L’hymne national breton officiellement adopté par le Conseil “Régional” de Bretagne

L’hymne national breton officiellement adopté par le Conseil “Régional” de Bretagne

Le Parti National Breton exprime sa satisfaction suite à l’adoption officielle par le Conseil dit “Régional” de Bretagne du Bro Gozh Ma Zadoù qui était jusqu’ici l’hymne national breton de facto (lire ici).

Le Parti National Breton tient à féliciter l’association Poellgor BroGozhMaZadoù pour ce succès, fruit de son engagement permanent pour la nationalité bretonne et de son hymne. 

Sa version réalisée par Frédérique Lory pour l’Orchestre National de Bretagne a été publiée ce jeudi 25 novembre 2021 par les éditions Coop Breizh :

 

Le Parti National Breton y voit une victoire culturelle, historique et symbolique majeure puisque la nation bretonne doit cet hymne au vénérable patriote breton, François “Taldir” Jaffrennou. Barde, cette figure vivante de la culture et de la langue bretonnes a su manifester par cet hymne national l’unité ethnique et spirituelle du grand peuple breton que forment ensemble Bretons, Cornouaillais et Gallois.

Le patriote breton Taldir Jaffrennou

Aux côtés de Camille Le Mercier d’Erm, fondateur du Parti Nationaliste Breton en 1911, l’auteur du Barzaz Taldir a contribué par son activisme culturel à poser les bases de l’émergence du nationalisme breton dans le cadre de l’Union Régionaliste Bretonne dont procède la matrice de l’Emsav, Breiz Atao. Son adhésion ultérieure à l’indépendance pleine et entière de la nation bretonne scellera un long travail d’éveilleur.

Le Bro Gozh Ma Zadoù a depuis toujours accompagné les nationalistes bretons dans leur lutte.

Le Parti National Breton appelle à poursuivre cet effort et à accentuer la nationalisation des masses bretonnes en diffusant l’enseignement obligatoire de l’hymne national breton dans toutes les écoles de Bretagne et à en systématiser l’usage lors de tous les rassemblements publics, notamment sportifs.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Le paradis multiculturel promu par le Parti Socialiste français en Bretagne depuis des décennies n’en finit pas de se transformer en enfer multiethnique quotidien pour la population bretonne. Dernier exemple en date, la transformation de Quimper – ville sous la coupe de l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih – en supermarché de la drogue, jusque dans son centre historique.

Immigration extra-européenne, tabou médiatique

On cherchera en vain, dans la presse d’état, le mot “immigration” pour expliquer cet empoisonnement parasitaire pourtant organisé par des criminels allogènes.

Le Télégramme :

Quimper, 10 septembre 2019. Le quartier de Kermoysan s’embrase. Une flambée de violences inédites qui va entraîner une hausse de la pression policière dans ce quartier défavorablement réputé pour être la plaque tournante du trafic de stupéfiants à Quimper.

Puis, le confinement va passer par là. Et mettre en lumière une autre problématique existant depuis des années et qui semble s’être accentuée ces derniers mois. Celle du trafic de drogues en plein cœur de ville (…) Des transactions quasi quotidiennes réalisées en plein jour et aux yeux de tous.

« D’année en année, ça monte crescendo », note Laure, une commerçante quimpéroise installée depuis près de dix ans dans le centre. Tous les jours, depuis sa vitrine, elle assiste, impuissante, à un va-et-vient régulier de jeunes qui « vendent des barrettes et de l’herbe à monsieur tout-le-monde. Et ce en toute impunité et à toute heure de la journée ».

Un trafic qui prend donc racine sur les pavés de l’hypercentre quimpérois. Notamment dans les ruelles étroites de la ville, comme la venelle du Poivre ou encore la rue de la Palestine.

« C’est plutôt cool pour eux. Ce sont des endroits très peu éclairés avec une entrée et une sortie. Ils peuvent se sauver facilement car les motos ou voitures de police peuvent difficilement les suivre », raconte Martin. « Ce sont les plus jeunes qui sont les plus dérangeants. Ils sont irrespectueux. Le soir, ils laissent leurs déchets partout ». 

