Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

[PNB] Le Parti National Breton relève avec satisfaction que la diplomatie chinoise a correctement relevé l’hypocrisie insolente de la France sur la scène internationale.

Critiquée par la chaîne BFMTV pour la politique de “rééducation” que la Chine mènerait dans le futur à Taïwan, l’ambassadeur de Chine en France, Lu Shaye, a rejeté la duplicité française et souligné que le régime républicain français rééduquait lui-même la population hexagonale grâce à son ministère de l’Education.

Les nations victimes de l’impérialisme français peuvent en témoigner. Il y a encore 60 ans, la France prétendait que les ancêtres des Africains ou Asiatiques sous sa botte avaient pour ancêtres les Gaulois. Cette funeste rééducation visait à se servir de ces peuples dans les guerres impérialistes de la république française en Europe.

La Bretagne, occupée illégalement et illégitimement par la France, est une colonie. Encore aujourd’hui, le gouvernement français procède à une rééducation radicale du Peuple Breton dès le plus jeune âge. L’enseignement de l’histoire de Bretagne est interdite dans les écoles bretonnes, tout comme l’enseignement de la langue bretonne qui, contrairement au français ou à l’anglais. L’identité nationale de la Bretagne est niée, tout comme celle d’un cinquième de son territoire, actuellement partitionné par la France. Ses droits politiques, comme nation occupée, sont niés. 

De par sa politique de neutralité pour la Bretagne, le Parti National Breton recherche une analyse objective et équilibrée des rapports internationaux. En cohérence avec sa condamnation de l’impérialisme français, il récuse les vociférations françaises à propos d’un continent, l’Asie, dans lequel la France n’est qu’un stigmate colonial. Il constate que la Chine offre un point de vue lucide sur la nature du régime français qui, derrière ses mensonges et son insolence, ne peut masquer ses rêves fantaisistes de restauration impérialiste.

La question qui intéresse les Bretons n’est pas le destin de la province de Taïwan, mais celui de leur patrie dont ils veulent la libération de l’occupant français, le seul occupant qu’ils connaissent.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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3 août 1379 : le Duc Jean IV prend la tête de la révolution nationale bretonne contre l’occupation française

3 août 1379 : le Duc Jean IV prend la tête de la révolution nationale bretonne contre l’occupation française

[PNB] Le 3 août est un jour de gloire pour la nation bretonne. C’est en effet le 3 août 1379 que le Duc Jean IV débarque à Dinan pour prendre la tête d’une révolution populaire antifrançaise consécutive à l’occupation et l’annexion de la Bretagne par les Français.

Bas-relief en Bronze sur le débarquement de Jean IV de Bretagne à Dinard – Promenade du Clair de Lune (Sculpteur : Armel-Beaufils)

Coalisant l’ensemble de la nation bretonne, Jean IV brise les Français qui doivent fuir. Breizh est à nouveau libre.

Ce que les Bretons ont su faire en s’unissant au 14e siècle, ils pourront le refaire au 21e siècle sous la direction du parti de la patrie: le Parti National Breton.

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Paul Molac et l’impasse du régionalisme français : ethno-nationalisme breton contre socialisme régional

Paul Molac et l’impasse du régionalisme français : ethno-nationalisme breton contre socialisme régional

[PNB] Un entretien récent accordé par le député régionaliste breton Paul Molac au journal d’état français “Ouest-France” (Ouest-Eclair) a suscité l’intérêt des uns et des autres, et surtout entraîné la satisfaction du mouvement régionaliste breton. La cause de cet intérêt et de cette satisfaction est la déclaration de Paul Molac à propos de sa “nationalité bretonne”.

Face aux nations écossaise, catalane ou flamande, les Bretons font pâle figure tant, encore aujourd’hui, ils se comportent en peuple colonisé, obséquieux devant la puissance française occupante. Dans un tel contexte, on se satisferait de peu et une déclaration, en apparence audacieuse, pourrait rassembler à un rayon de soleil. Pourtant, contrairement au mouvement régionaliste breton, contradiction interne du système français, l’Emsav doit analyser avec rigueur les propos tenus par Paul Molac et en tirer les conséquences politiques.

