Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Comme le prouve la vague d’incendies du 21 décembre 2021 à Ker Uhel (Lannion), l’anarchie et le crime générée par l’immigration extra-européenne n’épargnent plus aucune commune bretonne. 

Les médias d’état français opèrent une stricte censure de guerre sur l’origine ethnique de ces actes criminels. Cette censure de guerre vise à mener coûte que coûte le projet de remplacement de la population bretonne imposé par Paris.

Le Parti National Breton entend rappeler cette vérité cardinale : le parasitisme allogène doit être brisé par une méthodique politique d’expulsion à grande échelle. 

Le point n°2 de ses dix mesures d’application immédiate pour la Bretagne exige :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Un Etat Breton fondé sur les principes du nationalisme breton sera en mesure de parachever cette politique de reconquête bretonne de la Bretagne. Il renverra en masse les étrangers indésirables vers leur état d’appartenance : la France.

Breizh Atav !

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

Breizh Atav !

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Enseignement immersif du breton “autorisé” par Paris : le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance permettra de sauver la langue bretonne

Enseignement immersif du breton “autorisé” par Paris : le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance permettra de sauver la langue bretonne

La censure par le Conseil Constitutionnel français, il y a quelques mois, de l’apprentissage de la langue bretonne par immersion a gravement mis en danger le réseau d’écoles Diwan. Spécifiquement ciblées par le ministre français de l’Education, Jean-Michel Blanquer, les écoles Diwan vivent depuis dans l’incertitude, résultat de l’accentuation des pulsions autoritaires d’un état jacobin fragilisé.

La promulgation par l’Etat Français, le 16 décembre 2021, d’une circulaire reconnaissant l’enseignement par immersion a été salué par certains comme un “progrès”.

Le Parti National Breton, lucide sur les intentions de l’Etat Français pour tout ce qui touche la nation bretonne, n’est pas dupe de la manœuvre de Paris. Il dénonce un leurre politique peu coûteux qui ne vise qu’à calmer temporairement la colère du peuple breton à la veille d’élections présidentielles françaises. Ce texte n’a aucune valeur juridique définitive, si ce n’est celle que veut bien lui prêter le gouvernement français qui l’a rédigé.

Le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance de la Bretagne permettra d’apporter une réponse globale à la question de la survie de la langue bretonne. L’Etat Breton, en rendant l’enseignement du breton obligatoire à tous les niveaux d’enseignement, garantira la survie de la dernière langue celtique du continent européen.

Dans l’immédiat, le Parti National Breton exige :

  • le transfert par Paris de toutes les compétences relatives à l’éducation vers l’actuel “Conseil Régional de Bretagne”.
  • la constitution d’un enseignement public en langue bretonne de la maternelle à l’université placé sous l’autorité du président de “région” dans le cadre de ces compétences transférées.
  • l’enseignement obligatoire du breton à l’ouest de la ligne Loth.
  • l’allocation d’urgence de 10% du budget annuel (160 millions d’euros) du “Conseil Régional de Bretagne” aux écoles du réseau Diwan afin de poser les fondations du futur enseignement public national en langue bretonne.

L’enseignement de la langue bretonne en Bretagne n’est pas quelque chose que la nation bretonne peut marchander avec l’oppresseur français. C’est un droit sacré pour lequel le Parti National Breton combattra sans relâche.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton s’oppose au quota de femmes dans les entreprises. Le mérite seulement !

Le Parti National Breton s’oppose au quota de femmes dans les entreprises. Le mérite seulement !

Soumise aux lois françaises par la force de l’occupation actuelle, l’économie bretonne devra subir une nouvelle forme d’ingérence stato-marxiste hexagonale dans ses entreprises. Une loi proclamée par Paris impose la sélection des membres des directions d’entreprises de plus de 1,000 salariés sur la seule base de leur sexe.

Capital :

Concrètement, l’article 7 de cette nouvelle proposition de loi prévoit d’instaurer des quotas dans les instances dirigeantes des entreprises de plus de 1.000 salariés : 30% de femmes dans les cinq ans suivant la promulgation du texte (d’ici à 2027), puis 40% trois ans plus tard, soit huit ans après la promulgation de la loi (d’ici à 2030). 

Le Parti National Breton s’oppose fermement à l’ingérence de l’Etat Français et de sa bureaucratie incompétente dans la vie des entreprises bretonnes, dans la composition de leur structure ou dans leur supervision. Cette mesure d’inspiration néo-marxiste vise à s’emparer du contrôle politique de ces entreprises pour les mettre au pas idéologiquement et économiquement.

Pour le Parti National Breton, la liberté d’entreprendre et le mérite sont les deux seuls principes qui doivent gouverner la vie des entreprises bretonnes. Ces deux principes ne sont pas négociables et ne seront pas négociés.