Les horaires publics du point de deal dans le paradis multiculturel de la ville socialiste de Quimper

Après le temps de l’observation, vient celui de l’exaspération. « J’ai vécu près de 20 ans dans le centre de Quimper. Pour rien au monde, je ne voudrais réhabiter dans ce centre-ville qui s’est franchement dégradé au fil des années », affirme Laure, soulignant ne plus y être sereine. Désormais, son sac contient une bombe au gaz.

« La délinquance existe partout. Mais c’est vrai que l’on ne s’y attend pas en plein cœur de Quimper. C’est envahissant, gênant car ils sont souvent nombreux et bruyants. Et ils ne respectent rien ni personne. Je pense qu’il y a des choses qui pourraient être faites pour empêcher cela. Mais on sait très bien que ça ne fera que déporter le problème », conclut Martin, un brin pessimiste.

Les “jeunes”, tel est le pudique euphémisme consacré par les médias d’état hexagonaux pour ne pas utiliser le terme exact : allogènes afro-musulmans !

De la république au tiers-monde

Le Parti National Breton pour sa part se fixe pour première priorité de décrire dans les termes exacts les fléaux qui affectent le peuple breton soumis à l’occupation française, première étape de la restauration de l’ordre breton en Bretagne. Il ajoute qu’en étroite coopération avec l’Etat Français, les partis de gauche à la botte de Paris appliqueront invariablement sa politique de remplacement ethnique au profit des masses du tiers-monde qu’il importe frénétiquement. L’exemple quimpérois l’illustre jusqu’à l’absurde.

Tant que le régime républicain français et ses relais locaux administreront la Bretagne, celle-ci suivra l’évolution catastrophique de la France : remplacement ethnique, explosion de la criminalité, gangrène islamiste fulgurante. Il n’y a qu’une seule et unique solution : organiser partout la résistance ethno-nationale bretonne en vue de la restauration de l’Etat Breton, dernière planche de salut face au naufrage de la France afro-islamisée.

Les Bretons conscients de la menace existentielle qui pèse sur leur pays ne peuvent que rejoindre l’analyse du Parti National Breton. Le PNB les appelle à en tirer toutes les conclusions et à le rejoindre dans les plus brefs délais. Les partis bourgeois hexagonaux dont la caractéristique est la lâcheté et l’opportunisme ne feront que gérer la faillite jusqu’à l’effondrement final.

Breizh Atav !

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Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Parmi les dix exigences d’application immédiate du Parti National Breton figure la réservation prioritaire pour les fonctionnaires bretons de tous les postes de la fonction publique en Bretagne, qu’ils soient nés en Bretagne ou nés d’au moins un parent breton. Actuellement, l’Etat Français impose aux fonctionnaires bretons des nominations hors de Bretagne, généralement contre leur volonté ou aspiration, tandis que les Français viennent s’installer en Bretagne pour fuir les ravages de l’immigration extra-européenne. Cette situation intolérable approche du point de rupture.

Désinformation d’état

La presse d’état hexagonale joue un rôle majeur en Bretagne dans la désinformation sur ce sujet crucial. Ainsi, le journal stato-socialiste français “Le Télégramme” parvient à réaliser l’exploit de parler des fonctionnaires bretons qui fuient la région parisienne après avoir été contraints par l’état colonial d’y être assignés sans jamais citer une seule fois la cause de cette fuite : l’immigration afro-musulmane.

Le Télégramme :

Y a-t-il encore des profs heureux ? Pour Isabelle Carré, c’est oui, sans hésiter. Enseignante stagiaire d’espagnol à Vannes en 2018-2019, la Bretillienne attaque sa troisième année de cours, après être sortie de l’Inspé (Institut national du professorat et de l’éducation) de Rennes en juin 2018.

Isabelle Carré

Comme tous les jeunes enseignants, la Rennaise a dû concéder un passage en région parisienne, en début de carrière. Après son année de stage à Vannes, elle a démarré dans deux collèges de l’académie de Créteil. « Je travaillais à mi-temps entre Ivry-sur-Seine et Vitry-sur-Seine. Mais étant déjà pacsée et en couple, je rentrais sur la Bretagne tous les week-ends ». Isabelle Carré l’avoue : cette première année, tronquée par la crise sanitaire, aurait pu la décourager du métier. « Quand tu découvres que la priorité n’est pas le contenu des cours, mais déjà de s’assurer que les élèves sont bien présents en classe, tu t’éloignes de ce pour quoi tu t’es engagée ».

