Plus de 200,000 Bretons menés au carnage par la France : les leçons politiques de 14-18 pour la nation bretonne

Plus de 200,000 Bretons menés au carnage par la France : les leçons politiques de 14-18 pour la nation bretonne

Depuis l’annexion formelle de leur pays en 1532, les Bretons sont exposés à un intense travail de propagande mené par la puissance occupante française. Ce travail n’a, depuis l’origine, qu’un seul but, celui de convaincre les annexés de la légitimité de leur soumission à un état étranger, prédateur et hostile : la France.

Privés de leur histoire nationale pour détruire en eux toute conscience ethno-nationale propre et par là même toute envie d’émancipation, les Bretons ont été décrétés “Français” par l’impérialisme français afin de devenir les instruments dociles de sa politique extérieure. D’abord sous la monarchie, puis sous le jacobinisme révolutionnaire, ce lavage de cerveau méthodiquement mis en œuvre par la France et ses préfets visait non seulement à pacifier la Bretagne annexée, mais aussi à faire de ses hommes les bêtes de somme de la sauvagerie expansionniste de l’oligarchie parisienne.

L’impérialisme français, matrice de la destruction 

Ce processus connut son ultime conséquence avec le déclenchement de la Première Guerre Mondiale. Celle-ci, pour les Bretons, avait été préfigurée par la désastreuse guerre franco-prussienne de 1870. Les hommes de Bretagne, mobilisés à la hâte par le régime bonapartiste puis par son successeur républicain mené par le vagabond latin Gambetta, avaient été envoyés cyniquement se mourir dans le camp de fortune de Conlie afin de prévenir tout soulèvement armé de la Bretagne contre Paris. Ce signal, hélas, ne fût pas correctement analysé par un peuple breton resté rural qui était exposé à la virulente propagande belliciste française de la fin du XIXe siècle avec l’aide de ses relais bourgeois en Bretagne.

Propagande impérialiste française en Bretagne occupée

En 1914, les Bretons, massivement embrigadés et militairement encadrés par une France républicaine qui campe sur un vaste empire colonial avide de revanche contre l’Allemagne, sont mobilisés et envoyés au front. Occupés, culturellement écrasés chez eux au point d’être traités en étrangers insolites, les Bretons sont dressés par la France pour qu’ils la remercient de les mener dans un massacre aux proportions infernales.

La catastrophe est consommée au premier choc : une mitrailleuse bien positionnée peut abattre en quelques minutes l’équivalent de toute la population masculine d’un village breton. Ce qui devait être une rapide campagne de mouvement se transforme en processus d’anéantissement généralisé où les familles bretonnes sont broyées froidement par la machine de guerre française. Les soldats bretons furent sacrifiés par la France à un rythme effrayant : deux tiers de pertes de plus que les Français !

“Mort pour la France” est l’insulte suprême adressée par lettre aux veuves et aux mères abruties par un phénoménal travail d’anéantissement des consciences.

240,000 Bretons détruits par la France

Le désastre humain pour la Bretagne fût largement occulté par la propagande impérialiste française au lendemain du conflit. Mais les monuments aux morts érigés dans chacune des 1,500 communes de Bretagne, avec leurs centaines de noms si familiers pour le moindre d’entre eux, trahit l’ampleur sidérante du drame.

Aux 180,000 Bretons tués pendant le conflit, s’ajoutent ceux qui succomberont après la guerre de suicide, séquelles de gazages, blessures diverses, maladies rendues mortelles par l’affaiblissement et l’alcoolisme, s’ajoutent des dizaines de milliers de morts supplémentaires. En tout, 240,000 Bretons, essentiellement des paysans, moururent pour un conflit dans lequel eux, les gours partis des vallées de la vieille Bretagne, n’avaient rien à défendre.

Combien de ces Bretons de 20 ans eurent pour dernière vision de leur pays le clocher de leur village qui nous regarde aujourd’hui, témoin séculaire de l’engloutissement ?

