Enseignante de breton assignée à Paris : le Parti National Breton exige l’exclusivité bretonne pour les emplois de la fonction publique en Bretagne !

Enseignante de breton assignée à Paris : le Parti National Breton exige l’exclusivité bretonne pour les emplois de la fonction publique en Bretagne !

[PNB] Le statut colonial imposé par l’Etat français à la nation bretonne suppose pour chaque Breton d’être traité en domestique de Paris. Depuis son établissement, le pouvoir impérialiste français veille tout particulièrement au déracinement des Bretons pour empêcher l’émergence d’une administration civile bretonne assurée par des Bretons, prélude à l’édification de l’Etat breton. Il s’agit pour l’Etat français de priver la nation bretonne de ses cadres naturels.

Le dernier exemple en date est celui d’une professeur de breton dont le ministère français de l’Education dite “Nationale” empêche la titularisation en Bretagne depuis des années.

Dans ses 14 exigences d’application immédiate, le Parti National Breton expose le principe d’exclusivité bretonne pour les postes de la fonction publique en Bretagne :

4 – L’exclusivité de l’accès aux postes de la fonction publique territoriale, hospitalière, ou d’état en Bretagne pour les personnes nées en Bretagne historique ou justifiant d’au moins dix ans de résidence sur les cinq départements bretons.

Conformément à son axe cardinal, “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton entend rendre la Bretagne à son peuple. Tous les postes de fonctionnaires en Bretagne doivent être pourvus par des Bretons, exclusivement !

Les fonctionnaires bretons qui sont las d’être traités en sujets coloniaux par l’Etat français en se voyant refuser un poste en Bretagne doivent en tirer toutes les conclusions et exiger, aux côtés du Parti National Breton, l’exclusivité bretonne pour l’accès à la fonction publique bretonne et la constitution indépendante de celle-ci sous la direction d’un gouvernement breton.

Aucune force politique hexagonale, par nature au service de l’impérialisme français, ne défendra ce droit de chaque Breton à vivre sur sa terre. Le Parti National Breton est d’une limpidité totale sur cette question majeure, comme sur toutes celles qu’il aborde, sans concession. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Parmi les dix exigences d’application immédiate du Parti National Breton figure la réservation prioritaire pour les fonctionnaires bretons de tous les postes de la fonction publique en Bretagne, qu’ils soient nés en Bretagne ou nés d’au moins un parent breton. Actuellement, l’Etat Français impose aux fonctionnaires bretons des nominations hors de Bretagne, généralement contre leur volonté ou aspiration, tandis que les Français viennent s’installer en Bretagne pour fuir les ravages de l’immigration extra-européenne. Cette situation intolérable approche du point de rupture.

Désinformation d’état

La presse d’état hexagonale joue un rôle majeur en Bretagne dans la désinformation sur ce sujet crucial. Ainsi, le journal stato-socialiste français “Le Télégramme” parvient à réaliser l’exploit de parler des fonctionnaires bretons qui fuient la région parisienne après avoir été contraints par l’état colonial d’y être assignés sans jamais citer une seule fois la cause de cette fuite : l’immigration afro-musulmane.

Le Télégramme :

Y a-t-il encore des profs heureux ? Pour Isabelle Carré, c’est oui, sans hésiter. Enseignante stagiaire d’espagnol à Vannes en 2018-2019, la Bretillienne attaque sa troisième année de cours, après être sortie de l’Inspé (Institut national du professorat et de l’éducation) de Rennes en juin 2018.

Isabelle Carré

Comme tous les jeunes enseignants, la Rennaise a dû concéder un passage en région parisienne, en début de carrière. Après son année de stage à Vannes, elle a démarré dans deux collèges de l’académie de Créteil. « Je travaillais à mi-temps entre Ivry-sur-Seine et Vitry-sur-Seine. Mais étant déjà pacsée et en couple, je rentrais sur la Bretagne tous les week-ends ». Isabelle Carré l’avoue : cette première année, tronquée par la crise sanitaire, aurait pu la décourager du métier. « Quand tu découvres que la priorité n’est pas le contenu des cours, mais déjà de s’assurer que les élèves sont bien présents en classe, tu t’éloignes de ce pour quoi tu t’es engagée ».

Vitry-sur-Seine, paradis de la diversité ethnique

Maman depuis août 2020, la Bretillienne a cumulé assez de points pour être rapidement mutée dans son département d’origine, au plus près de son compagnon et de sa famille. « On m’aurait proposé d’aller n’importe où ailleurs en Bretagne, j’aurais dit oui ! »

L’an dernier, elle a enseigné entre Rennes et Saint-Aubin-du-Cormier (35). Depuis septembre, Isabelle s’est même rapprochée de son domicile avec un poste au collège François Truffaut de Betton. Rien de définitif encore, mais elle se dit ravie de l’expérience. La prof d’espagnol a le sourire. « J’ai une matière sympa, j’enseigne 18 heures par semaine, je peux me former en interne. Depuis que je suis rentrée en Bretagne, je ne vais plus enseigner la boule au ventre. Certes, il y a du travail à la maison, mais je n’ai plus le même stress et je mesure ma chance. Il y a peu de métiers comme ça. Mon conjoint est agent immobilier. Il fait du 8 h-20 h, six jours sur sept. Je ne peux que relativiser ! »

Conformément à son attitude de principe, le Parti National Breton entend traiter cette question sans détour en rompant avec les interdits idéologiques posés par le système politico-médiatique français. 

Pour une fonction publique bretonne !

Les ravages d’une immigration extra-européenne inassimilable ne sont plus limités aux grandes villes françaises. La Bretagne étant sous l’administration coloniale de Paris, l’Etat Français menace la nation bretonne de connaître à son tour le sort funeste de ses villes tiers-mondisées. Toutes les villes bretonnes sont déjà touchées par le fléau du remplacement de population orchestré par le gouvernement français.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, sans réaction de la société bretonne, la Bretagne subira le sort de la banlieue parisienne : islamisation fulgurante, explosion du crime, émeutes raciales endémiques, racisme antiblanc.

Le Parti National Breton appelle tous les fonctionnaires bretons à défendre leurs intérêts légitimes en le rejoignant pour que cesse ce déracinement mortifère systématique. Plus aucun fonctionnaire breton ne doit être contraint par Paris à quitter la Bretagne contre sa volonté !   

Par nous-mêmes, pour nous-mêmes : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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