Contrefeu colonial : l’organisation régionaliste française “Parti Breton” appelle l’Etat français à faire interdire le Parti National Breton

Contrefeu colonial : l’organisation régionaliste française “Parti Breton” appelle l’Etat français à faire interdire le Parti National Breton

[PNB] En quelques mois d’existence, le Parti National Breton, par son activisme, a d’ores et déjà réussi à démasquer, il est vrai sans difficulté, les imposteurs du régionalisme.

Ladite “Union Démocratique Bretonne”, l’organisation française d’extrême-gauche , s’y était déjà livrée en juin avec les habituels slogans de la gauche française :

Hier, c’était au tour de l’organisation anti-nationale “Parti Breton” d’appeler directement l’Etat français à faire interdire le Parti National Breton. Le motif, un message anonyme publié sur Twitter par un inconnu, a servi de prétexte.

Comme de juste, cette organisation d’esprit français tente de promouvoir une caricature folklorique et cosmopolite de notre pays dans le but d’encager la nation bretonne dans les catégories politico-idéologiques de l’occupant français. Notamment en francisant à outrance la Bretagne par l’arme de l’immigration afro-islamique.

Ces appels à la puissance coloniale ne surprennent pas les Emsaverien. Au contraire, ils participent de la clarification dialectique qui s’opère logiquement sous l’action militante du Parti National Breton qui ne laisse, par la limpidité de ses positions ethno-nationalistes et indépendantistes, aucune place pour les oppositions factices à l’ordre français en Bretagne.

Le Parti National Breton poursuit pas à pas sa tâche. Plus il se développera, plus les laquais de la bourgeoisie française feront appel à l’autorité coloniale pour qu’elle réprime les nationalistes bretons. Le Parti National Breton s’en félicite, les attaques des ennemis de la nation bretonne démontrent invariablement la justesse d’une position politique.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Législatives : l’impasse du régionalisme français une nouvelle fois démontrée par l’échec de l’UDB et du Parti Breton

Législatives : l’impasse du régionalisme français une nouvelle fois démontrée par l’échec de l’UDB et du Parti Breton

[PNB] Les élections législatives organisées par le régime français en Bretagne, outre le simulacre colonial qu’elles représentent, ont été l’occasion de voir deux formations régionalistes une nouvelle fois échouer.

L’une d’entre elles, l’Union Démocratique Bretonne, ne peut bénéficier d’aucune indulgence : après 60 ans d’existence, ses scores dérisoires démontrent à nouveau que cette organisation régionaliste d’extrême-gauche ne peut espérer de succès marginaux qu’en qualité de cinquième roue d’un attelage de partis français. Avec un peu plus de 23,000 voix dans 21 circonscriptions pour un corps électoral théorique de 3,5 millions de personnes en Bretagne unifiée, l’échec politique est cinglant.  Privée de tuteurs français depuis l’accord d’unification de la gauche française autour de Jean-Luc Mélenchon, l’UDB, modèle réduit de l’écolo-gauchisme des grandes métropoles hexagonales, ne peut rien espérer, puisque sans valeur ajoutée par rapport à l’offre française existante. Elle n’a d’élus qu’en tant que supplétifs de la gauche coloniale hexagonale, rien de plus, ce que cette dernière lui a souvent consenti pour faire “couleur locale” et ainsi circonvenir l’électorat breton.

L’autre formation, le Parti Breton, avec 15,000 électeurs et une présence sur plus d’une trentaine de circonscriptions, échoue lui aussi de manière spectaculaire. Cette formation âgée de plus d’une vingtaine d’années paie le prix de toutes les ambigüités bourgeoises qu’elle entretient sciemment, par opportunisme idéologique, depuis sa fondation. Après deux décennies, ce “parti” ne sait toujours pas s’il est régionaliste, autonomiste ou fédéraliste, tantôt de gauche ou de droite, en fonction des circonstances. En revanche, il affirme avec aplomb qu’il n’est pas ethno-nationaliste au nom d’un centrisme francophile peureux propre à l’imaginaire bourgeois de ses cadres. Comme l’UDB, cette structure ne dispose d’aucune valeur ajoutée puisqu’elle veut séduire un électorat central, âgé et retraité, qui, par définition, craint les innovations politiques. Cet électorat, qui dicte sa loi en Bretagne de par sa masse, veut la garantie de ses retraites, pas une volatilité accrue qu’une autonomie de la Bretagne lui fait naturellement redouter. C’est ce qui explique le plébiscite d’Emmanuel Macron en Bretagne. En l’espèce, inutile donc de voter pour une pâle copie régionale quand l’original, au pouvoir à Paris, est autrement plus crédible. 