Le réveil de la race bretonne

Ce n’est pas un hasard si c’est au début de l’année 1919, deux mois après la fin du conflit, qu’une poignée d’étudiants bretons lancent Breiz Atao, journal nationaliste qui deviendra un véritable cri insurrectionnel contre l’occupation française.

Quand en 1940, la France tente à nouveau d’entraîner les Bretons dans ses projets de boucherie, c’est la stupéfaction chez les officiers français : les Bretons sont méconnaissables. Ceux-là qui étaient reconnus comme les soldats les plus tenaces de toute l’armée française en 14-18 ne sont plus que des traînards qui manifestent l’envie de déserter à la première occasion.

C’est qu’entretemps, la furieuse haine de la République à leur égard s’était pleinement manifestée avec le refus de légaliser l’enseignement de la langue bretonne tandis que la presse républicaine regorgeait d’injures contre un peuple qu’on continuait de suspecter de fomenter une insurrection chouanne.

L’avènement du Parti Autonomiste Breton et de Breiz Atao avait puissamment fragilisé le mythe d’un peuple soumis et encore renforcé la suspicion générale des autorités. 

Ces monceaux de cadavres bretons laissés pourrir à même les champs de bataille de 14-18 par le commandement français nous ont parlé depuis l’Autre Monde. Ils nous ont appris que les seuls Bretons susceptibles de plaire à la France sont ceux qui se font docilement sacrifier pour leurs gras suzerains français. Pour les autres, c’est la haine monolithique. 

Une seule mission : briser l’occupation française

Fort de la mémoire de tous les Bretons menés à la mort par la France, le rôle du Parti National Breton est de mener le travail d’éveil national en parlant au nom d’une nation celtique enfin redressée : jamais plus le peuple breton ne servira la France, peu importe le régime où les circonstances. Désormais, le peuple breton, ayant à l’esprit son seul devoir de survie, ne servira que BREIZH, sa patrie, et il ne consentira au sacrifice que pour garantir cette survie dans le cadre de l’indépendance pleine et entière de la nation bretonne. Le Parti National Breton rappelle le principe de neutralité cardinal de la Bretagne nationale.

En ce 11 novembre 2021, nous rappelons que le devoir de tout Breton est de chasser la France ennemie et ses séides hors des frontière de notre pays, de briser cette force maléfique qui cherche depuis toujours à tuer l’esprit de la race celtique dont le sang coule dans les veines de Bretagne, et de mobiliser toute notre énergie et toute notre intelligence à cette fin. Nos morts l’exigent, nos enfants l’attendent, le destin nous l’assure.

BREIZH ATAV !

Le Kuzul Meur du PNB

 

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Notre mission

 

Notre mission

La nation bretonne, peuple celte fort d’une histoire nationale de 2,500 ans déployée sur les deux rives de la Manche, doit faire face au XXIe siècle à une lutte existentielle qui déterminera sa disparition ou sa renaissance.

Après mille ans d’indépendance jalouse inspirant le respect de l’Europe entière, le peuple breton a été soumis à partir de 1488 à la brutalité de l’ordre colonial français, occupation sauvage faite d’assassinats, de pillages et d’exploitation féroce des travailleurs bretons. Cette occupation sanglante, marquée par l’écrasement de la révolte bretonne des Bonnets Rouges en 1672, est devenue paroxystique avec l’avènement de la barbarie révolutionnaire en 1789 et l’abolition unilatérale de la dernière institution politique de notre nation : le parlement de Bretagne. Sa paysannerie entièrement livrée à la volonté tyrannique de l’impérialisme français, le cataclysme devait culminer pour le peuple breton avec la mort de plus de 200,000 de ses meilleurs fils, jetés contre l’Allemagne lors de la première mondiale pour protéger l’ogre français. Cette guerre criminelle a coûté à la Bretagne la fine fleur de son stock racial, une perte du meilleur sang dont elle ne s’est jamais remise. En parallèle, la féroce politique ethnocidaire française parachevait la destruction systématique de la langue bretonne tandis que les jeunes Bretons survivants du conflit, privés d’avenir par le régime colonial, étaient contraints à un exil massif hors de leur patrie pour faire la fortune du capitalisme parisien.