Que dit Paul Molac, député de la nation française à l’Assemblée nationale française, dans cette interview ? Le champ lexical qu’il utilise est révélateur. Il parle de la Bretagne comme d’une “région” à plusieurs reprises et déclare même, un peu plus loin, “Nous, les Français”. Lorsqu’il développe ce point de vue, il oppose finalement “la France” aux “technocrates parisiens”, et non pas la nation bretonne à un état étranger qui l’occupe, l’Etat français. La question nationale bretonne n’existe pas en tant que telle dans la bouche de Paul Molac, la Bretagne demeure une “région” parmi d’autres qui souffrirait simplement d’une mauvaise organisation de la structure politique française.

Cette conception régionaliste est clairement affirmée ensuite :

Je suis citoyen français de nationalité bretonne. Il ne suffit pas de parler français pour devenir citoyen français. C’est plus complexe. Avoir une langue commune est un projet politique. Avoir une langue unique relève d’un projet nationaliste. Les gens qui forment une identité n’expriment pas nécessairement l’envie d’un État indépendant. Vivre son identité n’est pas un projet politique. Cette expression n’a d’ailleurs pas d’obédience politique.

Quelle est la portée historique d’une nationalité dépourvue de droits nationaux propres ? En pratique, aucune. Si les Irlandais avaient été guidés par des gens animés par de semblables conceptions, ils seraient restés des sujets britanniques au lieu de mener une révolution nationaliste. Une personne de “nationalité bretonne” réduite à l’état de citoyen français en Bretagne ne diffère en rien d’un citoyen français tout court, comme aujourd’hui c’est le cas pour les Bretons fondus de force dans un état étranger. En plus de n’avoir aucune conséquence pratique, la déclaration de Paul Molac contient en elle-même l’impasse que représente le régionalisme : maintenir la nation bretonne au sein d’une structure d’état hostile et fondamentalement impérialiste, au nom d’un “pragmatisme” qui se résume le plus clair du temps à de la pusillanimité.

Paul Molac, en cohérence avec ces déclarations, reproche à l’organisation régionaliste d’extrême-gauche UDB sa timide demande d’un permis de résidence d’une année, pourtant accessible à tous les Français et même aux autres étrangers.

J’ai un différend avec le parti sur sa proposition d’un statut de résident. Cette différence entre citoyens me gêne.

On le voit, Paul Molac considère que les Français doivent bénéficier des mêmes droits que les Bretons en Bretagne, ce qui, derrière l’imposture de l’égalité légale, masque l’inégalité fondamentale dont souffre le peuple breton qui n’est pas souverain sur sa terre et doit donc affronter 63 millions de Français selon les termes dictés par leur l’état qui les représente en Bretagne occupée. Lorsqu’il s’agit de choisir entre l’état colonial et ses sujets d’un côté et la nation bretonne de l’autre, Paul Molac opte résolument pour l’état colonial. Ainsi donc, les Bretons sont priés, au nom du dogme hypocrite de l’égalité issue de 1789, de se considérer comme aussi légitimes sur leur terre que le dernier bourgeois parisien venu s’y établir, ou que le dernier migrant d’Afrique importé par Paris, pour peu que l’Etat français en décide. Avec une telle subordination revendiquée, la “nationalité bretonne” de Paul Molac ne sera d’aucun secours face à la volonté d’hégémonie colonialiste et impérialiste de l’Etat français sur la Bretagne, et encore moins face à la colonisation de peuplement extra-européenne que supervise ce même état.