Le Parti National Breton n’entend pas se limiter à un rôle de témoin offusqué. Il veut combattre aussi électoralement pour son idée, la seule qui soit intégralement cohérente et en rupture avec l’ordre des choses existant : une Bretagne libre, dotée d’un état ethno-national qui redresse et protège la nation bretonne. Contrairement aux formations régionalistes et à leurs ambigüités inavouables, le Parti National Breton dispose d’une ligne politique qui est toute de clarté. Ses ennemis, au moins sur ce point, doivent le lui concéder. 

Le Parti National Breton ne pense pas qu’un réveil national breton soit une chose aisée : de nombreux obstacles, posés par l’Etat français, se trouvent sur le chemin de la restauration de l’Etat breton. Des segments sociaux du Peuple Breton, notamment bourgeois, dépendent de la tutelle française pour ce qu’ils pensent être leurs intérêts de classe. La perspective de la libération nationale de la Bretagne, pour eux, sera source de la plus grande incertitude.

Toutefois, nécessité fait loi. L’horizon, pour une Bretagne demeurant sous occupation et sous administration françaises, serait de finir démographiquement balayée, servant à la fois de résidence secondaire pour la bourgeoisie française âgée et de zone de colonisation pour le tiers-monde afro-musulman que la France importe à grande échelle. Que les choses soient claires : d’ici 2050, la France sera pour moitié de peuplement extra-européen (35 millions contre 17 millions aujourd’hui), dont pas moins de 25 millions de musulmans, voire un peu plus. La jeunesse bretonne, doublement prise à la gorge, devrait s’exiler encore plus massivement, chassée de sa terre par ces forces étrangères hostiles.

Ce langage de vérité, ces solutions de rupture, ni les perroquets rouges de l’UDB, ni les timides du Parti Breton, atteints de sénilité, n’oseront le tenir : soit que ces régionalistes français plébiscitent la submersion de la Bretagne par ces étrangers au nom d’une haine de soi névrotique, soit qu’ils sont trop pusillanimes pour oser résister. Quant aux partis français, inutile de croire que des formations intrinsèquement coloniales, qui perçoivent la Bretagne comme une dépendance territoriale, voudraient défendre les intérêts du Peuple Breton. En d’autres termes, il n’y a de salut, pour les Bretons, qu’en eux-mêmes, par eux-mêmes, à la condition explicite de les organiser en corps de nation déterminé à défendre farouchement sa liberté.

Ce projet de libération nationale intégrale, seul le Parti National Breton le pense et le propose. Le Parti National Breton est également pragmatique : s’il est inflexible quant à ses buts stratégiques, il adhère à une large souplesse tactique. Les réserves politiques du Parti National Breton se trouvent dans la moitié du corps électoral breton qui ne vote pas, parce qu’il a déjà rompu avec l’ordre politique français, consciemment ou inconsciemment. Ajoutons que toutes les enquêtes d’opinion indiquent que près de 25% des Bretons sont déjà acquis à l’indépendance de la Bretagne. Ce sont ces réserves, immenses, qui doivent être conquises et organisées, dans le champs électoral comme en dehors, par le seul parti véritablement national de Bretagne qu’est le Parti National Breton. Ouvriers, employés, artisans, chefs de PMI-PME : c’est cette colonne vertébrale de la vie bretonne qui doit trouver sa tête politique. Pas les bataillons de retraités appartenant à une génération honteuse de la Bretagne, ni à des bourgeois sururbanisés, déracinés et férocement individualistes, base sociale de l’acculturation cosmopolite et de l’égoïsme dominants. Sans attendre l’indépendance nationale, le Parti National Breton veut offrir aux forces vives bretonnes des solutions concrètes, d’application immédiate, face à l’Etat français et à la déchéance qu’il organise. C’est ce qu’il expose dans ses 14 exigences (lire ici).

Placée devant un état français en voie de désintégration rapide, porte d’entrée du tiers-monde islamique en Europe, la Bretagne doit s’organiser, sans concession et avec méthode, pour préserver ses qualités premières et son caractère. Elle doit travailler à la nécessaire rupture avec cette Yougoslavie au cube qui se forme dangereusement à sa frontière que l’on appelle la République française. Elle doit, plus que jamais, être lucide et combattive, intérieurement et extérieurement, sans céder un seul pouce de terrain à ceux qui veulent détruire la Bretagne bretonne pour lui substituer la nuit culturelle d’un repeuplement afro-oriental. En un mot, elle doit se nationaliser, ce que seul le Parti National Breton entend réaliser, à tous les échelons de l’ordre social, en bâtissant un socle, au sein de la société bretonne, d’une première centaine de milliers de sympathisants, d’activistes et d’électeurs. Ces 100,000 premiers Bretons nationalisés seront la base politique de la délivrance nationale.

