Interdiction du drapeau breton à Saint-Nazaire : le PNB dénonce la violence employée contre le président de Bretagne Réunie par le maire franco-socialiste David Samzun

Interdiction du drapeau breton à Saint-Nazaire : le PNB dénonce la violence employée contre le président de Bretagne Réunie par le maire franco-socialiste David Samzun

[PNB] Le Parti National Breton dénonce avec force la violence employée par le maire franco-socialiste de Sant-Nazer (Saint-Nazaire), David Samzun, contre Alan Coraud, président de l’association Bretagne Réunie, peu avant la tenue du conseil municipal, vendredi 3 février 2023.

Alors qu’Alan Coraud s’apprêtait à remettre une lettre dénonçant l’interdiction du déploiement du drapeau breton sur le fronton de la mairie de Sant-Nazer sur ordre du maire David Samzun (lire ici), ce dernier a fait intervenir ses butors déguisés en policiers municipaux pour expulser par la force le président de Bretagne Réunie, pourtant courtois et pacifique.

Les méthodes utilisées par la faction jacobine extrémiste menée par David Samzun témoignent de la marginalisation croissante d’une majorité qui n’en a plus que le nom à Sant-Nazer. Ce recours à la violence illustre le rejet brutal par David Samzun de la demande relative au déploiement de la bannière nationale bretonne par 2,500 Bretons de la commune.

Insultés et menacés, les Bretons ne resteront pas insensibles au traitement qui est leur est réservé par les laquais de l’impérialisme français à Sant-Nazer dès lors qu’ils s’engagent pour leurs droits nationaux.

Breizh Atav !

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Saint-Nazaire : règlement de comptes entre bandes ethniques rivales près du lycée Aristide Briand, un blessé à l’arme blanche

Saint-Nazaire : règlement de comptes entre bandes ethniques rivales près du lycée Aristide Briand, un blessé à l’arme blanche

[PNB] La municipalité franco-socialiste nazairienne dirigée par David Samzun est plus prompte à réprimer le sentiment d’appartenance breton de ses administrés que le crime qui suppure des enclaves afro-musulmanes qu’il courtise électoralement.

Les évènements récents en témoignent, d’après le média d’état français France Bleu :

L’agression s’est déroulée en plein jour devant une des entrées secondaires de la Cité scolaire, précisément rue d’Arsonval devant le bâtiment J qui se trouve à l’arrière du lycée Aristide Briand.

“C’était la fin de la pause, on rentrait en cours quand on a entendu des cris. Il y a eu une bousculade, et l’instant d’après on a vu ce jeune étendu par terre dans une mare de sang“, raconte une élève de première qui assiste à la scène. La victime est un lycéen de 16 ans, il a reçu au moins un coup de couteau “dans le haut de la cuisse”. C’est une élève qui apporte les premiers secours en attendant les pompiers. Le jeune homme a été hospitalisé à Saint-Nazaire, ses blessures restent superficielles.

Les auteurs, car ils étaient plusieurs assure un enquêteur, ont pris la fuite mais les nombreux témoins de la scène sont ou vont être auditionnés. Il s’agit d'”un règlement de compte entre deux quartiers rivaux”, selon les lycéens croisés à la sortie des cours.

L’immigration extra-européenne organisée par l’Etat français, avec l’appui des partis du régime colonial, fait chaque jour sentir un peu plus ses effets mortifères en Bretagne. 

Il est l’heure pour les Bretons de changer radicalement de direction politique et d’opter pour un nouvel ordre général qui rende la Bretagne aux Bretons. Le Parti National Breton porte ce changement révolutionnaire en dépassant les conséquences de l’intégration de la Bretagne dans le système hexagonal par la rupture définitive avec lui.

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Saint-Nazaire, ville bretonne !

Saint-Nazaire, ville bretonne !

[PNB] Suite à l’attaque de la municipalité franco-socialiste de Saint-Nazaire contre l’appartenance bretonne de la ville (lire ici), les militants du Parti National Breton ont riposté en menant une opération d’affirmation nationale bretonne sur la région nazairienne !

Saint-Nazaire est et restera une ville bretonne !

Breizh Atav !

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Haine du Peuple Breton : le PNB dénonce l’interdiction du Gwenn ha Du par le maire socialiste de Saint-Nazaire, David Samzun

Haine du Peuple Breton : le PNB dénonce l’interdiction du Gwenn ha Du par le maire socialiste de Saint-Nazaire, David Samzun

[PNB] David Samzun, maire franco-socialiste de Saint-Nazaire, a une nouvelle fois craché au visage des Bretons. Interrogée dans le cadre d’une interpellation citoyenne signée par 2,500 habitants de la ville, la majorité municipale de Saint-Nazaire a exprimé son refus de faire flotter le drapeau breton sur le parvis de l’hôtel de ville. Pour toute justification, les représentants de la majorité dirigée par David Samzun se sont laissés aller à des éclats de haine ethnique contre le Peuple breton dignes des délibérations du Comité de Salut Public.

