Le PNB dénonce comme illégitime l’extension à 64 ans de l’âge du départ à la retraite des travailleurs bretons !

Le PNB dénonce comme illégitime l’extension à 64 ans de l’âge du départ à la retraite des travailleurs bretons !

[PNB] Le Parti National Breton dénonce comme illégitime l’extension à 64 ans de l’âge du départ à la retraite des travailleurs bretons imposé par le régime de Paris.

Une nouvelle fois la classe active bretonne est ciblée par la bourgeoisie française. La Bretagne doit avancer vers son indépendance nationale pour régler à la racine la crise démographique qui est à l’origine de l’implosion du système de retraite.

Sans la politique de reconquête démographique exigée par le Parti National Breton, la dénatalité continuera de gravement nuire à l’équilibre social et économique de la Bretagne, l’émigration de la jeunesse bretonne s’aggravera et la grande bourgeoisie française continuera d’imposer l’immigration extra-européenne pour assouvir sa soif de profits à court terme, quitte à détruire le socle ethno-culturel millénaire de notre nation.

Breizh Atav !

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Langue corse interdite à l’Assemblée de Corse : le Parti National Breton dénonce la fuite en avant d’un régime colonial en bout de course

Langue corse interdite à l’Assemblée de Corse : le Parti National Breton dénonce la fuite en avant d’un régime colonial en bout de course

[PNB] L’Etat français, par ses tribunaux et à l’initiative de l’ancien gouverneur colonial en Corse, Pascal Lelarge, a ordonné l’interdiction de l’usage de la langue corse lors des débats au sein de l’assemblée dite “territoriale” de l’île.

“Cette décision de justice et sa motivation ne font que confirmer la nécessité absolue d’une révision constitutionnelle, notamment pour garantir à la langue corse le statut de coofficialité, condition indispensable de sa survie et de son développement” ont réagi les élus nationalistes corses.

Pour le Parti National Breton, cette attaque frontale contre la nation corse initiée par le régime colonial français s’inscrit dans l’offensive générale contre l’ensemble des peuples encore sous occupation française. Qu’il s’agisse de la Kanaky, avec le sabotage par Paris du référendum d’autodétermination, de la campagne contre le drapeau national breton dans le Pays Nantais instiguée récemment par le parti présidentiel français ou de cette interdiction prononcée contre la langue corse, l’Etat français, gravement fragilisé par sa balkanisation migratoire, redouble d’agressivité contre les nations autochtones dont elle redoute la libération prochaine.

Le régime putréfié de Paris mènera jusqu’au bout sa guerre d’éradication contre les nations qui existaient avant lui et dont il craint de plus en plus, pour de bonnes raisons, qu’elles ne lui survivent. Ces attaques, loin de témoigner d’une position de force, démontre la précarité de la position de l’état colonial et la nécessité d’intensifier les efforts pour briser l’impérialisme français partout où il sévit encore même si ses jours sont comptés.

Le Parti National Breton exprime sa pleine solidarité avec le mouvement national corse ainsi que sa confiance dans la victoire finale du Peuple Corse contre l’oppresseur français.

Breizh Atav !

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Gwitreg (Vitré) : le groupuscule adepte du patois français “gallo” détruit les panneaux en langue bretonne

Gwitreg (Vitré) : le groupuscule adepte du patois français “gallo” détruit les panneaux en langue bretonne

[PNB] A Gwitrez (Vitré), les panneaux en langue bretonne récemment installés par la municipalité ont été ciblés par la poignée d’adeptes du patois français dit “gallo”, aujourd’hui disparu mais utilisé pour justifier une campagne de vandalisme contre la langue bretonne en Bretagne.

Actu.fr :

Durant le week-end des 4 et 5 mars 2023, six panneaux d’entrée et de sortie de ville indiquant le nom de Vitré en breton (Gwitreg) ont été volés.

« Cela concerne trois panneaux d’entrée et trois panneaux de sortie de ville, route de Janzé, Balazé et Laval », précise la Ville.Un préjudice d’un montant supérieur à 1000 euros pour laquelle la Ville de Vitré a porté plainte. « Il s’agit d’un délit qui expose les auteurs à une amende voire à une peine d’emprisonnement », rappelle la maire, Isabelle Le Callennec.

Ces panneaux en breton avaient été installés en janvier dernier à cinq entrées de ville, dans un premier temps : route de Janzé, route de Laval, route d’Erbrée, route de Balazé et route d’Argentré.