Cette conception sans-frontiériste, issu du contractualisme rousseauiste, n’est pas nouvelle chez Paul Molac, lui qui a virulemment promu l’implantation sauvage de migrants afro-musulmans dans les villages de Bretagne, y compris contre les nationalistes bretons. La “nationalité bretonne” de Paul Molac n’est qu’un décalque du nationalisme géographique français hérité de la Révolution française. C’est le fruit d’un individu acculturé dont l’inconscient est ethniquement breton, ce qui s’exprime par des propositions à caractère particulariste, mais dont le surmoi est intégralement français, issu de 1789. Depuis l’origine, la nationalité bretonne est une protestation de liberté ethnique contre le projet d’écrasement des peuples par l’étatisme impérialiste français qui fonde sa pseudo “nationalité” sur l’idéologie universaliste de 1789. La conception foncièrement française de la nationalité bretonne qu’exprime Paul Molac, comme ses implications politiques, est la négation même celle-ci. 

Réussir 1789 à l’échelle bretonne est certainement une idée fixe du régionalisme de gauche en Bretagne, mais cela n’a jamais été le combat de l’Emsav. L’Emsav est le projet de libération de la nation bretonne par la création d’un état ethno-national breton, Breizh. Les appels à réformer une France consubstantiellement impérialiste pour régler la question bretonne en semant la confusion entre nationalisme, régionalisme, autonomisme et fédéralisme ne sont ni nouveaux, ni utiles. Leur seule fonction est d’affaiblir le sentiment national breton en le maintenant dans le cadre français. L’Emsav assume la confrontation directe avec l’Etat français. Il veut briser les conceptions mortifères de impérialisme révolutionnaire français dans l’esprit des masses bretonnes grâce à la restauration de l’Etat ethnique breton.

Le Peuple Breton a assez perdu de temps avec les adeptes bretons de la quadrature du cercle français. Ces réactionnaires francisés empêchent la conscience ethno-nationale bretonne d’émerger en forçant les Bretons à se soumettre à un syncrétisme qui contraint la réalité ethnique bretonne à se soumettre à la religion égalitaire française. Au contraire, la tâche de l’Emsav est de pousser le peuple entier dans le séparatisme ethno-nationaliste. Alors que le régime français est à l’agonie, c’est ce qui doit animer chaque jour les patriotes bretons.

Breizh Atav !

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1er août : le Parti National Breton souhaite une heureuse fête nationale à la nation bretonne !

1er août : le Parti National Breton souhaite une heureuse fête nationale à la nation bretonne !

[PNB] Le Parti National Breton célèbre en ce 1er août 2022 la fête nationale bretonne, placée sous le signe de la souveraineté retrouvée de l’Etat Celtique de la Nation Bretonne, Breizh.

Avec la fondation du Parti National Breton cette année, la lutte pour la renaissance de la nation bretonne connaît un tournant. Cette lutte se poursuivra jusqu’à la victoire pleine et entière de la nation, c’est-à-dire jusqu’à la restauration de l’Etat breton et l’indépendance complète de notre patrie.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“Bretagne zone tendue” : un leurre qui détourne la nation bretonne de la lutte pour la fin de la colonisation de la Bretagne

“Bretagne zone tendue” : un leurre qui détourne la nation bretonne de la lutte pour la fin de la colonisation de la Bretagne

[PNB] Présentée comme une solution presque miracle par les régionalistes français en Bretagne, l’extension du dispositif dit de “Zone tendue” à l’ensemble du territoire breton ne résoudrait rien à la grave crise du logement que connaît la nation bretonne dont la terre est agressivement colonisée par la bourgeoisie française.

Le député régionaliste Paul Molac a évoqué cette demande à l’Assemblée nationale française cette semaine.

Sans surprise, cette demande, quoique dérisoire en elle-même, a été rejetée par le Parti colonial français.

Cette revendication de détail n’est au mieux qu’un aménagement de la colonisation de peuplement de la Bretagne organisée par l’Etat français. Rien, dans ce dispositif, ne permet de mettre un coup d’arrêt à cette colonisation, notamment parce qu’elle laisse le choix à la caste politique compradore qui contrôle la Bretagne pour le compte de la bourgeoisie parisienne d’utiliser ou non ces mesures de détail.  La corruption étant la norme de gouvernement en Bretagne occupée, les politiciens à la botte du régime colonial français n’agiront pas plus demain qu’aujourd’hui, “Zone tendue” déclarée ou non. Ceci d’autant que toutes les timides dispositions possibles sont sujettes à l’autorisation préalable du gouvernement français par le truchement des cinq préfets opérant en Bretagne. Cette revendication n’est rien d’autre qu’une demande obséquieuse adressée à l’occupant français de bien vouloir limiter à la marge son occupation.

