Brest :  règlement de comptes à la machette en pleine rue entre migrants musulmans

Brest : règlement de comptes à la machette en pleine rue entre migrants musulmans

[PNB] La ville de Brest, cité bretonne sous occupation française, suit l’évolution générale impulsée par l’Etat Français dans toutes les villes administrées par le régime républicain hexagonal.

Immigration extra-européenne de remplacement, radicalisme islamique, explosion du trafic de drogue et des crimes en tous genres, le tout sous la supervision d’une direction municipale écolo-socialiste réélue sur la base du clientélisme ethnique et du soutien des cliques corrompues.

Rejoindre le Parti National Breton est la dernière chance pour le peuple breton s’il ne veut pas disparaître, nettoyé ethniquement par l’Etat Français et sa bourgeoisie criminelle.

Breizh Atav !

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Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

[PNB] Nouvel épisode de la mise en œuvre de la société multiraciale par l’Etat Français en Bretagne occupée, une fusillade a eu lieu dans le centre de Quimper, ville sous contrôle du Parti Socialiste français. Les protagonistes sont bien entendu “défavorablement connus”.

Valeurs Actuelles :

Cohue dans les rues de Quimper. Mardi 29 mars, une course-poursuite a eu lieu dans cette ville du sud du Finistère, rapporte Ouest-France. Vers 15 heure 45, des coups de feu ont éclaté dans le centre-ville. Un véhicule Dacia de couleur rouge venait de refuser de subir un contrôle par une patrouille de police. « Une voiture a circulé à contresens sur les quais, côté boulevard de Kerguelen, du côté de La Poste », ont expliqué des témoins. La voiture folle finira par être arrêtée, non sans avoir essuyé des coups de feu de la part d’un policier en passant à vive-allure devant le commissariat.

Un important dispositif policier a été déployé pour appréhender les fuyards. « Des motards, des fourgons… Je n’ai jamais vu un tel déploiement de policiers », a raconté une dame. À l’intérieur du véhicule, deux adolescents, un garçon et une fille. Ils ont immédiatement été emmenés au commissariat. La voiture serait un véhicule volé en 2002, et les deux jeunes, connus des services de police. Aucun blessé n’est à déplorer. À ce stade, ni la police ni le parquet n’ont voulu commenter cette affaire.

“Connus des services de police” est un des euphémismes employés par la presse d’état hexagonale pour désigner les criminels allogènes. L’objectif des médias aux ordres de Paris est de dissimuler à l’opinion bretonne l’origine ethnique de la criminalité de masse, la bourgeoisie française et l’état colonial voulant poursuivre leur plan de remplacement de la population bretonne par des supplétifs afro-musulmans sans entraîner de résistance populaire.

Le Parti National Breton n’entend pas débattre de la cause de l’explosion du crime en Bretagne qu’est l’immigration extra-européenne.

Le Parti National Breton se focalise sur son programme en la matière, tout particulièrement sur le point n°2 de ses 13 exigences d’application immédiate :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton

Le Parti National Breton continuera de mobiliser l’opinion bretonne contre le péril existentiel que représente l’Etat Français et sa politique de remplacement de population en Bretagne. Le peuple breton ne retrouvera pas la paix tant qu’un seul mètre carré du territoire breton n’aura pas été libéré de l’occupant français et des prurits qu’il apporte naturellement avec lui.

Breizh Atav !

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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