Brest : Le tripatouillage pro-migrants de Parcoursup permet à un clandestin congolais de valider 25 vœux

Brest : Le tripatouillage pro-migrants de Parcoursup permet à un clandestin congolais de valider 25 vœux

[PNB] Une nouvelle fois lésés par le système de préférence étrangère mis en place par les activistes du ministère français de l’Education Nationale, les étudiants bretons découvrent l’ampleur de la corruption qui régit “Parcoursup”, une plateforme où les professeurs français d’extrême-gauche se livrent à un phénoménal tripatouillage en faveur de migrants clandestins grâce aux notes “miraculeuses” qu’ils leur donnent. Dernier exemple, à Brest, où l’arnaque a dépassé tout ce qui se faisait jusqu’à présent.

BFMTV :

Un motif d’espoir et une grande fierté pour tous ses proches. Alors que de nombreux lycéens restent tributaires des premiers résultats de Parcoursup qui ont été partagés la semaine passée, Jonathan Kikanga, un jeune Congolais de 18 ans, n’a pas à se soucier des listes d’attente parfois vertigineuses sur lesquelles de nombreux étudiants sont inscrits. Comme l’explique Ouest-France, scolarisé au lycée Dupuy-de-Lôme de Brest, ce dernier a vu ses 25 voeux acceptés, dont celui lui donnant accès à la prestigieuse école d’ingénieurs Insa de Lyon.

Une performance d’autant plus remarquable que le jeune homme n’est arrivé en France qu’en 2019 en provenance de Kinshasa, après avoir voyagé par avion. Selon le quotidien régional, celui dont la mère est morte et dont le père habite en Angola, ne parle qu’un français rudimentaire à son arrivée. Sans-papiers, il quitte la capitale pour Brest où il se retrouve également sans-domicile.

Au fil des rencontres, Jonathan prend contact avec l’Adjim, une association dévouée à l’aide aux migrants qui est composée de professeurs. Là, celui qui n’avait pas été scolarisé entre la 6e et la 3e apprend le français plus en profondeur et se retrouve finalement admis en section Sciences et technologies de l’industrie et du développement durable (STI2D) du lycée brestois.

Élève modèle, sa moyenne tutoie rapidement les sommets et le jeune homme obtient les notes de 15 et 17 aux oraux et écrits du bac français. “Le français, c’était très compliqué!”, admet-il toutefois. Un dossier sans fioritures qui lui permet de prétendre aux écoles les plus prestigieuses.

Dans son entourage, personne n’est réellement surpris. “Ça ne m’étonne pas. Ce garçon m’impressionne. Il apprend avec une telle rapidité”, se réjouit, toujours auprès de Ouest-France, Michèle Le Gall, qui a accueilli le jeune homme à son domicile.

Reste un dernier écueil pour Jonathan, celui d’obtenir des papiers français, lui qui par deux fois a dû justifier de sa situation de mineur isolé devant la justice. “Quand j’ai une baisse de moral, je me dis que je vais devoir quitter la France. Ça me pousse à bosser deux fois plus. Je n’ai pas le choix!”, conclut-il, toujours dans les colonnes de Ouest-France. 

L’imposture a fait long feu sur les réseaux sociaux face aux nombreux témoignages.

Parcoursup, régi par un algorithme gouvernemental opaque, intègre en réalité des paramètres de préférences ethno-raciales afin d’accélérer l’islamo-africanisation de l’enseignement français. C’est une discrimination raciale antiblanche d’inspiration américaine, à la différence qu’elle n’est pas assumée officiellement par l’Etat Français.

Grâce à l’aide de professeurs d’extrême-gauche pro-migrants, le tripatouillage a permis “le miracle”.

Le Parti National Breton alerte les étudiants bretons sur ce dispositif : peu importe leurs talents, l’Etat français, avec l’aide des militants marxistes de l’Education National française, entend poursuivre cette discrimination systémique contre les étudiants blancs qui les privera d’un parcours scolaire normal. Particulièrement brillants, les étudiants bretons subiront de plein fouet ce trucage systématique des notes et évaluations en faveur de l’Afrique.