Le Parti National Breton replace la lutte pour le logement en Bretagne dans son contexte colonial qui est celui qu’affronte le Peuple Breton. On ne peut pas régler cette crise sans comprendre qu’elle n’est que le résultat de la domination du Peuple Breton par l’Etat français et le traitement par cet état de la Bretagne en colonie de peuplement. Aucune solution ne sera trouvée sans que la nation bretonne ne devienne seule maîtresse de sa patrie, c’est-à-dire tant que l’Etat breton ne sera pas la seule et unique source du droit en Bretagne. Il ne s’agit donc pas d’opérer dans le cadre légal pensé par le régime colonial français pour la défense de la bourgeoisie française, mais de rompre avec ce cadre colonial pour le remplacer par un pouvoir national breton pleinement indépendant.

C’est dans cet esprit que le Parti National Breton récuse ces mesures dérisoires pour exiger l’autonomie nationale immédiate de la Bretagne et la constitution d’un gouvernement breton qui mettra fin à la colonisation française et décrètera la mise en place de l’exclusivité bretonne pour le logement. 

Par l’instauration de cette autonomie nationale immédiate sous la direction du gouvernement breton, le Parti National Breton veut :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Le Parti National Breton prévoit en plus un plan de logement national dans le cadre de l’Etat breton qui, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Breizh Atav !

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Nantes multiculturelle : un adolescent de 16 ans séquestré et torturé par des “jeunes”

Nantes multiculturelle : un adolescent de 16 ans séquestré et torturé par des “jeunes”

[PNB] A Nantes, nouvel exemple de la société multiculturelle promue par le Parti Socialiste français et Johanna Rolland.

20 Minutes :

Les faits sont violents. Mardi, un garçon âgé de 16 ans a été retrouvé gravement blessé dans une impasse du quartier Saint-Donatien, à l’est de Nantes (Loire-Atlantique). D’après Ouest-France, les policiers ont découvert la jeune victime en sang. Trois suspects âgés de 14, 16 et 17 ans ont été placés en garde à vue et sont soupçonnés d’avoir pratiqué ces sévices

La victime leur explique qu’il a été séquestré toute la nuit précédente dans l’appartement d’une connaissance à lui. L’adolescent explique avoir fait l’objet de nombreux sévices et d’actes de torture. Brûlé par des cigarettes, par la lame d’un couteau chauffé au chalumeau, qui aurait également été utilisé pour le frapper. La victime a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger.

Rapidement, trois suspects sont interpellés. La jeune femme chez qui la victime a passé la nuit, âgée de 16 ans, mais aussi deux jeunes hommes de 14 et 17 ans, qui étaient visiblement présents au moment des faits. La victime aurait réussi à s’échapper quand une personne est venue frapper à la porte du logement.

D’après Ouest-France, les trois suspects auraient avoué une grande partie des faits qui leur sont reprochés. Une enquête a été ouverte. Le parquet des mineurs a prolongé les interrogatoires. 

Le Parti National Breton ne cherche pas à masquer la gravité de la situation au Peuple Breton. La barbarie allogène devient la norme, tandis que l’immigration afro-islamique organisée par l’Etat français menace la Bretagne de destruction pure et simple, une fois la population bretonne évincée de chacune de ses villes et de chacun de ses villages sous l’effet de la submersion démographique.

Seules des mesures drastiques permettront de juguler cette menace existentielle, à commencer par l’indépendance nationale de Breizh.

