Panthéon : Macron glorifie le communisme qu’il inscrit dans la continuité de la terreur robespierriste

[PNB] Au Panthéon, le chef de l’État français a glorifié le communisme qu’il inscrit, à raison, dans la continuité de la révolution française et de la terreur robespierriste de 1793.

 

Le peuple breton, victime de ces deux barbaries, ne peut vivre sous un tel régime.

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Pays nantais, pays breton ! Le PNB dénonce l’appel colonialiste des élus macronistes à interdire le drapeau breton en Loire-Atlantique

Pays nantais, pays breton ! Le PNB dénonce l’appel colonialiste des élus macronistes à interdire le drapeau breton en Loire-Atlantique

[PNB] La région artificielle “PDL” est aux abois. Face à la mobilisation croissante de la nation bretonne pour parachever la réunification de la Bretagne, la clique politique fransquillonne qui vit de cette collectivité créée par le pouvoir colonial français tente un dérisoire contrefeu avec la création d’une association “pour la valorisation et le soutien des Pays de la Loire”.

Cette structure groupusculaire réunit sur le Pays Nantais les Français affiliés au parti présidentiel hexagonal “Renaissance” et aux “Républicains” qui veulent maintenir le cadre administratif colonial dont la région artificielle PDL est l’instrument. 

Fait révélateur, la rhétorique utilisée par la droite réactionnaire française qui domine les PDL sous la direction de Morançais est identique à celle de la gauche jacobine anti-ethnique. 

Le Télégramme :

À ce stade, les fondateurs de l’AVSPL tentent de mobiliser les élus. En décembre, ils ont commencé par adresser un courrier aux parlementaires, dans lequel ils fustigent, notamment, des « mouvements autonomistes bretons motivés par un projet séparatiste de la République qui vise à remplacer, en France et en Europe, les Etats-nations par des Ethnos-nations. »

Le néologisme franco-jacobin “ethno-nation” est un pléonasme. Il est révélateur que les représentants du pouvoir colonial français agités par la région artificielle PDL opposent nation et ethnie, la racine du mot nation provenant du latin natus (naître) en référence à la filiation biologique qui sert de ciment à la nation selon la terminologie latine. Un état-nation est par définition ethnique, sinon il n’est pas national. C’est justement le cas de l’état cosmopolite français, antinational par définition mais qui usurpe à loisir ce concept pour le dénaturer, dont se revendiquent les colons signataires du texte.

La criminalisation de l’unité ethnique du Peuple Breton est symptomatique de l’impudence de l’impérialisme français qui n’hésite pas à accuser les autochtones d’être conscients d’eux-mêmes sur leur propre terre, poussant l’audace jusqu’à prétendre être en position d’arbitrage moral au point d’interdire aux Bretons de lutter pour leur liberté dans leur propre pays.

Nous, Bretons, ne devons pas tolérer cette insupportable inversion de la réalité : ce sont les Français qui sont en position d’accusés, en tant qu’occupants, et non les Bretons qui résistent à l’occupation malgré les efforts du régime français pour procéder à la destruction de la personnalité ethnique de la Bretagne. Le régime républicain français n’est qu’un régime impérialiste qui pour se maintenir chez les peuples qu’il occupe se doit de détruire leur sentiment d’appartenance.

Imagine-t-on des Français interdire à des Algériens de déployer leur drapeau en Algérie ? 

Et puis, ces jours-ci, ils ont rédigé une lettre destinée aux maires de Loire Atlantique enjoignant à ces derniers de ne pas prendre à la légère l’acte de hisser le Gwen ha du sur le fronton de leur mairie, comme l’a fait Nantes. « Si beaucoup le voient comme symbole de la Bretagne et de son folklore, n’oublions pas ses origines et le projet qu’il sous-tend, écrit l’association. Il fut inventé dans les années 1920 par Maurice Marchal, idéologue d’une race bretonne celtique pure, raciste et antisémite, qui sera membre de la Gestapo (…). » Un discours engagé tout à fait assumé par ses auteurs, même s’ils se défendent de vouloir s’en prendre frontalement aux partisans de la réunification. 

