Négation de l’identité bretonne du Pays Nantais : le Parti National Breton met en garde les révisionnistes de “France 3 Pays de la Loire”

Négation de l’identité bretonne du Pays Nantais : le Parti National Breton met en garde les révisionnistes de “France 3 Pays de la Loire”

[PNB] Vendredi 24 juin 2022, Emmanuel Faure, animateur de l’émission “Ca se passe ici” sur la chaîne France 3 “Pays de la Loire”, a qualifié à plusieurs reprises le Château des Ducs de Bretagne de Nantes de “Château des Ducs de Nantes”.

Le Château des Ducs de Bretagne à Nantes est l’un des plus puissants symboles de l’histoire nationale de la Bretagne. Loin d’être une confusion accidentelle, cette entreprise révisionniste traduit un effort systématique de destruction de l’identité et de l’histoire bretonnes du Pays Nantais par un média d’état français au service de la structure administrative coloniale dont la région artificielle “PdL” est le bras armé.

L’objectif de cette propagande ethnocidaire vise à empêcher l’inéluctable réunification nationale de la Bretagne, plébiscitée année après année par les Bretons du Pays Nantais.

Cet effort ethnocidaire de la part du système médiatique français n’échappe pas au Parti National Breton, ni aux Bretons. La patience de la nation bretonne a ses limites : si ces provocations françaises contre l’identité du Peuple Breton se poursuivent, une réponse politique sera inévitable.

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Piqûres sauvages: à Nantes, Aymen B. (16 ans) et Ahmed M. (41 ans) piquent avec une seringue une femme avant d’être interpellés

Piqûres sauvages: à Nantes, Aymen B. (16 ans) et Ahmed M. (41 ans) piquent avec une seringue une femme avant d’être interpellés

[PRESSE] Le fléau du remplacement de population organisé par l’Etat Français en Bretagne encore une fois illustré à Nantes.

La population nantaise paie le prix de l’administration de la ville par la gauche hexagonale menée par Johanna Rolland.

Le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance de l’ethno-état breton, en rupture radicale avec le régime français, permettra de mettre un terme à la catastrophe migratoire. D’ici là, la spirale de la tiers-mondisation migratoire se poursuivra.

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Michel Marion, héros de l’indépendance bretonne et libérateur de Nantes

Michel Marion, héros de l’indépendance bretonne et libérateur de Nantes

[HISTOIRE NATIONALE DE BRETAGNE] Michel Marion, négociant, armateur et héros de l’indépendance bretonne à l’honneur. Après avoir été armateur, Michel Marion collectait les taxes du port de Quimper, notamment à Locmaria où les Romains avaient déjà développé une petite agglomération portuaire. C’est là qu’il arma un navire pour rejoindre une flotte d’une cinquantaine de vaisseaux afin de porter secours au duc assiégé dans Nantes.

Quartier de Locmaria, Quimper, sur les rives de l’Odet

Lors de la folle guerre entre le duché de Bretagne et le royaume de France, le Quimpérois Michel Marion s’est distingué en armant un navire de guerre pour venir secourir Nantes assiégée. Ce geste lui a attiré le courroux de quelques seigneurs acquis au roi de France, mais également la reconnaissance d’Anne de Bretagne.

En ces années 1486-1487, les menaces s’accumulent sur le duché de Bretagne. Sous le gouvernement de François II, ce dernier n’a cessé de renforcer son indépendance vis-à-vis du royaume de France. Il s’est doté d’administrations modernes pour leur temps. Il possède sa propre armée et une diplomatie.

Mais cette dernière est contingentée par les grands équilibres européens. Or, à cette époque, le royaume de France monte en puissance. Il est sorti vainqueur de la guerre de Cent Ans et l’Angleterre se remet à peine de la guerre civile des Deux Roses, opposant Lancastre et Tudor. À l’est, la France a aussi éliminé la menace bourguignonne, cette puissante principauté qui s’étendait des Flandres au Rhône. Le nouveau roi Charles VIII a désormais des vues sur le duché de Bretagne.

Prétentions du roi de France

Le conflit va partir d’une querelle successorale. À l’issue de la guerre de succession de Bretagne, plus d’un siècle auparavant, les Penthièvre avaient renoncé au duché, mais pouvaient toujours y prétendre si les Montfort n’avaient pas d’héritiers. Or, le duc François II n’a que deux filles et aucun héritier mâle. En 1480, Louis XI avait racheté leurs droits aux Penthièvre. Les juristes bretons arguent que le duché est une terre de franc-alleu, soit une Terre Libre, sa souveraineté ne vient que de Dieu. Ce que contestent les juristes du roi de France qui affirment que la Bretagne a juré hommage à la France. Charles VIII se pose donc en prétendant au duché en cas de décès de François II. L’argent français coule à flot pour acheter de grands aristocrates. Cinq grands seigneurs bretons reconnaissent la légitimité de Charles VIII. L’affrontement militaire est inévitable.

