Éphéméride nationaliste : le 29 octobre 1942, Yann Kerlann fonde la première école en langue bretonne

Éphéméride nationaliste : le 29 octobre 1942, Yann Kerlann fonde la première école en langue bretonne

« Vous avez à apprendre l’Histoire de vos Ancêtres, vous avez à apprendre le breton, oui, à le lire et à l’écrire correctement. Vous avez à retrouver l’Esprit de la Race en parlant, en lisant, en écrivant, en chantant en breton !… Alors se lèvera de nouveau une Bretagne bretonne où les Bretons seront honorés, auront retrouvé leur fierté, où l’on parlera breton, un breton correct, nettoyé de ses gallicismes, qui sera enseigné dans nos écoles… »

Yann Kerlann

 

De l’hiver 1942 à juin 1944, une expérience scolaire inédite a lieu à Plestin-les-Grèves (Trégor) : la création d’une école privée en langue bretonne. Ce projet est porté par Yann Kerlann (Jean Delalande), membre du mouvement brittophone Ar Falz. Bien que cette expérience ait été de courte durée, elle s’inscrit dans les premières tentatives d’enseignement du breton et/ou en breton qui se développeront tout au long du XXe siècle.

Dans une lettre datée du 29 octobre 1942, l’instituteur Armand Keravel (1910-1999), membre de Ar Falz, exprime tout l’enthousiasme qu’il éprouve à l’annonce de l’ouverture prochaine d’une école en langue bretonne à Plestin-les-Grèves :

Gourc’hemennou eta eo e kasan dit, pa glaskez sevel hon hunvre deomp holl : eur skol vrezonek – ha breizat penn da benn. [Je te félicite donc d’essayer de réaliser notre rêve à tous : une école en langue bretonne, et entièrement bretonne.]

Son ami et camarade d’Ar Falz, Jean Delalande dit Yann Kerlann (1910-1969), se retrouve en effet en charge d’un projet qui n’a encore jamais été expérimenté jusqu’à présent : la mise en place d’un enseignement primaire entièrement en langue bretonne. Si quelques initiatives d’enseignement du breton avaient déjà eu lieu, hors de l’école ou dans le cadre de l’arrêté Carcopino de décembre 1941 la tâche qui se présente à Kerlann est immense car tout est à construire dans le domaine pédagogique. Comme l’écrit Keravel :

Gant eul labour a-bouez braz – ouspenn gant eul labour RAMZEL, gouzout a ran – eo e krogez eno. Eun dra kalonek ive. Ha d’it-te e vo an enor da zigeri ar c’henta skol vrezonek.

[Tu vas démarrer là-bas un travail très important – plus que cela, un travail de GÉANT. Quelque chose de courageux aussi. Et c’est à toi que reviendra l’honneur d’ouvrir la première école en langue bretonne.]

L’école de Plestin voit le jour à la fin de l’année 1942 et l’expérience se poursuivra jusqu’en juin 1944. Le contexte n’est pas anodin : alors qu’une grande partie de l’Emsav fait le choix de l’alliance avec l’Allemagne nouvelle contre l’occupant français, plusieurs projets se développent dans le courant de l’année 1941 comme la création de l’Institut celtique, la mise en place d’une nouvelle orthographe du breton, des émissions en breton à la radio, de même qu’un effort de propagande sans précédent émanant du PNB, repris par Raymond Delaporte depuis décembre 1940. Avec une portée symbolique forte, bien que de dimension modeste, le projet de l’école de Plestin s’inscrit dans cette série de réalisations diverses.