Le Parti National Breton souligne l’urgence nécessité de l’indépendance pour que l’Etat Breton, libre des ferments autoritaires du néo-marxisme, libère l’économie bretonne de ses chaînes hexagonales, qu’elles soient fiscales, règlementaires ou idéologiques. Faute de quoi, c’est la ruine qui attend le peuple breton.

Breizh Atav !

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Saint-Jacques de la Lande (Rennes) : la maire socialiste pro-migrants opposée à l’identité bretonne, “La Bretagne n’intéresse pas les Français”

Saint-Jacques de la Lande (Rennes) : la maire socialiste pro-migrants opposée à l’identité bretonne, “La Bretagne n’intéresse pas les Français”

Voici un témoignage d’Erwan Ar Garlanteze, un élu du Parti Breton (autonomiste), sur la situation politique de la commune de Saint-Jacques de la Lande, dans le sud de la région rennaise.

Facebook :

Au conseil municipal de St Jacques de la lande du 13 décembre 2021, la majorité PS-EELV-PCF s’est prononcée CONTRE la réunification de la Bretagne et CONTRE l’adhésion à Breizh 5/5, proposées par le Parti Breton. Et dans un élan démocratique sans précédent, la mairie a publiquement “regretté que le Parti Breton ait été élu, car la Bretagne n’intéresse pas les Français”

Saint-Jacques de la Lande, commune de l’agglomération rennaise déjà sévèrement atteinte par le remplacement de population promu par la gauche française, incarne parfaitement ce qui advient d’une ville bretonne lorsqu’elle tombe aux mains des tenants de l’écolo-marxisme hexagonal.

La haine coloniale contre le peuple breton s’y exprime sans aucune retenue.

Marie Ducamin, maire PS de Saint-Jacques de la Lande

Pour rappel, c’est à Saint-Jacques de la Lande que Wilhem Houssin, 49 ans, a été battu à mort en pleine rue par cinq allogènes, protégés de la municipalité écolo-marxiste dirigée par Marie Ducamin.

Wilhem Houssin

Suite à ces déclarations sectaires teintées d’agressivité ethnique, le Parti National Breton appelle les Bretons à en tirer les conclusions politiques.

Historiquement, les partis de la gauche française ont pour seule politique en Bretagne sa sujétion coloniale et l’éradication du peuple breton comme de ses spécificités ethno-culturelles. La faiblesse politique de la nation bretonne encourage les agresseurs à multiplier les provocations.

La seule réponse adéquate est l’intensification de la lutte nationaliste en vue de la libération du peuple breton, notamment en détruisant politiquement les partis hexagonaux partisans de l’ordre colonial. C’est ce qu’entend faire le Parti National Breton.

Breizh Atav !

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Nantes : le journal Ouest-France félicite les islamistes qui quadrillent désormais les rues

Nantes : le journal Ouest-France félicite les islamistes qui quadrillent désormais les rues

A Nantes, le remplacement de population organisé par l’Etat Français et la municipalité socialo-écologiste aboutit à sa conséquence logique : la prolifération islamiste.

Loin de s’en émouvoir, le média d’état français “Ouest-France” s’en félicite et exhibe triomphalement des allogènes voilées lors de leurs activités politico-religieuses.

Les islamistes ne font rien gratuitement : leur agitation pseudo caritative vise à marquer leur contrôle du territoire et des populations. 

Nantes, comme toutes les villes bretonnes, est gravement menacée par l’invasion islamique. C’est Breizh, notre nation, qui est en péril de mort, menacée d’être entraînée par la France dans sa chute. 

Le Parti National Breton appelle les Bretons a prendre conscience de l’extrême gravité de la situation, à se mobiliser immédiatement à ses côtés pour sauver la terre sacrée de Bretagne de la submersion islamique. Pour cela, une seule solution : nationaliser le peuple breton et briser les forces qui veulent l’anéantir.

Breizh Atav !

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Référendum en Kanaky sans le peuple kanak : le Parti National Breton dénonce une mascarade colonialiste aux graves conséquences

Référendum en Kanaky sans le peuple kanak : le Parti National Breton dénonce une mascarade colonialiste aux graves conséquences

En Nouvelle-Calédonie, le régime français a atteint le summum du mensonge, du cynisme et de l’hypocrisie ce dimanche 12 décembre. Boycotté par l’ensemble des forces politiques représentant le peuple kanak, le pseudo référendum portant sur l’autodétermination de la Kanaky constitue une sidérante mise en scène colonialiste qui témoigne paradoxalement de l’extraordinaire précarité de la position française.

Avec une participation dérisoire de 43%, seuls les partisans de la présence coloniale française ont voté. Le résultat, digne d’une république populaire communiste, donne plus de 96% en faveur du maintien de la tutelle coloniale. Le chef de l’Etat Français, portant l’hypocrisie à son comble, a déclaré reconnaître “avec humilité” le résultat de la manipulation ! Pour faire bonne mesure, la presse française aux ordres déclare, unanime, que la “Nouvelle-Calédonie a choisi de rester française” alors même que les principaux acteurs de ce référendum, les Kanaks, n’y ont pas participé.