L’adjointe municipale Maribel Létang-Martin, 68 ans, a ainsi dénoncé le Gwenn ha Du et son symbole qu’est l’hermine comme l’expression de “l’opposition entre la Bretagne ducale et la Bretagne républicaine”, c’est-à-dire en la Bretagne libre de la colonisation française et la Bretagne enchaînée actuelle.Létang-Martin a poursuivi en déniant le droit des Bretons à être maîtres de leurs patrie, au motif que  la Bretagne était sous la tutelle des Français et de leur république. “Apposer ce drapeau-là sur le fronton de la mairie serait une erreur parce que les mairies représentent l’endroit où tous les citoyens, à égalité de droit, ont droit de cité” a-t-elle affirmé pour signifier que les étrangers, c’est-à-dire les Français et leurs invités, ont préséance sur les Bretons à Saint-Nazaire.

Inspirés par les consignes de la loge locale du Grand Orient de France, la sans-culotterie municipale nazairienne menée par Samzun poursuit la politique permanente du régime républicain en Bretagne depuis 1789, à savoir la destruction de ses spécificités ethno-nationales. A Saint-Nazaire, outre sa politique ouvertement anti-bretonne, la majorité franco-socialiste a pour priorité de livrer la ville aux étrangers : 72% des personnes figurant sur les listes d’attente pour un logement social sont des migrants extra-européens.

Rappelant que Samzun a été élu sur fond d’abstention record (près de 69%), le Parti National Breton condamne l’incitation à la haine ethnique contre le Peuple breton qu’alimente impunément la municipalité de Saint-Nazaire, représentante du pouvoir colonial français. Il rappelle que le Gwenn ha Du, la bannière nationale bretonne, est partout chez elle en Bretagne.

La dérive sectaire de la très théorique majorité actuelle ne peut qu’accélérer sa marginalisation dans l’opinion nazairienne et, ultimement, sa chute.

Breizh Atav !

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Catastrophe visuelle au Croisic : le PNB démantèlera le parc éolien de Saint-Nazaire et exige la nucléarisation civile de la Bretagne

Catastrophe visuelle au Croisic : le PNB démantèlera le parc éolien de Saint-Nazaire et exige la nucléarisation civile de la Bretagne

[PNB] Face au désastre représenté par le parc éolien de Saint-Nazaire, désormais largement visible depuis le littoral en dépit des affirmations du gouvernement français, le Parti National Breton annonce son intention formelle de le démanteler. Ce parc, qui ne produira jamais plus de 10% de la consommation électrique de la Loire-Atlantique (450 MWh) doit disparaître en raison de la dénaturation insupportable qu’il inflige à la Bretagne.

Pour assurer l’indépendance énergétique et stratégique de la nation bretonne, le Parti National Breton affirme son intention de recourir aux technologies marémotrices et nucléaires civiles. Le Parti National Breton recherchera à cette fin des partenaires européens, à l’exception de la France. En appui à ces technologies, le Parti National Breton mettra en place une politique de recours au solaire individuel et à une vaste politique de réforme des modes de consommation, notamment d’isolement des habitations. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

En Bretagne, les ravages du socialisme municipal français ne sont plus à détailler à l’opinion bretonne qui ne les connaît que trop bien : endettement massif, urbanisme désastreux et tiers-mondisation du peuplement, sur fond d’explosion de l’insécurité et de l’islamisme, en sont les conséquences les plus spectaculaires.

Le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun

La ville de Saint-Nazaire (Pays Nantais), sous la coupe du Parti Socialiste français depuis des décennies, illustre tristement ce qu’il advient des communes qui se laissent entraîner sur cette voie. Récemment, c’est la politique du logement pseudo social, réservée aux allogènes importés par l’Etat Français, qui met en lumière le désastre ethno-culturel créé par la gauche française.

France Bleu

11 agressions depuis le début de l’année. La plus marquante restera celle de cet agent, frappé par un trafiquant de drogue aux pieds des immeubles dans le quartier de la Trébale fin mai. Avec une triple fracture de la mâchoire et plusieurs mois d’arrêt, l’agent n’a repris le travail que récemment dans un autre quartier. Des coups, mais aussi des insultes, des menaces de mort, “c’est régulier et c’est oppressant pour nos agents qui vont sur le terrain, aux pieds des immeubles,” raconte Maïgwenn Guégan, directrice proximité qui encadre ces 74 travailleurs isolés pour Silène. Elle-même victime de menaces en 2019, elle a porté plainte, son agresseur a été condamné à 3 mois de prison ferme. Mais ces condamnations sont rares, même si à chaque fois, il y a un dépôt de plainte car il est toujours difficile d’identifier les agresseurs.