Sur ce dernier point, nous sommes d’accord avec l’affirmation des représentants du pouvoir colonial français. Le Gwenn ha Du est la bannière de la nation bretonne qui, contrairement au fatras multiracial hexagonal, a une conception claire de ce qu’elle est comme communauté réelle. Il est d’ailleurs révélateur que la pureté du Peuple Breton soit désignée comme une tare par les agents du pouvoir colonial, lesquels avouent implicitement être les représentants d’un régime bâtard, sans racines ni qualités, entièrement construit pour niveler par le bas les hommes qui tombent sous son emprise. 

Le drapeau breton créé par Breiz Atao est un drapeau ethno-séparatiste, puisque la Bretagne, comme nation, doit se séparer de l’état impérialiste français qui l’occupe illégitimement et qui met tout en œuvre pour détruire notre peuple, tantôt par l’arme de l’immigration extra-européenne, tantôt par la colonisation française de peuplement. L’installation du Gwenn ha Du partout dans le Pays Nantais est le meilleur symbole de cette résistance ethnique au pouvoir colonial français. Les agents de ce pouvoir ont raison de le craindre.

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Interdiction du drapeau breton à Saint-Nazaire : le PNB dénonce la violence employée contre le président de Bretagne Réunie par le maire franco-socialiste David Samzun

Interdiction du drapeau breton à Saint-Nazaire : le PNB dénonce la violence employée contre le président de Bretagne Réunie par le maire franco-socialiste David Samzun

[PNB] Le Parti National Breton dénonce avec force la violence employée par le maire franco-socialiste de Sant-Nazer (Saint-Nazaire), David Samzun, contre Alan Coraud, président de l’association Bretagne Réunie, peu avant la tenue du conseil municipal, vendredi 3 février 2023.

Alors qu’Alan Coraud s’apprêtait à remettre une lettre dénonçant l’interdiction du déploiement du drapeau breton sur le fronton de la mairie de Sant-Nazer sur ordre du maire David Samzun (lire ici), ce dernier a fait intervenir ses butors déguisés en policiers municipaux pour expulser par la force le président de Bretagne Réunie, pourtant courtois et pacifique.

Les méthodes utilisées par la faction jacobine extrémiste menée par David Samzun témoignent de la marginalisation croissante d’une majorité qui n’en a plus que le nom à Sant-Nazer. Ce recours à la violence illustre le rejet brutal par David Samzun de la demande relative au déploiement de la bannière nationale bretonne par 2,500 Bretons de la commune.

Insultés et menacés, les Bretons ne resteront pas insensibles au traitement qui est leur est réservé par les laquais de l’impérialisme français à Sant-Nazer dès lors qu’ils s’engagent pour leurs droits nationaux.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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L’Equipe de France ou la marche des Sans-Culottes vers l’Afrique (Editorial du PNB)

L’Equipe de France ou la marche des Sans-Culottes vers l’Afrique (Editorial du PNB)

[PNB] Citant l’essayiste Eric Naulleau, le journal parisien Le Figaro titrait, hier, que la Coupe du Monde de football était le “dernier évènement qui fédère à ce point la nation (française)”. La formule est inexacte – la France n’est pas une nation, mais un empire -, mais c’est en effet tout ce qu’il reste de l’empire français : une équipe de football composée au trois quarts de sportifs africains.

C’est, à bien des égards, la forme paroxystique et caricaturale d’un processus impérialiste entamé il y a huit siècles sous la direction de Philippe Le Bel, depuis Paris, puissamment accéléré avec l’éviction des Anglais du continent et la destruction des états breton et bourguignon à la fin du 15ème siècle. Libéré sur le continent, la bureaucratie centrale parisienne, grâce à son armée, a pu étendre à grande échelle son système impérialiste sur les autres continents à partir de 16ème siècle, ce jusqu’à son effondrement complet en 1962.

