Propagande génocidaire du Crédit Mutuel de Bretagne contre le Peuple breton : le PNB avertit

Propagande génocidaire du Crédit Mutuel de Bretagne contre le Peuple breton : le PNB avertit

[PNB] Depuis plusieurs années, le Crédit Mutuel de Bretagne est engagé dans une intense propagande en faveur de l’éradication physique du Peuple breton. Cette propagande présente systématiquement les femmes de race blanche (Bretonnes incluses, par définition) comme des trophées sexuels livrés à des migrants africains.

Cette propagande antiblanche et antibretonne qui exalte la conquête sexuelle des femmes bretonnes par l’envahisseur allogène, avec l’extinction génétique du Peuple breton qu’elle suppose, est une provocation génocidaire qui touchera à sa fin.

Le Parti National Breton avertit : la patience du Peuple breton a ses limites. Si les spéculateurs du Crédit Mutuel de Bretagne ne mettent pas un terme à leur propagande génocidaire, ils en feront l’expérience. 

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton dénoncé les propos négationnistes tenus contre le Peuple breton par le socialiste Bernard Poignant, agent du pouvoir colonial français

Le Parti National Breton dénoncé les propos négationnistes tenus contre le Peuple breton par le socialiste Bernard Poignant, agent du pouvoir colonial français

[PNB] Le Parti National Breton dénonce dans les termes les plus fermes les propos sidérants de haine tenus contre le Peuple breton par le socialiste français Bernard Poignant, dans les colonnes du journal Le Télégramme.

Bernard Poignant, servile agent du pouvoir colonial français âgé de 77 ans, a pu, grâce à la surprenante bienveillance de la rédaction de ce journal, se livrer à une violente diatribe négationniste sur fond de haine ethnique contre le Peuple breton, niant son existence pour mieux glorifier l’entreprise ethnocidaire menée par l’Etat français en Bretagne et commander aux Bretons soumission et docilité face aux crimes perpétrés par cet état contre eux.

Dans aucun état européen contemporain, une telle tribune ne serait accordée à un individu niant l’existence d’un peuple connu et reconnu depuis siècles, voire des millénaires lorsqu’on parle de la nation bretonne. Imagine-t-on un instant une tribune ouverte à un homme politique russe, invité à exposer l’inexistence de la nation ukrainienne et à feindre de s’interroger sur ce que serait “l’identité ukrainienne”, laquelle, s’empresserait-il d’ajouter, à l’instar de Poignant, ne pourrait être définie ? L’entreprise serait-elle imaginable, dans la même presse, à l’égard des Algériens, des Turcs ?

C’est l’abaissement du Peuple breton par le joug colonial français qui permet encore à de telles provocations d’être sciemment orchestrées.

Le Parti National Breton le dit avec clarté : le temps des insultes, de la haine ethnocidaire portée par une génération d’ennemis du Peuple breton au service de la puissance coloniale française, est révolu. Si les partisans de l’impérialisme français ont pu profiter de l’affaiblissement temporaire de la nation bretonne pour tenter de la détruire par le passé, le 21ème siècle n’a plus rien de commun avec les siècles précédents. A l’ère de la honte succède l’ère de la fierté ethno-nationale bretonne, solidement dressée sur ses racines celtiques, déterminée face à l’oppression française et à son projet d’anéantissement de notre nation.

Le régime français agonise. La nation bretonne, elle, se prépare à une spectaculaire renaissance. Les générations futures seront éduquées pour que rien des actes criminels entrepris contre leur peuple ne soit oublié. Ni ceux qui les auront commis et glorifiés.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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La promotion artificielle du patois gallo : une imposture franco-socialiste pour affaiblir la nation bretonne !

La promotion artificielle du patois gallo : une imposture franco-socialiste pour affaiblir la nation bretonne !

[PNB] Depuis de nombreuses années, la régression régionaliste française en Bretagne a considérablement semé la confusion dans les esprits bretons en faisant la promotion d’un passéisme provincial situé aux antipodes du futurisme national que portent l’Emsav et le nationalisme breton. L’un des stigmates de cette arriération incapacitante est la promotion du patois français dénommé “gallo” par la réaction régionaliste, au seul prétexte que ce parler avait cours dans le passé. Un appel signé par 300 individus exigeant sa systématisation en Bretagne orientale en est l’expression la plus récente.