Vitry-sur-Seine, paradis de la diversité ethnique

Maman depuis août 2020, la Bretillienne a cumulé assez de points pour être rapidement mutée dans son département d’origine, au plus près de son compagnon et de sa famille. « On m’aurait proposé d’aller n’importe où ailleurs en Bretagne, j’aurais dit oui ! »

L’an dernier, elle a enseigné entre Rennes et Saint-Aubin-du-Cormier (35). Depuis septembre, Isabelle s’est même rapprochée de son domicile avec un poste au collège François Truffaut de Betton. Rien de définitif encore, mais elle se dit ravie de l’expérience. La prof d’espagnol a le sourire. « J’ai une matière sympa, j’enseigne 18 heures par semaine, je peux me former en interne. Depuis que je suis rentrée en Bretagne, je ne vais plus enseigner la boule au ventre. Certes, il y a du travail à la maison, mais je n’ai plus le même stress et je mesure ma chance. Il y a peu de métiers comme ça. Mon conjoint est agent immobilier. Il fait du 8 h-20 h, six jours sur sept. Je ne peux que relativiser ! »

Conformément à son attitude de principe, le Parti National Breton entend traiter cette question sans détour en rompant avec les interdits idéologiques posés par le système politico-médiatique français. 

Pour une fonction publique bretonne !

Les ravages d’une immigration extra-européenne inassimilable ne sont plus limités aux grandes villes françaises. La Bretagne étant sous l’administration coloniale de Paris, l’Etat Français menace la nation bretonne de connaître à son tour le sort funeste de ses villes tiers-mondisées. Toutes les villes bretonnes sont déjà touchées par le fléau du remplacement de population orchestré par le gouvernement français.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, sans réaction de la société bretonne, la Bretagne subira le sort de la banlieue parisienne : islamisation fulgurante, explosion du crime, émeutes raciales endémiques, racisme antiblanc.

Le Parti National Breton appelle tous les fonctionnaires bretons à défendre leurs intérêts légitimes en le rejoignant pour que cesse ce déracinement mortifère systématique. Plus aucun fonctionnaire breton ne doit être contraint par Paris à quitter la Bretagne contre sa volonté !   

Par nous-mêmes, pour nous-mêmes : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

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Changement de couleur du drapeau français : le Parti National Breton met en garde contre les nostalgiques de la Terreur de 1793

Changement de couleur du drapeau français : le Parti National Breton met en garde contre les nostalgiques de la Terreur de 1793

Si le Parti National Breton n’a pas à juger du choix des symboles officiels adoptés par le gouvernement français, il doit en revanche être vigilant au moindre signal politique émanant de Paris qui traduit une rupture de nature à affecter la nation bretonne. Le changement du bleu du drapeau tricolore de la République Française décidé par l’actuel chef de l’état, Monsieur Emmanuel Macron, est de ces signaux.

Le journal Le Parisien détaille, “D’après Europe 1, il s’agit pour le chef de l’Etat de renouer avec un symbole de la révolution française, celui du drapeau français de 1793“.

La chaîne de télévision BFM précise que jadis mis en harmonie avec les couleurs du drapeau de l’Union Européenne par Valéry Giscard d’Estaing, le drapeau français doit désormais trancher nettement avec celui-ci :

Car si son lointain prédécesseur estimait que le bleu marine jurait avec celui, plus clair, de l’étendard européen et semblait trop “martial”, l’entourage d’Emmanuel Macron estime quant à lui qu’il s’agit d’un bleu “plus élégant”. Au-delà de l’esthétique, cette décision est surtout porteuse de nombreuses symboliques.

À l’Élysée, on l’assure, la décision n’est absolument pas anti-européenne. Cependant, la volonté de “remettre la République en avant” est clairement assumée. La colorimétrie du drapeau s’éloigne donc de nos voisins européens mais s’aligne, en revanche, sur le bleu utilisé par la Marine française. Et surtout, adopte la même teinte que celles de nos étendards lors de la Révolution française.

L’année 1793 n’est pas n’importe quelle année pour le peuple breton, c’est l’année où le régime terroriste est instauré à Paris par le pouvoir jacobin. Le régime des Barrère, Robespierre, Marat, Danton entreprend alors de soumettre par la terreur la Bretagne, ce qui aboutit peu après à l’insurrection défensive du chouannerie bretonne sous la conduite de l’autonomiste Armand Tuffin de la Rouërie, puis de George Cadoudal.