L’agitation patoisante, limitée dans les faits à une poignée de marginaux, est le relais du latinisme franco-angevin, front ouvert sur les arrières bretons, dont la finalité est d’entraver le réveil de la conscience celtique de la Bretagne orientale pour l’encager dans le cadre de l’état hexagonal. Cet effort est répliqué ces dernières semaines dans le Pays Nantais contre le drapeau national breton.

Pour le Parti National Breton, cette agitation frontalement anti-bretonne est aussi logique que prévisible. Forme mal orthographiée de français rural jadis parlé dans l’ouest de la France, le patois gallo a été ces 20 dernières années promu par des niais issus de la gauche régionaliste, pétrie de relativisme et de misérabilisme culturel. Cette promotion a permis de mettre sur le même plan rhétorique et politique la langue brittonique et un parler français. Le rapport de force national créé par l’Emsav entre langue bretonne d’une part et langue française d’autre part est remis en cause grâce à la confusion engendrée. Embourbé dans un débat absurde entre la survie de la dernière langue celtique du continent et un patois de ferme disparu, le français d’état, dominant partout, ressort vainqueur, faute d’un opposant de sa stature politique et symbolique.

Enhardis par cette erreur politique grossière, les intérêts français hostiles à la langue bretonne entendent empêcher la diffusion et l’enseignement du breton dans la moitié de la Bretagne au profit du patois “gallo” qui, par ailleurs, ne rencontre aucune demande sociale. Aucun Breton ne veut en effet apprendre une forme de français rural fleurant bon le fumier quand le français unifié, langue de culture et d’état, est à sa disposition.

Rappelons les vérités d’évidence : le breton est partout chez lui en Bretagne. A l’argument fallacieux de la langue bretonne “jamais parlée dans l’est breton”, le Parti National Breton rappelle que le français ne l’a jamais été dans une grande part de la Bretagne et que le celtique breton est légitime dans tous les territoires où le celtique a été parlé historiquement en Bretagne. Le breton contemporain est une langue d’état, vecteur de la receltisation des masses bretonnes. Pas plus que l’anglais ou une autre langue, il ne s’interdit un territoire, surtout dans les frontières nationales de la Bretagne. Par définition, il n’existe pas de Bretagne où les Bretons ne pourraient pas parler leur langue : le breton.

Le Parti National Breton appelle les acteurs de la langue bretonne à cesser d’alimenter cette confusion funeste qui ne pourra avoir pour seul effet que de frapper la langue bretonne et elle seule, à refuser toute collusion avec la poignée de marginaux qui promeut pour le compte des intérêts franco-latins le patois gallo et à lutter pour une confrontation nationale entre la langue bretonne et la langue de l’Etat français.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton souhaite une bonne nationale aux Bretons de Cornouailles !

Le Parti National Breton souhaite une bonne nationale aux Bretons de Cornouailles !

[PNB] En ce 5 mars 2023, le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh souhaite une bonne fête nationale à nos compatriotes bretons de Cornouailles.

A cette occasion, ses cadres et militants forment le vœu de l’union des neuf millions de Bretons de Grande et Petite-Bretagne en une seule fédération nationale.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Les Bretons ne mourront pas ni pour Paris ni pour Kiev !

[PNB] La propagande belliciste hexagonale ne cesse de s’intensifier. Cette intervention sur LCI d’un amiral français en faveur d’une escalade illimitée en Ukraine démontre que la France est incontestablement entrée en guerre contre la Russie. 

Le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh réaffirme que le Peuple Breton ne peut, ni ne doit être entraîné par l’impérialisme français dans une nouvelle guerre mondiale. La seule lutte que Bretagne doit mener est celle pour son indépendance.

L’indépendance, c’est la neutralité, la neutralité, c’est la paix !

Breizh Atav !

Le Secrétariat National du Parti National Breton

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Retraites : face à la crise sociale et démographique, le Parti National Breton propose le système communautaire breton (SCB)

Retraites : face à la crise sociale et démographique, le Parti National Breton propose le système communautaire breton (SCB)

[PNB] Face à l’implosion du système de retraite hexagonal, le Parti National Breton défend une révolution sociale et culturelle qui répond aux causes de son effondrement : le vieillissement, lui-même généré par l’individualisme issu des années 1960.