Kerlann et Keravel, membres d’Ar Falz depuis 1933, s’interrogent depuis longtemps déjà sur la manière d’enseigner le breton. Dans leur correspondance, il est plusieurs fois question des pratiques pédagogiques de « l’école émancipée », promues notamment par le pédagogue suisse Adolphe Ferrière ou par Célestin et Élise Freinet. Ainsi, pour l’école de Plestin, l’usage de tables individuelles légères avec des chaises pliables, faciles à déplacer en fonction des activités, y compris en extérieur, est envisagé. Dans ses lettres, Keravel donne à Kerlann des conseils pédagogiques : utiliser la méthode globale pour l’apprentissage de la lecture ; favoriser les compositions qui permettent aux élèves d’écrire en toute liberté ; alterner les activités collectives et individuelles ; ne pas donner de travail écrit aux plus jeunes ; établir une correspondance avec une autre classe ; créer un journal et une coopérative scolaire ; enfin, privilégier les activités manuelles à l’extérieur : jardinage ou élevage de lapins, par exemple. Cette expérience s’inscrit également, pour Kerlann, dans le modèle d’apprentissage des langues locales à l’école que Raymond Delaporte, notamment, avait pu observer lors de voyages en Irlande et au pays de Galles à la fin de l’été 1938.

Yann Kerlann, en tant que nationaliste et révolutionnaire breton, est persécuté par le régime gaullo-communiste, mais les bases du renouveau linguistique sont jetées et se matérialiseront définitivement avec la création de Diwan, 34 ans plus tard.

Documents de Yann Kerlann accessible sur l’IDBE

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JO 2024 : face à l’interdiction des festivals bretons par Paris, le PNB appelle les Bretons à une opposition anti-parisienne déterminée

JO 2024 : face à l’interdiction des festivals bretons par Paris, le PNB appelle les Bretons à une opposition anti-parisienne déterminée

[PNB] L’Etat français menace les festivals bretons d’annulation pure et simple afin de permettre à sa capitale, Paris, de faire vivre le mythe de la grandeur impériale hexagonale lors des Jeux Olympiques de 2024. Prétexte invoqué par le ministère de l’intérieur parisien : la mobilisation des forces de sécurité pour assurer la sécurité de cet évènement sportif (source).

Si les Bretons avaient besoin d’une preuve qu’ils ne sont que des sujets coloniaux subordonnés à la bourgeoisie parisienne et à son état, la voici.

Cette attaque contre la société bretonne et ses libertés illustre l’impérieuse nécessité de restaurer l’indépendance pleine et entière de la Bretagne. La nation bretonne doit assurer elle-même les besoins de sa sécurité intérieure et extérieure et ne plus être une colonie française, soumise aux désirs du régime monarchique parisien. 

Le Parti National Breton appelle en outre les Bretons à résister à cette nouvelle offensive de l’état hypercentralisme français et à rejeter ces menaces de Paris d’un revers de main. Paris ne doit pas dicter sa conduite à la nation bretonne.

Breizh Atav !

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Propagande génocidaire du Crédit Mutuel de Bretagne contre le Peuple breton : le PNB avertit

Propagande génocidaire du Crédit Mutuel de Bretagne contre le Peuple breton : le PNB avertit

[PNB] Depuis plusieurs années, le Crédit Mutuel de Bretagne est engagé dans une intense propagande en faveur de l’éradication physique du Peuple breton. Cette propagande présente systématiquement les femmes de race blanche (Bretonnes incluses, par définition) comme des trophées sexuels livrés à des migrants africains.

Cette propagande antiblanche et antibretonne qui exalte la conquête sexuelle des femmes bretonnes par l’envahisseur allogène, avec l’extinction génétique du Peuple breton qu’elle suppose, est une provocation génocidaire qui touchera à sa fin.

Le Parti National Breton avertit : la patience du Peuple breton a ses limites. Si les spéculateurs du Crédit Mutuel de Bretagne ne mettent pas un terme à leur propagande génocidaire, ils en feront l’expérience. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton dénoncé les propos négationnistes tenus contre le Peuple breton par le socialiste Bernard Poignant, agent du pouvoir colonial français

Le Parti National Breton dénoncé les propos négationnistes tenus contre le Peuple breton par le socialiste Bernard Poignant, agent du pouvoir colonial français

[PNB] Le Parti National Breton dénonce dans les termes les plus fermes les propos sidérants de haine tenus contre le Peuple breton par le socialiste français Bernard Poignant, dans les colonnes du journal Le Télégramme.

Bernard Poignant, servile agent du pouvoir colonial français âgé de 77 ans, a pu, grâce à la surprenante bienveillance de la rédaction de ce journal, se livrer à une violente diatribe négationniste sur fond de haine ethnique contre le Peuple breton, niant son existence pour mieux glorifier l’entreprise ethnocidaire menée par l’Etat français en Bretagne et commander aux Bretons soumission et docilité face aux crimes perpétrés par cet état contre eux.

