[PNB] Nouvel exemple de l’effet catastrophique de la double colonisation de peuplement que subit la Bretagne sous l’effet de l’occupation française : par le haut avec la prédation de la bourgeoisie hexagonale sur le littoral breton, par le bas avec l’immigration non-européenne qui bénéficie prioritairement des logements sociaux pourtant payés par les contribuables bretons.
Un couple breton de la région de Lorient en est la dernière victime.
Tatiana et Romain Briset doivent trouver une nouvelle location d’ici novembre. Un vrai casse-tête pour ces jeunes parents qui espèrent désormais décrocher un logement social.
« C’est vraiment la galère de se reloger ». Tatiana et Romain Briset, installés à Larmor-Plage depuis novembre 2019, doivent déménager dans six mois. « Notre propriétaire vient de nous signifier la fin de notre bail pour récupérer sa maison en novembre ». Une échéance qui coïncide avec le terme de la grossesse de la jeune femme, déjà maman du petit Marlon, 18 mois.
Depuis un mois, le couple ne trouve rien. « On a répondu à une vingtaine d’offres. On ratisse large, ce n’est pas le moment de faire les difficiles : maison ou appartement, jusqu’à Pluvigner et même Baud ». « Le principal, c’est d’avoir un toit. Pas question de se retrouver à la rue avec nos enfants ». À quatre, compliqué aussi de squatter la famille ou les amis.
Ces locataires ont pourtant tout pour plaire : les deux travaillent (Tatiana est secrétaire dans une concession automobile, lui est intérimaire) et ont des garants solvables. « On nous explique que les maisons sont très convoitées. Les propriétaires, de plus en plus nombreux à récupérer leur bien pour les vendre, ont l’embarras du choix. Autant dire que ce n’est même pas la peine de chercher à Lorient ou Lanester ».
Les Larmoriens ont donc décidé de s’adresser à une assistance sociale. S’ils ne rentrent pas dans les cases pour bénéficier d’aides financières, ils peuvent prétendre à un logement social. « J’ai appelé tous les bailleurs sociaux de l’agglo en expliquant notre situation. Ils ont compris qu’il y avait urgence mais sans pour autant nous promettre quoi que ce soit ». Là aussi, beaucoup de demandes mais peu de logements.
« Ce serait bien qu’on trouve un logement avant l’été, pour préparer l’arrivée du bébé sereinement et enfin se projeter ». En finir avec ces incertitudes. « Ne pas savoir où on va aller est assez stressant. Inconfortable, démoralisant et surtout injuste. On n’est pas les seuls dans ce cas-là. On ne demande quand même pas la lune… »
Le logement social est tout simplement inaccessible aux Bretons : l’Etat Français le réserve aux migrants afro-musulmans dont il organise la colonisation en Bretagne. Ainsi, dans la ville socialiste de Saint-Nazaire, plus de 72% des demandes en liste d’attente pour un logement social sont constituées d’allogènes expédiés sur place par Paris dans le cadre du Grand Remplacement.
L’Etat Français, responsable de cette double colonisation dont souffrent gravement les Bretons victimes de ce nettoyage ethnique à bas bruit, ne sera jamais la solution aux crises dramatiques dont il est l’origine. Paris, qui traite la Bretagne comme une dépendance coloniale, ne mettra à l’évidence aucun frein à la prédation de la bourgeoisie parisienne qui achète pour une bouchée de pain les terres bretonnes, pas plus qu’il ne stoppera la fulgurante afro-islamisation des villes bretonnes.
Seul le Parti National Breton propose les solutions radicales susceptibles de briser cette spirale destructrice de l’expulsion des Bretons de leur propre terre.
Dans ses 14 exigences, le Parti National Breton exige :
6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.
7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.
8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.
9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.
Le Parti National Breton est la dernière chance du Peuple Breton face aux forces qui l’oppriment et organisent son éradication physique. Les Bretons doivent le rejoindre pour libérer leur pays de l’ennemi qui veut les asservir et les détruire.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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