Le patois “gallo” a été absorbé par le français moderne et tous les locuteurs francophones ne voient dans ce parler qu’un doublon inutile, souvent grotesque. Il n’existe aucune demande sociale en sa faveur, comme en témoigne l’absence d’ouvertures d’écoles ou de productions intellectuelles quelconque. La langue bretonne en revanche permet aux Bretons de se receltiser psychologiquement et spirituellement, c’est-à-dire de renouer avec leur sang et leur âme brittoniques. C’est la raison pour laquelle des familles bretonnes se mobilisent, même inconsciemment, pour ouvrir des classes bilingues ou des écoles par immersion dans des zones de Bretagne où le breton n’est pourtant plus parlé, après des siècles de recul. Au delà de la langue, c’est une nation celte qui, sous la cendre, continue de vivre sur l’ensemble du territoire breton. Pour le dire simplement : quand un Breton veut parler la langue de ses ancêtres, il parle la langue bretonne, comme son nom l’indique.

Le patois “gallo”, séquelle malheureuse du latinisme, n’a pour seule fonction utilitaire que politique, objectivement anti-bretonne, brandie en négatif du combat pour la langue bretonne. Grâce à l’ouverture d’un second front contre la langue bretonne, cette prise à revers permet de trianguler la lutte que mènent les brittophones pour mettre sur un pied d’égalité dialectique, symboliquement et institutionnellement, langue bretonne et langue française. Bref, de réaffirmer le caractère national de la langue bretonne face à la langue officielle de l’Etat français. C’est une manœuvre habile. Faute de pouvoir détruire le mouvement linguistique breton organisé par le haut, où il gagne en reconnaissance institutionnelle sous la pression lente mais réelle de l’opinion publique bretonne, il est désormais attaqué par le bas, en réduisant la langue bretonne à un “patois parmi d’autres” en Bretagne. 

Ce relativisme linguistique a fleuri jusque dans certains cercles brittophones grâce à une poignée de naïfs pétris de misérabilisme qui établissent un parallèle absurde entre la condition d’oppression de la langue bretonne et celle de ce patois français. La nation bretonne paie une nouvelle fois le prix de l’influence toxique du marxisme culturel d’importation hexagonale, avec son vieil imaginaire victimaire tiers-mondiste, qui se fiche des frontières et des peuples et préfère exalter l’égalité des ratés dans l’échec. C’est une “compagnie” dont la nation bretonne ne veut pas. Le rôle du Parti National Breton est d’appeler les Bretons à la culture de la force et de l’héroïsme pour instaurer la domination des Bretons en Bretagne, et non de participer à l’internationale de la jérémiade en rampant la crotte au cul aux côtés des derniers “damnés” du moment.

Mais l’imposture du patois “gallo” n’est pas qu’un effet de l’acculturation franco-marxiste précitée, elle permet prosaïquement au pouvoir colonial et à ses relais, sous couvert de “diversité” politiquement correcte, de détourner une part des maigres fonds accordés à la défense de la langue celtique pour un patois franco-latin. L’objectif est d’utiliser les armes légales dont se sont dotés les Bretons pour défendre leur langue afin de les mettre au profit d’une des tentacules du fatras français en Bretagne. Non seulement la langue bretonne en ressort affaiblie, mais le latinisme renforcé : ce sont deux formes de français avec lesquelles la langue bretonne se trouvent en compétition au lieu d’une ! 

Chacun comprend que la langue française, soutenue par la toute-puissance de l’Etat français, de ses écoles, de ses médias, de sa bourgeoisie, en ressort considérablement renforcée, la langue bretonne devant se contenter des miettes en compagnie d’un jumeau “gallo” imaginaire.

Il faut désigner les responsables de cette manœuvre perfide : la gauche coloniale française ! C’est elle qui a constamment promu le relativisme culturel visant à réduire la légitimité des Bretons et de leur culture en Bretagne sous couvert de “diversité” et de cosmopolitisme bon teint. Quand ce n’est pas pour noyer leur langue sous un salmigondis de dialectes insolites, y compris peul, arabe ou turc, c’est pour les noyer physiquement sous le flot de l’immigration afro-orientale, mais aussi, française. Sous occupation française et sous direction coloniale socialiste, les Bretons sont toujours la variable d’ajustement du parti de l’étranger en Bretagne. Voilà le seul enseignement.