La cause structurelle : l’impératif consumériste et la dénatalité

La rétraction démographique que connaissent les sociétés occidentales résulte d’une reconfiguration féministe de l’ordre social avec le plein appui des hommes. Cette reconfiguration découle de la mobilisation progressive des femmes par la société capitaliste de consommation afin d’en faire à la fois des salariées et des consommatrices. Cette mobilisation intensive a détourné les femmes de la maternité et comprimé le taux de natalité occidental.  Le démantèlement du patriarcat légal a accompagné cette mobilisation des femmes par le capital et pas l’inverse comme le prétend la vulgate féministe. Grâce à ce démantèlement est survenue la démocratisation du divorce, de la contraception et de l’avortement qui ont subordonné la famille et sa finalité procréative à l’impératif hédoniste et consumériste du système économique capitaliste contemporain. En résumé, tout a été fait au plan légal, culturel, social et économique pour détourner les femmes et les hommes de la tâche première qui leur incombe : perpétuer la vie qu’ils ont reçu en faisant des enfants. Ce système touche à sa fin pour des raisons de limites biologiques. En 2030, il y aura plus d’un retraité pour moins d’un actif en situation d’emploi réel.

La nécessité d’une solidarité démographique entre générations, la natalité qu’elle implique et les conditions de cette natalité constitue le tabou idéologique central de la présente crise du système de retraite.

L’impasse libérale-marxiste

Aucune manœuvre dilatoire sur le taux de cotisation ou la durée de cotisation promue par le gouvernement hexagonal ne permettra à ce système par répartition de survivre car le cœur du problème n’est pas traité : le renouvèlement des générations sans lequel il ne peut y avoir de système de solidarité pérenne. Pire, avec un encouragement radical à la maximalisation des avortements (230,000 par an) au nom d’une fuite en avant individualiste, l’Etat français travaille au dépeuplement dont il prétend combattre les effets sur la désarticulation de son système social.

C’est pour cette raison que le capitalisme organisé et la bureaucratie étatique hexagonale, soutenus par leurs idiots utiles d’extrême-gauche, imposent la prothèse démographique de l’immigration extra-européenne comme solution miracle au refus de traiter la crise démographique dont découle la crise du système de retraite. Selon cette logique cosmopolite et utilitariste pro-immigration, ce n’est plus la structure sociale qui est au service du peuple, mais le peuple qui est au service de la structure.

Le seul effets tangible de ce recours massif à l’immigration extra-européenne est l’intensification de la désarticulation de l’ordre social : insécurité, crime, islamisme, colonisation de peuplement, etc..

La solution du PNB : le système communautaire breton (SCB)

Le Parti National Breton, conformément à son idée de solidarité nationale organique, veut repenser l’ordre social afin de recréer les liens détruits par l’individualisme bourgeois du 20e siècle et le collectivisme bureaucratique de l’étatisme hexagonal qui réduit chaque cotisant à un bénéficiaire anonyme pour qui la pérennité de l’ensemble est une chose lointaine, sinon indifférente.

C’est pourquoi le Parti National Breton propose une responsabilisation démographique du Peuple Breton au sein de chaque famille, entre générations, dans l’espace et le métier afin que la nation entière développe en conscience les outils de sa propre solidarité. Pour cela, le Parti National Breton veut un système de retraite qui soit financé à 50% par les enfants, puis partiellement par les petits-enfants des citoyens bretons, à 25% par les habitants de la commune de résidence, à 15% par l’Etat breton et enfin à 10% par l’entreprise.

Grâce à ce système révolutionnaire, les Bretons seraient puissamment mobilisés pour avoir des familles raisonnablement nombreuses et solides. Cette mobilisation se formerait non seulement au sein des familles bretonnes, mais également dans le milieu de vie, à l’échelle de la commune. La dimension qualitative de la natalité serait aussi importante que sa dimension quantitative, car les Bretons, ensemble, verraient l’importance à accorder au succès éducatif de leurs enfants comme de ceux de leurs voisins et collègues qui seraient ceux qui assureraient 35% de leurs revenus une fois en retraite.

L’Etat breton, par son intervention, donnerait sa dimension nationale au système communautaire breton en corrigeant les déséquilibres entre communes et entreprises.

Enfin, l’entreprise et ses salariés verraient dans leur effort économique conjoint la base de leur réussite personnelle et sociale collective, ainsi que celle de leurs enfants. 

Toutes les strates de la vie bretonne seraient ainsi unifiées et mobilisées pour une renaissance ethno-nationale et sociale, en opposition complète avec l’individualisme nihiliste et le collectivisme bureaucratique hexagonal actuels. 

Ce système communautaire breton serait étendu au système de santé.