La jeunesse bretonne doit prendre conscience que, pour elle, l’époque où le système scolaire hexagonal constituait un débouché naturel est révolue. Cette fuite des cerveaux vers la France, mise en place depuis un siècle par l’état colonial pour utiliser l’intelligence bretonne contre la Bretagne, touche à sa fin.

L’avenir intellectuel et professionnel de la jeunesse bretonne passe par la Bretagne, mais aussi par l’étranger, en dehors de la jungle ethnique française, pour le salut du pays. Le Parti National Breton entend mettre en place l’exclusivité bretonne dans tous les domaines de la société, tout spécialement dans l’enseignement breton, pour conjurer la déchéance cognitive qui touche la France en voie de remplacement démographique terminal.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Terreur antiblanche à Guéméné : la mairie repeint un personnage de carnaval en blanc après les menaces de violence d’allogènes africains

Terreur antiblanche à Guéméné : la mairie repeint un personnage de carnaval en blanc après les menaces de violence d’allogènes africains

[PNB] La terreur allogène se répand en Bretagne, sans aucune opposition de politiciens locaux aussi lâches qu’aveugles.

Le Télégramme

Une lettre et un coup de fil menaçants ont entaché la préparation du carnaval Pourleth, qui se tiendra ce dimanche, à Guémené (56). La raison ? La tête d’une femme grimée de noir.

La fête promet d’être folle, comme toujours depuis 1926. À Guémené, le traditionnel carnaval attire, tous les deux ans, près de 10 000 visiteurs qui viennent admirer la vingtaine de chars fleuris et artistiques. Mais cette année, il y a eu comme un hic lors de la préparation de l’évènement : plusieurs personnes, qui ont peu goûté à une tête grimée de noir posée en périphérie de la ville, ont menacé de perturber le carnaval si elle n’était pas enlevée.

« J’ai reçu un coup de fil d’une personne qui m’a demandé de retirer cette tête que nous avions posée sur le rond-point, près de la caserne des pompiers, pour annoncer l’évènement, explique Monique Le Tennier, présidente du comité d’organisation. Elle m’a dit que c’était raciste, très choquant et que ça faisait « zoo ». Elle voulait à tout prix qu’on l’enlève ». Une requête qui a rapidement viré à la menace. « Elle m’a dit que si on ne l’enlevait pas, plusieurs personnes viendraient empêcher la tenue du défilé ». Un courrier électronique, écrit par une autre personne, a également été envoyé à l’office de tourisme du Faouët, hier. À l’intérieur, on peut lire ceci : « Pourquoi le carnaval utilise-t-il une grosse tête de femme noire pour faire sa publicité ? Cette tête semble être une caricature avec ses lèvres et ses cils exagérés. Dans une région majoritairement blanche, ne pensez-vous pas que ce stéréotype pourrait être perçu comme raciste ? Je suis personnellement offensé », est-il écrit dans le courrier.

Au sein du comité d’organisation, c’est la stupeur. « On est surpris, choqué, un peu dégoûté, même » peste Christian Maro, vice-président de l’organisation de ce carnaval qui passionne tout le Centre-Bretagne. « Après avoir reçu ces menaces, on a réfléchi. Certains voulaient enlever la tête grimée, d’autres non. Finalement, il a été décidé de la repeindre en blanc : nous ne voulions pas avoir de grabuge lors du défilé qui permet de conserver une vie dans nos petits bourgs et qui représente, pour un millier de carnavaliers, plusieurs mois de travail », argue Monique Le Tennier. « Ce n’était vraiment pas dans une intention de choquer ou de se moquer ! Nous sommes dans l’esprit carnaval, c’est tout », ajoute la présidente. « Nous sommes prêt à rencontrer ces personnes pour en discuter » conclut Christian Maro. Dimanche, ce sera (quand même) la fête, à Guémené. Et elle promet d’être folle, comme toujours.