Quel référendum d’autodétermination peut être légitime sans la participation du peuple censé décider de son autodétermination ?

En agissant ainsi à la face des nations du monde, l’Etat Français ajoute l’insulte et l’insolence à sa brutalité coloniale. Il n’y a aucune surprise : l’état impérialiste français ne comprend que le rapport de force, direct et massif, comme l’a prouvé son histoire sanglante. Le régime colonial français n’a jamais eu l’intention de respecter le droit du peuple kanak à l’autodétermination. Le passage en force de Paris démontre que l’Etat Français considère toujours le peuple kanak comme un sujet colonial dont il peut disposer comme bon lui semble.

Mais la France ne trompe pas l’opinion internationale. Sa tentative de manipulation grossière de ce référendum a d’ores et déjà fait long feu. L’Etat Français tente de gagner du temps face à une situation politique qui lui échappe de plus en plus. La présence française est ainsi passée de 73,000 colons en 2014 à 65,000 en 2019. Dans le même temps, la population kanake est passée de 104,000 personnes en 2014 à 112,000 en 2019 et croît à un rythme de 2% par an. Le deuxième référendum avait vu les indépendantistes réunir 46,7% des suffrages exprimés, un résultat qui avait semé la panique à Paris. D’ici dix ans, les partisans de l’ordre colonial seront systématiquement battus aux élections, résultat direct de la reconquête démographique du peuple autochtone.

C’est ce basculement politique inéluctable que les bandits de Paris cherchent à conjurer.

Le Parti National Breton déclare ne pas reconnaître le résultat de cette mascarade colonialiste mise en scène par Paris. Il apporte son soutien total au peuple kanak et se déclare solidaire de toutes les initiatives que les forces politiques kanakes entreprendront pour mettre un terme à la présence coloniale française. Le Parti National Breton soutient tout particulièrement l’intention du FLNKS de faire reconnaître la nullité de ce faux référendum par les instances internationales. Le Parti National Breton affirme enfin que les graves conséquences que cette manipulation politique aura sur la société calédonienne seront le fait d’un seul et unique responsable : l’Etat Français.

Le Parti National Breton attire l’attention du peuple breton sur les techniques employées par la France pour subjuguer les peuples qu’elle occupe. Les Bretons ne doivent faire preuve d’aucune naïveté vis-à-vis du régime français. Condamné à l’effondrement, il recourra à des méthodes chaque jour plus déloyales pour retarder sa chute.

Breizh Atav !

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Haine de la langue bretonne : à Mellac, les écolo-marxistes d’EELV votent contre l’aide financière aux élèves de la filière bretonne Diwan !

Haine de la langue bretonne : à Mellac, les écolo-marxistes d’EELV votent contre l’aide financière aux élèves de la filière bretonne Diwan !

L’opposition écolo-marxiste “Mellac Plus Loin” a voté contre les subventions municipales accordées aux élèves mellacois scolarisés à Diwan.

Au terme d’un usage visant à défendre la langue bretonne, les municipalités de Bretagne peuvent accorder une aide financière aux élèves qui n’ont pas accès à une école bilingue ou immersive sur le territoire communal. Un dédommagement éthique pour ces élèves bretons qui veulent apprendre la langue de leur peuple, mais qui en sont privés par la politique discriminatoire de l’Etat Français en dépit de l’impôt que versent leurs parents à ce même état.

Les trois élus de l’opposition de “Mellac Plus Loin”, s’inscrivant dans une haine manifeste de la langue bretonne et dans l’impérialisme linguistique traditionnel de la gauche française, ont voté contre.

L’agitation jacobine contre l’enseignement de la langue bretonne est menée par la porte-parole d’Europe Ecologie Les Verts du pays de Quimperlé, Séverine Escolan (ici avec ses comparses de Mellac Plus Loin)

Le Télégramme :

Lors du conseil municipal, mardi 7 décembre, les trois élus de Mellac plus loin ont voté contre l’adoption du versement forfaitaire scolaire communal aux écoles Diwan de Bannalec et Quimperlé. Le montant est de 6 695 € pour deux élèves de maternelle et sept de l’école élémentaire de Mellac, pour 2021-2022.

Le Parti National Breton dénonce la duplicité du parti fransquillon EELV.

Cette organisation bourgeoisie de gauche, qui prétend mensongèrement défendre les langues ethno-nationales de l’Hexagone, soutient à Mellac les pires menées contre la langue bretonne.

L’agitation sectaire de la part de ces trois élus rouges-verts contre des élèves subissant déjà les discriminations systémiques de l’Etat Français illustre la haine caractéristique d’un mouvement français viscéralement hostile aux peuples européens, en général, et au peuple breton, en particulier.

Partout en Bretagne, le sectarisme hexagonal doit être combattu implacablement.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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