Vandalisme culturel, copinage, appel à l’immigration et à la censure : à Carnac, le renégat Chesnais-Girard se fait le chef de file des ennemis de la Bretagne

Vandalisme culturel, copinage, appel à l’immigration et à la censure : à Carnac, le renégat Chesnais-Girard se fait le chef de file des ennemis de la Bretagne

[PNB] Le Parti National Breton est consterné par le soutien apporté par Loïc Chesnais-Girard, mielleux président franco-socialiste du “Conseil régional de Bretagne”, au maire de Carnac, Olivier Lepick, responsable de la destruction d’un site mégalithique dentifié par l’INRAP en 2015. 

Cet acte de vandalisme culturel manifeste est une insulte au Peuple breton. Les menhirs de Carnac constituent un élément essentiel du patrimoine millénaire de la Bretagne et sont une source de fierté pour tous les Bretons.

En défendant par réflexe de caste Olivier Lepick, protégé, comme lui, de son prédécesseur Jean-Yves Le Drian, le félon Chesnais-Girard a montré qu’il n’avait aucun respect pour notre culture et notre patrimoine et prouvé qu’il était prêt à sacrifier notre histoire au nom du profit et du copinage.

Les grands principes hypocritement invoqués sur un ton mystique par un tel renégat ne trompent pas les Bretons. Les coupables ne sont pas ceux qui s’opposent au saccage de la Bretagne, mais les vandales défendus par Chesnais-Girard qui agissent en toute impunité. Sa dénonciation des défenseurs du patrimoine breton “coupables” de vouloir défendre la pureté bretonne – fait révélateur, la pureté étant selon les socialistes français un défaut et une perversion -, son invocation révélatrice du “mélange” racial et, en creux, de l’immigration massive pour délégitimer les Bretons sur leur terre, son appel, enfin, à l’Etat colonial français pour intensifier la censure et la répression contre ceux qui dénoncent les agissement de la caste dont Chesnais-Girard se fait le porte-parole, sont caractéristiques d’une couche politique parasitaire au service d’un état étranger qui redoute l’éveil ethnique du Peuple breton, prélude à sa libération.

Les Bretons savent ce que signifie l’invocation lénifiante du “mélange” et de “l’ouverture” par les caciques socialistes français : fusillades, viols, vols, meurtres et agressions sous l’effet de l’immigration non-européenne dont les villes sous gestion socialiste comme Brest, Nantes ou Rennes sont les désastreux témoins. 

Chesnais-Girard peut être fixé. Contrairement à ce laquais servile de la bourgeoisie cosmopolite parisienne, le Parti National Breton défendra avec détermination la pureté bretonne contre ceux qui, à Carnac comme à Paris, veulent avilir la Bretagne pour mieux la vendre à la découpe sans craindre de résistance.

L’ère française en Bretagne touche à sa fin. Répression et censure n’empêcheront pas la nation bretonne ne marcher avec détermination vers la liberté et l’honneur national retrouvés.

Breizh Atav !

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Interdiction du drapeau breton à Saint-Nazaire : le PNB dénonce la violence employée contre le président de Bretagne Réunie par le maire franco-socialiste David Samzun

Interdiction du drapeau breton à Saint-Nazaire : le PNB dénonce la violence employée contre le président de Bretagne Réunie par le maire franco-socialiste David Samzun

[PNB] Le Parti National Breton dénonce avec force la violence employée par le maire franco-socialiste de Sant-Nazer (Saint-Nazaire), David Samzun, contre Alan Coraud, président de l’association Bretagne Réunie, peu avant la tenue du conseil municipal, vendredi 3 février 2023.

Alors qu’Alan Coraud s’apprêtait à remettre une lettre dénonçant l’interdiction du déploiement du drapeau breton sur le fronton de la mairie de Sant-Nazer sur ordre du maire David Samzun (lire ici), ce dernier a fait intervenir ses butors déguisés en policiers municipaux pour expulser par la force le président de Bretagne Réunie, pourtant courtois et pacifique.

Les méthodes utilisées par la faction jacobine extrémiste menée par David Samzun témoignent de la marginalisation croissante d’une majorité qui n’en a plus que le nom à Sant-Nazer. Ce recours à la violence illustre le rejet brutal par David Samzun de la demande relative au déploiement de la bannière nationale bretonne par 2,500 Bretons de la commune.