Le Parti National Breton, en cohérence avec les principes intangibles de l’Emsav, réitère une seule et unique politique linguistique : suprématie bretonne en Bretagne, officialité de la langue bretonne en Bretagne comme langue nationale, enseignement obligatoire et immédiat du breton dans sa zone historique ! 

Face aux contrefeux des agents du colonialisme français, le Parti National Breton appelle les patriotes bretons à la lucidité la plus complète sur cette imposture et à la dénoncer avec la détermination qu’exige la cause nationale.

Breizh Atav !

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Les dix principes fondamentaux de l’unification des Bretons du Parti National Breton

Les dix principes fondamentaux de l’unification des Bretons du Parti National Breton

[PNB] Si le Parti National Breton a un programme fondamental (à lire ici) et 14 revendications d’application immédiate (à lire ici), le Parti National Breton veut aussi unifier les patriotes bretons sous une seule et même bannière. La question qui se pose est donc celle des conditions de cette unification de tous les patriotes telle que la conçoit le Parti National Breton.

Voici les dix points que le Parti National Breton fixe comme base de l’unification :

Premièrement, les Bretons forment une nation fondée sur leur ascendance ethnique commune, par opposition au contractualisme français hérité de 1789.

Deuxièmement, la nation bretonne dispose du droit fondamental à disposer de son destin, c’est-à-dire de vivre libre sur sa terre.

Troisièmement, l’Etat français est une puissance coloniale qui occupe illégitimement et illégalement la Bretagne. Cette puissance doit en être chassée afin de réaliser le droit fondamental de la nation bretonne à la liberté. Il ne peut pas y avoir de liberté individuelle pour un Breton tant qu’il n’y a pas de liberté collective pour la nation bretonne.

Quatrièmement, l’indépendance de la Bretagne implique la constitution d’un Etat breton.

Cinquièmement, le rôle de l’Etat breton, pour atteindre la liberté nationale de Breizh, est d’inverser la colonisation française dans tous les domaines de la vie bretonne : sociale, économique, culturelle et politique.

Sixièmement, la réunification du territoire national breton est un principe intangible.

Septièmement, le redressement de la nation bretonne implique une régénération anthropologique dans tous les domaines. Tout ce qui renforce la nation bretonne est encouragé, tout ce qui l’affaiblira, est combattu.

Huitièmement, la nation bretonne, par l’action de l’Etat du peuple breton, placera le bien commun avec les intérêts de classe. Il mettra le capital au service du peuple breton et non le peuple breton au service du capital. Chaque Breton, sans regard pour son origine sociale, participera à la construction de cette nouvelle Bretagne.

Neuvièmement, la lutte contre la submersion migratoire, menace existentielle pour la nation bretonne, sera menée sans faiblir, jusqu’à la restauration complète de la souveraineté bretonne en Bretagne.

Dixièmement, la nation bretonne proclame sa neutralité.

Breizh Atav !

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Nantes : des milices afro-musulmanes se forment avec l’accord de l’Etat colonial français

Nantes : des milices afro-musulmanes se forment avec l’accord de l’Etat colonial français

[PNB] La balkanisation ethno-religieuse de la ville de Nantes est maintenant consommée comme le démontre la constitution de milices ethniques locales destinées à mener des représailles.

Marianne :

Après le meurtre d’une mère de famille, plusieurs dizaines de jeunes du quartier de Bellevue, à Nantes, ont décidé de mener leur propre enquête pour retrouver l’agresseur. Certains ne se sont pas arrêtés là. Ce 17 octobre, des dizaines d’hommes se sont rassemblés pour former une véritable « milice de quartier » et ont déambulé une partie de la soirée dans le centre-ville.

À Nantes (Loire-Atlantique), le sentiment d’impuissance face aux multiples actes de violences commis ces dernières semaines vient de franchir un cap. L’élément déclencheur ? Le meurtre, dimanche 16 octobre, de Nadia Hassade, une femme de 47 ans qui résidait dans le quartier sensible de Bellevue, défavorablement réputé.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’attaque à l’arme blanche s’est produite aux alentours de 6 h 30 alors que cette femme de ménage se rendait à l’arrêt de bus pour aller travailler dans un établissement de santé. L’assaillant a réussi à prendre la fuite. A leur arrivée, les pompiers n’ont pas pu la réanimer. Ce lundi 17 octobre, l’autopsie « a mis en évidence la présence de 23 plaies, dont certaines mortelles, en particulier au niveau du cou », précise le procureur de la République, Renaud Gaudel, à l’AFP.