Immédiatement après la fin de la Guerre d’Algérie, le processus impérialiste, loin de se clôturer, a tenté de maintenir le projet impérial en métropole, faute de le réussir au niveau planétaire. L’immigration à rebours originaire des colonies, légitimée par l’idéologie missionnaire et impérialiste de 1789, est devenue, sur le modèle du recours aux sujets coloniaux en 1914, la réponse d’une bureaucratie d’état parisienne à son échec historique hors d’Europe. Paris s’identifie totalement à l’Afrique dont elle veut être le tremplin politique planétaire.

En cohérence avec cette logique, la démographie africaine est désormais la solution choisie par Paris pour répondre à l’effondrement de la natalité autochtone en France. Sur le même principe, elle “externalise” ses équipes sportives en “internalisant” l’Afrique par l’immigration. Officiellement sous bannière française, c’est bien toute l’Afrique francophone que la France utilise désormais dans les compétitions sportives mondiales.

De par sa construction impérialiste, l’Etat français se retrouve à organiser et exalter le propre effacement du noyau ethno-biologique qui servait de base humaine à sa création. Le spectacle grotesque du chauvinisme tricolore, excité par une équipe de mercenaires africains, résume parfaitement la fin tragi-comique d’un empire débordé dans ses frontières par ses anciens sujets extra-européens. La sans-culotterie braillarde rejoint finalement la sauvagerie africaine.

Pour les Bretons, la question que pose ce spectacle absurde et sinistre, c’est celle du réveil de leur nationalité face à la fin de l’empire français sous le poids de la submersion afro-islamique que devait par nécessité déclencher la colonisation. Si les Bretons ne prennent pas conscience de leur nationalité, ne prennent pas les dispositions décisives à la préservation de leur personnalité ethnique face à l’Etat français, et restent, par acculturation, prisonniers du fatras multiracial hexagonal tandis que la démographie fait son office, ils disparaîtront durant ce siècle, amalgamés à l’Etat afro-musulman sur le territoire français.

C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui plus encore qu’hier, toute manifestation de chauvinisme français en Bretagne, en plus d’être en soi odieuse, est surtout la manifestation de la marche au néant africain que supervise l’Etat français dans sa fuite en avant vers la sauvagerie afro-sans-culottarde.

Beaucoup de Bretons se plaignent, mais combien agissent de manière ordonnée et révolutionnaire ? Il n’y aura pas de salut sans solution radicale. C’est cette solution que le Parti National Breton veut apporter. Les Bretons lucides doivent réagir et rejoindre le Parti National Breton pour organiser l’alternative à la menace existentielle qui pèse sur notre peuple. Attendre, ou couper les cheveux en quatre, n’est plus un luxe que les Bretons peuvent se permettre, ni la complaisance, la fainéantise, le refus de la discipline au nom d’un anarcho-individualisme compulsif, sauf à accepter d’être remplacés par “les conquérants de nos conquérants” qui, à ce stade, n’ont guère qu’à poser leurs valises – quand ils en ont – en Bretagne. 

Les Bretons doivent retrouver le sens de leur race, le sens de leur nationalité celtique, ce que seul le Parti National Breton entend faire, loin du régionalisme marxisant ou des amicales culturelles inopérantes. Cette décennie sera cruciale et les Bretons doivent désormais choisir leur destin.

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17 novembre 1793 : les troupes terroristes de la république française font massacrer les patients des hôpitaux de Fougères

17 novembre 1793 : les troupes terroristes de la république française font massacrer les patients des hôpitaux de Fougères

[DALC’HOMP SONJ] Le 17 novembre 1793, les hordes de soudards français aux ordres du gouvernement terroriste de Robespierre pénètrent à Fougères.