Insultés et menacés, les Bretons ne resteront pas insensibles au traitement qui est leur est réservé par les laquais de l’impérialisme français à Sant-Nazer dès lors qu’ils s’engagent pour leurs droits nationaux.

Breizh Atav !

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Aux ordres du Parti socialiste français, le “Conseil culturel de Bretagne” se fixe pour objectif d’implanter 400,000 étrangers en Bretagne d’ici 2040

Aux ordres du Parti socialiste français, le “Conseil culturel de Bretagne” se fixe pour objectif d’implanter 400,000 étrangers en Bretagne d’ici 2040

[PNB] Le recyclage d’individualités bretonnes médiatisées par le principal parti du colonialisme français en Bretagne, le Parti socialiste, est un usage récurrent de sa pratique de domination. La nomination de Rozenn Milin à la tête d’une des coquilles vides du PS français, le “Conseil culturel de Bretagne”, illustre une nouvelle fois comment, en flattant l’égo de personnes prêtes à se prostituer, le clientélisme colonial fait perdurer la mainmise française sur notre pays.

Les premières déclarations de l’intéressée résument l’axe : la colonisation française de la Bretagne doit “évidemment” se poursuivre, au rythme de 400,000 nouveaux colons d’ici à 2040. S’en suivent des platitudes et vœux pieux destinés aux Bretons à propos de ces colons venus de France, invités à bien vouloir respecter les colonisés et leur culture, par définition évincée par la colonisation.

Les Bretons n’ont pas besoin de traîtres pour les acclimater aux modalités du joug imposé par la France. Ils l’expérimentent au quotidien en étant chassés de leur terre par les Français, comme l’illustre la grave crise du logement, et privés de leur nationalité donc de leurs droits nationaux. 

Les collaborateurs inféodés aux intérêts français comme Rozenn Milin n’ont pour seule fonction que d’accompagner l’Etat français dans son travail de gestion coloniale de la Bretagne en détournant l’attention du Peuple Breton de la nécessité d’une révolution nationaliste qui doit lui donner la maîtrise de son destin grâce à un état national indépendant. 

Pour le Parti National Breton, ce folklorisme aux ordres du franco-socialisme doit être combattu sans relâche, tout comme ses protagonistes. Pour rendre la Bretagne aux Bretons, chasser l’Etat français, ses partis et sa bourgeoisie est l’objectif non-négociable de la résistance nationale. La liberté ne s’accommode pas de miettes concédées par l’Etat Français. La Bretagne n’appartient qu’aux Bretons !

Breizh Atav !

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Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

[PNB] Les subventions accordées par les collectivités territoriales à l’association française “SOS Méditerranée”, qui organise le trafic de migrants clandestins depuis l’Afrique, sont pour 60%, originaires de Bretagne. Le Conseil “régional” de Bretagne a ainsi accordé 105,000 euros en 2021, tandis que le Conseil département de Loire-Atlantique a accordé 200,000 euros la même année.

L’explication de ce soutien financier à l’immigration illégale de remplacement tient en deux mots : Parti socialiste. C’est la gauche socialiste française en Bretagne, qui, depuis des décennies, prend en otage les travailleurs bretons et détournent le fruit de leur travail.

L’objectif est évident. Premièrement, soutenir la politique d’importation de futurs électeurs captifs dont a besoin la gauche pour se maintenir politiquement. Deuxièmement, importer non seulement de la main d’œuvre peu qualifiée exigée par le patronat dans les services, mais aussi des consommateurs de ces mêmes services. Troisièmement, combler l’effondrement du nombre des actifs autochtones en les remplaçant par la démographie du tiers-monde islamique afin de financer les retraites des fonctionnaires, principale clientèle électorale de la gauche socialiste.

C’est cette convergence entre intérêts patronaux et stato-socialistes français qui explique la brutale politique du fait accompli poursuivie par Loïg Chesnais-Girard, président de région (PS), et Michel Ménard, président du Conseil département de Loire-Atlantique (PS), en soutenant activement les passeurs de migrants clandestins. 

Le Parti National Breton dénonce ce détournement de l’argent des contribuables bretons par le Parti socialiste français. Il exige que soit mis un terme à ce soutien à l’anarchie migratoire qui aboutit, dans les rues des villes bretonnes, à l’explosion de l’insécurité, du trafic de drogue et de l’implantation d’éléments islamiques radicaux. Ces 305,000 euros doivent servir aux Bretons exclusivement, notamment pour le financement de l’enseignement de la langue bretonne.