Toute marque de nostalgie à l’égard de la période terroriste de la part du régime républicain français oblige les Bretons à la plus grande vigilance car notre peuple est historiquement désigné comme ennemi par les terroristes de Paris.

Ce changement, anecdotique en apparence, traduit une profonde crise d’autorité et de légitimité du régime républicain que vient compenser une réaction impérialiste, agressive tant au plan intérieur qu’extérieur. La politique de ciblage de la langue bretonne menée par Jean-Michel Blanquer marque à ce titre un retour de la suspicion du centre révolutionnaire (Paris), traditionnellement teintée de paranoïa, contre les périphéries. 

Les causes plus profondes de cette réaction sont le bouleversement démographique que connaît la France du fait de l’immigration de masse afro-musulmane. En 2021, 42% des naissances françaises sont d’origine extra-européennes. Ce bouleversement démographique a détruit le modèle culturel impérialiste-assimilationniste des pères de la révolution française. Après deux siècles d’un intense travail d’homogénéisation artificielle des populations de l’Hexagone, l’Etat Français fait face, sous l’effet de l’immigration islamique, à un vaste mouvement inverse de partition ethno-culturelle du territoire dont les effets, notamment sur la place de la religion (islam) dans l’ordre social, se font puissamment sentir parmi les jeunes allogènes “naturalisés”. L’athéisme d’état – la “laïcité” chère aux loges du Grand Orient de France -, pilier idéologique du système, est ainsi massivement rejetée par les jeunes générations du fait de cette recomposition démographique.

Si ce genre de signaux visent à affirmer l’autorité et la force du régime, de tels réflexes de la part de la grande bourgeoisie républicaine témoignent au contraire d’une faiblesse croissante de celui-ci.

Le Parti National Breton appelle le peuple breton à se tenir sur ses gardes : les attaques de Paris contre la communauté du peuple breton ne peuvent que s’intensifier à mesure que la République Française sombre dans la balkanisation. Le Parti National Breton affirme toutefois que les tentatives désespérées du régime français pour se survivre à lui-même seront invariablement vouées à l’échec. Mieux : elles ne feront que précipiter la catastrophe finale. 

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton apporte son soutien aux indépendantistes de Kanaky

Le Parti National Breton apporte son soutien aux indépendantistes de Kanaky

L’Etat Français a unilatéralement décidé d’organiser le 12 décembre 2021 le troisième référendum d’autodétermination de la Kanaky (Nouvelle-Calédonie) en dépit de l’opposition du peuple concerné et de ses organisations représentatives.

Le passage en force de Paris démontre que le pouvoir colonial français n’a jamais eu l’intention de respecter les Accords de Nouméa de 1988. Le régime républicain français fera tout pour maintenir le peuple kanak en état de sujétion, y compris en employant les méthodes les plus déloyales.

Le Parti National Breton apporte son soutien aux organisations indépendantistes de Kanaky dans leur lutte pour parachever la décolonisation de leur pays. Le Parti National Breton soutient à ce titre leur décision d’appeler à un boycott massif du simulacre de référendum organisé par l’Etat Français le 12 décembre 2021. Son résultat est d’ores et déjà nul et non avenu.

Breizh Atav !

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Attentats islamiques du 13 novembre : les Bretons doivent agir pour ne plus subir !

Attentats islamiques du 13 novembre : les Bretons doivent agir pour ne plus subir !

Ce 13 novembre 2021, six ans après les attentats islamiques de Paris, le Parti National Breton rend hommage à la mémoire des Bretons lâchement assassinés par les terroristes de l’islam conquérant.

Estelle Rouat, 25 ans, originaire de Concarneau, et David Perchirin, 41 ans, originaire de Plougastel-Daoulas, sont les visages des premières victimes bretonnes de la barbarie islamique.

Estelle Rouat

David Percherin

Six ans après ces tueries de masse, les causes objectives ayant mené à ces attaques se sont considérablement aggravées avec la pleine complicité de l’Etat Français.

L’immigration afro-musulmane, légale et illégale, s’est considérablement développée en Bretagne, le crime d’origine allogène prospère grâce à l’inaction de la “justice” française, l’islamisme s’enkyste dans les villes bretonnes à un rythme spectaculaire. Les politiciens et médias opérant en Bretagne, fidèles au pouvoir français, se taisent ou collaborent avec l’ennemi.

Dans ces circonstances, le Parti National Breton met solennellement en garde le peuple breton : faute d’un pouvoir breton fort et déterminé à les protéger, des attaques similaires se reproduiront et endeuilleront à nouveau les familles bretonnes.

Seule force révolutionnaire déterminée à sauver le peuple breton, le Parti National Breton entend appliquer des solutions radicales pour éradiquer cette menace existentielle. Pour cela, le PNB mettra un terme définitif à la présence des étrangers indésirables en Bretagne, il procèdera à la fermeture de tous les centres d’agitation islamique présents sur le sol breton, il brisera les facilitateurs de l’infiltration et il appliquera la peine capitale pour châtier ceux qui auront porté atteinte à la vie ou à l’intégrité physique des membres de la communauté du peuple breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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Plus de 200,000 Bretons menés au carnage par la France : les leçons politiques de 14-18 pour la nation bretonne

Plus de 200,000 Bretons menés au carnage par la France : les leçons politiques de 14-18 pour la nation bretonne

Depuis l’annexion formelle de leur pays en 1532, les Bretons sont exposés à un intense travail de propagande mené par la puissance occupante française. Ce travail n’a, depuis l’origine, qu’un seul but, celui de convaincre les annexés de la légitimité de leur soumission à un état étranger, prédateur et hostile : la France.

Privés de leur histoire nationale pour détruire en eux toute conscience ethno-nationale propre et par là même toute envie d’émancipation, les Bretons ont été décrétés “Français” par l’impérialisme français afin de devenir les instruments dociles de sa politique extérieure. D’abord sous la monarchie, puis sous le jacobinisme révolutionnaire, ce lavage de cerveau méthodiquement mis en œuvre par la France et ses préfets visait non seulement à pacifier la Bretagne annexée, mais aussi à faire de ses hommes les bêtes de somme de la sauvagerie expansionniste de l’oligarchie parisienne.

L’impérialisme français, matrice de la destruction 

Ce processus connut son ultime conséquence avec le déclenchement de la Première Guerre Mondiale. Celle-ci, pour les Bretons, avait été préfigurée par la désastreuse guerre franco-prussienne de 1870. Les hommes de Bretagne, mobilisés à la hâte par le régime bonapartiste puis par son successeur républicain mené par le vagabond latin Gambetta, avaient été envoyés cyniquement se mourir dans le camp de fortune de Conlie afin de prévenir tout soulèvement armé de la Bretagne contre Paris. Ce signal, hélas, ne fût pas correctement analysé par un peuple breton resté rural qui était exposé à la virulente propagande belliciste française de la fin du XIXe siècle avec l’aide de ses relais bourgeois en Bretagne.

Propagande impérialiste française en Bretagne occupée

En 1914, les Bretons, massivement embrigadés et militairement encadrés par une France républicaine qui campe sur un vaste empire colonial avide de revanche contre l’Allemagne, sont mobilisés et envoyés au front. Occupés, culturellement écrasés chez eux au point d’être traités en étrangers insolites, les Bretons sont dressés par la France pour qu’ils la remercient de les mener dans un massacre aux proportions infernales.

La catastrophe est consommée au premier choc : une mitrailleuse bien positionnée peut abattre en quelques minutes l’équivalent de toute la population masculine d’un village breton. Ce qui devait être une rapide campagne de mouvement se transforme en processus d’anéantissement généralisé où les familles bretonnes sont broyées froidement par la machine de guerre française. Les soldats bretons furent sacrifiés par la France à un rythme effrayant : deux tiers de pertes de plus que les Français !

“Mort pour la France” est l’insulte suprême adressée par lettre aux veuves et aux mères abruties par un phénoménal travail d’anéantissement des consciences.

240,000 Bretons détruits par la France

Le désastre humain pour la Bretagne fût largement occulté par la propagande impérialiste française au lendemain du conflit. Mais les monuments aux morts érigés dans chacune des 1,500 communes de Bretagne, avec leurs centaines de noms si familiers pour le moindre d’entre eux, trahit l’ampleur sidérante du drame.

Aux 180,000 Bretons tués pendant le conflit, s’ajoutent ceux qui succomberont après la guerre de suicide, séquelles de gazages, blessures diverses, maladies rendues mortelles par l’affaiblissement et l’alcoolisme, s’ajoutent des dizaines de milliers de morts supplémentaires. En tout, 240,000 Bretons, essentiellement des paysans, moururent pour un conflit dans lequel eux, les gours partis des vallées de la vieille Bretagne, n’avaient rien à défendre.

Combien de ces Bretons de 20 ans eurent pour dernière vision de leur pays le clocher de leur village qui nous regarde aujourd’hui, témoin séculaire de l’engloutissement ?

Le réveil de la race bretonne

Ce n’est pas un hasard si c’est au début de l’année 1919, deux mois après la fin du conflit, qu’une poignée d’étudiants bretons lancent Breiz Atao, journal nationaliste qui deviendra un véritable cri insurrectionnel contre l’occupation française.

Quand en 1940, la France tente à nouveau d’entraîner les Bretons dans ses projets de boucherie, c’est la stupéfaction chez les officiers français : les Bretons sont méconnaissables. Ceux-là qui étaient reconnus comme les soldats les plus tenaces de toute l’armée française en 14-18 ne sont plus que des traînards qui manifestent l’envie de déserter à la première occasion.

C’est qu’entretemps, la furieuse haine de la République à leur égard s’était pleinement manifestée avec le refus de légaliser l’enseignement de la langue bretonne tandis que la presse républicaine regorgeait d’injures contre un peuple qu’on continuait de suspecter de fomenter une insurrection chouanne.

L’avènement du Parti Autonomiste Breton et de Breiz Atao avait puissamment fragilisé le mythe d’un peuple soumis et encore renforcé la suspicion générale des autorités. 

Ces monceaux de cadavres bretons laissés pourrir à même les champs de bataille de 14-18 par le commandement français nous ont parlé depuis l’Autre Monde. Ils nous ont appris que les seuls Bretons susceptibles de plaire à la France sont ceux qui se font docilement sacrifier pour leurs gras suzerains français. Pour les autres, c’est la haine monolithique. 

Une seule mission : briser l’occupation française

Fort de la mémoire de tous les Bretons menés à la mort par la France, le rôle du Parti National Breton est de mener le travail d’éveil national en parlant au nom d’une nation celtique enfin redressée : jamais plus le peuple breton ne servira la France, peu importe le régime où les circonstances. Désormais, le peuple breton, ayant à l’esprit son seul devoir de survie, ne servira que BREIZH, sa patrie, et il ne consentira au sacrifice que pour garantir cette survie dans le cadre de l’indépendance pleine et entière de la nation bretonne. Le Parti National Breton rappelle le principe de neutralité cardinal de la Bretagne nationale.

En ce 11 novembre 2021, nous rappelons que le devoir de tout Breton est de chasser la France ennemie et ses séides hors des frontière de notre pays, de briser cette force maléfique qui cherche depuis toujours à tuer l’esprit de la race celtique dont le sang coule dans les veines de Bretagne, et de mobiliser toute notre énergie et toute notre intelligence à cette fin. Nos morts l’exigent, nos enfants l’attendent, le destin nous l’assure.

BREIZH ATAV !

Le Kuzul Meur du PNB

 

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Notre mission

 

Notre mission

La nation bretonne, peuple celte fort d’une histoire nationale de 2,500 ans déployée sur les deux rives de la Manche, doit faire face au XXIe siècle à une lutte existentielle qui déterminera sa disparition ou sa renaissance.

Après mille ans d’indépendance jalouse inspirant le respect de l’Europe entière, le peuple breton a été soumis à partir de 1488 à la brutalité de l’ordre colonial français, occupation sauvage faite d’assassinats, de pillages et d’exploitation féroce des travailleurs bretons. Cette occupation sanglante, marquée par l’écrasement de la révolte bretonne des Bonnets Rouges en 1672, est devenue paroxystique avec l’avènement de la barbarie révolutionnaire en 1789 et l’abolition unilatérale de la dernière institution politique de notre nation : le parlement de Bretagne. Sa paysannerie entièrement livrée à la volonté tyrannique de l’impérialisme français, le cataclysme devait culminer pour le peuple breton avec la mort de plus de 200,000 de ses meilleurs fils, jetés contre l’Allemagne lors de la première mondiale pour protéger l’ogre français. Cette guerre criminelle a coûté à la Bretagne la fine fleur de son stock racial, une perte du meilleur sang dont elle ne s’est jamais remise. En parallèle, la féroce politique ethnocidaire française parachevait la destruction systématique de la langue bretonne tandis que les jeunes Bretons survivants du conflit, privés d’avenir par le régime colonial, étaient contraints à un exil massif hors de leur patrie pour faire la fortune du capitalisme parisien.