Dans aucun état européen contemporain, une telle tribune ne serait accordée à un individu niant l’existence d’un peuple connu et reconnu depuis siècles, voire des millénaires lorsqu’on parle de la nation bretonne. Imagine-t-on un instant une tribune ouverte à un homme politique russe, invité à exposer l’inexistence de la nation ukrainienne et à feindre de s’interroger sur ce que serait “l’identité ukrainienne”, laquelle, s’empresserait-il d’ajouter, à l’instar de Poignant, ne pourrait être définie ? L’entreprise serait-elle imaginable, dans la même presse, à l’égard des Algériens, des Turcs ?

C’est l’abaissement du Peuple breton par le joug colonial français qui permet encore à de telles provocations d’être sciemment orchestrées.

Le Parti National Breton le dit avec clarté : le temps des insultes, de la haine ethnocidaire portée par une génération d’ennemis du Peuple breton au service de la puissance coloniale française, est révolu. Si les partisans de l’impérialisme français ont pu profiter de l’affaiblissement temporaire de la nation bretonne pour tenter de la détruire par le passé, le 21ème siècle n’a plus rien de commun avec les siècles précédents. A l’ère de la honte succède l’ère de la fierté ethno-nationale bretonne, solidement dressée sur ses racines celtiques, déterminée face à l’oppression française et à son projet d’anéantissement de notre nation.

Le régime français agonise. La nation bretonne, elle, se prépare à une spectaculaire renaissance. Les générations futures seront éduquées pour que rien des actes criminels entrepris contre leur peuple ne soit oublié. Ni ceux qui les auront commis et glorifiés.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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La promotion artificielle du patois gallo : une imposture franco-socialiste pour affaiblir la nation bretonne !

La promotion artificielle du patois gallo : une imposture franco-socialiste pour affaiblir la nation bretonne !

[PNB] Depuis de nombreuses années, la régression régionaliste française en Bretagne a considérablement semé la confusion dans les esprits bretons en faisant la promotion d’un passéisme provincial situé aux antipodes du futurisme national que portent l’Emsav et le nationalisme breton. L’un des stigmates de cette arriération incapacitante est la promotion du patois français dénommé “gallo” par la réaction régionaliste, au seul prétexte que ce parler avait cours dans le passé. Un appel signé par 300 individus exigeant sa systématisation en Bretagne orientale en est l’expression la plus récente.

Le patois “gallo” a été absorbé par le français moderne et tous les locuteurs francophones ne voient dans ce parler qu’un doublon inutile, souvent grotesque. Il n’existe aucune demande sociale en sa faveur, comme en témoigne l’absence d’ouvertures d’écoles ou de productions intellectuelles quelconque. La langue bretonne en revanche permet aux Bretons de se receltiser psychologiquement et spirituellement, c’est-à-dire de renouer avec leur sang et leur âme brittoniques. C’est la raison pour laquelle des familles bretonnes se mobilisent, même inconsciemment, pour ouvrir des classes bilingues ou des écoles par immersion dans des zones de Bretagne où le breton n’est pourtant plus parlé, après des siècles de recul. Au delà de la langue, c’est une nation celte qui, sous la cendre, continue de vivre sur l’ensemble du territoire breton. Pour le dire simplement : quand un Breton veut parler la langue de ses ancêtres, il parle la langue bretonne, comme son nom l’indique.

Le patois “gallo”, séquelle malheureuse du latinisme, n’a pour seule fonction utilitaire que politique, objectivement anti-bretonne, brandie en négatif du combat pour la langue bretonne. Grâce à l’ouverture d’un second front contre la langue bretonne, cette prise à revers permet de trianguler la lutte que mènent les brittophones pour mettre sur un pied d’égalité dialectique, symboliquement et institutionnellement, langue bretonne et langue française. Bref, de réaffirmer le caractère national de la langue bretonne face à la langue officielle de l’Etat français. C’est une manœuvre habile. Faute de pouvoir détruire le mouvement linguistique breton organisé par le haut, où il gagne en reconnaissance institutionnelle sous la pression lente mais réelle de l’opinion publique bretonne, il est désormais attaqué par le bas, en réduisant la langue bretonne à un “patois parmi d’autres” en Bretagne. 

