Éphéméride national breton : Caradeuc de la Chalotais mène victorieusement la lutte du parlement national breton contre l’exploitation fiscale de la Bretagne par la monarchie française

Éphéméride national breton : Caradeuc de la Chalotais mène victorieusement la lutte du parlement national breton contre l’exploitation fiscale de la Bretagne par la monarchie française

[ISTOR BREIZH] Le 21 novembre 1763, la levée arbitraire et illégale de nouveaux impôts en Bretagne par la monarchie française pour mener sa guerre impérialiste face à la Grande-Bretagne déclenche l’insurrection politique du parlement national breton mené par Louis René de Caradeuc de la Chalotais. Après une lutte politique de plus dix ans, le patriote breton, exilé par Paris hors de Bretagne, fait plier le roi de France et rentre triomphalement en Bretagne en 1775.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Ephéméride national breton : le 20 novembre 1932, le groupe armé “Gwenn ha Du” stoppe le train chef du gouvernement français en faisant sauter la voie de chemin de fer

Ephéméride national breton : le 20 novembre 1932, le groupe armé “Gwenn ha Du” stoppe le train chef du gouvernement français en faisant sauter la voie de chemin de fer

[ISTOR BREIZH] Le 20 novembre 1932, un attentat détruit la voie ferrée entre Orsay et Nantes au niveau de la ville d’Ingrandes-sur-Loire (Maine-et-Loire).

La bombe a été fabriquée par le militant Célestin Lainé puis posée et activée par son camarade Francis Bayer du Kern, aidé par deux hommes du groupe armé nationaliste “Gwenn ha Du”.

Cet attentat avait pour but de bloquer le train d’Edouard Herriot, chef du gouvernement français, qui se rendait à Nantes pour les fêtes de commémoration des 400 ans de l’annexion de la Bretagne par la France.

Pour adhérer au PNB : [email protected]

Face à la crise du logement en Bretagne, le président de région Chesnais-Girard (PS) se félicite de l’arrivée massive de retraités et de migrants : le PNB réagit

Face à la crise du logement en Bretagne, le président de région Chesnais-Girard (PS) se félicite de l’arrivée massive de retraités et de migrants : le PNB réagit

[PNB] Sous la pression de l’opinion bretonne face la crise du logement générée par la spéculation immobilière, notamment sur le littoral, le socialiste français Loïg Chesnais-Girard, président fantoche du Conseil régional de Bretagne, s’est rabattu sur l’exercice habituel des démagogues à la solde du pouvoir colonial français lorsque le peuple gronde : la diversion médiatique pour ne rien faire.

Girard, mandaté par la bourgeoisie parisienne pour préserver le statu quo colonial en Bretagne, s’est donné en spectacle avec l’aide du journal d’état Le Télégramme à Saint-Malo, ville connue pour être une véritable résidence secondaire parisienne.

L’évincement des Bretons de leurs propres terres au profit de vieux possédants français, pour le logement individuel, ou d’allogènes importés d’Afrique et du Proche-Orient, pour le logement collectif public ? Une “une victoire magnifique” pour le peuple breton, d’après Chesnais-Girard qui promet que le torrent de la submersion démographique ne fait que commencer.

Non, la Bretagne “ne va pas bien”. Sa langue disparaît, son territoire est partitionné, elle connaît une émigration de sa jeunesse massive, tandis que le pouvoir français, avec l’aide de la caste politique coloniale représentée par Girard, la remplace par le tiers-monde et de vieux possédants venus de France. Ces étrangers surprotégés par l’état colonial chassent de leurs communes les jeunes Bretons qui luttent pour rester au pays.

Cette déclaration de Girard est un crachat à la face des jeunes Bretons pris à la gorge par un système politique, économique et social conçu pour les rabaisser et les faire disparaître.

