Niger : l’impérialisme français baisse le masque

[PNB] L’État français maintient son armée au #Niger contre la volonté de ce pays et agit à présent comme puissance occupante.

La radicalisation de l’impérialisme français en Afrique démontre que la France n’a pas abandonné ses illusions coloniales.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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10 août 1512 : le traître Porzmorguer sombre avec la flotte française

[BREIZH] Le 10 août 1512, le félon Porzmorguer à la solde des Français arme contre les Anglais le navire amiral de la flotte bretonne La Cordelière, initialement construit pour combattre la France.

Le traître Porzmorguer est écrasé et sombre avec 1,200 marins.

“Treitour ha! mallozh dit!”

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Il est temps de chasser l’armée française des évènements culturels bretons !

[AN ORIANT] Les comiques troupiers de l’occupant se servent de nos évènements culturels pour faire la propagande de l’impérialisme français et de son armée.

Il est temps de faire comprendre à ces gens qu’ils doivent retourner en France.

AR C’HALLAOUED ER MAEZ !

 

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Servir la France quand on est breton, c’est trahir son honneur et sa patrie !

[PNB] Pour la plus grande honte de la nation bretonne, on ne compte plus le nombre de Bretons qui ont choisi de servir notre ennemie mortelle qu’est la France et son armée. Comble de l’aliénation coloniale, certains s’en flattent.

Quand on est breton, servir la France mène à la mort et à l’oubli, cette vérité a été amplement démontrée à travers l’histoire : hormis le renégat Duguesclin, qui se souvient des innombrables Bretons stupidement morts pour cette vieille prostituée qu’est la France ?

La France n’honore que les escrocs et ses propres traîtres. La loyauté aveugle, comme celle du chien, avec une pareille garce n’est rétribuée que par les rires et les sarcasmes des Français qui ne se reconnaissent que dans la canaille. 

Que les Bretons servent Breizh, la Bretagne, leur patrie, et non la mère maquerelle française, qui l’a ruinée, et leur vie comme leur mort auront un sens.

Une seule voie : Bretagne libre, fière et forte, enfin débarrassée du chancre français.

Bro C’hall, gwalleur dit!

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Festival Interceltique : folkore et gestion coloniale de la Bretagne occupée par l’Etat français

[PENNAD STUR] Le Festival Interceltique de Lorient, dit des “nations celtes”, était censé à l’origine redonner sa fierté à la nation bretonne dans le cadre plus large d’un panceltisme luttant pour la libération de tous les peuples celtes. Après plus de 50 ans, l’exercice, dont l’intention des initiateurs comme Polig Monjarret, nationaliste breton, était louable et ambitieuse, est un échec.

Ce festival n’est désormais qu’un sous-développement du divertissement massifié qui affecte la Bretagne contemporaine à l’heure du tourisme à grande échelle. Le festival interceltique n’affirme pas la nationalité bretonne, ni une quelconque ambition nationale, donc politique, pour la Bretagne, aucune action d’ampleur n’y est entreprise en langue bretonne pour la langue bretonne, aucune des grandes questions qui se pose à la nation bretonne n’y est formulée, ou seulement en timides pointillés de peur d’irriter le maître français.

Au contraire, le FIL exprime l’intégration de la Bretagne dans l’économie hexagonale en tant que colonie touristique où l’animation culturelle est orientée vers le public hexagonal en villégiature estivale. Les Bretons s’y exhibent dans toute leur soumission et non dans leur rébellion. Si tel n’était pas le cas, le FIL aurait lieu au mois de janvier et non au mois d’août. Nous n’y verrions pas non plus l’odieux pseudo “bagad” de Lann Bihoué, composé de renégats à la botte de l’armée française occupante.

L’évènement est si peu subversif pour l’Etat français, puissance coloniale rappelons-le, qu’il a pu nommer directement un préfet du régime français à la tête de son organisation, Jean-Paul Kihl, tandis que la Libanaise en charge du ministère français de la culture d’état vient s’y pavaner, bien que ce même régime ne débourse aucun centime pour ce festival, contrairement aux 13 millions d’euros alloués au festival d’Avignon.