Ce relativisme linguistique a fleuri jusque dans certains cercles brittophones grâce à une poignée de naïfs pétris de misérabilisme qui établissent un parallèle absurde entre la condition d’oppression de la langue bretonne et celle de ce patois français. La nation bretonne paie une nouvelle fois le prix de l’influence toxique du marxisme culturel d’importation hexagonale, avec son vieil imaginaire victimaire tiers-mondiste, qui se fiche des frontières et des peuples et préfère exalter l’égalité des ratés dans l’échec. C’est une “compagnie” dont la nation bretonne ne veut pas. Le rôle du Parti National Breton est d’appeler les Bretons à la culture de la force et de l’héroïsme pour instaurer la domination des Bretons en Bretagne, et non de participer à l’internationale de la jérémiade en rampant la crotte au cul aux côtés des derniers “damnés” du moment.

Mais l’imposture du patois “gallo” n’est pas qu’un effet de l’acculturation franco-marxiste précitée, elle permet prosaïquement au pouvoir colonial et à ses relais, sous couvert de “diversité” politiquement correcte, de détourner une part des maigres fonds accordés à la défense de la langue celtique pour un patois franco-latin. L’objectif est d’utiliser les armes légales dont se sont dotés les Bretons pour défendre leur langue afin de les mettre au profit d’une des tentacules du fatras français en Bretagne. Non seulement la langue bretonne en ressort affaiblie, mais le latinisme renforcé : ce sont deux formes de français avec lesquelles la langue bretonne se trouvent en compétition au lieu d’une ! 

Chacun comprend que la langue française, soutenue par la toute-puissance de l’Etat français, de ses écoles, de ses médias, de sa bourgeoisie, en ressort considérablement renforcée, la langue bretonne devant se contenter des miettes en compagnie d’un jumeau “gallo” imaginaire.

Il faut désigner les responsables de cette manœuvre perfide : la gauche coloniale française ! C’est elle qui a constamment promu le relativisme culturel visant à réduire la légitimité des Bretons et de leur culture en Bretagne sous couvert de “diversité” et de cosmopolitisme bon teint. Quand ce n’est pas pour noyer leur langue sous un salmigondis de dialectes insolites, y compris peul, arabe ou turc, c’est pour les noyer physiquement sous le flot de l’immigration afro-orientale, mais aussi, française. Sous occupation française et sous direction coloniale socialiste, les Bretons sont toujours la variable d’ajustement du parti de l’étranger en Bretagne. Voilà le seul enseignement.

Le Parti National Breton, en cohérence avec les principes intangibles de l’Emsav, réitère une seule et unique politique linguistique : suprématie bretonne en Bretagne, officialité de la langue bretonne en Bretagne comme langue nationale, enseignement obligatoire et immédiat du breton dans sa zone historique ! 

Face aux contrefeux des agents du colonialisme français, le Parti National Breton appelle les patriotes bretons à la lucidité la plus complète sur cette imposture et à la dénoncer avec la détermination qu’exige la cause nationale.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Les dix principes fondamentaux de l’unification des Bretons du Parti National Breton

Les dix principes fondamentaux de l’unification des Bretons du Parti National Breton

[PNB] Si le Parti National Breton a un programme fondamental (à lire ici) et 14 revendications d’application immédiate (à lire ici), le Parti National Breton veut aussi unifier les patriotes bretons sous une seule et même bannière. La question qui se pose est donc celle des conditions de cette unification de tous les patriotes telle que la conçoit le Parti National Breton.

Voici les dix points que le Parti National Breton fixe comme base de l’unification :

Premièrement, les Bretons forment une nation fondée sur leur ascendance ethnique commune, par opposition au contractualisme français hérité de 1789.

Deuxièmement, la nation bretonne dispose du droit fondamental à disposer de son destin, c’est-à-dire de vivre libre sur sa terre.