Un coup de téléphone, un email, et une commune entière capitule : c’est l’état de lâcheté ambiante face à la terreur raciste antiblanche. Non seulement cela, mais la clique municipale se dit prête à dérouler le tapis rouge au pied de l’envahisseur, animée d’une haine raciale ouverte contre les Bretons sur leur propre terre.

Qui peut croire un instant que cette Bretagne occupée par l’Etat Français, dirigée par des vieillards séniles, peut opposer un semblant de résistance à l’invasion afro-islamique organisée par Paris ?

Seule une force jeune et déterminée à imposer l’ordre breton en Bretagne pourra balayer la racaille allogène qui se croit maître chez nous. Cette force, c’est le Parti National Breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“Espèce de Blanc” : à Binic, un couple agressé à l’armée blanche par un allogène venu de France

“Espèce de Blanc” : à Binic, un couple agressé à l’armée blanche par un allogène venu de France

[PRESSE] Il se baladait avec un nunchaku, dans les rues de Binic, quand il a agressé verbalement un couple se rendant au restaurant. En proférant des insultes « à caractère raciste », a retenu le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc ce mercredi.

Le prévenu n’était pas à l’audience du tribunal correctionnel, ce mercredi 4 mai 2022 à Saint-Brieuc. « Et c’est dommage car on se pose des questions, notamment sur sa santé mentale », a résumé la présidente, au sujet de ce dossier un peu étonnant.

L’homme est poursuivi pour deux faits de violence, mais aussi pour des menaces. Ses premières victimes : un couple, qui cherche tranquillement un restaurant, à Binic, le 28 mai 2021. Ils se souviennent parfaitement de cet individu, qui se promenait avec un nunchaku, et qui tapait dans les poubelles. « Toi espèce de blanc, tu votes FN » a-t-il hurlé à leur intention, avant de menacer de les planter au couteau.

Le Télégramme

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“Sale Blanc” : à Nantes, un homme lynché par une bande ethnique en pleine rue

“Sale Blanc” : à Nantes, un homme lynché par une bande ethnique en pleine rue

[PNB] La haine des allogènes s’exprime chaque jour plus librement dans les villes bretonnes soumises à la politique de remplacement ethnique organisée par l’Etat Français.

Dernier exemple à Nantes.

Ouest-France :

Il est minuit entre la place du Bouffay et l’arrêt de tram Duchesse-Anne, à Nantes (Loire-Atlantique), ce mercredi soir 6 avril 2022. Un homme discute avec deux femmes. Ça chahute un peu, avec des propos crus et disgracieux entre eux. Un homme, lui aussi avec des amies, s’en émeut, et intervient. Mais il n’aurait peut-être pas dû s’en mêler. Car ce n’est pas du goût du premier homme. « Ta gueule, sale blanc », aurait-il rétorqué au passant, rapporte une source policière. Puis il le frappe et le jette au sol, lui infligeant des coups de pied et coups de poing au visage. Un déferlement de violence sous les encouragements et incitations des deux femmes, qui insultent aussi la victime en tenant un discours raciste à nouveau.

Les amies de l’agressé alertent une patrouille de police, qui retrouve vite les trois suspects grâce au signalement formel des témoins. L’agresseur présumé, 19 ans, fortement alcoolisé, se rebelle à plusieurs reprises lors de son interpellation. Il a été placé en cellule de dégrisement. Les deux femmes, âgées de 18 et 20 ans, sont aussi placées en garde à vue pour « violences volontaires en réunion en raison de l’appartenance de la victime à une race ». L’homme blessé a été transporté par les pompiers au CHU.

Le Parti National Breton entend mettre un terme à cette colonisation extra-européenne en organisant la résistance populaire bretonne dans chaque commune de la Bretagne, jusqu’à la libération complète du pays.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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