La folle guerre de Bretagne

Château des Ducs de Bretagne, Nantes

En mai 1487, l’armée française pénètre en Bretagne avec plus de 15.000 hommes. À Malestroit, le duc de Bretagne rassemble près de 16.000 hommes, avec 600 lances et de nombreux paysans armés. Mais l’avancée française est fulgurante. Comme nous l’avons vu précédemment, Plusieurs forteresses des Marches tombent, dont Ancenis, Châteaubriant, La Guerche et Redon.

François II s’enfuit vers Vannes puis rejoint Nantes. Nantes était donc assiégée le 19 juin. Michel Marion utilise aussi son argent pour monter une véritable flotte bretonne (notamment avec le Morlaisien Jehan de Coatanlem), ce qui représente une soixantaine de bateaux (120 hommes). Et c’est par un stratagème (il transforme son bateau à l’image d’une des îles de la Loire et arrive par surprise) qu’il casse le siège de la ville. En passant devant le camp des assiégeants, il tire une bordée de ses canons, avant d’aller accoster au port de Nantes et ce Malgré les menaces de certains aristocrates bretons qui penchaient pour le parti français, notamment les Rohan, les Rostrenen, les du Quélennec, il a décidé de se battre pour sa patrie.

Violents combats

Les Cornouaillais vont rapidement s’employer et participer à la majeure partie des combats livrés autour de la ville. Quand on se bat sur l’île de Biesse, le bateau de Marion vient attaquer et bombarder le camp des Français, les forçant à rapatrier des troupes. Les pertes sont importantes, le navire sévèrement touché. La moitié des hommes de Marion perdront leur vie dans l’aventure. Devant la résistance acharnée des Bretons, les Français en difficulté, lèvent le siège de Nantes le 6 août 1487. En se retirant, ils prennent les forteresses de Vitré et Saint-Aubin-du-Cormier. Mais, lors d’une contre-attaque durant l’automne, les Bretons ont repris la grande majorité des places fortes au début de 1488. Ils seront cependant vaincus lors de la bataille de Saint-Aubin, en juillet. Au cours d’un accrochage lors du siège de Nantes, Michel Marion est blessé grièvement. Il meurt peu de temps après, laissant sa fille criblée de dettes, « À ce faire avait employé tout son bien, vendu et aliéné grande partie de ses héritages », dit la chronique. mais après avoir exprimé sa satisfaction du devoir accompli.

Par lettre du 8 décembre, 1490, la duchesse Anne de Bretagne annule la totalité de sa dette, soit 3.000 livres, estimant qu’il n’avait pu exercer ses fonctions de fermier général chargé du recouvrement des taxes dans le port de Quimper. Michel Marion semble représentatif de cette bourgeoisie urbaine et de cette petite noblesse qui avaient au XVe siècle, adhéré au projet indépendantiste des ducs de la maison de Montfort et resteront attachées aux libertés et franchises de la Bretagne sous l’Ancien Régime.

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“Sale Blanc” : à Nantes, un homme lynché par une bande ethnique en pleine rue

“Sale Blanc” : à Nantes, un homme lynché par une bande ethnique en pleine rue

[PNB] La haine des allogènes s’exprime chaque jour plus librement dans les villes bretonnes soumises à la politique de remplacement ethnique organisée par l’Etat Français.

Dernier exemple à Nantes.

Ouest-France :

Il est minuit entre la place du Bouffay et l’arrêt de tram Duchesse-Anne, à Nantes (Loire-Atlantique), ce mercredi soir 6 avril 2022. Un homme discute avec deux femmes. Ça chahute un peu, avec des propos crus et disgracieux entre eux. Un homme, lui aussi avec des amies, s’en émeut, et intervient. Mais il n’aurait peut-être pas dû s’en mêler. Car ce n’est pas du goût du premier homme. « Ta gueule, sale blanc », aurait-il rétorqué au passant, rapporte une source policière. Puis il le frappe et le jette au sol, lui infligeant des coups de pied et coups de poing au visage. Un déferlement de violence sous les encouragements et incitations des deux femmes, qui insultent aussi la victime en tenant un discours raciste à nouveau.