L’acte d’accusation est accablant : pour le peuple breton, la France n’a été qu’une immense et sanglante catastrophe.

Depuis cette date funeste de 1789, la nation bretonne est un fantôme dans son propre pays, sommée de laisser préséance à l’occupant français partout sur la terre sacrée de Bretagne. L’homme breton est du même mouvement devenu un domestique au service d’un ordre étranger qui se donne pour mission de le piller, de l’humilier et de le réduire à l’état de sujet perpétuel.

De seigneur et maître en son pays, l’homme breton est devenu le domestique de l’occupant.

A l’enseignement glorieux des mérites de notre race qui faisaient la fierté de chaque Breton, a succédé celui de la honte de soi inculquée par le parti français pour rendre toujours plus docile et malléable notre peuple subjugué. Cette rééducation impitoyable a pris de telles proportions que l’honneur d’être libre sur la terre de ses ancêtres a été remplacé par l’avilissant empressement à servir la marâtre française, ennemie séculaire et autoproclamée de notre peuple.

Car la France ne feint d’aimer les Bretons que lorsqu’ils sont vaincus et soumis. Libres et fiers, elle les hait.

La mensongère mystique égalitaire a été brandie par le parti parisien pour légitimer sa politique d’anéantissement culturel de notre peuple, décrété d’interdit par l’Etat Français sur sa propre terre. L’idéologie terroriste invoquée par les fanatiques de l’Une-et-Indivisible se donne pour but revendiqué de briser le peuple breton en le privant de sa conscience nationale et d’y parvenir en cassant son intégrité ethnique, pilier de la solidarité filiale qui en découle. C’est par un lavage de cerveau de masse entrepris dès le plus jeune âge dans ses écoles que le régime français apprend au peuple breton à renier sa nationalité et à se soumettre.

La France n’aime que les peuples faibles, car c’est sur de tels peuples que son joug peut s’établir avec morgue et arrogance. C’est en brisant la fierté raciale du peuple breton que la France veut lui faire accepter l’avilissement de la servitude.

La France est désormais engagée dans la conclusion de son projet impérialiste et sera bientôt irrémédiablement submergée par les masses prolifiques du monde afro-islamique, prélude à sa balkanisation finale. Le dernier but de ce régime criminel est d’entraîner le peuple breton dans sa déchéance raciale et de remplacer notre peuple par les masses de son ancien empire colonial. 

Parce qu’un peuple se doit de vivre ou de disparaître, nous, membres du Parti National Breton, opposons notre droit à la vie et proclamons que la date de 1789 est nulle et non avenue, et que, tout comme celle de 1488, nous l’effacerons de la page de notre histoire nationale. Nous engageons dès à présent la lutte pour la restauration de la nation bretonne dans ses droits nationaux et internationaux, la défense de sa personnalité ethnique et la conquête de son indépendance totale comme toute nation qui défend sa dignité. S’inscrivant dans la défense de l’Europe face au péril existentiel représenté par une France devenue une excroissance de l’Afrique islamique, le Parti National Breton engage la rupture définitive de Breizh avec l’Etat Français.

Au contrat social mensonger de cette république étrangère, nous opposons la communauté ethno-nationale bretonne, unie par les liens millénaires et fraternels du sang. De cette lutte doit naître Breizh, l’état celtique de la nation bretonne, seul état représentant la nation bretonne comme chacun des membres de la communauté populaire bretonne.

Le Parti National Breton brandit à nouveau la vieille bannière du combat frappée du triskell ! S’inspirant avec assurance de l’héroïque héritage de l’Emsav historique, il n’acceptera aucun compromis avec l’Etat Français occupant la Bretagne et ses militants n’auront de cesse de lutter contre l’occupant jusqu’à ce que Breizh soit à nouveau libre, se tenant avec honneur aux côtés des autres nations d’Europe au sein d’une grande Europe européenne.

Pour mener cette guerre d’indépendance jusqu’à la victoire finale, le Parti National Breton appelle chaque Breton à le rejoindre. C’est l’ultime appel.

Breizh Atav !

Proclamation du Parti National Breton

Pour nous rejoindre : [email protected]

Bienvenue au Parti National Breton!