Le comble du cynisme a été atteint lorsque le maire de Lannion Fanny Chappé, membre du Parti socialiste français, a repris l’imposture de Girard en écriture inclusive, supplément d’âme à peu de frais oblige, prétendant se soucier du sort des Bretons alors qu’il s’agit pour la gauche coloniale française d’aménager le diktat foncier imposé par les spéculateurs français.

Rappelons que Chappé se soucie tellement de l’accès au logement des Bretons qu’elle exige de repeupler le village de Callac avec la démographie afro-islamique.

Girard est un domestique de Paris, aussi verbeux que soumis. Il fait partie de cette nomenklatura fransquillonne qui évalue toute politique en termes de statistiques et de recettes fiscales, avec l’appui intéressé des spéculateurs et du gouvernement colonial français. S’il est d’une transparente viscosité, Girard s’estime suffisamment protégé par les intérêts français pour se livrer à un appel en règle à faire de la Bretagne une réserve résidentielle pour retraités français ainsi que le déversoir du trop plein démographique de l’Afrique. 

L’absence d’opposition nationale bretonne est sa seule force. Pris en lui-même, Girard, tout comme le socialisme français en Bretagne, n’est rien.

Le Parti National Breton le dit avec force : le peuple breton a des droits historiques et nationaux inaliénables sur sa terre et aucune clique aux ordres de Paris ne peut disposer de sa terre comme d’un promoteur immobilier. 

Les Bretons, s’ils veulent survivre au 21e siècle, ne peuvent continuer sur la voie de la soumission au cartel des partis français, courroie de transmission des intérêts de la bourgeoisie française en Bretagne.

Le Parti National Breton rappelle son programme révolutionnaire pour le logement fondé sur son principe guide : la Bretagne aux Bretons grâce à l’exclusivité bretonne pour le logement avec :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Ces mesures d’action immédiate préfigurent le programme d’état voulu par le Parti National Breton. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Breizh Atav !

Pour le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Ephéméride national breton : 19 novembre, la duchesse Anne demande en mariage le futur empereur d’Autriche pour sauver l’indépendance de la Bretagne

Ephéméride national breton : 19 novembre, la duchesse Anne demande en mariage le futur empereur d’Autriche pour sauver l’indépendance de la Bretagne

[ISTOR BREIZH] A l’automne 1490, Anne, duchesse de Bretagne depuis le 9 septembre 1488, continue de faire face au péril de l’annexion par la France. En 1487, une puissante armée française avait envahi la Bretagne au terme d’une effroyable campagne de destruction et de meurtres. Par le traité carthaginois dit du “Verger”, les Français avaient exigé et obtenu de l’ancien duc François II, père d’Anne, que celle-ci ne puisse se marier à quiconque sans l’autorisation préalable du roi de France, Charles VIII. L’objectif de ce dernier était de donner un semblant de légalité à son projet d’annexion sanglant de la Bretagne en obligeant Anne à l’épouser à sa majorité.

Conseillée par son tuteur, le maréchal de Rieux, et par les barons patriotes qui lui sont restés fidèles, Anne cherche à nouer une alliance matrimoniale avec un grand souverain étranger qui pourrait l’aider à repousser les Français et préserver l’indépendance de la Bretagne. Le 19 novembre 1490, en dépit du traité du Verger imposé à François II par l’envahisseur français, elle conclut un mariage par procuration avec Maximilien d’Autriche, héritier du trône du Saint-Empire romain germanique, allié des Anglais et des Espagnols, les ennemis traditionnels de la France. 

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Éphéméride national breton : 18 novembre 1305, mort de notre duc Jean II à Lyon

Éphéméride national breton : 18 novembre 1305, mort de notre duc Jean II à Lyon

[PNB] C’est à Lyon, le 18 novembre 1305, que meurt Jean II, Duc de Bretagne, à l’âge de 64 ans. A 31 ans, il participe à la huitième croisade, en Tunisie, aux côtés de son père, alors duc, Jean I. Il meurt accidentellement lors de sa rencontre avec le Pape Clément V. Il est inhumé aux Carmes de Ploërmel, qu’il avait fondés, après que son corps soit ramené en Bretagne par la Loire.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Renforcement de l’occupation de Brest par la marine française : le PNB exige l’arrêt du viol de la souveraineté bretonne par la France

Renforcement de l’occupation de Brest par la marine française : le PNB exige l’arrêt du viol de la souveraineté bretonne par la France

[PNB] Le Parti National Breton dénonce avec vigueur le déploiement illégal et illégitime par l’Etat français de trois navires de guerre supplémentaires à Brest, ainsi que celui de 600 de ses marins.