Le Parti National Breton rappelle enfin qu’il entend mettre en place une grande politique de reconquête démographique en Bretagne grâce à un ensemble de mesures natalistes drastiques exposées dans son programme (lire ici).

Breizh Atav !

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Nantes : un homme de 66 ans assassiné gratuitement en pleine rue, la gauche française stop ou encore ?

Nantes : un homme de 66 ans assassiné gratuitement en pleine rue, la gauche française stop ou encore ?

[PNB] L’insécurité est hors de contrôle à Nantes. La municipalité franco-socialiste dirigée par Johanna Rolland, en organisant l’immigration de remplacement à grande échelle pour le compte de l’Etat français, a livré la capitale bretonne à tous les maux qui l’accompagnent : meurtres gratuits, guerre des gangs ethniques pour le contrôle de la drogue, viols de Blanches en pleine rue, vols, émeutes raciales.

Cette fois-ci, un homme de 66 ans a été assassiné en pleine rue.

Ouest-France :

Un mineur de 17 ans, qui habite chez ses parents, a été mis en examen pour meurtre, ce jeudi 15 septembre. Il est accusé d’avoir violemment frappé un homme de 66 ans, à Treillières, au nord de Nantes, le 28 août. La victime est décédée d’un hématome cérébral le 8 septembre.

Aucun changement radical n’aura lieu dans le cadre institutionnel français. Il faut une rupture idéologique, étatique et politique qui permette à une direction révolutionnaire de libérer la nation bretonne des menaces existentielles que l’Etat français fait peser sur elle.

Le Parti National Breton défend le principe d’automaticité de la peine de mort par pendaison dans les cas exposés dans son programme, sans possibilité d’être commuée :

  • Faire ou tenter de faire la guerre ou être complice de la guerre contre le gouvernement breton
  • Trahison au profit d’une puissance étrangère ou d’un groupe hostile à la nation bretonne et à son gouvernement
  • Pénétrer illégalement sur le territoire national breton
  • Organiser l’infiltration illégale du territoire national breton au profit de ressortissants étrangers
  • Désertion
  • Piraterie mettant en danger la vie d’autrui
  • Complicité de mutinerie
  • Parjure entraînant l’exécution d’une personne innocente
  • Meurtre commis sur le territoire breton ou sur la personne d’un ressortissant breton
  • Provocation au suicide
  • Tentative de meurtre commise par un prisonnier purgeant une peine de prison à vie
  • Enlèvement en vue de commettre un meurtre
  • Vol qualifié entraînant la mort d’une personne
  • Viol
  • Enlèvement d’enfant
  • Détention de drogue (500 grammes de cannabis, 15 grammes pour tout autre drogue)

Il est de la ferme conviction du Parti National Breton que les premières centaines d’exécutions entraîneront une réduction drastique des activités criminelles, faute de criminels pour les poursuivre, ceux-ci ayant été éliminés.

Breizh Atav !

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Brest : une voiture en flammes projetée contre une piscine municipale de l’enclave afro-islamique de Bellevue !

Brest : une voiture en flammes projetée contre une piscine municipale de l’enclave afro-islamique de Bellevue !

[PNB] Brest, tout comme l’ensemble des villes bretonnes soumises à l’immigration extra-européenne imposée par l’Etat français et la gauche coloniale hexagonale, est désormais une ville en état de putréfaction sociale avancée. Les quartiers de la ville, gangrenée par le pourrissement allogène, se transforment en kystes du crime, de la violence, de la radicalisation islamique.

Le Télégramme

Une Alfa Roméo enflammée a été découverte contre l’entrée principale de la piscine de Kerhallet, à Brest, ce mercredi 10 août 2022, vers 21 h 15. Il a fallu l’intervention rapide des pompiers de Brest, épaulés par les marins pompiers, pour éteindre promptement l’incendie du véhicule et éviter que l’équipement public de Bellevue ne subisse des dégâts au-delà de la porte. La voiture est entièrement calcinée. À l’arrivée des secours et de la police, aucun individu n’a été aperçu. Il pourrait s’agir d’un véhicule volé.

La cause de cette sauvagerie est connue : le caractère inassimilable des masses extra-européennes. Plus le temps passera, plus la submersion migratoire organisée par Paris avec l’aide de ses relais politiques locaux, à l’instar du socialiste Cuillandre à Brest, détruira des pans entiers de la Bretagne.