Troisièmement, l’Etat français est une puissance coloniale qui occupe illégitimement et illégalement la Bretagne. Cette puissance doit en être chassée afin de réaliser le droit fondamental de la nation bretonne à la liberté. Il ne peut pas y avoir de liberté individuelle pour un Breton tant qu’il n’y a pas de liberté collective pour la nation bretonne.

Quatrièmement, l’indépendance de la Bretagne implique la constitution d’un Etat breton.

Cinquièmement, le rôle de l’Etat breton, pour atteindre la liberté nationale de Breizh, est d’inverser la colonisation française dans tous les domaines de la vie bretonne : sociale, économique, culturelle et politique.

Sixièmement, la réunification du territoire national breton est un principe intangible.

Septièmement, le redressement de la nation bretonne implique une régénération anthropologique dans tous les domaines. Tout ce qui renforce la nation bretonne est encouragé, tout ce qui l’affaiblira, est combattu.

Huitièmement, la nation bretonne, par l’action de l’Etat du peuple breton, placera le bien commun avec les intérêts de classe. Il mettra le capital au service du peuple breton et non le peuple breton au service du capital. Chaque Breton, sans regard pour son origine sociale, participera à la construction de cette nouvelle Bretagne.

Neuvièmement, la lutte contre la submersion migratoire, menace existentielle pour la nation bretonne, sera menée sans faiblir, jusqu’à la restauration complète de la souveraineté bretonne en Bretagne.

Dixièmement, la nation bretonne proclame sa neutralité.

Breizh Atav !

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Nantes : des milices afro-musulmanes se forment avec l’accord de l’Etat colonial français

Nantes : des milices afro-musulmanes se forment avec l’accord de l’Etat colonial français

[PNB] La balkanisation ethno-religieuse de la ville de Nantes est maintenant consommée comme le démontre la constitution de milices ethniques locales destinées à mener des représailles.

Marianne :

Après le meurtre d’une mère de famille, plusieurs dizaines de jeunes du quartier de Bellevue, à Nantes, ont décidé de mener leur propre enquête pour retrouver l’agresseur. Certains ne se sont pas arrêtés là. Ce 17 octobre, des dizaines d’hommes se sont rassemblés pour former une véritable « milice de quartier » et ont déambulé une partie de la soirée dans le centre-ville.

À Nantes (Loire-Atlantique), le sentiment d’impuissance face aux multiples actes de violences commis ces dernières semaines vient de franchir un cap. L’élément déclencheur ? Le meurtre, dimanche 16 octobre, de Nadia Hassade, une femme de 47 ans qui résidait dans le quartier sensible de Bellevue, défavorablement réputé.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’attaque à l’arme blanche s’est produite aux alentours de 6 h 30 alors que cette femme de ménage se rendait à l’arrêt de bus pour aller travailler dans un établissement de santé. L’assaillant a réussi à prendre la fuite. A leur arrivée, les pompiers n’ont pas pu la réanimer. Ce lundi 17 octobre, l’autopsie « a mis en évidence la présence de 23 plaies, dont certaines mortelles, en particulier au niveau du cou », précise le procureur de la République, Renaud Gaudel, à l’AFP.

Toujours selon le parquet, un homme âgé de 21 ans et vivant près du domicile de la victime avait été placé en garde à vue. Or, selon les informations de Ouest-France, cette personne a été retrouvée grâce à la mobilisation de l’entourage de la victime. L’annonce de la mort de cette mère de quatre enfants avait suscité un vif émoi dans le quartier, dont une partie s’est mobilisée pour enquêter et retrouver le meurtrier, en parallèle des investigations ouvertes par le procureur. « Nous étions quatre-vingts à cent personnes à travailler toute la nuit pour retrouver le meurtrier de ma sœur », explique le frère de la victime au quotidien local.

Des vidéos circulant sur le réseau social Twitter montre les miliciens afro-musulmans interroger un “suspect” d’origine pakistanaise qu’ils auraient identifié grâce aux caméras de vidéosurveillance. La scène se déroule dans l’enclave extra-européenne de Bellevue.

Qui a donné accès à ces vidéos ? Les autorités françaises, à l’évidence.