L’acte d’accusation est accablant : pour le peuple breton, la France n’a été qu’une immense et sanglante catastrophe.

Depuis cette date funeste de 1789, la nation bretonne est un fantôme dans son propre pays, sommée de laisser préséance à l’occupant français partout sur la terre sacrée de Bretagne. L’homme breton est du même mouvement devenu un domestique au service d’un ordre étranger qui se donne pour mission de le piller, de l’humilier et de le réduire à l’état de sujet perpétuel.

De seigneur et maître en son pays, l’homme breton est devenu le domestique de l’occupant.

A l’enseignement glorieux des mérites de notre race qui faisaient la fierté de chaque Breton, a succédé celui de la honte de soi inculquée par le parti français pour rendre toujours plus docile et malléable notre peuple subjugué. Cette rééducation impitoyable a pris de telles proportions que l’honneur d’être libre sur la terre de ses ancêtres a été remplacé par l’avilissant empressement à servir la marâtre française, ennemie séculaire et autoproclamée de notre peuple.

Car la France ne feint d’aimer les Bretons que lorsqu’ils sont vaincus et soumis. Libres et fiers, elle les hait.

La mensongère mystique égalitaire a été brandie par le parti parisien pour légitimer sa politique d’anéantissement culturel de notre peuple, décrété d’interdit par l’Etat Français sur sa propre terre. L’idéologie terroriste invoquée par les fanatiques de l’Une-et-Indivisible se donne pour but revendiqué de briser le peuple breton en le privant de sa conscience nationale et d’y parvenir en cassant son intégrité ethnique, pilier de la solidarité filiale qui en découle. C’est par un lavage de cerveau de masse entrepris dès le plus jeune âge dans ses écoles que le régime français apprend au peuple breton à renier sa nationalité et à se soumettre.

La France n’aime que les peuples faibles, car c’est sur de tels peuples que son joug peut s’établir avec morgue et arrogance. C’est en brisant la fierté raciale du peuple breton que la France veut lui faire accepter l’avilissement de la servitude.

La France est désormais engagée dans la conclusion de son projet impérialiste et sera bientôt irrémédiablement submergée par les masses prolifiques du monde afro-islamique, prélude à sa balkanisation finale. Le dernier but de ce régime criminel est d’entraîner le peuple breton dans sa déchéance raciale et de remplacer notre peuple par les masses de son ancien empire colonial. 

Parce qu’un peuple se doit de vivre ou de disparaître, nous, membres du Parti National Breton, opposons notre droit à la vie et proclamons que la date de 1789 est nulle et non avenue, et que, tout comme celle de 1488, nous l’effacerons de la page de notre histoire nationale. Nous engageons dès à présent la lutte pour la restauration de la nation bretonne dans ses droits nationaux et internationaux, la défense de sa personnalité ethnique et la conquête de son indépendance totale comme toute nation qui défend sa dignité. S’inscrivant dans la défense de l’Europe face au péril existentiel représenté par une France devenue une excroissance de l’Afrique islamique, le Parti National Breton engage la rupture définitive de Breizh avec l’Etat Français.

Au contrat social mensonger de cette république étrangère, nous opposons la communauté ethno-nationale bretonne, unie par les liens millénaires et fraternels du sang. De cette lutte doit naître Breizh, l’état celtique de la nation bretonne, seul état représentant la nation bretonne comme chacun des membres de la communauté populaire bretonne.

Le Parti National Breton brandit à nouveau la vieille bannière du combat frappée du triskell ! S’inspirant avec assurance de l’héroïque héritage de l’Emsav historique, il n’acceptera aucun compromis avec l’Etat Français occupant la Bretagne et ses militants n’auront de cesse de lutter contre l’occupant jusqu’à ce que Breizh soit à nouveau libre, se tenant avec honneur aux côtés des autres nations d’Europe au sein d’une grande Europe européenne.