Seule une réponse radicale, à la hauteur de la menace existentielle que représente cette invasion, sera de nature à solder une fois pour cette crise menace.

Le Parti National Breton a une position claire sur cette question : l’expulsion en masse des sujets coloniaux vers la France, leur état de tutelle.

Breizh Atav !

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“Vœu” du conseil régional en faveur d’une pseudo autonomie : le Parti National Breton dénonce une nouvelle imposture pro-française

“Vœu” du conseil régional en faveur d’une pseudo autonomie : le Parti National Breton dénonce une nouvelle imposture pro-française

[PNB] Les médias d’état français font grand cas d’un “vœu” en faveur d’une “plus grande autonomie” de la “région” Bretagne formulé ce vendredi 8 avril par le Conseil Régional de la Bretagne administrative.

Le ton général des différentes factions françaises soutenant le texte, outrageusement obséquieux vis-à-vis de l’Etat Français, témoigne de la farce grossière qu’il met en scène.

Ainsi, par la voix de Michaël Quernez, vice-président PS du Conseil “Régional”, l’évocation du terme inoffensif de “fédéralisme” a suffi à provoquer une virulente réaction de la majorité socialiste française. Celui-ci a immédiatement été censuré par la gauche coloniale. La droite bourgeoise parisienne, menée par Isabelle Le Callennec, avait quelques jours avant formulé les mêmes menaces à l’évocation de ce mot, signe d’une convergence complète de vue au sein des représentants la bourgeoisie pro-parisienne au pouvoir en Bretagne occupée.

Fort logiquement, le Normand Pennelle, intrus représentant le parti colonial le plus radical qu’est le RN, s’est revendiqué du jacobinisme révolutionnaire pour dénoncer ce texte dérisoire dans son ensemble.

Le Parti National Breton dénonce une manœuvre grossière venue des rangs écolo-socialistes français, promue dans le but de tromper une opinion bretonne de plus en plus consciente de ses intérêts nationaux. A la veille d’élections françaises où les factions politiques parisiennes tentent de s’attirer les faveurs du peuple breton, chacun de ces syndicats politiques parisiens représentés à Rennes tentent de mystifier la nation bretonne tout en redoublant de serment de fidélité à l’égard du pouvoir colonial français.

Contrairement à la canaille politicienne au service de la France, la nation bretonne ne présente aucun “vœu” à l’Etat Français. Elle n’est pas une chienne soumise qui se satisfait de miettes concédées par la maquerelle française. Pour le régime colonial français, la nation bretonne n’a qu’une exigence : l’expulsion complète du territoire national breton.

Le Parti National Breton le répète : aucune voix bretonne pour les partis français, ennemis du peuple breton.

Une seule alternative : l’indépendance de la nation bretonne !

Breizh Atav !

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Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

En Bretagne, les ravages du socialisme municipal français ne sont plus à détailler à l’opinion bretonne qui ne les connaît que trop bien : endettement massif, urbanisme désastreux et tiers-mondisation du peuplement, sur fond d’explosion de l’insécurité et de l’islamisme, en sont les conséquences les plus spectaculaires.

Le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun

La ville de Saint-Nazaire (Pays Nantais), sous la coupe du Parti Socialiste français depuis des décennies, illustre tristement ce qu’il advient des communes qui se laissent entraîner sur cette voie. Récemment, c’est la politique du logement pseudo social, réservée aux allogènes importés par l’Etat Français, qui met en lumière le désastre ethno-culturel créé par la gauche française.

France Bleu

11 agressions depuis le début de l’année. La plus marquante restera celle de cet agent, frappé par un trafiquant de drogue aux pieds des immeubles dans le quartier de la Trébale fin mai. Avec une triple fracture de la mâchoire et plusieurs mois d’arrêt, l’agent n’a repris le travail que récemment dans un autre quartier. Des coups, mais aussi des insultes, des menaces de mort, “c’est régulier et c’est oppressant pour nos agents qui vont sur le terrain, aux pieds des immeubles,” raconte Maïgwenn Guégan, directrice proximité qui encadre ces 74 travailleurs isolés pour Silène. Elle-même victime de menaces en 2019, elle a porté plainte, son agresseur a été condamné à 3 mois de prison ferme. Mais ces condamnations sont rares, même si à chaque fois, il y a un dépôt de plainte car il est toujours difficile d’identifier les agresseurs.