Pour la première fois, en Bretagne, une milice ethnique (extra-européenne) s’est constituée avec l’aval de fait des autorités françaises d’occupation.

Ce sont ces mêmes autorités coloniales qui poursuivent leur politique de répression ethnique contre le Peuple breton, en lui interdisant l’enseignement généralisé de sa langue nationale, l’autonomie politique immédiate et l’intégrité de son territoire national.

Ce précédent démontre que la balkanisation du territoire breton est enclenchée, résultat logique et prévisible de la politique de remplacement migratoire imposée par Paris au Peuple breton.

Le Parti National Breton avertit les Bretons : ces milices afro-musulmanes deviendront progressivement permanentes, à mesure que l’implosion de l’Etat français, qui occupe actuellement le territoire breton, ira en s’intensifiant. Cette balkanisation entraînera un phénomène parallèle de féodalisation, plaçant des quartiers, puis des villes entières sous l’autorité de groupes criminels afro-islamiques armés. Ces groupes allogènes imposeront leur nouvel ordre social, culturel, religieux et économique.

Face à cette fragmentation démographique rapide, la nation bretonne doit se préparer et s’organiser politiquement pour assurer la défense de sa souveraineté ethno-nationale sur l’ensemble du territoire breton. Les principes fondamentaux de cette politique sont présentés dans le programme du Parti National Breton au chapitre “peuplement“. Ces principes révolutionnaires,  offrent à la nation la vision du monde nécessaire à cette politique de défense.

Breizh Atav !

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Callac : l’Etat colonial français impose 16 nouveaux migrants clandestins d’Afrique !

Callac : l’Etat colonial français impose 16 nouveaux migrants clandestins d’Afrique !

[PNB] Le média Breizh-Info indique, dans un message paru sur son compte Twitter ce mercredi, que le conseil municipal de Callac, dominé par la majorité néo-communiste de Jean-Yves Rolland, a annoncé l’implantation immédiate de 16 colons afro-musulmans sur le territoire la commune sur ordre du régime colonial français.

Déjà visée par le projet “Horizon” des millionnaires parisiens Cohen qui prévoit l’implantation d’un demi-millier de migrants extra-européens sur place, Callac est désormais ciblée par l’état colonial français et ses relais politiques compradores pour servir de laboratoire au nettoyage ethnique prévu pour les populations bretonnes. 

Pour le Parti National Breton, il s’agit là du plan génocidaire que prépare l’Etat colonial français pour le peuple breton depuis toujours. Sans lutte de libération nationale victorieuse, les Bretons se verront imposer l’implantation de 2 millions de colons afro-maghrébins durant les prochaines décennies.

Pour la nation bretonne, le choix est simple : c’est la résistance ou la disparistion.

Breizh Atav !

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L’indépendance de la Bretagne, seule solution avant que la France n’entraîne la nation bretonne dans nouvelle une guerre mondiale !

L’indépendance de la Bretagne, seule solution avant que la France n’entraîne la nation bretonne dans nouvelle une guerre mondiale !

[PNB] Avec l’annonce d’une nouvelle augmentation de son budget militaire pour l’année 2023, en hausse de 11 milliards d’euros depuis 2017, Paris poursuit sa fuite en avant militariste.

Alors que le Peuple breton est sévèrement touché par les conséquences sociales et économiques produites par les sanctions unilatérales décrétées par le régime français contre la Russie, cette annonce de milliards d’euros supplémentaires au profit des marchands de canon et de l’outil de l’impérialisme français qu’est son armée témoigne du grave danger que représente la sujétion de la Bretagne à l’Etat français. 

Tandis que la France s’enfonce dans la crise de l’endettement, la paupérisation, les pénuries et la désindustrialisation à grande échelle, l’option de la guerre de rapine, y compris d’ampleur mondiale, est désormais à l’ordre du jour au sein de l’oligarchie française. L’expérience catastrophique de la Première guerre mondiale qui a mené à la mort de plus de 200,000 Bretons, sur le champ de bataille ou suite à leurs blessures, a éduqué la nation bretonne quant à la nature de l’impérialisme français et à sa sauvagerie intrinsèque.

