“France dégage !” : Le Parti National Breton se félicite de l’expulsion de l’ambassadeur de France au Mali

“France dégage !” : Le Parti National Breton se félicite de l’expulsion de l’ambassadeur de France au Mali

Le Parti National Breton se félicite de l’expulsion de l’ambassadeur de France au Mali ordonnée par le gouvernement malien. Cette décision renforce la souveraineté malienne, constamment menacée par les projets impérialistes de l’Etat Français dans ce pays, et en Afrique de l’Ouest plus largement.

Le Parti National Breton entend œuvrer de la même façon à la fin de présence militaire française en Bretagne, en particulier des bases de Lorient et de Brest, tout aussi illégitime et illégale. 

Breizh Atav !

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Crise du logement en Bretagne : les bourgeois socialistes de l’UDB proposent “d’accueillir tout le monde”

Crise du logement en Bretagne : les bourgeois socialistes de l’UDB proposent “d’accueillir tout le monde”

Le peuple breton affronte une véritable colonisation de peuplement, au point où, en 2022, seulement 70% des quelques 4,8 millions d’habitants en Bretagne sont des Bretons. Cette colonisation de peuplement revêt deux dimensions :

  • par le haut, avec la prédation de la bourgeoisie française sur le littoral,
  • par le bas, avec l’immigration extra-européenne, organisée par l’Etat Français, qui menace à moyen terme l’existence même de notre peuple sur sa terre

C’est dans ce contexte d’évincement territorial du peuple breton que la crise du logement en Bretagne devient paroxystique, avec une envolée des prix de l’immobilier privé et une priorité des migrants extra-européens pour l’accès au logement social, comme à Saint-Nazaire où plus de 70% des individus inscrits sur les listes d’attente sont des allogènes candidats à la colonisation de notre pays.

La conseillère sociale-bourgeoise Aziliz Gouez (UDB) veut aider la bourgeoisie française à s’emparer des terres bretonnes au rythme de 400,000 colons d’ici 2040

Face à cette crise, les élus socialistes-bourgeois de l’UDB au Conseil Régional de Bretagne assurent qu’il faut accueillir “tout le monde” mais “dans de bonnes conditions”, bourgeois français en tête (lire ici) !

Cette position est parfaitement conforme avec la conception purement matérialiste et utilitariste de la Bretagne qu’ont ces promoteurs immobiliers de gauche qui proposent au peuple breton, moyennant des aménagements de détail, de servir d’aides à domicile et de laquais accueillants aux 400,000 candidats à la colonisation que l’Etat Français entend installer en Bretagne d’ici 2040.

Le Parti National Breton quant à lui a une conception radicalement différente : la terre de Bretagne n’est pas une colonie ou un hôtel, ni un ensemble de lots mis à la vente au plus offrant, c’est un pays qui appartient au peuple breton et à lui exclusivement. Le peuple breton n’a pas à “s’adapter” à la colonisation ou à l’impérialisme de la bourgeoisie française, il doit s’en émanciper intégralement en remportant la lutte de libération nationale.

Sous couvert de bons sentiments cosmopolites, les conseillers régionaux de l’UDB se font une nouvelle fois les facilitateurs de la bourgeoisie française en n’opposant aucune résistance sérieuse et articulée à la colonisation de peuplement.

Le Parti National Breton, par sa conception nationale de la Bretagne, engage pour sa part une lutte de rupture avec l’état bourgeois français et son projet colonial en Bretagne. Il veut restaurer l’Etat Breton et sa pleine souveraineté, condition essentielle de la défense les droits nationaux du peuple breton en Bretagne contre la prédation de la bourgeoisie française dont il est la cible.

Contrairement aux politiciens de la bourgeoisie franco-bretonne, le Parti National Breton n’entend pas “accueillir tout le monde” pour satisfaire les partisans du colonialisme français, mais bien expulser les étrangers indésirables qui transforment la Bretagne en colonie de peuplement et évincent le peuple breton de sa terre. Il n’entend pas “aménager” la perte de la dignité de son peuple, mais la raffermir en redonnant la terre de Bretagne aux Bretons.

C’est pour cela que le Parti National Breton, dans ses 12 exigences d’application immédiate, exige :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton rappelle que la bourgeoisie franco-bretonne, notamment socialiste, sera toujours solidaire de la bourgeoisie française et qu’elle évitera constamment de nuire sérieusement à ses intérêts. La jactance régionalisante et réformiste de cette bourgeoisie franco-bretonne est le paravent de cette alliance de classe contre le peuple breton pour l’empêcher de s’émanciper de la tutelle française.

Par son slogan “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton pose l’affrontement entre le peuple breton et la bourgeoisie française dans sa dimension nationale et décoloniale. Il clarifie la situation politique et démasque l’opposition factice à la présence française en Bretagne dont elle est le produit.

Que ce soit les bourgeois venus de France ou leurs esclaves de fraîche importation, le Parti National Breton les chassera sans ménagement pour rendre la Bretagne aux Bretons.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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/|\ Aet eo Guy Flégeo d’an anaon

/|\ Aet eo Guy Flégeo d’an anaon

Suite à la disparition du patriote breton Guy Flégeo /|\, connu comme le Druide de Saint-Jacques, le Parti National Breton présente ses condoléances à sa famille et à ses proches.