Commandées par le général Canuel, auteur du crime de masse de Savenay, en Bretagne, où il fait fusiller par centaines femmes et enfants, et par le général Amey, connu pour sa sauvagerie, ayant fait incinérer vivants femmes et enfants dans des fours en Vendée, les troupes républicaines déclenchent une vague de terreur. Les hôpitaux de la ville sont investis et leurs malades, accusés d’être des chouans, sont sauvagement égorgés par les terroristes. Les cimetières de la ville ne suffisent pas à enterrer les victimes.

Quelques jours plus tard, le 23 novembre, Fougères est libérée par les troupes vendéennes de la Rochejaquelein. Les bandes terroristes aux ordres de Paris doivent fuir en catastrophe. Repliés à Antrain, les égorgeurs français activent un tribunal politique chargé de mener les assassinats de masse pour le compte du régime républicain, mais la pression chouanne les force à se replier sur Rennes  où elles continuent leur effroyable carnage.

Breton, souviens-toi !

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JO 2024 : avec son bonnet phrygien pour symbole, Paris prend en otage les Jeux Olympiques pour sa propagande jacobine

JO 2024 : avec son bonnet phrygien pour symbole, Paris prend en otage les Jeux Olympiques pour sa propagande jacobine

[PNB] Paris veut faire des Jeux Olympiques de 2024 une tribune politique à la gloire du régime républicain et de l’idéologie terroriste sur laquelle la république française est fondée en 1793. C’est ce que reflète le choix d’un “bonnet phrygien” comme mascotte de ces jeux.

Ce choix politique constitue une provocation pour le peuple breton, martyr des crimes de masse commis par le système révolutionnaire français. Du démantèlement du parlement de la nation bretonne en 1789 aux noyades de Nantes en passant par la sauvage campagne de pacification de la Bretagne jusqu’en 1815, le bonnet phrygien incarne pour les Bretons, et pour l’Europe entière, le proto-totalitarisme que fut le jacobinisme français, juché sur sa guillotine et ses colonnes infernales. 

A cette provocation s’ajoute l’intention par Paris de supprimer tous les festivals de Bretagne, en 2024, pour ne pas faire nombre à la mise-en-scène du régime.

La prise en otage politique des Jeux Olympiques par le régime de Paris pour les besoins de son simulacre impérial démontre, s’il en était besoin, que ce système repose sur le fanatisme idéologique et le narcissisme d’une bourgeoisie parisienne qui croit encore être le centre du monde. Pour le peuple breton, il est urgent de rompre avec cet état qui sombre chaque jour un peu plus dans sa propre caricature.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

[PNB] Le Parti National Breton relève avec satisfaction que la diplomatie chinoise a correctement relevé l’hypocrisie insolente de la France sur la scène internationale.

Critiquée par la chaîne BFMTV pour la politique de “rééducation” que la Chine mènerait dans le futur à Taïwan, l’ambassadeur de Chine en France, Lu Shaye, a rejeté la duplicité française et souligné que le régime républicain français rééduquait lui-même la population hexagonale grâce à son ministère de l’Education.

Les nations victimes de l’impérialisme français peuvent en témoigner. Il y a encore 60 ans, la France prétendait que les ancêtres des Africains ou Asiatiques sous sa botte avaient pour ancêtres les Gaulois. Cette funeste rééducation visait à se servir de ces peuples dans les guerres impérialistes de la république française en Europe.

La Bretagne, occupée illégalement et illégitimement par la France, est une colonie. Encore aujourd’hui, le gouvernement français procède à une rééducation radicale du Peuple Breton dès le plus jeune âge. L’enseignement de l’histoire de Bretagne est interdite dans les écoles bretonnes, tout comme l’enseignement de la langue bretonne qui, contrairement au français ou à l’anglais. L’identité nationale de la Bretagne est niée, tout comme celle d’un cinquième de son territoire, actuellement partitionné par la France. Ses droits politiques, comme nation occupée, sont niés. 