Oui, la voie nationaliste est plus dure car elle implique d’entrer totalement dans le combat pour la survie de la nation bretonne, mais aucune difficulté ne peut faire reculer des Bretons dressés dans la meilleure tradition celtique, pleinement conscients de leurs qualités supérieures et éduqués à l’école de la liberté.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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L’extrême-gauche régionaliste appelle l’Etat Français à la répression contre les patriotes bretons du PNB

L’extrême-gauche régionaliste appelle l’Etat Français à la répression contre les patriotes bretons du PNB

[PNB] Il ne faut jamais beaucoup de temps pour démontrer ce que le Parti National Breton expose dans son article récent “Dépasser l’imposture régionaliste par l’ethno-nationalisme breton” : soit on est breton, soit on est un traître à la solde du régime français, on ne peut pas être les deux.

Après 60 ans d’existence, l’organisation régionaliste française “UDB”, par la voix de ses rares représentants, le confirme : trahir et agir en mouchard de l’état colonial français contre le nationalisme breton est la seule et unique fonction des régionalistes, de droite ou de gauche. En témoignent leurs appels désespérés aux autorités coloniales pour réprimer les patriotes bretons.

Le Parti National Breton est un parti révolutionnaire qui fixe souverainement les modalités de sa communication en direction des masses bretonnes qu’il veut libérer de l’Etat Français.

Comme porteur de la légitimité nationale, il mènera sans faillir sa mission pour la restauration de l’Etat Breton. Les ennemis de la nation bretonne devront s’y habituer.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Face aux nostalgiques de la Terreur du NUPES, les régionalistes de gauche de l’UDB en pleine déconfiture

Face aux nostalgiques de la Terreur du NUPES, les régionalistes de gauche de l’UDB en pleine déconfiture

[PNB] Les nationalistes bretons observent avec satisfaction l’effondrement du régionalisme dans son versant “de gauche” à la faveur des élections législatives hexagonales. Comme chacun sait, Jean-Luc Mélenchon, issu du trotskisme lambertiste, est un partisan du jacobinisme pur et dur dans lequel il voit, à juste titre, le moyen de faire passer le marxisme en contrebande. Avec constance et cohérence, il s’inscrit dans l’internationalisme égalitariste du républicanisme français qui postule depuis la Terreur que la Révolution ne parle qu’une seule langue : la langue française. Cet homme nouveau, acculturé par la francisation autoritaire, sans passé ni caractéristiques particulières, c’est le “citoyen” normé par Paris.

Avec l’écroulement de la gauche socialiste menée par le PS, la démagogie sans-culottarde portée par Mélenchon domine sans partage les autres partis de gauche. Hostile à l’Europe pour des raisons explicitement raciales – “Je ne peux pas vivre entouré de Blonds, c’est au delà de mes forces” -, que justifie a posteriori un social-chauvinisme cocardier islamocentré, Mélenchon est viscéralement hostile aux cultures indigènes d’Europe, a fortiori de l’Hexagone. C’est sans surprise que ce métèque d’Afrique du Nord voit dans la timide défense des langues indigènes dites “régionales” un péril pour la république néo-robespierriste repeuplée d’allogènes dont il rêve.

Ses représentants à Rennes l’expriment sans honte. Les régionalistes de gauche de l’UDB ont ainsi été brutalement mis face à leurs contradictions à propos de la loi Molac qui permet notamment aux communes de financer la scolarité des élèves inscrits dans les écoles associatives en langue bretonne (Diwan).

Longtemps associé aux écologistes français, les régionalistes de gauche de l’UDB tentaient de s’insérer dans le processus politique hexagonal en passant par des partenariats avec des formations plus européistes, fédéralistes comme EELV. Avec l’effondrement du PS, EELV est désormais aligné sur les positions du mélenchonisme suite à l’accord politique au sein du NUPES. Pour les régionalistes de gauche de l’UDB, c’est un retour forcé à la réalité : la gauche hexagonale est impérialiste et étatiste par construction et elle opère aujourd’hui un vaste mouvement de repli sur ses fondements historiques, c’est-à-dire jacobins.

Parce qu’elle n’intéresse personne au sein de la gauche hexagonale fédérée autour de Mélenchon, la gauche régionaliste se présente seule aux élections législatives de juin. 