Vétéran du Front de Libération de la Bretagne, activiste de la cause panceltique, indépendantiste affirmé, Guy Flégeo était une figure attachante et originale de l’Emsav. Bien que druide, Guy se plaçait sous la protection de l’Abbé Yann-Vari Perrot, son père spirituel.

L’esprit de Guy Flégeo restera attaché à Bannalec dont il a marqué l’histoire. Il a maintenant rejoint Avalon, l’île de l’éternelle jeunesse, d’où il continuera de soutenir Breizh. Que l’hydromel divin lui soit doux.

Kenavo Guy !

 

Note : Un dernier hommage sera rendu à Guy mardi 1er février, à 10 h 30, à l’Espace funéraire Lucas à Scaër.

Colonisation parisienne à Perros-Guirec : le Parti National Breton appelle à briser l’insolence des spéculateurs étrangers

Colonisation parisienne à Perros-Guirec : le Parti National Breton appelle à briser l’insolence des spéculateurs étrangers

Le Parti National Breton dénonce depuis sa fondation la colonisation de peuplement qui frappe Breizh, que ce soit par le haut, au profit de la bourgeoisie hexagonale, ou par le bas, au profit de l’immigration du tiers-monde importée par cette même bourgeoisie. Le peuple breton est ainsi progressivement évincé de ses terres, tout particulièrement sur son littoral.

Le dernier scandale en date, à Perros Guirec, illustre cette situation dramatique. Madame Jeanne Le Goff, 94 ans, est victime des brimades que lui fait subir un colon de Paris.

Jeanne Le Goff

Ouest-France :

À 94 ans, Jeanne Le Goff, habitante de Perros-Guirec (Côtes-d’Armor), se retrouve isolée depuis que le passage qu’elle empruntait sur la propriété de son voisin lui a été interdit. Deux portails et des caméras ont été installés. Le voisin rétorque qu’il y a d’autres accès.

Dans un petit hameau de Perros-Guirec (Côtes-d’Armor) se trouvent deux maisons mitoyennes. Jeanne Le Goff, 94 ans, habite dans l’une d’elles depuis 1949. Son voisin, installé en région parisienne, occupe l’autre maison, comme résidence secondaire, depuis 2007. Depuis quelques mois, leurs relations se sont fortement dégradées.

À l’origine du conflit, une servitude de passage passant par la propriété du voisin pour rejoindre celle de Jeanne. Un petit chemin, qui relie la route à la cour. À l’extérieur de cette cour se trouve un muret délimitant les deux propriétés.

Alors que Jeanne et sa famille utilisaient ce passage sans que le voisin ne dise mot, il décide, cet été, d’installer deux portails. L’un au niveau de la route, l’autre au niveau du muret. Empêchant donc la nonagénaire d’emprunter ce chemin, de chez elle ou de l’extérieur. À cela s’ajoute l’installation de quatre caméras de surveillance.

Pour la famille Le Goff, l’incompréhension et la colère dominent : “Notre maman se retrouve tout d’un coup totalement isolée et emmurée. Ce droit de passage, c’était le seul moyen viable et pratique pour accéder et sortir de sa propriété ! Elle n’a plus quitté son domicile depuis l’installation de ces deux portails.

Désormais, il lui faut contourner la propriété. Le hangar, qui appartient à Jeanne, permet d’accéder au jardin. Il faut ensuite emprunter un passage assez étroit entre la maison et un bâtiment annexe pour rejoindre la cour. Toute seule, je ne peux pas, j’ai peur de glisser dans l’herbe », ​témoigne Jeanne, émue.

Le cœur du problème, outre l’émoi que suscite l’isolement d’une personne âgée, réside dans le droit foncier. Dans l’acte de vente signé en 2007, le droit de passage est mentionné. La servitude est donc bafouée​, estiment les plaignants. L’affaire sera examinée par le tribunal de Saint-Brieuc jeudi 27 janvier.

Pour maître Cockenpot, défenseur du Francilien, la servitude n’existe tout simplement pas. La famille Le Goff fait pourtant valoir deux documents de 1850 et 1904, stipulant le caractère inaliénable ​de la servitude par destination du père de famille.

La partie adverse écarte ces documents qu’elle juge illisibles​. Elle estime que le notaire aurait codifié, par erreur » le droit de passage dans l’acte de vente en 2007 ».

​Mais pourquoi fermer le passage quinze ans après la signature ? Madame Le Goff a 94 ans. Les soins infirmiers ainsi que les allers-retours incessants de sa famille provoquent un ballet de voitures. Cela nuit à la tranquillité de mon client, justifie l’avocat. ​D’autant plus qu’il existe d’autres chemins pour accéder à la propriété et les terres environnantes sont la propriété de la famille Le Goff. Sa maison est loin d’être enclavée.