De par sa politique de neutralité pour la Bretagne, le Parti National Breton recherche une analyse objective et équilibrée des rapports internationaux. En cohérence avec sa condamnation de l’impérialisme français, il récuse les vociférations françaises à propos d’un continent, l’Asie, dans lequel la France n’est qu’un stigmate colonial. Il constate que la Chine offre un point de vue lucide sur la nature du régime français qui, derrière ses mensonges et son insolence, ne peut masquer ses rêves fantaisistes de restauration impérialiste.

La question qui intéresse les Bretons n’est pas le destin de la province de Taïwan, mais celui de leur patrie dont ils veulent la libération de l’occupant français, le seul occupant qu’ils connaissent.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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Face aux nostalgiques de la Terreur du NUPES, les régionalistes de gauche de l’UDB en pleine déconfiture

Face aux nostalgiques de la Terreur du NUPES, les régionalistes de gauche de l’UDB en pleine déconfiture

[PNB] Les nationalistes bretons observent avec satisfaction l’effondrement du régionalisme dans son versant “de gauche” à la faveur des élections législatives hexagonales. Comme chacun sait, Jean-Luc Mélenchon, issu du trotskisme lambertiste, est un partisan du jacobinisme pur et dur dans lequel il voit, à juste titre, le moyen de faire passer le marxisme en contrebande. Avec constance et cohérence, il s’inscrit dans l’internationalisme égalitariste du républicanisme français qui postule depuis la Terreur que la Révolution ne parle qu’une seule langue : la langue française. Cet homme nouveau, acculturé par la francisation autoritaire, sans passé ni caractéristiques particulières, c’est le “citoyen” normé par Paris.

Avec l’écroulement de la gauche socialiste menée par le PS, la démagogie sans-culottarde portée par Mélenchon domine sans partage les autres partis de gauche. Hostile à l’Europe pour des raisons explicitement raciales – “Je ne peux pas vivre entouré de Blonds, c’est au delà de mes forces” -, que justifie a posteriori un social-chauvinisme cocardier islamocentré, Mélenchon est viscéralement hostile aux cultures indigènes d’Europe, a fortiori de l’Hexagone. C’est sans surprise que ce métèque d’Afrique du Nord voit dans la timide défense des langues indigènes dites “régionales” un péril pour la république néo-robespierriste repeuplée d’allogènes dont il rêve.

Ses représentants à Rennes l’expriment sans honte. Les régionalistes de gauche de l’UDB ont ainsi été brutalement mis face à leurs contradictions à propos de la loi Molac qui permet notamment aux communes de financer la scolarité des élèves inscrits dans les écoles associatives en langue bretonne (Diwan).

Longtemps associé aux écologistes français, les régionalistes de gauche de l’UDB tentaient de s’insérer dans le processus politique hexagonal en passant par des partenariats avec des formations plus européistes, fédéralistes comme EELV. Avec l’effondrement du PS, EELV est désormais aligné sur les positions du mélenchonisme suite à l’accord politique au sein du NUPES. Pour les régionalistes de gauche de l’UDB, c’est un retour forcé à la réalité : la gauche hexagonale est impérialiste et étatiste par construction et elle opère aujourd’hui un vaste mouvement de repli sur ses fondements historiques, c’est-à-dire jacobins.

Parce qu’elle n’intéresse personne au sein de la gauche hexagonale fédérée autour de Mélenchon, la gauche régionaliste se présente seule aux élections législatives de juin. 