Toujours selon le parquet, un homme âgé de 21 ans et vivant près du domicile de la victime avait été placé en garde à vue. Or, selon les informations de Ouest-France, cette personne a été retrouvée grâce à la mobilisation de l’entourage de la victime. L’annonce de la mort de cette mère de quatre enfants avait suscité un vif émoi dans le quartier, dont une partie s’est mobilisée pour enquêter et retrouver le meurtrier, en parallèle des investigations ouvertes par le procureur. « Nous étions quatre-vingts à cent personnes à travailler toute la nuit pour retrouver le meurtrier de ma sœur », explique le frère de la victime au quotidien local.

Des vidéos circulant sur le réseau social Twitter montre les miliciens afro-musulmans interroger un “suspect” d’origine pakistanaise qu’ils auraient identifié grâce aux caméras de vidéosurveillance. La scène se déroule dans l’enclave extra-européenne de Bellevue.

Qui a donné accès à ces vidéos ? Les autorités françaises, à l’évidence.

Pour la première fois, en Bretagne, une milice ethnique (extra-européenne) s’est constituée avec l’aval de fait des autorités françaises d’occupation.

Ce sont ces mêmes autorités coloniales qui poursuivent leur politique de répression ethnique contre le Peuple breton, en lui interdisant l’enseignement généralisé de sa langue nationale, l’autonomie politique immédiate et l’intégrité de son territoire national.

Ce précédent démontre que la balkanisation du territoire breton est enclenchée, résultat logique et prévisible de la politique de remplacement migratoire imposée par Paris au Peuple breton.

Le Parti National Breton avertit les Bretons : ces milices afro-musulmanes deviendront progressivement permanentes, à mesure que l’implosion de l’Etat français, qui occupe actuellement le territoire breton, ira en s’intensifiant. Cette balkanisation entraînera un phénomène parallèle de féodalisation, plaçant des quartiers, puis des villes entières sous l’autorité de groupes criminels afro-islamiques armés. Ces groupes allogènes imposeront leur nouvel ordre social, culturel, religieux et économique.

Face à cette fragmentation démographique rapide, la nation bretonne doit se préparer et s’organiser politiquement pour assurer la défense de sa souveraineté ethno-nationale sur l’ensemble du territoire breton. Les principes fondamentaux de cette politique sont présentés dans le programme du Parti National Breton au chapitre “peuplement“. Ces principes révolutionnaires,  offrent à la nation la vision du monde nécessaire à cette politique de défense.

Breizh Atav !

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Action d’affirmation nationale bretonne dans le Pays Nantais !

[PNB] Le Parti National Breton renforce sa présence dans le Pays Nantais. Les militants nationalistes ont réalisé une opération d’affirmation nationale bretonne, conformément à son objectif d’implantation dans la capitale et sa région. 

Les patriotes bretons de la grande région nantaise sont appelés à rejoindre les rangs du Parti National Breton pour mener la lutte de la libération nationale !

Breizh Atav ! 

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Callac : l’Etat colonial français impose 16 nouveaux migrants clandestins d’Afrique !

Callac : l’Etat colonial français impose 16 nouveaux migrants clandestins d’Afrique !

[PNB] Le média Breizh-Info indique, dans un message paru sur son compte Twitter ce mercredi, que le conseil municipal de Callac, dominé par la majorité néo-communiste de Jean-Yves Rolland, a annoncé l’implantation immédiate de 16 colons afro-musulmans sur le territoire la commune sur ordre du régime colonial français.

Déjà visée par le projet “Horizon” des millionnaires parisiens Cohen qui prévoit l’implantation d’un demi-millier de migrants extra-européens sur place, Callac est désormais ciblée par l’état colonial français et ses relais politiques compradores pour servir de laboratoire au nettoyage ethnique prévu pour les populations bretonnes. 

Pour le Parti National Breton, il s’agit là du plan génocidaire que prépare l’Etat colonial français pour le peuple breton depuis toujours. Sans lutte de libération nationale victorieuse, les Bretons se verront imposer l’implantation de 2 millions de colons afro-maghrébins durant les prochaines décennies.

Pour la nation bretonne, le choix est simple : c’est la résistance ou la disparistion.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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