Le Parti National Breton exige immédiatement :

1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton se félicite de la fin de l’abattage halal et casher dans les abattoirs de Vitré et Trémorel

Le Parti National Breton se félicite de la fin de l’abattage halal et casher dans les abattoirs de Vitré et Trémorel

[PNB] Le Parti National Breton se félicite de la décision prise par la Société Vitréenne d’Abattage de mettre fin à l’abattage selon les procédés islamiques et juifs dans ses abattoirs de Vitré et Trémorel. Ces pratiques sectaires orientales n’ont pas leur place en terre celtique de Bretagne.

Le Parti National Breton exige la fin de ces pratiques étrangères sur l’ensemble du territoire breton et ce dans les plus brefs délais.

Breizh Atav !

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Barbarie ordinaire à Rennes : un homme de 31 ans mortellement poignardé dans le parc des Gayeulles

Barbarie ordinaire à Rennes : un homme de 31 ans mortellement poignardé dans le parc des Gayeulles

[PNB] Nouveau meurtre à Rennes, ville où la criminalité et l’immigration explosent dans l’indifférence de la municipalité franco-socialiste dirigée par Nathalie Appéré.

Ouest-France :

Dans la nuit du mardi 26 au mercredi 27 juillet 2022, un homme âgé de 31 ans a été poignardé dans le parc des Gayeulles, à Rennes (Ille-et-Vilaine). Il est décédé sur place. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

Pour le Parti National Breton, il est temps de restaurer l’ordre breton en Bretagne et d’adopter les mesures radicales que la situation exige. Il rappelle son intention d’instaurer la peine de mort automatique pour les crimes les plus graves, dont le meurtre. Seul l’Etat breton est en mesure de protéger le Peuple Breton, l’Etat français ne peut que l’exposer aux dangers mortels de l’immigration extra-européenne.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton salue les propos courageux de Viktor Orban sur le péril du Grand Remplacement

Le Parti National Breton salue les propos courageux de Viktor Orban sur le péril du Grand Remplacement

[PNB] Tout comme Breizh, la Hongrie a dû lutter pour disposer de son indépendance nationale. Après s’être libérée d’un empire multinational artificiel semblable à la France, l’empire autrichien, la Hongrie a lutté pied-à-pied pendant 50 ans contre le communisme et sa volonté d’anéantir les identités ethno-nationales. Aujourd’hui, c’est contre l’Union Européenne, produit de la France socialiste de Jacques Delors, que la Hongrie lutte pour sauvegarder son peuple. Figure de la résistance ethno-nationale, Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie, reprend le flambeau de la résistance face au communisme racial qui vise à détruire les nations européennes.

“Les migrations ont divisé l’Europe”, a déclaré Victor Orban lors d’un déplacement en Roumanie où vivent de nombreux Hongrois depuis l’annexion d’une partie de leur patrie par Bucarest avec l’aide de la France, en 1919. “L’Occident est coupé en deux avec une moitié composée de pays où cohabitent des peuples européens et non-européens. Ces pays ne sont plus des nations”, a-t-il insisté avec justesse. “Dans un sens spirituel, l’Occident s’est déplacé vers l’Europe centrale”, a-t-il dit. “Les deux moitiés de l’Europe sont engagées dans une bataille“, a-t-il ajouté. L’Occident a rejeté le désir de l’Europe centrale de permettre à chaque nation de vivre comme elle l’entend et ils continuent à se battre contre l’Europe centrale pour nous changer afin que nous soyons comme eux”, a-t-il déclaré.

Tout comme la Hongrie, Breizh dispose encore de son homogénéité ethnique, mais celle-ci est gravement menacée par l’Etat français et sa politique de colonisation de la Bretagne par ses sujets extra-européens. Face à une France condamnée à la balkanisation ethnique et l’afro-islamisation, seule l’indépendance de la nation bretonne permettra de sauver le peuple breton.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton exige la fin de l’immigration patronale et propose un plan breton de reconquête démographique !

Le Parti National Breton exige la fin de l’immigration patronale et propose un plan breton de reconquête démographique !