Pour les nationalistes bretons, cette évolution n’est en aucun cas une surprise. Quiconque n’assume pas la nationalité bretonne, donc le nationalisme breton, ne peut que jouer le rôle de domestique violentée par le maître français. Le clivage entre “gauche” et “droite” a cessé d’exister, remplacé par un éclatement horizontal entre groupes ethniques dont la structuration s’opère géographiquement. Cette balkanisation est une donnée lourde du 21e siècle en France, ce n’est donc pas un hasard si Mélenchon tente – et réussit – la fusion de l’égalitarisme jacobin et de la soumission collectiviste islamique. L’égalité française n’a jamais été que l’autre nom de la soumission à l’Etat, il y a là une parfaite continuité idéologique.

La gauche en Bretagne va progressivement être marginalisée en raison d’un européisme, d’un personnalisme et d’un modérantisme qui font certes consensus parmi les Bretons mais qui n’ont plus cours au sein de la gauche française néo-jacobine, devenue une caserne où règnent les aboiements. Pour se faire élire à gauche, il faudra se prosterner aux pieds des mélenchonistes et se faire le chantre d’un chavisme cocardier passablement islamique. Ce décrochage ira toujours plus avant, jusqu’à ce que les derniers restes de la gauche en Bretagne se soient ralliés ou aient disparus.

Le Parti National Breton opère, à ce moment important, un nécessaire travail de réorientation historique : le mythe du réformisme au sein du cadre institutionnel français a vécu, il importe de passer à une nouvelle étape. L’heure est venue pour les Bretons soucieux de l’avenir de leur peuple d’embrasser avec audace et détermination leur nationalité, d’abandonner l’excuse honteuse de l’universalisme et du misérabilisme pour essayer de la faire passer en contrebande dans les wagons de la gauche hexagonale. Le Peuple Breton a beaucoup trop tardé à s’organiser nationalement, à force de soupirer après les lubies idéologiques parisiennes. Aujourd’hui que la France crève d’endettement stato-socialiste et d’overdose d’immigration afro-islamique, le choix est simple : la disparition sous les flots du tiers-monde musulman encadré par les derniers restes de la gauche française, ou survivre par l’indépendance d’un état breton conçu par les Bretons, pour les Bretons, hors de la déchéance française.

Le Parti National Breton porte ce choix ethno-nationaliste en toute clarté, une clarté qu’aucun autre parti ne peut porter en Bretagne. Les Bretons qui veulent combattre pour la liberté de leur peuple sont appelés à le rejoindre. Tout autre choix est stérile, seule la rupture avec la France incarne désormais l’unique espoir de salut.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Haine de la langue bretonne : à Mellac, les écolo-marxistes d’EELV votent contre l’aide financière aux élèves de la filière bretonne Diwan !

Haine de la langue bretonne : à Mellac, les écolo-marxistes d’EELV votent contre l’aide financière aux élèves de la filière bretonne Diwan !

L’opposition écolo-marxiste “Mellac Plus Loin” a voté contre les subventions municipales accordées aux élèves mellacois scolarisés à Diwan.

Au terme d’un usage visant à défendre la langue bretonne, les municipalités de Bretagne peuvent accorder une aide financière aux élèves qui n’ont pas accès à une école bilingue ou immersive sur le territoire communal. Un dédommagement éthique pour ces élèves bretons qui veulent apprendre la langue de leur peuple, mais qui en sont privés par la politique discriminatoire de l’Etat Français en dépit de l’impôt que versent leurs parents à ce même état.

Les trois élus de l’opposition de “Mellac Plus Loin”, s’inscrivant dans une haine manifeste de la langue bretonne et dans l’impérialisme linguistique traditionnel de la gauche française, ont voté contre.

L’agitation jacobine contre l’enseignement de la langue bretonne est menée par la porte-parole d’Europe Ecologie Les Verts du pays de Quimperlé, Séverine Escolan (ici avec ses comparses de Mellac Plus Loin)

Le Télégramme :

Lors du conseil municipal, mardi 7 décembre, les trois élus de Mellac plus loin ont voté contre l’adoption du versement forfaitaire scolaire communal aux écoles Diwan de Bannalec et Quimperlé. Le montant est de 6 695 € pour deux élèves de maternelle et sept de l’école élémentaire de Mellac, pour 2021-2022.