La Bretagne souffre de sa complaisance pour le simulacre folklorique, fétichisme qui sert à donner aux masses bretonnes le change de la perte de leur culture d’état. Le FIL est ce que l’on appelle du folklore, dans le mauvais sens du terme. Il n’exprime pas une réalité intérieure nationale, mais un ajout théâtralisé cantonné aux marges de la société française en Bretagne. Il participe de cette à la gestion coloniale de la Bretagne comme dépendance du cadre étatique hexagonal, pas de l’émancipation de la nation bretonne.

Dans la réserve des “Indiens d’Armorique” qu’est la Bretagne, nous avons besoin de moins de bretonneries dansantes à destination des pékins français et de davantage de sérieux historique, c’est-à-dire de gravité politique. Beaucoup plus de nationalisme, un peu moins de biniou et Breizh, notre patrie, s’en portera infiniment mieux face à l’Etat français qui lutte chaque jour pour détruire notre peuple.

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Apologie de l’impérialisme linguistique français dans le média d’état “Le Télégramme”

[PNB] Le journal d’état français “Le Télégramme” a produit un éditorial au ton impérialiste délirant, adressé aux Bretons, glorifiant “l’unité” du régime hexagonal par l’écrasement linguistique. On y apprend, dans notre pays où la langue bretonne est écrasée, que l’urgence intimée aux Bretons est de défendre la langue française.

Cet article pue toute l’arrogance d’un état factice, et chez nous étranger, qui se raccroche à ses vieilles légendes pour conjurer l’implosion de la pseudo “Une et Indivisible” sous la pression des bouleversements ethno-démographiques actuels.

Rappelons l’évidence : la France, comme puissance, est finie. Le 21e siècle l’enverra au cimetière des empires et pour la Bretagne, l’heure est à la renaissance nationale.

“Le Télégramme”, journal colonial produit par des vieux fransquillons et pour des vieux fransquillons, accompagne depuis des décennies la destruction du breton par l’État français pour asseoir la suprématie de la bourgeoisie parisienne sur notre pays. Cela pouvait suffire au 19e siècle face à un Peuple breton assujetti, soumis et châtré, mais plus aujourd’hui.

Face à une France qui n’est que synonyme d’anarchie, de répression et de régression, les Bretons ont regagné leur fierté ethnique qui ne demande plus qu’à devenir fierté et émancipation nationales. Le chauvinisme tricolore ne fait plus recette en terre bretonne et rien ne peut plus l’inverser.

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PODCAST : sortie de Mouezh Ar Vroad n°9 (Mois d’août)

PODCAST : sortie de Mouezh Ar Vroad n°9 (Mois d’août)

[MOUEZH AR VROAD] Le nouveau numéro de Mouezh Ar Vroad est sorti.

Le programme : 

00:00 Générique
00:41 Introduction
02:28 Actualité : Algues vertes, méga bassines et éoliennes
26:51 Pause Musicale : Enez Imma
31:15 Politique : Ecologie nationaliste
54:56 Pause musicale : Tan ha Dour
58:17 Culture : Bref aperçu des richesses naturelles de Breizh
1:11:22 Conclusion
1:16:30 Générique

 

4 août 1532 : le coup d’état et l’annexion de la Bretagne par la France

[BREIZH] La Bretagne est légalement sous occupation française. Si cette réalité à elle seule ne suffit pas restaurer l’indépendance de la Bretagne, elle rappelle aux Bretons leur situation de nation occupée et leur droit inaliénable à l’autodétermination. Rappeler cette vérité de droit est une nécessité majeure face à la propagande d’état française qui présente encore cette annexion sanglante comme une “union” pacifique, ce d’autant plus que la marâtre française n’hésite jamais à se présenter comme garante du droit internationale.