Les amies de l’agressé alertent une patrouille de police, qui retrouve vite les trois suspects grâce au signalement formel des témoins. L’agresseur présumé, 19 ans, fortement alcoolisé, se rebelle à plusieurs reprises lors de son interpellation. Il a été placé en cellule de dégrisement. Les deux femmes, âgées de 18 et 20 ans, sont aussi placées en garde à vue pour « violences volontaires en réunion en raison de l’appartenance de la victime à une race ». L’homme blessé a été transporté par les pompiers au CHU.

Le Parti National Breton entend mettre un terme à cette colonisation extra-européenne en organisant la résistance populaire bretonne dans chaque commune de la Bretagne, jusqu’à la libération complète du pays.

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

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Nantes : le journal Ouest-France félicite les islamistes qui quadrillent désormais les rues

Nantes : le journal Ouest-France félicite les islamistes qui quadrillent désormais les rues

A Nantes, le remplacement de population organisé par l’Etat Français et la municipalité socialo-écologiste aboutit à sa conséquence logique : la prolifération islamiste.

Loin de s’en émouvoir, le média d’état français “Ouest-France” s’en félicite et exhibe triomphalement des allogènes voilées lors de leurs activités politico-religieuses.

Les islamistes ne font rien gratuitement : leur agitation pseudo caritative vise à marquer leur contrôle du territoire et des populations. 

Nantes, comme toutes les villes bretonnes, est gravement menacée par l’invasion islamique. C’est Breizh, notre nation, qui est en péril de mort, menacée d’être entraînée par la France dans sa chute. 

Le Parti National Breton appelle les Bretons a prendre conscience de l’extrême gravité de la situation, à se mobiliser immédiatement à ses côtés pour sauver la terre sacrée de Bretagne de la submersion islamique. Pour cela, une seule solution : nationaliser le peuple breton et briser les forces qui veulent l’anéantir.

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Le Parti National Breton sur la venue de Mélenchon à Nantes : les nostalgiques des meurtres de masse de 1793 n’auront jamais leur place en Bretagne !

Le Parti National Breton sur la venue de Mélenchon à Nantes : les nostalgiques des meurtres de masse de 1793 n’auront jamais leur place en Bretagne !

Le député français Jean-Luc Mélenchon, chef du parti d’extrême-gauche “La France Insoumise”, était à Nantes pour présenter sa candidature aux élections présidentielles hexagonales de 2022.

A cette occasion, celui qui a régulièrement fait part de son hostilité de principe à l’existence de la culture et la langue bretonnes a répété sa volonté d’écrasement des peuples de souche européenne par le recours à l’immigration de remplacement et de dilution. Ce que Jean-Mélenchon appelle pudiquement la “créolisation”.

Puisque le natif du Maroc Jean-Luc Mélenchon évoque Marseille en la désignant comme modèle de l’avenir qu’il souhaite imposer aux Bretons, soulignons que cette ville est peu “métissée” car de plus en plus algérienne et islamique, exclusivement.

Les Bretons ne doivent pas s’y tromper. Les allusions et les euphémismes masquent à peine l’idée fixe de la gauche grand-jacobine hexagonale : le génocide à bas bruit des peuples réels par le nivellement biologique. Derrière les discours sibyllins aux accents volontiers génocidaires pour qui sait tendre l’oreille, Mélenchon instrumentalise cyniquement des immigrés extra-européens pour sa politique d’anéantissement par remplacement.

Issu du courant trotskiste férocement hostile au peuple breton de Pierre Boussel-Grinberg, Mélenchon est membre du Grand Orient de France, une organisation maçonnique notoirement nostalgique des égorgeurs de 1793 qui ont livré la Vendée au génocide et Nantes aux noyades de masse (novembre 1793 – février 1794) sur ordre des terroristes de la Convention. 

Par ces déclarations de principe guidées par une idéologie nihiliste qui a déjà largement semé la mort en Bretagne, Mélenchon s’inscrit dans une politique constante de destruction des spécificités ethno-culturelles de la Bretagne propre à son courant politique. Afin d’atteindre cet objectif et faute de troupes fraîches, il s’allie publiquement avec les organisations islamistes les plus radicales pour réaliser l’union de la guillotine des Sans-Culottes et du Cimeterre des Djihadistes.

Mais leurs précurseurs ont déjà démontré la nature de leurs intentions vis-à-vis du peuple breton et depuis les Bretons ont appris de l’histoire.

Le Parti National Breton rappelle l’évidence : la clique mélenchoniste et ses agitateurs marxistes, pâles imitateurs de Robespierre et de ses assassins, ne seront jamais les bienvenus en Bretagne. Le Parti National Breton combattra ses remugles ennemis de la Bretagne inspirés de Carrier, Fouché et Barrère jusqu’à leur expulsion complète du territoire national breton.

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