Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Parmi les dix exigences d’application immédiate du Parti National Breton figure la réservation prioritaire pour les fonctionnaires bretons de tous les postes de la fonction publique en Bretagne, qu’ils soient nés en Bretagne ou nés d’au moins un parent breton. Actuellement, l’Etat Français impose aux fonctionnaires bretons des nominations hors de Bretagne, généralement contre leur volonté ou aspiration, tandis que les Français viennent s’installer en Bretagne pour fuir les ravages de l’immigration extra-européenne. Cette situation intolérable approche du point de rupture.

Désinformation d’état

La presse d’état hexagonale joue un rôle majeur en Bretagne dans la désinformation sur ce sujet crucial. Ainsi, le journal stato-socialiste français “Le Télégramme” parvient à réaliser l’exploit de parler des fonctionnaires bretons qui fuient la région parisienne après avoir été contraints par l’état colonial d’y être assignés sans jamais citer une seule fois la cause de cette fuite : l’immigration afro-musulmane.

Le Télégramme :

Y a-t-il encore des profs heureux ? Pour Isabelle Carré, c’est oui, sans hésiter. Enseignante stagiaire d’espagnol à Vannes en 2018-2019, la Bretillienne attaque sa troisième année de cours, après être sortie de l’Inspé (Institut national du professorat et de l’éducation) de Rennes en juin 2018.

Isabelle Carré

Comme tous les jeunes enseignants, la Rennaise a dû concéder un passage en région parisienne, en début de carrière. Après son année de stage à Vannes, elle a démarré dans deux collèges de l’académie de Créteil. « Je travaillais à mi-temps entre Ivry-sur-Seine et Vitry-sur-Seine. Mais étant déjà pacsée et en couple, je rentrais sur la Bretagne tous les week-ends ». Isabelle Carré l’avoue : cette première année, tronquée par la crise sanitaire, aurait pu la décourager du métier. « Quand tu découvres que la priorité n’est pas le contenu des cours, mais déjà de s’assurer que les élèves sont bien présents en classe, tu t’éloignes de ce pour quoi tu t’es engagée ».

Vitry-sur-Seine, paradis de la diversité ethnique

Maman depuis août 2020, la Bretillienne a cumulé assez de points pour être rapidement mutée dans son département d’origine, au plus près de son compagnon et de sa famille. « On m’aurait proposé d’aller n’importe où ailleurs en Bretagne, j’aurais dit oui ! »

L’an dernier, elle a enseigné entre Rennes et Saint-Aubin-du-Cormier (35). Depuis septembre, Isabelle s’est même rapprochée de son domicile avec un poste au collège François Truffaut de Betton. Rien de définitif encore, mais elle se dit ravie de l’expérience. La prof d’espagnol a le sourire. « J’ai une matière sympa, j’enseigne 18 heures par semaine, je peux me former en interne. Depuis que je suis rentrée en Bretagne, je ne vais plus enseigner la boule au ventre. Certes, il y a du travail à la maison, mais je n’ai plus le même stress et je mesure ma chance. Il y a peu de métiers comme ça. Mon conjoint est agent immobilier. Il fait du 8 h-20 h, six jours sur sept. Je ne peux que relativiser ! »

Conformément à son attitude de principe, le Parti National Breton entend traiter cette question sans détour en rompant avec les interdits idéologiques posés par le système politico-médiatique français. 

Pour une fonction publique bretonne !

Les ravages d’une immigration extra-européenne inassimilable ne sont plus limités aux grandes villes françaises. La Bretagne étant sous l’administration coloniale de Paris, l’Etat Français menace la nation bretonne de connaître à son tour le sort funeste de ses villes tiers-mondisées. Toutes les villes bretonnes sont déjà touchées par le fléau du remplacement de population orchestré par le gouvernement français.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, sans réaction de la société bretonne, la Bretagne subira le sort de la banlieue parisienne : islamisation fulgurante, explosion du crime, émeutes raciales endémiques, racisme antiblanc.

Le Parti National Breton appelle tous les fonctionnaires bretons à défendre leurs intérêts légitimes en le rejoignant pour que cesse ce déracinement mortifère systématique. Plus aucun fonctionnaire breton ne doit être contraint par Paris à quitter la Bretagne contre sa volonté !   

Par nous-mêmes, pour nous-mêmes : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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