Dans ce contexte international, le Parti National Breton réitère l’urgence de l’indépendance de la nation bretonne vis-à-vis de l’Etat français. Sans le retour de son indépendance nationale, ce régime en faillite ne peut plus qu’entraîner le Peuple breton dans une nouvelle catastrophe. Rompre avec l’Etat français, c’est choisir la neutralité et la paix pour la défense de la patrie bretonne.

Parallèlement à l’indépendance de la Bretagne et à la restauration de l’Etat breton, le Parti National Breton proclamera la neutralité de la nation bretonne. Cela impliquera le départ immédiat de toutes les forces armées françaises actuellement stationnées en Bretagne et le transfert de toutes les bases militaires bretonnes à l’Etat breton, seul état disposant de l’usage légal de celles-ci, une fois mis un terme à l’état d’occupation dans lequel se trouve la Bretagne. 

Breizh Atav !

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Callac : Venu intimider la population avec la Gendarmerie, le maire de Callac avoue pas vouloir consulter les habitants car “80% des Callacois seraient contre” !

Callac : Venu intimider la population avec la Gendarmerie, le maire de Callac avoue pas vouloir consulter les habitants car “80% des Callacois seraient contre” !

[PNB] Cité par Breizh Info, le communiqué de l’association “Les Amis de Callac” fait état d’une déclaration aussi accablante que définitive sur le rôle d’idiot utile joué par le maire de cette commune ciblée par les millionnaires Cohen et l’Etat français pour y installer un demi millier de colons afro-musulmans :

L’association “Les amis de Callac” et ses environs, présente tôt ce matin sur le marché de Callac afin de proposer à la signature des Callacois la pétition demandant un référendum sur le projet Horizon, a noté une accélération très forte des demandes de signatures de la part des habitants. Tant mieux, celà prouve que les Callacois commencent à prendre conscience de la gravité de la situation. Dans la matinée, le maire Jean -Yves Rolland est arrivé, entouré de deux adjoints et suivi de la gendarmerie. Il a immédiatement été assailli de questions par une bonne trentaine d’habitants dont beaucoup lui ont dit vertement leur façon de penser. Les Callacois arrivés en nombre se sont relayés pour faire passer le même message » nous voulons être consultés ».

Les débats, extrêmement houleux, ont duré près de deux heures, durant lesquelles le maire nous a montré son vrai visage en nous avisant sans ménagement qu’il venait, comme par hasard, d’édicter un arrêté municipal interdisant toute pétition sur le marché. In fine le maire a mis définitivement bas le masque en nous disant « je n’organise pas de referendum car je sais bien que 80% des Callacois seront contre le projet. » Ces propos signent de façon évidente que le maire se moque bien de l’avis des Callacois. M. Rolland continue à faire régner à Callac la » chappe de plomb » qui a étouffé la ville durant les décennies de ses prédécesseurs communistes et veut imposer par la force et la ruse le projet Horizon aux Callacois.

Par cet aveu, le maire rouge Rolland témoigne lui-même de sa pleine conscience d’agir contre ses administrés, leur volonté et leurs intérêts. Le recours aux forces de sécurité coloniales pour intimider la population bretonne de Callac, en l’espèce la Gendarmerie française, l’illustre jusqu’à l’outrance.

Pour le Parti National Breton, cette déclaration démontre, bien que ce soit superflu, que le régime colonial français et ses pseudo “élus politiques” en Bretagne n’ont jamais représenté, ne représentent pas et ne représenteront jamais le Peuple breton. La couche “d’élus” qui opère en Bretagne n’est qu’un relais colonial servile des diktats de la bourgeoisie parisienne, via le réseau de ses préfets. En tant que telle, elle est prête à toutes les ignominies, toutes les trahisons pour faire les volontés de ses maîtres et défendre les intérêts français.

Le Parti National Breton appelle la population bretonne de Callac à poursuivre l’opposition totale et frontale au projet colonial dit “Horizons” imposé par l’Etat français. Avec plus de 500 allogènes afro-musulmans prévus par Paris pour une installation définitive dans cette commune de 2,000 habitants, c’est le nettoyage ethnique de la population bretonne qui est recherché par les autorités d’occupation françaises.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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