Pour les nationalistes bretons, cette évolution n’est en aucun cas une surprise. Quiconque n’assume pas la nationalité bretonne, donc le nationalisme breton, ne peut que jouer le rôle de domestique violentée par le maître français. Le clivage entre “gauche” et “droite” a cessé d’exister, remplacé par un éclatement horizontal entre groupes ethniques dont la structuration s’opère géographiquement. Cette balkanisation est une donnée lourde du 21e siècle en France, ce n’est donc pas un hasard si Mélenchon tente – et réussit – la fusion de l’égalitarisme jacobin et de la soumission collectiviste islamique. L’égalité française n’a jamais été que l’autre nom de la soumission à l’Etat, il y a là une parfaite continuité idéologique.

La gauche en Bretagne va progressivement être marginalisée en raison d’un européisme, d’un personnalisme et d’un modérantisme qui font certes consensus parmi les Bretons mais qui n’ont plus cours au sein de la gauche française néo-jacobine, devenue une caserne où règnent les aboiements. Pour se faire élire à gauche, il faudra se prosterner aux pieds des mélenchonistes et se faire le chantre d’un chavisme cocardier passablement islamique. Ce décrochage ira toujours plus avant, jusqu’à ce que les derniers restes de la gauche en Bretagne se soient ralliés ou aient disparus.

Le Parti National Breton opère, à ce moment important, un nécessaire travail de réorientation historique : le mythe du réformisme au sein du cadre institutionnel français a vécu, il importe de passer à une nouvelle étape. L’heure est venue pour les Bretons soucieux de l’avenir de leur peuple d’embrasser avec audace et détermination leur nationalité, d’abandonner l’excuse honteuse de l’universalisme et du misérabilisme pour essayer de la faire passer en contrebande dans les wagons de la gauche hexagonale. Le Peuple Breton a beaucoup trop tardé à s’organiser nationalement, à force de soupirer après les lubies idéologiques parisiennes. Aujourd’hui que la France crève d’endettement stato-socialiste et d’overdose d’immigration afro-islamique, le choix est simple : la disparition sous les flots du tiers-monde musulman encadré par les derniers restes de la gauche française, ou survivre par l’indépendance d’un état breton conçu par les Bretons, pour les Bretons, hors de la déchéance française.

Le Parti National Breton porte ce choix ethno-nationaliste en toute clarté, une clarté qu’aucun autre parti ne peut porter en Bretagne. Les Bretons qui veulent combattre pour la liberté de leur peuple sont appelés à le rejoindre. Tout autre choix est stérile, seule la rupture avec la France incarne désormais l’unique espoir de salut.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“Vœu” du conseil régional en faveur d’une pseudo autonomie : le Parti National Breton dénonce une nouvelle imposture pro-française

“Vœu” du conseil régional en faveur d’une pseudo autonomie : le Parti National Breton dénonce une nouvelle imposture pro-française

[PNB] Les médias d’état français font grand cas d’un “vœu” en faveur d’une “plus grande autonomie” de la “région” Bretagne formulé ce vendredi 8 avril par le Conseil Régional de la Bretagne administrative.

Le ton général des différentes factions françaises soutenant le texte, outrageusement obséquieux vis-à-vis de l’Etat Français, témoigne de la farce grossière qu’il met en scène.

Ainsi, par la voix de Michaël Quernez, vice-président PS du Conseil “Régional”, l’évocation du terme inoffensif de “fédéralisme” a suffi à provoquer une virulente réaction de la majorité socialiste française. Celui-ci a immédiatement été censuré par la gauche coloniale. La droite bourgeoise parisienne, menée par Isabelle Le Callennec, avait quelques jours avant formulé les mêmes menaces à l’évocation de ce mot, signe d’une convergence complète de vue au sein des représentants la bourgeoisie pro-parisienne au pouvoir en Bretagne occupée.

Fort logiquement, le Normand Pennelle, intrus représentant le parti colonial le plus radical qu’est le RN, s’est revendiqué du jacobinisme révolutionnaire pour dénoncer ce texte dérisoire dans son ensemble.

Le Parti National Breton dénonce une manœuvre grossière venue des rangs écolo-socialistes français, promue dans le but de tromper une opinion bretonne de plus en plus consciente de ses intérêts nationaux. A la veille d’élections françaises où les factions politiques parisiennes tentent de s’attirer les faveurs du peuple breton, chacun de ces syndicats politiques parisiens représentés à Rennes tentent de mystifier la nation bretonne tout en redoublant de serment de fidélité à l’égard du pouvoir colonial français.

Contrairement à la canaille politicienne au service de la France, la nation bretonne ne présente aucun “vœu” à l’Etat Français. Elle n’est pas une chienne soumise qui se satisfait de miettes concédées par la maquerelle française. Pour le régime colonial français, la nation bretonne n’a qu’une exigence : l’expulsion complète du territoire national breton.