Le Parti National Breton dénonce la duplicité du parti fransquillon EELV.

Cette organisation bourgeoisie de gauche, qui prétend mensongèrement défendre les langues ethno-nationales de l’Hexagone, soutient à Mellac les pires menées contre la langue bretonne.

L’agitation sectaire de la part de ces trois élus rouges-verts contre des élèves subissant déjà les discriminations systémiques de l’Etat Français illustre la haine caractéristique d’un mouvement français viscéralement hostile aux peuples européens, en général, et au peuple breton, en particulier.

Partout en Bretagne, le sectarisme hexagonal doit être combattu implacablement.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gauche et droite françaises : les deux faces destructrices de l’Etat Français en Bretagne !

Gauche et droite françaises : les deux faces destructrices de l’Etat Français en Bretagne !

Le Parti National Breton, par sa praxis, n’a rien de commun avec les aliénés de l’actuelle société française en Bretagne. Il ne s’inscrit pas dans les stériles affrontements d’un système politique français qui, de l’extrême-droite à l’extrême-gauche, professe un même dogme : la nationalité de papiers. 

Le régionalisme incapacitant est plus qu’un régionalisme stricto sensu. C’est une déformation psychologique par laquelle un Breton ne pense et n’agit que par l’intermédiaire de la vie française. 

Le Parti National Breton a une toute autre ambition, encore largement inconnue de l’opinion bretonne, mais qui n’en est pas moins révolutionnaire : construire l’état celtique de la nation bretonne. Cela suppose de la part du Parti de définir un paradigme nouveau, proprement breton, où il définit le temps et l’espace de son action, en rupture radicale avec la société française. La réaction régionaliste, refusant dogmatiquement une telle rupture, justifie toujours son ralliement à la bourgeoisie française par l’exception idéologique. Le clivage gauche/droite est ainsi l’antichambre du loyalisme français en Bretagne.

Le Parti National Breton se situe hors de ce champ d’affrontement français. Pour créer la voie nouvelle d’un peuple breton libéré de son acculturation, il dépasse les catégories mentales de l’aliénation imposée par l’Etat Français pour n’aborder les problèmes qu’en termes ethno-préférentiels et souverains : la Bretagne aux Bretons.

Avant de bâtir un état national breton, il faut nationaliser les masses bretonnes. C’est-à-dire affirmer la nationalité bretonne. Tel est le rôle du Parti. Cette nationalité, précisément, n’a de raison d’être qu’en dehors de la sphère française et de ses représentations.  Discourir aux côtés de la gauche française ne vaut pas davantage que de discourir aux côtés de la droite française. Pour les Bretons, la ligne de l’affrontement est autre : il s’agit d’une lutte contre la bourgeoisie française, son appareil d’état en Bretagne et ses auxiliaires dont l’action combinée conditionne l’anéantissement de notre peuple.

La nationalité bretonne se forge en pratique dans la lutte contre cette bourgeoisie, que ce soit politiquement, socialement, économiquement ou culturellement. C’est en mobilisant les Bretons pour leur liberté nationale que Breizh, succédant à l’actuelle dépendance régionale que l’on nomme Bretagne, naîtra.

Au principe de justice s’ajoutent désormais les conditions objectives. La désintégration de l’Etat Français sous l’effet de la libanisation ethnique ne fait aucun doute durant ce siècle. Le Parti National Breton a pour première tâche de préserver le peuple breton des conséquences de cet effondrement en brisant les reins de l’Etat Français en Bretagne. Ce n’est qu’organisée par un Etat Breton que la nation bretonne survivra.

Les Bretons doivent impérativement se saisir de leur destin, repousser toute influence fransquillonne et entamer l’ouverture du front contre celle-ci. Ce qu’ils ne peuvent faire politiquement qu’en rejoignant le Parti National Breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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