C’est pourquoi Silène, qui héberge un Nazairien sur 3, met en place un plan sécurité, une sorte de boîte à outils pour mieux protéger ses salariés. D’autant que la tension du marché, avec 5 mille candidats au logement social sur liste d’attente dont 3600 primo-arrivants, rajoute du sel sur les plaies. Dans les 7 centres d’accueil Silene, les agents aussi sont souvent pris à parti. Ils ont déjà un bouton directement relié avec la police, mais à partir de janvier, ces locaux seront également équipés de caméras de vidéo-surveillance. Le bailleur a mis 18 000 euros sur la table. Et les candidats au logement qui se comportent mal avec un agent sont exclus des listes pour 2 ans.

Le terme “primo arrivants” propre à la langue de bois du régime désigne en réalité les migrants extra-européens candidats à la colonisation de la Bretagne.

Avec 3,600 allogènes sur 5,000 candidats à l’accession d’un logement social, ces étrangers représentent le chiffre astronomique de 72% des demandes !

Cette véritable invasion prive les Bretons du droit de se loger chez eux et ce avec le plein appui de la municipalité PS de Saint-Nazaire ainsi que du gouvernement français.

Ce n’est pas tout. Les agents de terrain ont récemment reçu un boîtier, avec une dragone, relié à une plateforme de sécurité avec même un code secret pour dire “au secours”. Ce boîtier géolocalise l’agent, et si besoin, les forces de l’ordre peuvent intervenir. Autre mesure mise en place : la sécurisation des halls d’immeubles. Pour mieux lutter notamment contre les trafics de drogue et les guetteurs, l’office HLM a équipé plus de 200 entrées de digicodes et autres badges pour un montant d’1,5 millions d’euros. A propos de trafics de drogue, désormais quand un locataire est officiellement condamné, il est également expulsé de son logement pour trouble du voisinage. Une expulsion est actuellement en cours d’ailleurs, une locataire ayant été condamnée cet été.

“Nous n’avons pas de baguette magique mais nous faisons tout ce que nous pouvons en partenariat avec la Ville, la Police et la Justice” explique Xavier Perrin, président de Silène qui annonce lancer l’expérience de caméras de vidéoprotection dans les halls et les caves des 4 immeubles de Prézégat. Un quartier de Saint-Nazaire où une fusillade a éclaté fin septembre.

Enfin, à propos du vandalisme, 800 plaintes l’an dernier et 200 000 euros de réparations pour le bailleur, “l’équivalent de 7 logements neufs” déplore Sandrine Williamson, la directrice générale de Silène. “Mais par principe, on essaye de remplacer les vitres brisées, d’effacer les tags, car sinon, on donne l’impression d’une zone de non droit et là, ça peut se dégrader très très vite“. Et de rappeler que “c’est toujours une minorité qui pourrit la vie de la grande majorité, c’est aussi pour nos locataires qu’on a voulu réagir”.

La radio d’état française (France Bleu) opère une stricte censure du fait structurant derrière la situation décrite dans les résidences sociales : l’immigration extra-européenne de peuplement, très majoritairement afro-musulmane.

Il ne s’agit pas d’une “minorité”, mais des caractéristiques propres à ces populations inassimilables qui, partout où elles s’installent, recréent les conditions de sous-développement propres à leurs pays d’origine. Saint-Nazaire, pas plus que Brest ou Rennes, n’échappe au sort de Marseille.

Les chiens ne font pas des chats.

Plutôt que de dénoncer en termes clairs l’origine de ce désastre aux conséquences catastrophiques pour le peuple breton, la politique de la municipalité de gauche consiste à accompagner la progression de la sauvagerie en dépensant des millions d’euros qui sont autant de pansements sur la jambe de bois de l’immigration non-européenne.

Le Parti National Breton ne s’embarrasse pas d’euphémismes ou de formules prudentes, il va droit à l’essentiel, désigne la menace qu’affronte la nation bretonne et propose des solutions drastiques qui seules permettront de mettre un terme à la crise fondamentale que pose l’immigration de remplacement imposée par l’Etat Français.

