartier.
Lundi 2 mai 2022, une arme à feu a été trouvée dans la cour de l’école Jean-Zay.
C’est un enfant qui a fait cette découverte avant de la remettre à un membre du personnel éducatif.
S’il n’y a pas eu de blessé, cet incident a provoqué beaucoup d’émotion.
« J’ai immédiatement écrit à la direction académique. Le sujet a occupé l’essentiel des débats au cours d’une réunion quelques jours plus tard entre le maire, la procureure, le sous-préfet et le commissaire », avance Xavier Perrin, adjoint à l’éducation.
L’élu pointe le trafic de drogue mené depuis le hall de l’immeuble voisin du groupe scolaire, rue Ambroise Paré.
« Le personnel éducatif en a marre de subir les nuisances de dealers qui font des allées et venues toute la journée devant l’école. »
Cette arme pourrait avoir été jetée dans l’enceinte de l’école depuis l’extérieur pour ne pas être trouvée lors d’une intervention de police.
La nuit précédente, le centre commercial qui fait face à l’école avait la cible de multiples cambriolages.
« Les forces de l’ordre font des contrôles. Quand on fait appel à eux, elles répondent présentes. Mais les effectifs ne sont pas suffisants », critique Xavier Perrin.
Contrairement à ce qu’affirme mensongèrement Xavier Perrin, représentant de la gauche socialiste française à Saint-Nazaire, la question qui se pose n’est pas celle de moyens policiers plus importants. C’est-à-dire l’adaptation des Bretons à une invasion qu’ils ne veulent pas.
Tant que l’inondation migratoire organisée par l’Etat Français ne sera pas stoppée, l’augmentation, même théorique, de moyens policiers ne résoudra pas l’effondrement systémique des conditions de vie que la colonisation afro-musulmane génère, à Saint-Nazaire comme dans toutes les communes bretonnes.
Les chiens ne font pas des chats, pas plus qu’hier que demain. Le Parti National Breton réaffirme l’évidence : pour mettre un terme au triomphe de la sauvagerie dans les rues bretonnes, seule une politique d’autodéfense ethno-nationaliste mise en œuvre par l’Etat Breton sera capable de solder les problèmes causés par l’Etat Français et sa politique de remplacement de population en Bretagne. Cela implique d’expulser massivement tous les étrangers indésirables importés sur le territoire breton par la France.
Conformément àson exigence d’application immédiate n°2, le Parti National Breton exige l’interpellation des trafiquants de drogue impliqués dans cette affaire et leur expulsion immédiate du territoire des cinq départements de la Bretagne.
En outre, le Parti National Breton en appellent à chaque Breton : la destruction de la Bretagne poursuivie par l’Etat Français n’est pas inéluctable. Il est du devoir de chaque Breton de s’engager pour sa sauvegarde face aux périls de mort qui la menacent. Pour cela, une seule possible leur est offerte : entrer dans les rangs du Parti National Breton.
[PRESSE]Son nouveau procès, prévu jeudi 19 mai 2022, pour des faits qui remontent à 2018, à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), a été renvoyé au jeudi 7 juillet, car le prévenu n’avait pas d’avocat.
Le 28 juin 2021, Mohammad Rahman Arsala, un Afghan né en 1990, était condamné par la cour d’assises des Côtes-d’Armor à quinze ans de réclusion criminelle pour le viol d’un garçon de 12 ans, dans une maison abandonnée située entre le boulevard de Sévigné et l’aire de jeux du parc des Promenades, à Saint-Brieuc.
Près d’un an plus tard, jeudi 19 mai 2022, le même homme devait être jugé par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc…