Porhoët : Action du PNB pour le logement breton aux Bretons !

Porhoët : Action du PNB pour le logement breton aux Bretons !

[PNB] Après le Léon, le Trégor, la Cornouaille et le Pays Rennais, c’est dans le Porhoët que les militants du Parti National Breton ont poursuivi la première phase de la campagne pour le logement breton aux Bretons !

Particulièrement touché par la colonisation de peuplement française, la spéculation immobilière frappe durement les Bretons de cette région. Le Parti National Breton entend leur faire savoir qu’il est à leur côté et qu’il défendra l’exclusivité bretonne pour le logement en Bretagne.

Un seul axe programmatique : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Pays Rennais : Action du PNB pour les logements bretons aux Bretons !

Pays Rennais : Action du PNB pour les logements bretons aux Bretons !

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une large opération d’affirmation nationale dans le nord du Pays Rennais. Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne pour l’exclusivité bretonne au logement.

Lire : “STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

Près d’une vintaine de communes sont été couvertes par les Emsaverien du Parti National Breton.

L’exclusion des Bretons de leurs propres terres n’est pas une fatalité. Pour cela, une seule option : rejoindre le Parti National Breton et organiser la résistance bretonne à la colonisation de peuplement.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Réactionnaire français et Français bretonnant : deux ennemis de l’Emsav

Réactionnaire français et Français bretonnant : deux ennemis de l’Emsav

[PNB] Le Parti National Breton entend redresser la nation bretonne, c’est-à-dire la libérer politiquement, économiquement, culturellement, et doit, pour y parvenir, rassembler les éléments patriotiques bretons pour faire de la nationalité bretonne une réalité politique. Le Parti National Breton doit former en conséquence les militants nationaux pour qu’ils comprennent les obstacles et les pièges que les ennemis de la nation bretonne poseront invariablement sur le chemin de l’Etat Breton.

L’ethno-nationaliste breton doit savoir qu’il affrontera toujours des sophistes malhonnêtes qui viennent combattre à travers lui la nation bretonne dont il incarne le réveil. L’ethno-nationaliste breton (Emsaver) affronte deux figures archétypales de la réaction anti-bretonne qui, quoique opposées en apparence, agissent objectivement de concert contre le nationalisme breton organisé, avant-garde militante de la nation bretonne organisée.

Le réactionnaire français, ennemi extérieur de la race bretonne

“La france n’existe que grâce à son état, sans état la france n’est rien.” 

Charles De Gaulle

La première figure est celle du réactionnaire français pour lequel, par définition, il ne peut y avoir de nationalité bretonne puisque l’homme breton n’est qu’une variété – folklorique – de l’homme français. En soi, c’est déjà un paradoxe révélateur : pour le Français, l’homme breton est à la fois différent et identique.

  • Différent du Français en ce qu’il a été historiquement et qui doit être réduit par “l’assimilation” à la culture française : le membre d’une ethnie distincte avec une histoire d’état qui, même activement effacée par l’action de l’Etat français, continue de s’exprimer dans l’inconscient breton par différents marqueurs ethno-culturels (phénotype, noms, danses, architecture, etc.).
  • Identique au Français car l’existence d’un homme breton hors de la nationalité française est une pensée intolérable à l’impérialiste fondamental qu’est le Français, renvoyé à son propre néant identitaire collectif dès lors que se révolte l’indigène breton que l’on croyait vaincu, c’est-à-dire “assimilé” (assimilation et soumission étant l’invariant au sein de l’Etat français).

Pour que l’empire français existe, il doit écraser avec efficacité. Si le Breton se révolte avec succès, c’est l’empire français qui entre en crise car il démontre que sa puissance n’intimide plus l’indigène conquis. C’est la différence “folklorique” latente du sujet colonial soumis qui donne à sa similitude acquise “d’assimilé” la valeur politique qui est la sienne : celle d’un trophée analogue aux têtes tranchées de guerriers vaincus et un thermomètre de la toute-puissance française dans sa capacité de conquête. Le sujet colonial ne doit jamais pouvoir se révolter avec succès, faute de quoi, c’est tout le mécanisme d’annexion, d’écrasement et d’absorption de l’impérialisme français, inséparable de l’histoire de la formation de l’Etat français, qui s’enraye.

Face à un Breton qui affirme sa nationalité en dépit de l’impérialisme français, le Français, homme moderne atomisé issu de 1789, lui-même simple sujet de l’impérialisme bureaucratique parisien, se retrouve seul avec un Etat qui est devenu sa personnalité collective mais qui, dans le même temps, ne parvient plus à créer de collectif par sa force et son prestige, au point où un Breton peut le rejeter. L’intense angoisse qu’exprime le réactionnaire français face au nationaliste breton est le résultat de cette peur de l’abandon par son état qui, pour lui l’isolé de la société cosmopolite hexagonale, est le “nous”.

Le militant national breton doit toujours rappeler aux réactionnaires français cette contradiction : si l’homme breton peut vivre pour lui-même, par lui-même, sans la France et les Français, comme l’affirment les nationalistes bretons, les Français, en proclamant que les Bretons sont des Français et qu’ils ne peuvent qu’être des Français, avouent paradoxalement que la France, sans les Bretons, n’a pas de réalité. Si la France est une nation sûre d’elle, pourquoi, contrairement à la nation bretonne, ne peut-elle pas se passer des Bretons et de leur soumission ? Parce que la France n’est pas une nation, mais un délire de puissance fatigué, fait de bric et de broc. C’est la contradiction fondamentale du rapport impérialiste hypocrite que les Français nourrissent contre les Bretons. Les Français réduisent les Bretons à des habitants d’une région qu’ils diront “pauvre”, “arriérée” et “dépendante”, mais diront en même temps qu’elle est si importante pour la constitution de la France que son indépendance leur est intolérable, scandant agressivement : “la Bretagne est française !”.

Face à cela, les Bretons disent : “Les Bretons nous suffisent, nous n’avons pas besoin que les Auvergnats se disent Bretons pour que notre nationalité ait une réalité.” Laquelle, de la Bretagne ou de la France, est un pays si dépourvu d’identité propre qu’il doit s’assurer de la soumission de son voisin pour avoir le sentiment d’exister ? Telle est la définition de l’impérialisme. 

La France n’est qu’une bureaucratie impérialiste qui, avec l’aventure coloniale puis la décolonisation, est devenue une bureaucratie impérialiste multiraciale. Pour se maintenir, sa lutte contre les peuples qu’elle a subjugué suppose de les détruire afin de couper court à toute désintégration. Pour les détruire, les Français nient leur existence même, base de la légitimité de leurs revendications. Pas de nationalité bretonne, pas de question bretonne, uniquement une question “régionale” que l’immobilisme bureaucratique parisien règle en ne faisant rien.

Le réactionnaire français, plus souvent qu’à son tour, accusera selon ce principe les Bretons d’avoir fabriqué une “identité artificielle”, peu importe que la langue bretonne fût écrite des siècles avant la langue française, une forme bâtarde de latin; peu importe que la Bretagne existe depuis 15 siècles comme projection ethno-démographique de la Grande-Bretagne brittonnique, elle-même vieille de 25 siècles, quand la France, depuis Alésia, n’est qu’une terre acculturée par Rome puis par les Germains. Les Français, dont la moitié de la population ne parlait pas français il y a à peine plus d’un siècle, n’hésiteront pas à décréter, avec aplomb et arrogance, qui a une identité “artificielle” (tous ceux qu’ils veulent soumettre)  et qui non (eux-mêmes). Cette population improbable, aujourd’hui bricolée d’Alsaciens, d’Antillais, d’Arméniens ou de Nord-Africains qui proclamait, lorsque la chance souriait à l’impérialisme français, la francité de pas moins de 130 départements – dont la Catalogne, la Rhénanie, le Latium et le sud du Danemark -, puis l’Afrique et l’Asie, se croit en position de nier la nationalité bretonne avec des arguments d’archéologue.

C’est au contraire la nationalité bretonne qui décrète d’interdit sur son sol la pseudo nationalité française, fiction impériale pour métèques et autres déracinés privés de culture.

L’impérialisme français osera tout pour justifier sa domination. Il pourra ainsi dénoncer sans rougir la langue bretonne unifiée, qu’il décrètera artificielle, lui qui a mis en œuvre la destruction de toutes les langues au profit de sa langue impériale qu’est le français et qui continue de le revendiquer avec son mythe “francophone”. Jamais un Français ne s’excuse d’avoir imposer le français où que ce soit, mais si les Bretons se mettent d’accord pour parler un breton unique, voilà cet ami inattendu des spécificités qui s’indigne bruyamment. Si une école en langue bretonne ouvre en Bretagne orientale, le même s’indigne, dénonçant l’illégitimité d’une telle présence, sans que le même ne s’offusque de l’enseignement obligatoire du français en Bretagne occidentale. Derrière les grandes phrases des Français, il n’est pas question de justice, mais de rapport de force : tout ce qui conforte l’impérialisme français en Bretagne a les faveurs du réactionnaire français, tout ce qui l’affaiblit suscite sa colère.

L’imposture réactionnaire du gallo

Sentant le particularisme ethnique prendre sous l’action de l’Emsav, on voit le réactionnaire hexagonal utiliser le français de ferme mal orthographié qu’est le patois “gallo” comme nouveau véhicule local de l’impérialisme français. Nul amour pour ce patois qu’il méprise et qu’il a enterré de ses mains, mais pur cynisme dont l’objectif est d’enliser l’éveil national breton que met en mouvement l’enseignement de la langue bretonne en répandant un mortifère relativisme culturel entre langue bretonne et patois fermier. C’est que, à travers la receltisation linguistique des Bretons, cette copie de Romain raté qu’est le réactionnaire français redoute le recul du latinisme dans les masses bretonnes colonisées et, partant, la déliquescence de l’impérialisme français. Ce que les régionalistes réactionnaires de droite et de gauche, contradiction interne de l’impérialisme français en Bretagne, se sont logiquement empressés de plébisciter, en dépit même de tout intérêt des masses bretonnes pour ce patois disparu.

L’argument – unique – de l’impérialisme français dans sa forme régionale-gallèse consiste à dire : “Nos ancêtres parlaient gallo !”. Quels ancêtres et à quelle époque ? Oui, la francisation impériale a commencé il y a longtemps, des Bretons acculturés ont jargonné cette forme de français disparue par le passé, résultat d’un affaiblissement ethno-national exploité par la France sous diverses formes. Cela n’engage pas le nationalisme breton qui veut recentrer la Bretagne dans son espace brittonnique et non pas perpétuer l’aliénation provinciale française par le biais d’un patois d’oil abandonné.

Que faire ? Rien, précisément. Là où la langue bretonne répond à un besoin intime et collectif de renaissance celtique chez les Bretons, le français de ferme qu’est le gallo laisse le Peuple Breton indifférent, en dépit de l’insistance d’une poignée d’illuminés couchant par écrit l’accent des paysans du siècle dernier pour exagérer des différences marginales, voire inexistantes avec le français moderne. Pas davantage que la galette-saucisse, le gallo n’a été une question pour l’Emsav, pas plus positivement que négativement, car l’Emsav est national et celtique, pas une forme de provincialisme agricole angevin manipulé contre lui au profit de la France en voie d’africanisation rapide.

L’imposture toutefois permet aux impérialistes français, grâce à leurs comparses régionalistes, de détourner l’énergie bretonne de son aspiration vitale à soutenir sa langue d’émancipation nationale au profit d’un dialecte franco-français disparu. C’est suffisant pour détourner les crédits de la défense du breton et réduire politiquement la langue bretonne à un “patois” de clocher en lieu et place de l’expression de la résilience de la civilisation celtique qu’il est, puisque mise d’autorité par des crétins et des traîtres sur le même plan qu’un parler français centré autour de la culture des poireaux. Ne jamais tolérer une telle mystification est un devoir pour l’Emsaver et lutter contre cette pollution cynique de l’impérialisme français, une obligation militante. 

Le Français bretonnant, ennemi intérieur de la race bretonne

“Est français qui veut, est breton qui peut.”

Olier Mordrel

Face au réactionnaire français qui nie l’ethno-nationalité bretonne, se trouve son double breton, fruit de l’acculturation coloniale : le Français bretonnant, adepte de l’impérialisme linguistique, qui nie l’ethno-nationalité bretonne.

Reprenant les thèses absurdes de 1789 et singeant l’Abbé Grégoire, ces Français bretonnants proclament que les Bretons de souche qui viennent à la conscience nationale bretonne sans parler la langue bretonne et sans communier dans l’imposture égalitariste n’ont aucune légitimité bretonne. C’est l’aile mentalement schizophrène de l’impérialisme français, comble de l’aliénation : elle exprime les idées françaises en breton. Leur réaction est stéréotypée : ayant passé 6 mois en stage de langue bretonne, ces éléments – qui parlent en breton mais pensent en français – disqualifient un Breton nationalement éveillé qui ne parlerait pas le breton en s’adressant à lui, précisément, en breton, pour, pensent-ils, l’humilier, sachant qu’il ne parle pas le breton.

Le but de ces gens n’est pas l’émancipation nationale, mais au contraire de combattre les Bretons qui ne pensent pas comme des Français, autant par snobisme de classe propre à tout scribe que par haine cosmopolite du Breton autochtone. L’imposture est vite levée : ces mêmes Français bretonnants qui affirment interdire aux Bretons francophones de devenir nationalistes, voire à les chasser de Bretagne en dépit d’un arbre généalogique breton vieux de quinze siècles, sont ceux qui proclament qu’un migrant africain arrivé en Bretagne deux semaines auparavant est un “Breton” irréprochable au titre des vérités de 1789 auxquelles ces Français adhèrent dogmatiquement. Jamais ces Français bretonnants ne prendront à parti un de ces Africains pour remettre en cause sa nouvelle et fictive bretonnité, quand bien même cet Africain ne parlerait pas un mot de breton : la haine des Bretons de sang est le seul moteur de ces névrosés, adeptes inconscients ou non de l’église jacobine française qui jactent en breton. Quand un de ces adeptes de l’église jacobine française d’expression bretonne tombe sur un nationaliste breton bretonnant, ce n’est plus que le flot d’insultes propre à tous les Français ennemis de la Bretagne. Et pour cause : peu importe la langue, ce que ces religieux fanatisés ne tolèrent pas, c’est l’homme breton émancipé du mythe mensonger de l’égalité proclamée par les égorgeurs de 1793. Ces Bretons aliénés veulent appartenir à un club ésotérique fondé sur le dogme égalitaire hérité de la Révolution, sous l’effet de l’acculturation quotidienne au sein de la Bretagne désarticulée par la modernité française. Ils conditionnent l’accès de ce club fermé à l’usage de la langue bretonne par les futurs membres, langue devenue reliquat ethnique en forme de totem destiné à justifier la trahison spirituelle qu’ils appellent à commettre au profit des étrangers contre leur propre communauté de sang. Le breton dans leur bouche ne sert qu’à tromper l’autochtone en surjouant l’identité ethnique pour mieux dissimuler sa trahison au profit de l’étranger. Pour ces individus mentalement déracinés qui s’identifient à l’agresseur révolutionnaire français, c’est la Révolution qui parle désormais bas-breton.

Si parler breton était le seul critère politique qualifiant, parler breton ferait de n’importe qui un nationaliste breton doublé d’un patriote breton exemplaire. Nombre de Bretons ont parlé à leurs chiens en breton sans jamais s’être transformés en séparatistes. On ne compte plus les ennemis de la Bretagne qui ont combattu ses intérêts nationaux en parlant en breton pour s’assurer que les Bretons restent des sujets coloniaux docilement aux ordres de la France. Parler breton, en effet, ne prémunit pas contre la trahison.

Cette xénophilie mentale en langue bretonne d’importation française qui crache sa haine des Bretons de sang n’a rien à voir avec l’Emsav. L’Emsav, comme affirmation ethno-nationale bretonne, n’a jamais fonctionné sur ce mode. Si l’Irlande avait adopté un tel mode d’exclusion linguistique, elle serait restée une colonie britannique. Le nationalisme breton n’est pas une théorie pure qui élabore une solution politique sur la base d’abstractions. Il est le produit d’un travail dialectique concret contre l’impérialisme français, par la lutte, afin d’éveiller la conscience nationale des masses bretonnes. La conscience nationale bretonne, c’est la conscience, pour chaque Breton, d’appartenir à une communauté unie par le sang à travers l’espace et le temps, à l’image d’une famille, et sa mise en mouvement pour bâtir un état national, outil de cette volonté ethnique commune. La nation bretonne n’advient pas d’un bloc, par décret, tombant du ciel, composée de linguistes, mais par l’action permanente des nationalistes bretons, hommes du quotidien, pour transformer l’inconscient national breton en conscience nationale bretonne.

Les nationalistes bretons s’avancent sur une terre occupée par l’Etat Français, acculturée par l’action de cet état étranger. Ils doivent arracher les masses bretonnes à leur état de passivité docile, inculquée dès l’école aux jeunes Bretons. Si l’Emsav devait tolérer sans combattre les Français bretonnants et leur rhétorique perfide et sectaire, il s’interdirait par principe d’entraîner l’écrasante majorité du Peuple Breton qui ne parle pas la langue bretonne à ce moment de l’histoire de la nation bretonne. Qui profite d’une telle rhétorique excluant de la lutte 97% des masses bretonnes si ce n’est l’impérialisme français ? Le rôle de l’Emsav n’est pas d’encadrer une armée de scribes formés dans une poignée d’écoles aux mains d’anarcho-communistes aliénés qui répètent en breton les insanités que proclame depuis deux siècles la gauche française, mais de créer les conditions objectives de l’ethno-nationalisation des masses bretonnes qui, demain, permettra le développement de l’enseignement obligatoire de la langue bretonne dans le cadre du nouvel Etat Breton.

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Brest : Le tripatouillage pro-migrants de Parcoursup permet à un clandestin congolais de valider 25 vœux

Brest : Le tripatouillage pro-migrants de Parcoursup permet à un clandestin congolais de valider 25 vœux

[PNB] Une nouvelle fois lésés par le système de préférence étrangère mis en place par les activistes du ministère français de l’Education Nationale, les étudiants bretons découvrent l’ampleur de la corruption qui régit “Parcoursup”, une plateforme où les professeurs français d’extrême-gauche se livrent à un phénoménal tripatouillage en faveur de migrants clandestins grâce aux notes “miraculeuses” qu’ils leur donnent. Dernier exemple, à Brest, où l’arnaque a dépassé tout ce qui se faisait jusqu’à présent.

BFMTV :

Un motif d’espoir et une grande fierté pour tous ses proches. Alors que de nombreux lycéens restent tributaires des premiers résultats de Parcoursup qui ont été partagés la semaine passée, Jonathan Kikanga, un jeune Congolais de 18 ans, n’a pas à se soucier des listes d’attente parfois vertigineuses sur lesquelles de nombreux étudiants sont inscrits. Comme l’explique Ouest-France, scolarisé au lycée Dupuy-de-Lôme de Brest, ce dernier a vu ses 25 voeux acceptés, dont celui lui donnant accès à la prestigieuse école d’ingénieurs Insa de Lyon.

Une performance d’autant plus remarquable que le jeune homme n’est arrivé en France qu’en 2019 en provenance de Kinshasa, après avoir voyagé par avion. Selon le quotidien régional, celui dont la mère est morte et dont le père habite en Angola, ne parle qu’un français rudimentaire à son arrivée. Sans-papiers, il quitte la capitale pour Brest où il se retrouve également sans-domicile.

Au fil des rencontres, Jonathan prend contact avec l’Adjim, une association dévouée à l’aide aux migrants qui est composée de professeurs. Là, celui qui n’avait pas été scolarisé entre la 6e et la 3e apprend le français plus en profondeur et se retrouve finalement admis en section Sciences et technologies de l’industrie et du développement durable (STI2D) du lycée brestois.

Élève modèle, sa moyenne tutoie rapidement les sommets et le jeune homme obtient les notes de 15 et 17 aux oraux et écrits du bac français. “Le français, c’était très compliqué!”, admet-il toutefois. Un dossier sans fioritures qui lui permet de prétendre aux écoles les plus prestigieuses.

Dans son entourage, personne n’est réellement surpris. “Ça ne m’étonne pas. Ce garçon m’impressionne. Il apprend avec une telle rapidité”, se réjouit, toujours auprès de Ouest-France, Michèle Le Gall, qui a accueilli le jeune homme à son domicile.

Reste un dernier écueil pour Jonathan, celui d’obtenir des papiers français, lui qui par deux fois a dû justifier de sa situation de mineur isolé devant la justice. “Quand j’ai une baisse de moral, je me dis que je vais devoir quitter la France. Ça me pousse à bosser deux fois plus. Je n’ai pas le choix!”, conclut-il, toujours dans les colonnes de Ouest-France. 

L’imposture a fait long feu sur les réseaux sociaux face aux nombreux témoignages.

Parcoursup, régi par un algorithme gouvernemental opaque, intègre en réalité des paramètres de préférences ethno-raciales afin d’accélérer l’islamo-africanisation de l’enseignement français. C’est une discrimination raciale antiblanche d’inspiration américaine, à la différence qu’elle n’est pas assumée officiellement par l’Etat Français.

Grâce à l’aide de professeurs d’extrême-gauche pro-migrants, le tripatouillage a permis “le miracle”.

Le Parti National Breton alerte les étudiants bretons sur ce dispositif : peu importe leurs talents, l’Etat français, avec l’aide des militants marxistes de l’Education National française, entend poursuivre cette discrimination systémique contre les étudiants blancs qui les privera d’un parcours scolaire normal. Particulièrement brillants, les étudiants bretons subiront de plein fouet ce trucage systématique des notes et évaluations en faveur de l’Afrique.

La jeunesse bretonne doit prendre conscience que, pour elle, l’époque où le système scolaire hexagonal constituait un débouché naturel est révolue. Cette fuite des cerveaux vers la France, mise en place depuis un siècle par l’état colonial pour utiliser l’intelligence bretonne contre la Bretagne, touche à sa fin.

L’avenir intellectuel et professionnel de la jeunesse bretonne passe par la Bretagne, mais aussi par l’étranger, en dehors de la jungle ethnique française, pour le salut du pays. Le Parti National Breton entend mettre en place l’exclusivité bretonne dans tous les domaines de la société, tout spécialement dans l’enseignement breton, pour conjurer la déchéance cognitive qui touche la France en voie de remplacement démographique terminal.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Fusillade en plein centre-ville de Rennes : tant que la Bretagne sera occupée par la France, elle suivra la pente de la Seine-Saint-Denis

Fusillade en plein centre-ville de Rennes : tant que la Bretagne sera occupée par la France, elle suivra la pente de la Seine-Saint-Denis

[PNB] Sous la direction de la municipalité dominée par le Parti Socialiste français, Rennes, capitale administrative de la Bretagne, poursuit sa tiers-mondisation. Après le rodéo urbain – spécialité des bandes ethniques – qui a fait un blessé grave de six ans hier (lire ici), une fusillade a eu lieu en plein centre-ville, blessant un adolescent de quinze ans.

Le Figaro :

«Selon les premiers éléments, hier soir vers 20 heures, un groupe de personnes est monté dans le bus 820 (…) à l’arrêt République et s’en sont pris physiquement à un jeune mineur âgé de 15 ans, domicilié à Rennes, en lui portant des coups», a indiqué Philippe Astruc, procureur de la République de Rennes, confirmant une information de Ouest-France.

«L’un des agresseurs a également fait usage à plusieurs reprises d’une arme à feu touchant la victime à une reprise à la main. Elle se trouve à l’hôpital et n’a pu encore être auditionnée», a-t-il ajouté, ajoutant que les «circonstances de ces faits restaient cependant à préciser ainsi que leur mobile». Une enquête criminelle, confiée à la Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Rennes, a été ouverte sous la qualification de tentative d’homicide volontaire. Aucune interpellation n’est encore intervenue, selon la même source.

Le Parti National Breton dresse le constat d’une dérive parfaitement prévisible dont la racine est connue de tous : l’immigration de remplacement afro-orientale.

Face à l’afflux croissant d’allogènes inassimilables, organisé par l’Etat français avec l’aide des partis aux ordres de Paris, Rennes devient progressivement un cloaque du tiers-monde où règne l’insécurité, le trafic de dope et les règlements de comptes qui l’accompagne invariablement, l’islamisation de plus en plus invasive de quartiers entiers, les viols de femmes blanches et le torrent des agressions diverses.

Cette cause fondamentale qu’est la submersion migratoire n’est guère plus niée par personne. Désormais, il y a ceux qui embrassent totalement cette déchéance comme une opportunité à des fins de basse politique et ceux qui, parfaitement conscients de ce que cet effondrement démographique implique, annoncent le cataclysme. 

Les prisons étant déjà saturées, l’immigration extra-européenne continuant à un rythme toujours plus rapide, la suite est un simple exercice de logique : demain, les fusillades seront hebdomadaires, après-demain, quotidiennes. Les Bretons auront disparus des rues de Rennes, ou pratiquement, tandis que les gangs ethniques mâtinés de salafisme contrôleront directement ou indirectement la municipalité. Les politiciens français, plus lâches que jamais, se féliciteront du désastre.

Le Parti National Breton refuse ce nettoyage ethnique à bas bruit contre le Peuple Breton. Il appelle les masses bretonnes à la résistance en rejoignant ses rangs : le salut de Breizh en dépend. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Résidences secondaires : Action du PNB à Landerneau pour le logement breton aux Bretons !

Résidences secondaires : Action du PNB à Landerneau pour le logement breton aux Bretons !

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une vaste opération contre la colonisation de peuplement qui frappe de plein fouet la Bretagne, précipitant un véritable nettoyage ethnique à bas bruit contre les Bretons. 

Avec pour slogan “STOP ! aux résidences secondaires, Breton, reprends ta terre !” le Parti National Breton a notamment appelé la population bretonne de Morlaix à la résistance.

Cette campagne de mobilisation s’inscrira dans la durée et s’étendra aux nombreux secteurs du territoire national breton touché par la colonisation française.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Résidences secondaires : Action du PNB à Morlaix pour le logement breton aux Bretons !

Résidences secondaires : Action du PNB à Morlaix pour le logement breton aux Bretons !

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une vaste opération contre la colonisation de peuplement qui frappe de plein fouet la Bretagne, précipitant un véritable nettoyage ethnique à bas bruit contre les Bretons. 

Avec pour slogan “STOP ! aux résidences secondaires, Breton, reprends ta terre !” le Parti National Breton a notamment appelé la population bretonne de Morlaix à la résistance.

Cette campagne de mobilisation s’inscrira dans la durée et s’étendra aux nombreux secteurs du territoire national breton touché par la colonisation française.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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L’extrême-gauche régionaliste appelle l’Etat Français à la répression contre les patriotes bretons du PNB

L’extrême-gauche régionaliste appelle l’Etat Français à la répression contre les patriotes bretons du PNB

[PNB] Il ne faut jamais beaucoup de temps pour démontrer ce que le Parti National Breton expose dans son article récent “Dépasser l’imposture régionaliste par l’ethno-nationalisme breton” : soit on est breton, soit on est un traître à la solde du régime français, on ne peut pas être les deux.

Après 60 ans d’existence, l’organisation régionaliste française “UDB”, par la voix de ses rares représentants, le confirme : trahir et agir en mouchard de l’état colonial français contre le nationalisme breton est la seule et unique fonction des régionalistes, de droite ou de gauche. En témoignent leurs appels désespérés aux autorités coloniales pour réprimer les patriotes bretons.

Le Parti National Breton est un parti révolutionnaire qui fixe souverainement les modalités de sa communication en direction des masses bretonnes qu’il veut libérer de l’Etat Français.

Comme porteur de la légitimité nationale, il mènera sans faillir sa mission pour la restauration de l’Etat Breton. Les ennemis de la nation bretonne devront s’y habituer.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Terreur antiblanche à Guéméné : la mairie repeint un personnage de carnaval en blanc après les menaces de violence d’allogènes africains

Terreur antiblanche à Guéméné : la mairie repeint un personnage de carnaval en blanc après les menaces de violence d’allogènes africains

[PNB] La terreur allogène se répand en Bretagne, sans aucune opposition de politiciens locaux aussi lâches qu’aveugles.

Le Télégramme

Une lettre et un coup de fil menaçants ont entaché la préparation du carnaval Pourleth, qui se tiendra ce dimanche, à Guémené (56). La raison ? La tête d’une femme grimée de noir.

La fête promet d’être folle, comme toujours depuis 1926. À Guémené, le traditionnel carnaval attire, tous les deux ans, près de 10 000 visiteurs qui viennent admirer la vingtaine de chars fleuris et artistiques. Mais cette année, il y a eu comme un hic lors de la préparation de l’évènement : plusieurs personnes, qui ont peu goûté à une tête grimée de noir posée en périphérie de la ville, ont menacé de perturber le carnaval si elle n’était pas enlevée.

« J’ai reçu un coup de fil d’une personne qui m’a demandé de retirer cette tête que nous avions posée sur le rond-point, près de la caserne des pompiers, pour annoncer l’évènement, explique Monique Le Tennier, présidente du comité d’organisation. Elle m’a dit que c’était raciste, très choquant et que ça faisait « zoo ». Elle voulait à tout prix qu’on l’enlève ». Une requête qui a rapidement viré à la menace. « Elle m’a dit que si on ne l’enlevait pas, plusieurs personnes viendraient empêcher la tenue du défilé ». Un courrier électronique, écrit par une autre personne, a également été envoyé à l’office de tourisme du Faouët, hier. À l’intérieur, on peut lire ceci : « Pourquoi le carnaval utilise-t-il une grosse tête de femme noire pour faire sa publicité ? Cette tête semble être une caricature avec ses lèvres et ses cils exagérés. Dans une région majoritairement blanche, ne pensez-vous pas que ce stéréotype pourrait être perçu comme raciste ? Je suis personnellement offensé », est-il écrit dans le courrier.

Au sein du comité d’organisation, c’est la stupeur. « On est surpris, choqué, un peu dégoûté, même » peste Christian Maro, vice-président de l’organisation de ce carnaval qui passionne tout le Centre-Bretagne. « Après avoir reçu ces menaces, on a réfléchi. Certains voulaient enlever la tête grimée, d’autres non. Finalement, il a été décidé de la repeindre en blanc : nous ne voulions pas avoir de grabuge lors du défilé qui permet de conserver une vie dans nos petits bourgs et qui représente, pour un millier de carnavaliers, plusieurs mois de travail », argue Monique Le Tennier. « Ce n’était vraiment pas dans une intention de choquer ou de se moquer ! Nous sommes dans l’esprit carnaval, c’est tout », ajoute la présidente. « Nous sommes prêt à rencontrer ces personnes pour en discuter » conclut Christian Maro. Dimanche, ce sera (quand même) la fête, à Guémené. Et elle promet d’être folle, comme toujours.