Quant aux caméras, il assure qu’elles ne filment que la voirie et la propriété de mon client, en aucun cas celle de Jeanne Le Goff. Nous avons déclaré ces caméras à la gendarmerie !

Encore en Ile-de-France, le voisin entend s’installer définitivement dans sa maison une fois à la retraite. Il a d’ailleurs entrepris la construction, il y a peu, d’un nouveau mur, dans ses terres. Évidemment, cela bouche un peu plus la vue depuis la cour de ma mère. C’est de l’emmurage pur et simple…​, constate, dépité, Christian Le Goff.

Ce cas illustre l’arrogance des colons français en Bretagne.

Parmi ses 12 mesures d’application immédiate, le Parti National Breton exige :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord. 

Le Parti National Breton proclame que l’Etat Breton ne reconnaît par principe aucun titre de propriété foncière prétendument possédé par un ressortissant français en Bretagne. Ces titres, réalisés par l’autorité d’occupation française, sont nuls et non-avenus, l’Etat Breton étant l’unique autorité légitime pour la délivrance et la reconnaissance de tels titres.

Le Parti National Breton proclame que l’Etat Breton se réservera le droit souverain de recouvrer par saisie les biens mobiliers et immobiliers acquis indument lorsque le peuple breton était en état de sujétion. 

Le Parti National Breton assure Madame Jeanne Le Goff de son soutien total et il indique qu’il entend agir sur le terrain contre la colonisation de peuplement pour rendre la Bretagne aux Bretons.

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Nantes : L’adjoint au maire écolo-socialiste Tristian Riom défile aux côtés de miliciens de gauche qui saccagent le centre-ville

Nantes : L’adjoint au maire écolo-socialiste Tristian Riom défile aux côtés de miliciens de gauche qui saccagent le centre-ville

Vendredi 21 janvier 2022, des miliciens de gauche défilaient dans les rues de Nantes aux côtés de l’adjoint au maire écolo-socialiste Tristan Riom.

La capitale de la Bretagne a été progressivement défigurée sous l’action de la municipalité sociale-démocrate nantaise et de ses acolytes d’extrême-gauche. Désormais sixième ville la plus dangereuse d’Europe, Nantes a été largement repeuplée d’allogènes, lesquels charrient naturellement le crime comme la nuée porte l’orage. Pour parfaire une situation déjà désastreuse, l’impunité des émeutiers de gauche y est la règle grâce à l’appui de la mairie nantaise.

En défilant aux côtés du pouvoir municipal, les miliciens antifas démontrent une nouvelle fois qu’ils ne sont que les nervis de l’ordre socialiste-bourgeois français dont Johanna Rolland et son équipe sont l’incarnation à Nantes.

Le Parti National Breton entend reconquérir entièrement la capitale de notre nation, procéder au nettoyage à grande échelle qui s’impose dans cette ville et en terminer avec la chienlit sociale-démocrate qui y sévit depuis trop longtemps. La gauche impérialiste française doit être chassée de Bretagne, peu importe le temps qu’il faudra.

Breizh Atav !

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Brest : Nouvelles émeutes raciales sur fond de trafic de drogue, la municipalité socialiste et l’Etat Français coupables !

Brest : Nouvelles émeutes raciales sur fond de trafic de drogue, la municipalité socialiste et l’Etat Français coupables !

Le Parti National Breton dénonce les nouvelles émeutes raciales qui ont touché l’enclave afro-musulmane de Pontanézen, à Brest. 

LES FAITS. A l’occasion d’un contrôle d’identité menée par des policiers français dans l’enclave afro-musulmane de Pontanézen, un gang composé de dealers allogènes a violemment riposté, incendiant au passage un véhicule lors de leur tentative de fuite.

LA SITUATION. Ces émeutes raciales sont désormais régulières à Brest, conséquence logique de la politique de remplacement migratoire imposée par l’Etat Français dans toutes les villes de Bretagne. Soutenue par la municipalité contrôlée par le socialiste français François Cuillandre, cette politique transforme la ville de Brest en coupe-gorge aux mains des trafiquants allogènes, généralement musulmans et de plus en plus souvent liés aux réseaux salafistes dont le plus éminent à Pontanézen est l’imam Rachid Abou Houdeyfa.

LA DESINFORMATION. Les médias d’état français, Le Télégramme et Ouest-France en tête, désinforment activement le peuple breton sur l’origine ethno-religieuse du crime endémique qui accompagne la politique de remplacement démographique organisée par l’Etat Français. Aucun article ne mentionne l’origine ethnique des émeutiers ou des trafiquants impliqués.

Contre la censure imposée par l’Etat Français et ses médias, le Parti National Breton souligne qu’une seule et unique solution sera de nature à ramener l’ordre et la paix civile à Brest : l’expulsion des étrangers indésirables vers leur état de tutelle, la France.

Dans ses douze exigences d’application immédiate pour la Bretagne, le Parti National Breton exige :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Le Parti National Breton emploiera toute son énergie pour régler définitivement la crise engendrée par la submersion migratoire qu’impose l’Etat Français en Bretagne. Il appelle à cette fin tous les Bretons à le rejoindre pour solder cette question.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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