Ce déploiement unilatéral par l’état colonial, prévu pour 2026, expose davantage encore le peuple breton aux conséquences militaires de la politique belliciste poursuivie par l’impérialisme français.

Le Parti National Breton rappelle la position de droit de la nation bretonne. Conformément au droit international, la Bretagne demeure un état occupé illégalement par la France. La durée de l’occupation ne confère aucun droit à l’occupant et certainement pas celui de renforcer cette occupation. Aucun déploiement de troupes étrangères, dans le cas d’espèce, par la France, ne peut se faire sur le territoire national de la Bretagne sans l’accord de son gouvernement. 

Le Parti National Breton exige le respect de la souveraineté nationale de la Bretagne par la France, qu’elle cesse ses activités militaires illégales sur le territoire national breton et qu’elle mette un terme à l’occupation civile et militaire de la Bretagne. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

17 novembre 1793 : les troupes terroristes de la république française font massacrer les patients des hôpitaux de Fougères

17 novembre 1793 : les troupes terroristes de la république française font massacrer les patients des hôpitaux de Fougères

[DALC’HOMP SONJ] Le 17 novembre 1793, les hordes de soudards français aux ordres du gouvernement terroriste de Robespierre pénètrent à Fougères.

Commandées par le général Canuel, auteur du crime de masse de Savenay, en Bretagne, où il fait fusiller par centaines femmes et enfants, et par le général Amey, connu pour sa sauvagerie, ayant fait incinérer vivants femmes et enfants dans des fours en Vendée, les troupes républicaines déclenchent une vague de terreur. Les hôpitaux de la ville sont investis et leurs malades, accusés d’être des chouans, sont sauvagement égorgés par les terroristes. Les cimetières de la ville ne suffisent pas à enterrer les victimes.

Quelques jours plus tard, le 23 novembre, Fougères est libérée par les troupes vendéennes de la Rochejaquelein. Les bandes terroristes aux ordres de Paris doivent fuir en catastrophe. Repliés à Antrain, les égorgeurs français activent un tribunal politique chargé de mener les assassinats de masse pour le compte du régime républicain, mais la pression chouanne les force à se replier sur Rennes  où elles continuent leur effroyable carnage.

Breton, souviens-toi !

Pour adhérer au PNB : [email protected]

 

Colonisation de remplacement : la critique de la dérive marxiste de l’indépendantisme corse de Nicolas Battini

Colonisation de remplacement : la critique de la dérive marxiste de l’indépendantisme corse de Nicolas Battini

Nicolas Battini, ancien dirigeant du pôle idées du parti “Femu a Corsica” au pouvoir sur l’île raconte son parcours de militant nationaliste. Engagé dès son adolescence avec la Ghjuventù indipendentista (Jeunesse indépendantiste), il participe à des actions clandestines qui l’amèneront à être condamné à 6 ans de prison après l’attaque de la préfecture de Corte.

Engagé aujourd’hui dans le milieu associatif il dénonce une ligne ambigüe de élus corse nationalistes. Après les propositions du président de la collectivité de Corse Gilles Simeoni d’accueillir l’Aquarius il y a quelques années puis l’Océan Viking ces derniers jours, l’exécutif qui revendique pourtant la reconnaissance du peuple et de la langue corse joue-t-il la respectabilité pour avancer sur le terrain de l’autonomie ?

Pour rejoindre le PNB : [email protected]