Un coup de téléphone, un email, et une commune entière capitule : c’est l’état de lâcheté ambiante face à la terreur raciste antiblanche. Non seulement cela, mais la clique municipale se dit prête à dérouler le tapis rouge au pied de l’envahisseur, animée d’une haine raciale ouverte contre les Bretons sur leur propre terre.

Qui peut croire un instant que cette Bretagne occupée par l’Etat Français, dirigée par des vieillards séniles, peut opposer un semblant de résistance à l’invasion afro-islamique organisée par Paris ?

Seule une force jeune et déterminée à imposer l’ordre breton en Bretagne pourra balayer la racaille allogène qui se croit maître chez nous. Cette force, c’est le Parti National Breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

“STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

“STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

[PNB] Première campagne thématique et nationale du Parti National Breton, la résistance à la colonisation française qui frappe de plein fouet la jeunesse bretonne a commencé. Elle a ciblé le Léon, le Trégor, le Porhoët, la Cornouaille en attendant d’autres régions bretonnes. Cette campagne vise spécifiquement le nettoyage ethnique objectif organisé par l’Etat Français à travers toute la Bretagne qu’implique le rachat des terres bretonnes par la bourgeoisie française.

Progressivement chassés de centaines de communes par les étrangers, privés de logement, les Bretons affrontent la perspective de ne plus pouvoir vivre là où ils sont nés et où ils ont grandi. Qu’il s’agisse de terrains à construire ou de logements anciens, partout les Bretons sont asphyxiés par la prédation française, méthodiquement appuyée par l’Etat français et ses préfectures, protégée par des politiciens à la botte de Paris, souvent grâce à l’arme de la corruption.

Ce processus d’évincement et de ségrégation est encore aggravé par la colonisation extra-européenne organisée par l’Etat Français qui réserve les logements sociaux, pourtant payés par l’argent des travailleurs bretons, aux allogènes. Ainsi, à Saint-Nazaire, 72% des individus postulant pour des logements sociaux sont des allogènes d’arrivée récente.

Devenue une colonie au sens littéral du mot, la Bretagne n’appartient plus aux Bretons, mais à tous les possédants de l’Hexagone et aux colons du tiers-monde qui veulent s’emparer de la terre de leurs ancêtres. Cette domination totale de l’argent et du pouvoir français ne rencontrait, à ce jour, aucune opposition déterminée pour rendre la Bretagne aux Bretons.

C’est maintenant chose faite !

Le Parti National Breton engage une campagne de longue haleine pour que l’exclusivité bretonne au logement en Bretagne soit la seule et unique règle en ce domaine.

Dans son programme d’application immédiate, 4 des 14 exigences du Parti National Breton concerne l’exclusivité bretonne pour le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

Le Parti National Breton met en garde les Bretons : aucun parti français ne les défendra, car tous, sans exception, sont dirigés par Paris où vit la bourgeoisie française qui s’empare de nos terres. Leurs relais politiques en Bretagne leur sont vendus. Pas plus qu’une dinde ne fête Noël, cette bourgeoisie, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, ne soutiendra des mesures visant à stopper la spéculation immobilière dont elle profite, bien au contraire.

Seul le Parti National Breton, en exigeant l’exclusivité bretonne pour le logement – privé et social – agit en totale cohérence et avec détermination pour les intérêts du Peuple Breton. Les Bretons ne peuvent compter que sur leurs ressources : ils doivent se mobiliser seuls, sous la direction de leur parti, le Parti National Breton, pour redevenir les maîtres de leurs terres et de leur destin collectif.

La Bretagne doit retrouver sa dignité et ne doit plus être une colonie, que ce soit pour la bourgeoisie française, singulièrement parisienne, ou pour le trop plein démographique du tiers-monde afro-islamique que cette même bourgeoisie déverse chez nous. Pour cela, seule une lutte implacable pour l’indépendance nationale bretonne et la restauration de l’Etat Breton sera à même de rendre aux Bretons leur pays.

C’est cette lutte qu’entreprennent les militants du Parti National Breton dans tout le pays !

Breton, reprends ta terre ! Rejoins le Parti National Breton !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

Pour rejoindre le PNB : [email protected]