C’est pourquoi Silène, qui héberge un Nazairien sur 3, met en place un plan sécurité, une sorte de boîte à outils pour mieux protéger ses salariés. D’autant que la tension du marché, avec 5 mille candidats au logement social sur liste d’attente dont 3600 primo-arrivants, rajoute du sel sur les plaies. Dans les 7 centres d’accueil Silene, les agents aussi sont souvent pris à parti. Ils ont déjà un bouton directement relié avec la police, mais à partir de janvier, ces locaux seront également équipés de caméras de vidéo-surveillance. Le bailleur a mis 18 000 euros sur la table. Et les candidats au logement qui se comportent mal avec un agent sont exclus des listes pour 2 ans.

Le terme “primo arrivants” propre à la langue de bois du régime désigne en réalité les migrants extra-européens candidats à la colonisation de la Bretagne.

Avec 3,600 allogènes sur 5,000 candidats à l’accession d’un logement social, ces étrangers représentent le chiffre astronomique de 72% des demandes !

Cette véritable invasion prive les Bretons du droit de se loger chez eux et ce avec le plein appui de la municipalité PS de Saint-Nazaire ainsi que du gouvernement français.

Ce n’est pas tout. Les agents de terrain ont récemment reçu un boîtier, avec une dragone, relié à une plateforme de sécurité avec même un code secret pour dire “au secours”. Ce boîtier géolocalise l’agent, et si besoin, les forces de l’ordre peuvent intervenir. Autre mesure mise en place : la sécurisation des halls d’immeubles. Pour mieux lutter notamment contre les trafics de drogue et les guetteurs, l’office HLM a équipé plus de 200 entrées de digicodes et autres badges pour un montant d’1,5 millions d’euros. A propos de trafics de drogue, désormais quand un locataire est officiellement condamné, il est également expulsé de son logement pour trouble du voisinage. Une expulsion est actuellement en cours d’ailleurs, une locataire ayant été condamnée cet été.

“Nous n’avons pas de baguette magique mais nous faisons tout ce que nous pouvons en partenariat avec la Ville, la Police et la Justice” explique Xavier Perrin, président de Silène qui annonce lancer l’expérience de caméras de vidéoprotection dans les halls et les caves des 4 immeubles de Prézégat. Un quartier de Saint-Nazaire où une fusillade a éclaté fin septembre.

Enfin, à propos du vandalisme, 800 plaintes l’an dernier et 200 000 euros de réparations pour le bailleur, “l’équivalent de 7 logements neufs” déplore Sandrine Williamson, la directrice générale de Silène. “Mais par principe, on essaye de remplacer les vitres brisées, d’effacer les tags, car sinon, on donne l’impression d’une zone de non droit et là, ça peut se dégrader très très vite“. Et de rappeler que “c’est toujours une minorité qui pourrit la vie de la grande majorité, c’est aussi pour nos locataires qu’on a voulu réagir”.

La radio d’état française (France Bleu) opère une stricte censure du fait structurant derrière la situation décrite dans les résidences sociales : l’immigration extra-européenne de peuplement, très majoritairement afro-musulmane.

Il ne s’agit pas d’une “minorité”, mais des caractéristiques propres à ces populations inassimilables qui, partout où elles s’installent, recréent les conditions de sous-développement propres à leurs pays d’origine. Saint-Nazaire, pas plus que Brest ou Rennes, n’échappe au sort de Marseille.

Les chiens ne font pas des chats.

Plutôt que de dénoncer en termes clairs l’origine de ce désastre aux conséquences catastrophiques pour le peuple breton, la politique de la municipalité de gauche consiste à accompagner la progression de la sauvagerie en dépensant des millions d’euros qui sont autant de pansements sur la jambe de bois de l’immigration non-européenne.

Le Parti National Breton ne s’embarrasse pas d’euphémismes ou de formules prudentes, il va droit à l’essentiel, désigne la menace qu’affronte la nation bretonne et propose des solutions drastiques qui seules permettront de mettre un terme à la crise fondamentale que pose l’immigration de remplacement imposée par l’Etat Français.

Le Parti National Breton rappelle trois de ses dix exigences d’applications immédiates pour la Bretagne : 

1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

Ces exigences répondent à notre principe de gouvernement : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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