Le Parti National Breton rappelle trois de ses dix exigences d’applications immédiates pour la Bretagne : 

1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

Ces exigences répondent à notre principe de gouvernement : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

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Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Le paradis multiculturel promu par le Parti Socialiste français en Bretagne depuis des décennies n’en finit pas de se transformer en enfer multiethnique quotidien pour la population bretonne. Dernier exemple en date, la transformation de Quimper – ville sous la coupe de l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih – en supermarché de la drogue, jusque dans son centre historique.

Immigration extra-européenne, tabou médiatique

On cherchera en vain, dans la presse d’état, le mot “immigration” pour expliquer cet empoisonnement parasitaire pourtant organisé par des criminels allogènes.

Le Télégramme :

Quimper, 10 septembre 2019. Le quartier de Kermoysan s’embrase. Une flambée de violences inédites qui va entraîner une hausse de la pression policière dans ce quartier défavorablement réputé pour être la plaque tournante du trafic de stupéfiants à Quimper.

Puis, le confinement va passer par là. Et mettre en lumière une autre problématique existant depuis des années et qui semble s’être accentuée ces derniers mois. Celle du trafic de drogues en plein cœur de ville (…) Des transactions quasi quotidiennes réalisées en plein jour et aux yeux de tous.

« D’année en année, ça monte crescendo », note Laure, une commerçante quimpéroise installée depuis près de dix ans dans le centre. Tous les jours, depuis sa vitrine, elle assiste, impuissante, à un va-et-vient régulier de jeunes qui « vendent des barrettes et de l’herbe à monsieur tout-le-monde. Et ce en toute impunité et à toute heure de la journée ».

Un trafic qui prend donc racine sur les pavés de l’hypercentre quimpérois. Notamment dans les ruelles étroites de la ville, comme la venelle du Poivre ou encore la rue de la Palestine.

« C’est plutôt cool pour eux. Ce sont des endroits très peu éclairés avec une entrée et une sortie. Ils peuvent se sauver facilement car les motos ou voitures de police peuvent difficilement les suivre », raconte Martin. « Ce sont les plus jeunes qui sont les plus dérangeants. Ils sont irrespectueux. Le soir, ils laissent leurs déchets partout ». 

Les horaires publics du point de deal dans le paradis multiculturel de la ville socialiste de Quimper

Après le temps de l’observation, vient celui de l’exaspération. « J’ai vécu près de 20 ans dans le centre de Quimper. Pour rien au monde, je ne voudrais réhabiter dans ce centre-ville qui s’est franchement dégradé au fil des années », affirme Laure, soulignant ne plus y être sereine. Désormais, son sac contient une bombe au gaz.

« La délinquance existe partout. Mais c’est vrai que l’on ne s’y attend pas en plein cœur de Quimper. C’est envahissant, gênant car ils sont souvent nombreux et bruyants. Et ils ne respectent rien ni personne. Je pense qu’il y a des choses qui pourraient être faites pour empêcher cela. Mais on sait très bien que ça ne fera que déporter le problème », conclut Martin, un brin pessimiste.

Les “jeunes”, tel est le pudique euphémisme consacré par les médias d’état hexagonaux pour ne pas utiliser le terme exact : allogènes afro-musulmans !

De la république au tiers-monde

Le Parti National Breton pour sa part se fixe pour première priorité de décrire dans les termes exacts les fléaux qui affectent le peuple breton soumis à l’occupation française, première étape de la restauration de l’ordre breton en Bretagne. Il ajoute qu’en étroite coopération avec l’Etat Français, les partis de gauche à la botte de Paris appliqueront invariablement sa politique de remplacement ethnique au profit des masses du tiers-monde qu’il importe frénétiquement. L’exemple quimpérois l’illustre jusqu’à l’absurde.

Tant que le régime républicain français et ses relais locaux administreront la Bretagne, celle-ci suivra l’évolution catastrophique de la France : remplacement ethnique, explosion de la criminalité, gangrène islamiste fulgurante. Il n’y a qu’une seule et unique solution : organiser partout la résistance ethno-nationale bretonne en vue de la restauration de l’Etat Breton, dernière planche de salut face au naufrage de la France afro-islamisée.

Les Bretons conscients de la menace existentielle qui pèse sur leur pays ne peuvent que rejoindre l’analyse du Parti National Breton. Le PNB les appelle à en tirer toutes les conclusions et à le rejoindre dans les plus brefs délais. Les partis bourgeois hexagonaux dont la caractéristique est la lâcheté et l’opportunisme ne feront que gérer la faillite jusqu’à l’effondrement final.

Breizh Atav !

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