Pour mener cette guerre d’indépendance jusqu’à la victoire finale, le Parti National Breton appelle chaque Breton à le rejoindre. C’est l’ultime appel.

Breizh Atav !

Proclamation du Parti National Breton

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Bienvenue au Parti National Breton!

DEGEMER MAD. BIENVENUE. Le Parti National Breton vous souhaite la bienvenue sur son site internet.

Ce que vous avez devant les yeux est le site du Parti National Breton. C’est le résultat de nombreuses heures de travail bénévole de la part d’activistes et de sympathisants déterminés à défendre les intérêts de la nation bretonne.

Le principal but de ce site internet est de montrer un peu de l’activisme du mouvement, de publier des communiqués officiels, de produire des textes d’analyses, d’orientation idéologique ou d’actualités, de réagir à ce que les autres disent de nous, militants et sympathisants du PNB, et de convaincre les Bretons de s’engager pour leur peuple et de bâtir son état national indépendant. Le site sera régulièrement mis à jour.

Le peuple breton affronte au 21e siècle des menaces qui, prises ensemble, revêtent un caractère existentiel. Sous la pression de l’Etat Français, l’absence d’un état réellement national a exposé le peuple breton au démantèlement de sa société, puis à son remplacement par une copie d’importation hexagonale qui a mené à l’érosion radicale de son identité. D’abord par la francisation à outrance. Par l’américanisation consumériste ensuite. Par l’afro-islamisation d’importation enfin. Couplée à la politique de remplacement démographique décrétée par Paris, la perte continue de sang breton générée par l’exode de ses jeunes forces vives hors de Bretagne expose le peuple breton à une disparition pure et simple durant ce siècle si rien n’est fait pour stopper la spirale de la dissolution.

Face à cette réalité et avec l’aide de la droite affairiste et de la gauche organisée, les médias du système et l’Etat Français promeuvent toujours plus agressivement l’agenda globaliste en faveur de l’immigration de remplacement tandis que l’islamisme gangrène toutes les villes bretonnes et que des gangs extra-européens sévissent dans l’impunité la plus totale. Cette immigration de remplacement, volet final de l’uberisation économique, entraîne la destruction biologique de l’unité du peuple breton au profit d’une société hétéroclite, violente et instable dont les seuls principes sont l’exploitation féroce et le profit à court terme. Des allogènes bénéficiant d’avantages sociaux sidérants déambulent sur la terre de nos ancêtres, narguant les autochtones, le regard hostile et lourd de menaces. Une caste politique, aussi incompétente que corrompue, préside un système politique cadenassé. La police et la justice françaises ne semblent décidées à réagir que pour réprimer quiconque parmi les Bretons s’oppose à cette course à l’abîme. La désinformation, la censure et l’intimidation sont devenues le nouveau mode de gouvernement à laquelle le peuple breton est soumis par Paris.

Le système politique français, pas plus hier, aujourd’hui ou demain, ne représente une solution : il est la racine même de cette crise. Nous devons rompre radicalement avec Paris, ses représentants et son état en voie d’africanisation et d’islamisation terminales pour édifier le seul état à même de sauver notre peuple : l’Etat Celtique de la Nation Bretonne, BREIZH. C’est à cette condition et cette condition seulement que le peuple breton survivra.

Les Bretons, de tout temps, ont fait face à des ennemis ayant juré de les faire disparaître, tantôt par la conquête, tantôt par l’éradication physique ou par l’anéantissement de leur langue et de leur culture. Le peuple breton a toujours su trouver en lui, à l’heure fatidique, les ressources nécessaires à son redressement et à sa renaissance. Pour cela, deux conditions : la conscience ethno-nationale bretonne et la volonté. C’est ce que se donne pour mission le Parti National Breton.

Tout Breton qui sent en lui l’appel à entrer en résistance pour sauver BREIZH peut se tourner vers le Parti National Breton et lui apporter son aide dans cette lutte historique.

Comment ? En adhérant au parti ou en lui apportant une aide financière ou matérielle. Le PNB, comme parti authentiquement nationaliste et révolutionnaire, ne peut compter sur le système bancaire pour organiser ce soutien financier. Aussi, le parti utilise-t-il la cryptomonnaie anonyme et sécurisée Monero.

 

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