Les Bretons ne sont pas français, ne l’ont jamais été, et si la répression et la propagande françaises ont tenté de le faire croire, l’entreprise est nulle et non avenue. Que l’on se rappelle la mort effroyable de 6,000 soldats bretons et alliés gallois, flamands, allemands pour la défense de l’indépendance bretonne.

Le texte suivant du Docteur Louis Mélennec rappelle que le 4 août 1532 fut un coup d’état français contre le gouvernement breton :

Trente années d’occupation effective du Duché par la France, annexé en fait, indépendant en droit, trois mariages franco-bretons (la duchesse Anne épouse deux rois de France en 1491, puis en 1499 ; sa fille Claude épouse François Ier, successeur de Louis XII, en 1515), n’ont guère avancé les affaires de la France en Bretagne : le pays est toujours souverain, en attente que le légitime héritier du trône soit couronné, en qualité de « seigneur naturel » de la Nation ; les Français ne font que tenir les leviers de commande, ce qui n’est pas la même chose : ils sont détestés, comme ils l’ont toujours été.

Les Bretons attendent l’évènement qui va permettre de se débarrasser de cette plaie : chasser les Français. A défaut d’avoir pu porter sur le trône de Bretagne Renée de France, soeur de la Duchesse Claude, deuxième enfant d’Anne de Bretagne et de Louis XII, les Bretons réclament Henry pour Duc, par acte notarié, dès la mort de sa mère la Duchesse Claude, car ils ne veulent en aucun cas pour souverain un prince étranger, surtout pas d’un prince français héritier du trône de France : si une telle hypothèse se réalisait, c’en serait fait de l’indépendance bretonne : la Bretagne serait ipso facto annexée par l’ennemi héréditaire. Ce que la Duchesse Anne, politique fine et avisée, avait toujours su, et voulu éviter avec une détermination féroce, jusqu’à son dernier souffle.

Les choses vont tourner autrement, à la grande colère des Bretons, exceptés les complices de l’opération et de ceux qui, pris dans les nasses françaises, menacés dans leurs biens, dans leurs familles, dans leurs perspectives de faire carrière honorable, ne peuvent se dégager des pressions dont ils sont victimes.

En 1532, avec le concours et sous l’effet des manipulations et des pressions exercées par le corrompu cardinal Duprat, Premier ministre-Chancelier de France, un faux « Traité » est censé être conclu entre les Bretons et le Roi de France, à Vannes.

C’est, en réalité, une imposture :

– Le roi François Ier de France se transporte en Bretagne, en mai 1532, dans un apparat impressionnant et menaçant, entouré de sa Cour (12,000 personnes, 12,000 chevaux), avec plusieurs milliers de soldats. Le Parlement général de Bretagne (les Etats de Bretagne) est convoqué à Vannes. Il se réunit le 4 août, dans un climat de peur et de frayeur. Le roi de France se loge avec les principaux de son entourage, au château de Suscinio, résidence d’été des ducs, prêt à intervenir en cas de nécessité.

– Aucune négociation n’est instaurée entre le roi de France et les délégués Bretons. Ceux – ci ne sont pas admis à nommer des ambassadeurs, ni à se mettre autour d’une table pour discuter les termes d’un accord éventuel. Plusieurs d’entre eux sont convoqués à Chateaubriand, ou le roi François Ier réside quelques jours, non pour élaborer un quelconque « traité », mais pour arrêter les détails de l’opération d’annexion, en la travestissant sous l’aspect d’un faux accord bilatéral, c’est à dire d’un traité apparent.

– Aucun texte commun n’est rédigé par les Bretons et les Français. Surtout pas ! Les Bretons veulent le départ des Français. Les Français ne veulent qu’une seule chose : dévorer la Principauté Haute et Noble de Bretagne.