Le Parti National Breton le répète : aucune voix bretonne pour les partis français, ennemis du peuple breton.

Une seule alternative : l’indépendance de la nation bretonne !

Breizh Atav !

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Crise du logement en Bretagne : les bourgeois socialistes de l’UDB proposent “d’accueillir tout le monde”

Crise du logement en Bretagne : les bourgeois socialistes de l’UDB proposent “d’accueillir tout le monde”

Le peuple breton affronte une véritable colonisation de peuplement, au point où, en 2022, seulement 70% des quelques 4,8 millions d’habitants en Bretagne sont des Bretons. Cette colonisation de peuplement revêt deux dimensions :

  • par le haut, avec la prédation de la bourgeoisie française sur le littoral,
  • par le bas, avec l’immigration extra-européenne, organisée par l’Etat Français, qui menace à moyen terme l’existence même de notre peuple sur sa terre

C’est dans ce contexte d’évincement territorial du peuple breton que la crise du logement en Bretagne devient paroxystique, avec une envolée des prix de l’immobilier privé et une priorité des migrants extra-européens pour l’accès au logement social, comme à Saint-Nazaire où plus de 70% des individus inscrits sur les listes d’attente sont des allogènes candidats à la colonisation de notre pays.

La conseillère sociale-bourgeoise Aziliz Gouez (UDB) veut aider la bourgeoisie française à s’emparer des terres bretonnes au rythme de 400,000 colons d’ici 2040

Face à cette crise, les élus socialistes-bourgeois de l’UDB au Conseil Régional de Bretagne assurent qu’il faut accueillir “tout le monde” mais “dans de bonnes conditions”, bourgeois français en tête (lire ici) !

Cette position est parfaitement conforme avec la conception purement matérialiste et utilitariste de la Bretagne qu’ont ces promoteurs immobiliers de gauche qui proposent au peuple breton, moyennant des aménagements de détail, de servir d’aides à domicile et de laquais accueillants aux 400,000 candidats à la colonisation que l’Etat Français entend installer en Bretagne d’ici 2040.

Le Parti National Breton quant à lui a une conception radicalement différente : la terre de Bretagne n’est pas une colonie ou un hôtel, ni un ensemble de lots mis à la vente au plus offrant, c’est un pays qui appartient au peuple breton et à lui exclusivement. Le peuple breton n’a pas à “s’adapter” à la colonisation ou à l’impérialisme de la bourgeoisie française, il doit s’en émanciper intégralement en remportant la lutte de libération nationale.

Sous couvert de bons sentiments cosmopolites, les conseillers régionaux de l’UDB se font une nouvelle fois les facilitateurs de la bourgeoisie française en n’opposant aucune résistance sérieuse et articulée à la colonisation de peuplement.

Le Parti National Breton, par sa conception nationale de la Bretagne, engage pour sa part une lutte de rupture avec l’état bourgeois français et son projet colonial en Bretagne. Il veut restaurer l’Etat Breton et sa pleine souveraineté, condition essentielle de la défense les droits nationaux du peuple breton en Bretagne contre la prédation de la bourgeoisie française dont il est la cible.

Contrairement aux politiciens de la bourgeoisie franco-bretonne, le Parti National Breton n’entend pas “accueillir tout le monde” pour satisfaire les partisans du colonialisme français, mais bien expulser les étrangers indésirables qui transforment la Bretagne en colonie de peuplement et évincent le peuple breton de sa terre. Il n’entend pas “aménager” la perte de la dignité de son peuple, mais la raffermir en redonnant la terre de Bretagne aux Bretons.

C’est pour cela que le Parti National Breton, dans ses 12 exigences d’application immédiate, exige :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton rappelle que la bourgeoisie franco-bretonne, notamment socialiste, sera toujours solidaire de la bourgeoisie française et qu’elle évitera constamment de nuire sérieusement à ses intérêts. La jactance régionalisante et réformiste de cette bourgeoisie franco-bretonne est le paravent de cette alliance de classe contre le peuple breton pour l’empêcher de s’émanciper de la tutelle française.

Par son slogan “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton pose l’affrontement entre le peuple breton et la bourgeoisie française dans sa dimension nationale et décoloniale. Il clarifie la situation politique et démasque l’opposition factice à la présence française en Bretagne dont elle est le produit.

Que ce soit les bourgeois venus de France ou leurs esclaves de fraîche importation, le Parti National Breton les chassera sans ménagement pour rendre la Bretagne aux Bretons.

Breizh Atav !

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