S’il s’agit de trouver des solutions à la crise actuelle de la solidarité entre générations, l’objectif fondamental est autrement plus existentiel : il s’agit de la revitalisation de la famille bretonne et le rajeunissement radical de la Bretagne qui entraîneraient une renaissance de la nation bretonne dans tous les domaines.

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Le Parti National Breton salue la dénonciation par le Burkina Faso de “l’accord d’assistance militaire” avec la France datant de 1961

Le Parti National Breton salue la dénonciation par le Burkina Faso de “l’accord d’assistance militaire” avec la France datant de 1961

[PNB] Le gouvernement du Burkina Faso a officiellement dénoncé l’accord de “coopération et d’assistance” imposé par la France en 1961 dans le cadre du système néo-colonial imposé par Charles De Gaulle. Ce diktat permettait à l’impérialisme français de déployer ses forces armées sur le territoire burkinabé afin de perpétuer l’occupation du pays.

Le Parti National Breton salue cette décision prise par le chef du gouvernement burkinabé Ibrahim Traoré. Cette politique de souveraineté volontariste marque un tournant dans l’écrasement de l’impérialisme français en Afrique de l’Ouest. Toute défaite de l’impérialisme français est une victoire pour la nation bretonne, elle-même sous occupation de cet impérialisme.

Le Parti National Breton voit dans cette politique pour la souveraineté nationale un exemple dont il s’inspirera dans sa lutte pour la libération de la Bretagne et l’expulsion définitive de l’armée d’occupation française du territoire national breton.

Breizh Atav !

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SNU obligatoire en Bretagne : le PNB appelle les jeunes Bretons à s’opposer à leur enrôlement forcé par l’état colonial français !

SNU obligatoire en Bretagne : le PNB appelle les jeunes Bretons à s’opposer à leur enrôlement forcé par l’état colonial français !

[PNB] Le régime d’occupation français en Bretagne planifie l’enrôlement des jeunes Bretons dans le cadre de la militarisation de la société hexagonale entreprise par Paris. Cette militarisation est indissociable des préparatifs de guerre de la France, supplétive de l’OTAN, contre la Russie.

La presse du régime coloniale indique que dès janvier 2024 les jeunes Bretons seront enrôlés de force dans le programme “SNU” et, conformément à l’idéologie cosmopolite du régime colonial, transportés hors de Bretagne pour les déraciner et casser leurs liens avec leur patrie bretonne. Par la voix de sa représentante Sarah El Haïry, le régime d’occupation a annoncé vouloir forcer les jeunes Bretons à saluer le torchon tricolore chaque matin, symbole de l’oppression de la nation bretonne, et chanter la Marseillaise, le chant des égorgeurs sans-culottes qui ont ensanglanté la Bretagne.

Le Parti National Breton appelle les jeunes Bretons à s’opposer au plan des bandits du régime colonial par tous les moyens à leur disposition, y compris en participant aux manifestations organisées contre le gouvernement français. 

Le Peuple Breton ne doit plus jamais servir de force d’appoint aux buts de l’état impérialiste français, surtout militaires. La lutte pour l’indépendance de la nation bretonne passe par l’expulsion définitive des forces armées françaises hors du territoire breton.

Une seule direction : à bas l’état colonial, France hors de Bretagne !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Plan de sortie de flotte : Paris tue la pêche bretonne !

Plan de sortie de flotte : Paris tue la pêche bretonne !

[PNB] L’annonce de la destruction de 45 navires de pêche bretons, principalement cornouaillais, sur les 90 que prévoit de faire détruire le gouvernement français au niveau hexagonal dans le cadre de son “plan de sortie de flotte” est une attaque d’une férocité inédite contre la pêche bretonne et les intérêts nationaux de la Bretagne.

Paris compte ainsi, moyennant quelques miettes concédées aux armateurs bretons, accélérer sans encombre le démantèlement de la pêche bretonne.

Ce diktat imposé par Paris, avec la complicité de politiciens serviles à sa botte, démontre l’urgente nécessité pour la nation bretonne de retrouver son indépendance nationale. Subordonnée à l’Etat français, la Bretagne est incapable de défendre ses intérêts nationaux. Seule la restauration de l’Etat breton sera en mesure de redonner à la Bretagne son rang de puissance maritime en Europe.

Le Parti National Breton appelle les professionnels de la pêche bretonne à tirer les conclusions de ce désastre social et économique parfaitement prévisible en soutenant son action en faveur de l’indépendance nationale. L’heure n’est plus aux demi-mesures, mais à une politique révolutionnaire qui rompe définitivement avec Paris et l’Etat français afin de rendre la Bretagne aux Bretons.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Bretonm

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