– Les Bretons sont placés devant le fait accompli, sans aucun vote. Le 4 août, les députés, effrayés, sont convoqués à Vannes; la séance n’est pas dirigée par l’évêque de Vannes, président de droit, mais par Montejean, haut militaire français, qui se présente armé et botté. La séance est houleuse. On donne lecture publiquement d’une déclaration, aux termes de laquelle les Bretons sont censés solliciter, humblement, la réunion perpétuelle de la Bretagne avec … son ennemi millénaire, la France. C’est un scandale. Montejean, irrité par l’opposition des délégués de Nantes, descend de sa tribune, pour tenter de les rosser.

– Quelques jours plus tard, le roi de France promulgue un Edit, décrétant que le roi français a accepté la « prière » des Bretons, et que désormais, la Bretagne et la France sont unies indissolublement. Les Bretons n’ont rien sollicité, rien demandé, rien voté. Leur vœu le plus sûr – en dehors quelques seigneurs qui acceptent de se laisser corrompre, quelques évêques français nommés en Bretagne depuis la mort d’Anne de Bretagne, décédée dix-huit ans auparavant, et autres collabos -, est que les Français quittent le pays. Fait capital, le texte censé instrumentaliser ce prétendu Traité, est un édit, c’est à dire, non un acte bilatéral rédigé en commun par les deux parties, authentifié par leurs signatures, mais un acte unilatéral, rédigé et promulgué par la France seule : en d’autre termes, c’est une loi française, sans effet juridique possible en Bretagne, pays souverain.

L’imposture du mois d’août 1532, longtemps considérée comme un accord entre deux puissances souveraines, est aujourd’hui analysée clairement comme ce qu ‘elle est : un montage imposé par la France, sous la menace, dont la seule évocation indigne toute la Bretagne cinq siècles plus tard.

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Montoir-de-Bretagne : des colons français dénoncent le maire à la police du régime pour avoir arboré le drapeau breton sur la mairie

Montoir-de-Bretagne : des colons français dénoncent le maire à la police du régime pour avoir arboré le drapeau breton sur la mairie

[PNB] Dans le pays nantais, Thierry Noguet, maire de Montoir-de-Bretagne, a été dénoncé à la police française en raison du drapeau national breton arboré par la mairie !

Saint-Nazaire News

La position de la Loire-Atlantique en Bretagne ou non, n’a pas fini d’agiter pros ou antis rattachement. Et la position des drapeaux non plus… C’est la désagréable expérience vécue par Thierry Noguet, maire de la commune de Montoir-de-Bretagne en Loire-Atlantique, pour ne pas avoir respecté à la lettre le protocole.

Après avoir flotté en position centrale sur le parvis de la mairie, le drapeau breton a sagement retrouvé une place plus règlementaire. « Nous l’avions mis au milieu. Or dans le protocole, quand 3 drapeaux sont présents, le drapeau français doit occuper la place centrale. Des gens “bien intentionnés” ont téléphoné au commissariat de Saint-Nazaire » témoigne Thierry Noguet. Que dit la loi ? « les couleurs nationales tiennent la place d’honneur » dictent les textes. Au commissariat de Saint-Nazaire aussi c’est l’étonnement, mais devant l’insistance des délateurs, une action est engagée.

On frise l’incident diplomatique ! Les renseignements territoriaux entrent donc en jeu, et interviennent auprès du maire pour lui demander de respecter ni une ni deux la loi française. Le maire de Montoir-de-Bretagne s’est exécuté, mais a tenu à garder un souvenir de tout cet épisode. « J’ai laissé ma photo de profil Facebook avec le drapeau breton au milieu » s’amuse-t-il. 

Les colons français sentent la situation leur échapper dans le Pays Nantais où le sentiment national breton s’affirme toujours plus, ce qui se traduit par un vaste mouvement d’opinion en faveur de la réunification de la Bretagne. Leurs appels désespérés à l’État français n’y changeront rien. Le moment viendra où c’est le drapeau de l’occupant sera définitivement baissé partout sur le sol breton.

 

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