DEGEMER MAD. BIENVENUE. Le Parti National Breton vous souhaite la bienvenue sur son site internet.

Ce que vous avez devant les yeux est le site du Parti National Breton. C’est le résultat de nombreuses heures de travail bénévole de la part d’activistes et de sympathisants déterminés à défendre les intérêts de la nation bretonne.

Le principal but de ce site internet est de montrer un peu de l’activisme du mouvement, de publier des communiqués officiels, de produire des textes d’analyses, d’orientation idéologique ou d’actualités, de réagir à ce que les autres disent de nous, militants et sympathisants du PNB, et de convaincre les Bretons de s’engager pour leur peuple et de bâtir son état national indépendant. Le site sera régulièrement mis à jour.

Le peuple breton affronte au 21e siècle des menaces qui, prises ensemble, revêtent un caractère existentiel. Sous la pression de l’Etat Français, l’absence d’un état réellement national a exposé le peuple breton au démantèlement de sa société, puis à son remplacement par une copie d’importation hexagonale qui a mené à l’érosion radicale de son identité. D’abord par la francisation à outrance. Par l’américanisation consumériste ensuite. Par l’afro-islamisation d’importation enfin. Couplée à la politique de remplacement démographique décrétée par Paris, la perte continue de sang breton générée par l’exode de ses jeunes forces vives hors de Bretagne expose le peuple breton à une disparition pure et simple durant ce siècle si rien n’est fait pour stopper la spirale de la dissolution.

Face à cette réalité et avec l’aide de la droite affairiste et de la gauche organisée, les médias du système et l’Etat Français promeuvent toujours plus agressivement l’agenda globaliste en faveur de l’immigration de remplacement tandis que l’islamisme gangrène toutes les villes bretonnes et que des gangs extra-européens sévissent dans l’impunité la plus totale. Cette immigration de remplacement, volet final de l’uberisation économique, entraîne la destruction biologique de l’unité du peuple breton au profit d’une société hétéroclite, violente et instable dont les seuls principes sont l’exploitation féroce et le profit à court terme. Des allogènes bénéficiant d’avantages sociaux sidérants déambulent sur la terre de nos ancêtres, narguant les autochtones, le regard hostile et lourd de menaces. Une caste politique, aussi incompétente que corrompue, préside un système politique cadenassé. La police et la justice françaises ne semblent décidées à réagir que pour réprimer quiconque parmi les Bretons s’oppose à cette course à l’abîme. La désinformation, la censure et l’intimidation sont devenues le nouveau mode de gouvernement à laquelle le peuple breton est soumis par Paris.

Le système politique français, pas plus hier, aujourd’hui ou demain, ne représente une solution : il est la racine même de cette crise. Nous devons rompre radicalement avec Paris, ses représentants et son état en voie d’africanisation et d’islamisation terminales pour édifier le seul état à même de sauver notre peuple : l’Etat Celtique de la Nation Bretonne, BREIZH. C’est à cette condition et cette condition seulement que le peuple breton survivra.

Les Bretons, de tout temps, ont fait face à des ennemis ayant juré de les faire disparaître, tantôt par la conquête, tantôt par l’éradication physique ou par l’anéantissement de leur langue et de leur culture. Le peuple breton a toujours su trouver en lui, à l’heure fatidique, les ressources nécessaires à son redressement et à sa renaissance. Pour cela, deux conditions : la conscience ethno-nationale bretonne et la volonté. C’est ce que se donne pour mission le Parti National Breton.

Tout Breton qui sent en lui l’appel à entrer en résistance pour sauver BREIZH peut se tourner vers le Parti National Breton et lui apporter son aide dans cette lutte historique.

Comment ? En adhérant au parti ou en lui apportant une aide financière ou matérielle. Le PNB, comme parti authentiquement nationaliste et révolutionnaire, ne peut compter sur le système bancaire pour organiser ce soutien financier. Aussi, le parti utilise-t-il la cryptomonnaie anonyme et sécurisée Monero.

 

Pour nous rejoindre, nous écrire à :

[email protected]