[PNB] La propagande de la presse d’état hexagonale – en l’occurrence par “Le Télégramme” – en faveur de l’immigration de remplacement, exigée par la bourgeoisie française, s’intensifie. Pas un jour ne passe sans que ce média gouvernemental n’exige plus d’allogènes afro-musulmans, variable d’ajustement du système capitaliste français.

Médias d’état, préfecture coloniale et intrus allogènes convergent pour bétonner les côtes bretonnes, prises d’assaut par les colons français qui évincent les Bretons.

Le Parti National Breton formule une conception radicalement nouvelle des problèmes que le système hexagonal crée et prétend paradoxalement résoudre.

Stopper la colonisation de peuplement

En premier lieu, la Bretagne n’a pas organiquement besoin de logements neufs en grandes quantités. C’est le flux de colonisation étrangère venu de France, orchestré par l’Etat français avec l’appui de politiciens fantoches, qui engendre la crise du logement actuelle en Bretagne.

L’exclusivité bretonne pour le logement

La première mesure d’urgence qu’exige le Parti National Breton est d’imposer l’exclusivité bretonne pour le logement en instaurant le permis de résidence de 10 ans conditionnant pour les non-Bretons toute acquisition d’un bien un immobilier sur le territoire breton. Cette mesure doit être suivie de la taxation massive de chaque propriétaire de résidence secondaire non-originaire de Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien chaque année. Le Parti National Breton exige enfin que les profits réalisés sur le logement locatif de courte durée soient taxés à hauteur de 50% et son produit reversé à un véritable ministère breton du logement chargé de piloter un plan de construction et de rénovation de logement exclusivement dédié aux jeunes couples bretons.

Rompre avec l’égoïsme social-libéral français

La soi-disant “crise de la main d’œuvre” qui s’ajoute à la crise du logement est en réalité le fruit de l’individualisme propre au régime libéral-socialiste qu’est le régime français. Faute d’une politique familiale et nataliste cohérente pour défendre et renforcer le socle de la communauté du Peuple Breton, la dénatalité causée par l’égoïsme culturel de ce régime cause une dépression démographique massive qui touche tous les secteurs professionnels et qui va entraîner à brève échéance l’implosion des mécanismes de solidarité sociale.

Qui peut croire qu’avec des taux de natalité de 1,3 enfant par femme dans une Bretagne sévèrement touchée par l’émigration qui résulte de l’absence d’un état authentiquement ethno-nationaliste, le Peuple Breton pourra disposer d’un système de santé et de retraité par répartition ? L’avortement de masse, le divorce à grande échelle instauré par le matriarcat d’état et la sexualité récréative ne peuvent qu’entraîner l’effondrement démographique qui emportera avec lui les systèmes sociaux que les jeunes générations sont tenues de maintenir à flots au prix d’une imposition toujours plus colossale. Ce qui les prive en retour d’avenir, tant leurs ressources sont consacrées au passé – les retraites et les dépenses de santé de la génération d’après-guerre- et non au futur, c’est-à-dire aux enfants de demain.

Face à cela, la bourgeoisie française exige de recourir à l’immigration de remplacement.  Le Parti National Breton rappelle l’évidence : un peuple étranger ne peut pas être notre peuple à la place de notre peuple. Aucun argument économique de court terme ne peut justifier l’invasion, définitive et à grande échelle, de la Bretagne, encore moins le nettoyage ethnique à bas bruit qu’elle engendre. C’est au Peuple Breton, organisé nationalement, de trouver les solutions en lui-même.

Logement et politique ethno-communautaire de l’Etat breton

C’est pourquoi le plan de logement voulu par le Parti National Breton, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Cette philosophie long-termiste de solidarité ethno-communautaire guidera toutes les politiques du nouvel état breton qu’entend créer le Parti National Breton. Notre Parti enterrera l’ère de l’individualisme de la société capitaliste-socialiste hexagonale et portera une ère nouvelle où le Peuple Breton, organisé en un bloc d’acier, fera face de manière unie à tous les problèmes qu’il affronte.

Breizh Atav !

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